Revue de presse : infos générales.
+22
Critérium
emacaly
vtec
boubou
cedric MLG
SAUBER.F1
nairboul
coyote
stanito71
Hadzufel
Thomas Milton
alessitalia
Fabienne
McLaren
pipom
TROIKA
Admin
teknologik
Monsieur Burns
BRUNO935K3
Johan
dom465
26 participants
Page 32 sur 39
Page 32 sur 39 • 1 ... 17 ... 31, 32, 33 ... 35 ... 39
Re: Revue de presse : infos générales.
en noir et rouge "vodafone" , j'ai vraiment du mal, on dirait presque une HRT!!!!!!
en chrome en revanche, quel gueule d'enfer.
en chrome en revanche, quel gueule d'enfer.
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Bahreïn determiné à rester à l'ouverture...
>> Les organisateurs du Grand Prix de Bahreïn souhaitent conserver l'ouverture de la saison dans les années à venir.
Le circuit de Sakhir a succédé à Melbourne en tant que première course de la saison en 2006 et sera encore, en 2011, la première date du calendrier de la F1.
- "Nous avons eu des courses fantastiques avec de grand moments", affirme Shaikh Salman bin Isa Al Khalifa, l'organisateur en chef, qui a lancé cette semaine le compte à rebours de la manifestation qui se déroulera le 13 mars. "Nous sommes très fiers d'avoir cette course d'ouverture. Nous avons travaillé très dur pour nous en assurer auprès de la gestion de la F1 et de Bernie Ecclestone."
- "Il est très important pour nous et pour nos sponsors d'être la première course car cela signifie que les gens parlent de cette course trois mois à l'avance. Ce ne serait pas le cas si nous étions le troisième (par exemple)."
© ESPN EMEA Ltd.
Le circuit de Sakhir a succédé à Melbourne en tant que première course de la saison en 2006 et sera encore, en 2011, la première date du calendrier de la F1.
- "Nous avons eu des courses fantastiques avec de grand moments", affirme Shaikh Salman bin Isa Al Khalifa, l'organisateur en chef, qui a lancé cette semaine le compte à rebours de la manifestation qui se déroulera le 13 mars. "Nous sommes très fiers d'avoir cette course d'ouverture. Nous avons travaillé très dur pour nous en assurer auprès de la gestion de la F1 et de Bernie Ecclestone."
- "Il est très important pour nous et pour nos sponsors d'être la première course car cela signifie que les gens parlent de cette course trois mois à l'avance. Ce ne serait pas le cas si nous étions le troisième (par exemple)."
© ESPN EMEA Ltd.
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Mosley veut défendre la vie privée
Max Mosley sera reçu mardi prochain par la cour européenne des Droits de l’Homme. L’ancien président de la FIA, dont les détails de sa vie privée et sexuelle avait été révélés par News of the World, avait gagné un premier combat contre la publication. Mais Max Mosley va plus loin afin d’être entendu par la cour, afin de décider si les journaux doivent être tenus d’avertir les personnes concernées avant de publier des faits de vie privée. En 2008, la divulgation des soirées très privées de Max Mosley avaient créer la polémique, jetant le discrédit sur le président de la FIA, qui avait obtenu 60 000 livres de dommages et intérêts.
Source: AutoHebdo.fr
Si j'ai bien compris, il milite à la Cour européenne des Droits de l'Homme? Si c'est le cas, je trouve ça bien car la presse à scandale va parfois trop loin. Mais bon, vous allez me dire que ça doit bien l'arranger si l'UE sort une loi règlementant cette presse people...
Max Mosley sera reçu mardi prochain par la cour européenne des Droits de l’Homme. L’ancien président de la FIA, dont les détails de sa vie privée et sexuelle avait été révélés par News of the World, avait gagné un premier combat contre la publication. Mais Max Mosley va plus loin afin d’être entendu par la cour, afin de décider si les journaux doivent être tenus d’avertir les personnes concernées avant de publier des faits de vie privée. En 2008, la divulgation des soirées très privées de Max Mosley avaient créer la polémique, jetant le discrédit sur le président de la FIA, qui avait obtenu 60 000 livres de dommages et intérêts.
Source: AutoHebdo.fr
Si j'ai bien compris, il milite à la Cour européenne des Droits de l'Homme? Si c'est le cas, je trouve ça bien car la presse à scandale va parfois trop loin. Mais bon, vous allez me dire que ça doit bien l'arranger si l'UE sort une loi règlementant cette presse people...
Alonso devrait effectuer le premier roulage de la nouvelle Ferrari...
>> Selon ce que croit savoir le journal espagnol "Marca", la nouvelle Ferrari 2011 devrait être présentée entre le 25 et le 29 janvier à Maranello avant de faire ses débuts en piste sur le circuit de Valencia le 1er février.
> Ce journal ajoute que c’est Fernando Alonso qui sera en piste les deux premières journées de cette séance afin de dégrossir la mise au point de la monoplace.
- En principe, Felipe Massa devrait prendre le relais de son équipier le 3 février.
Après cette première séance d’essais privés sur le circuit Ricardo Tormo, les équipes devraient se retrouver à Jerez (du 10 au 13 février), Barcelone (18 au 21 février) et Bahreïn (du 3 au 6 mars).
> A l’exception de HRT, toutes les équipes devraient avoir leur monoplace 2011 dès la première séance d’essais privés de Valencia.
Source : Nextgen-auto.com
> Ce journal ajoute que c’est Fernando Alonso qui sera en piste les deux premières journées de cette séance afin de dégrossir la mise au point de la monoplace.
- En principe, Felipe Massa devrait prendre le relais de son équipier le 3 février.
Après cette première séance d’essais privés sur le circuit Ricardo Tormo, les équipes devraient se retrouver à Jerez (du 10 au 13 février), Barcelone (18 au 21 février) et Bahreïn (du 3 au 6 mars).
> A l’exception de HRT, toutes les équipes devraient avoir leur monoplace 2011 dès la première séance d’essais privés de Valencia.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Nouvelle distinction pour Vettel...
>> Sebastian Vettel, plus jeune Champion du Monde de l’histoire de la Formule 1, est de nouveau honoré.
- Le pilote Red Bull a été élu Sportif Européen de l’Année par les membres de l’International Sports Press Association.
> Le jeune allemand a devancé le sprinteur français Christophe Lemaitre et le tennisman espagnol Rafael Nadal.
Sebastian Vettel succède au palmarès à Roger Federer.
Source : Autohebdo.fr
- Le pilote Red Bull a été élu Sportif Européen de l’Année par les membres de l’International Sports Press Association.
> Le jeune allemand a devancé le sprinteur français Christophe Lemaitre et le tennisman espagnol Rafael Nadal.
Sebastian Vettel succède au palmarès à Roger Federer.
Source : Autohebdo.fr
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Bah !!!!!! Comme ça il pourra se faire une bibliothequeDeep purple a écrit:Mosley veut défendre la vie privée
Max Mosley sera reçu mardi prochain par la cour européenne des Droits de l’Homme. L’ancien président de la FIA, dont les détails de sa vie privée et sexuelle avait été révélés par News of the World, avait gagné un premier combat contre la publication. Mais Max Mosley va plus loin afin d’être entendu par la cour, afin de décider si les journaux doivent être tenus d’avertir les personnes concernées avant de publier des faits de vie privée. En 2008, la divulgation des soirées très privées de Max Mosley avaient créer la polémique, jetant le discrédit sur le président de la FIA, qui avait obtenu 60 000 livres de dommages et intérêts.
Source: AutoHebdo.fr
Si j'ai bien compris, il milite à la Cour européenne des Droits de l'Homme? Si c'est le cas, je trouve ça bien car la presse à scandale va parfois trop loin. Mais bon, vous allez me dire que ça doit bien l'arranger si l'UE sort une loi règlementant cette presse people...
cooltitanic- Modérateur d'Honneur
- Messages : 6952
Date d'inscription : 16/02/2010
Localisation : lorient
Re: Revue de presse : infos générales.
Le retour du pilote payant
Ce ne sont pas tous les pilotes qui gagnent des millions
Pour certains, l'image associée à un pilote de F1 est celle d'un homme ayant tout, courtisé par des écuries de pointe prêtes à dépenser des millions pour ses services, se payant des voyages en jet privé et vivant dans le grand luxe. Mais pour un grand nombre de pilotes, particulièrement en 2011, ce ne sera pas le cas.
Ceux-là déploieront de grands efforts pour monter un budget qui leur permettra de soutenir une saison entière de F1. Au lieu de fêter, ils passeront leur soirées devant la télé dans un hôtel à trois étoiles. Le marché des pilotes est en transformation et après une absence de plusieurs années, le pilote payant est de retour.
Un contraste financier assez impressionnant a marqué le plateau 2010. Selon les estimés de Formula Money, 130,85 millions $ US (99,4 M€) ont été dépensés en salaires de pilotes au cours de la saison. 72 % de cette somme s'est retrouvée dans les poches de seulement cinq d'entre eux : Fernando Alonso, Lewis Hamilton, Jenson Button, Felipe Massa et Michael Schumacher.
Lorsqu'il a rejoint Ferrari, Alonso est devenu le premier pilote à gagner un salaire annuel de 40 M$. Cela a fait de lui le mieux payé du plateau, et de loin. Le gouffre salarial entre les pilotes bien nantis et les moins fortunés était de taille. En fait, pour obtenir un volant, plusieurs pilotes ont choisi de se passer de salaire et d'offrir l'argent de leurs sponsors en échange. Pour la première fois depuis 2005, les pilotes payants sont devenus une puissante force économique.
L'arrivée des nouvelles écuries en 2010 y est pour quelque chose. Contrairement aux équipes qu'elles ont remplacé, soit celles soutenues par de grands manufacturiers, ces petites entreprises ne voulaient pas - ou ne pouvaient pas - offrir de grandes sommes d'argent à leurs pilotes.
HRT a offert ses volants à quatre pilotes en 2010, soit aux plus payants du moment
Il a été rapporté que la plus pauvre des nouvelles-venues, HRT, s'attendait à récolter 16 M$ de ses pilotes l'an dernier. Cependant, la rotation quasi-continue de ses titulaires au cours de la seconde moitié de la saison a démontré que cet objectif était difficilement atteignable. Virgin avait recruté Andy Soucek comme pilote d'essais payant, mais après avoir versé un montant estimé à 1,4 M$ et passé très peu de temps dans la voiture, il a quitté l'équipe avant la fin de la saison.
Toutefois, les nouvelles écuries n'étaient pas les seules à exploiter une telle source de revenus en 2010 : Renault a su bénéficier des opportunités commerciales que leur apportait Vitaly Petrov. Il a marqué 109 points de moins que son coéquipier en 2010, mais grâce aux sponsors russes ayant déposé une somme approximative de 5,5 M$ dans les coffres de Renault, en plus des 10 M$ réunis par le père de Petrov, la présence de la recrue a surtout fait le bonheur de Renault ailleurs que sur la piste.
Mais Renault a vite souligné que la contribution de Petrov était bien plus que monétaire. Éric Boullier, le patron de l'équipe, a affirmé que des pilotes "ayant le double du budget de Vitaly" se trouvaient sur sa liste. Gérard Lopez, l'actionnaire majoritaire de l'écurie, a assuré que Petrov n'était pas un pilote payant, mais admettait que "les sponsors qu'il a emmenés avec lui ou qui sont arrivés par la suite sont de très bons sponsors."
Le fait de voir Renault rejeter l'étiquette de pilote payant démontre à quel point une image négative est associée au phénomène. Pour plusieurs personnes, une telle relation signifie automatiquement qu'il s'agit d'un pilote peu talentueux mais possédant un bon portefeuille. Voilà probablement pourquoi Lopez ne voulait pas que Petrov soit inclus dans cette catégorie.
Il est vrai qu'il existe des pilotes compétents, issus de marchés émergents et capables d'attirer de généreux sponsors aux équipes qui les embauchent. Mais les opportunités financières demeurent néanmoins l'attrait principal dans la plupart des cas.
Sergio Pérez, par l'entremise des millions de Telmex, a obtenu un poste chez Sauber
En 2011, plusieurs autres recrues suivront dans les pas de Petrov. Le Mexicain Sergio Pérez, titularisé chez Sauber, apporterait avec lui un montant de 10 M$ provenant du géant des télécommunications Telmex. Williams a laissé tomber le prometteur Nico Hülkenberg pour le remplacer par le Vénézuelien Pastor Maldonado, généreusement appuyé par la compagnie pétrolière nationale de son pays, PDVSA. Notons que Maldonado a de bons arguments puisqu'il est champion GP2 comme son prédécesseur. Mais le fait d'avoir été le mieux soutenu du plateau GP2 ne lui a certainement pas fait de tort.
Maldonado aurait 3 M$ en sponsoring personnel dans ses valises, en plus des 15 M$ qu'apporterait PDVSA à Williams. Sachant que l'écurie britannique a perdu ses partenaires RBS, Philips, McGregor et AirAsia (une perte de revenu estimée à 44 M$), le soutien du Vénézuélien est sûrement le bienvenu.
Comme Renault, Williams tente aussi de faire tomber l'étiquette de pilote payant. "Répugnant et sans pertinence", a déclaré Adam Parr, le président de l'équipe. "Nous n'avons jamais placé un pilote derrière le volant d'une de nos voitures sans qu'il soit prêt pour la F1, méritant du poste et en mesure de répondre aux attentes. Ce type a remporté le championnat GP2 avec une nouvelle équipe, en remportant plus de courses que quiconque. Le seul fait d'avoir à aborder ce sujet est absurde." Néanmoins, les bons résultats de Maldonado ne diminuent pas l'attrait financier qu'il représente pour Williams.
Un des grands problèmes liés à l'embauche de pilotes payants, c'est la perception du public : l'équipe doit être en si piteux état financier qu'elle est prête à sacrifier ses performances pour récolter quelques millions de dollars supplémentaires. Cette impression ne pourrait s'appliquer dans les cas de Renault et Williams, des écuries de mi-peloton ne pouvant se permettre de sacrifier de bons résultats.
Si une écurie n'a aucune chance de s'évader du fond du peloton, le talent de ses pilotes devient quelque peu secondaire. Cependant, pour celles tentant de rejoindre le podium, les points que pourraient rapporter un pilote talentueux signifient des millions de dollars en récompense et la possibilité de meilleurs sponsors. Ces équipes doivent donc trouver un équilibre entre talent et argent.
Pour cette raison, la nouvelle génération de pilotes payants possède de belles feuilles de route. Petrov, Pérez, Maldonado et Bruno Senna (HRT) ont tous gagné des courses en GP2. Exactement le type de pilote qui se retrouve habituellement en F1 de toute façon. Leur soutien financier les rend tout simplement plus attractifs que leurs confrères aussi qualifiés mais moins sponsorisés. On comprend facilement pourquoi les écuries cherchant à compléter leurs budgets les prennent à bord.
Taki Inoue, un des nombreux pilotes payants mais lents des années 1990
La situation d'aujourd'hui n'est pas celle des années 1990, lorsque les pilotes payants en F1 étaient souvent décevants. Pensez à Taki Inoue, qui n'a jamais marqué un seul point (en plus d'avoir été frappé par la voiture médicale). Il y avait aussi les enfants riches, comme Pedro Diniz, qui apportait avec lui l'argent des nombreuses marques se trouvant sur les tablettes de la chaîne de supermarchés de son père.
Le plus gros problème auquel fait face la F1, c'est le fait que même les recrues talentueuses doivent trouver de généreux sponsors pour avoir accès à la catégorie reine. Il est donc probable qu'une potentielle future vedette de la F1 n'aura jamais la chance de faire ses preuves si son budget ne correspond pas aux besoins des équipes.
Ceux qui réussiront comme pilotes payeurs auront l'occasion de grimper les échelons et d'un jour devenir des pilotes payés. Et il n'est pas impossible que certains d'entre eux se retrouvent non seulement au sommet du podium, mais aussi au sommet du classement. Après tout, le septuple champion Michael Schumacher a donné 150 000 $ à l'écurie Jordan pour obtenir son premier volant en F1. C'était en 1991.
20 ans plus tard, il a regagné son investissement près de 3000 fois.
© ESPN EMEA Ltd.
Ce ne sont pas tous les pilotes qui gagnent des millions
Pour certains, l'image associée à un pilote de F1 est celle d'un homme ayant tout, courtisé par des écuries de pointe prêtes à dépenser des millions pour ses services, se payant des voyages en jet privé et vivant dans le grand luxe. Mais pour un grand nombre de pilotes, particulièrement en 2011, ce ne sera pas le cas.
Ceux-là déploieront de grands efforts pour monter un budget qui leur permettra de soutenir une saison entière de F1. Au lieu de fêter, ils passeront leur soirées devant la télé dans un hôtel à trois étoiles. Le marché des pilotes est en transformation et après une absence de plusieurs années, le pilote payant est de retour.
Un contraste financier assez impressionnant a marqué le plateau 2010. Selon les estimés de Formula Money, 130,85 millions $ US (99,4 M€) ont été dépensés en salaires de pilotes au cours de la saison. 72 % de cette somme s'est retrouvée dans les poches de seulement cinq d'entre eux : Fernando Alonso, Lewis Hamilton, Jenson Button, Felipe Massa et Michael Schumacher.
Lorsqu'il a rejoint Ferrari, Alonso est devenu le premier pilote à gagner un salaire annuel de 40 M$. Cela a fait de lui le mieux payé du plateau, et de loin. Le gouffre salarial entre les pilotes bien nantis et les moins fortunés était de taille. En fait, pour obtenir un volant, plusieurs pilotes ont choisi de se passer de salaire et d'offrir l'argent de leurs sponsors en échange. Pour la première fois depuis 2005, les pilotes payants sont devenus une puissante force économique.
L'arrivée des nouvelles écuries en 2010 y est pour quelque chose. Contrairement aux équipes qu'elles ont remplacé, soit celles soutenues par de grands manufacturiers, ces petites entreprises ne voulaient pas - ou ne pouvaient pas - offrir de grandes sommes d'argent à leurs pilotes.
HRT a offert ses volants à quatre pilotes en 2010, soit aux plus payants du moment
Il a été rapporté que la plus pauvre des nouvelles-venues, HRT, s'attendait à récolter 16 M$ de ses pilotes l'an dernier. Cependant, la rotation quasi-continue de ses titulaires au cours de la seconde moitié de la saison a démontré que cet objectif était difficilement atteignable. Virgin avait recruté Andy Soucek comme pilote d'essais payant, mais après avoir versé un montant estimé à 1,4 M$ et passé très peu de temps dans la voiture, il a quitté l'équipe avant la fin de la saison.
Toutefois, les nouvelles écuries n'étaient pas les seules à exploiter une telle source de revenus en 2010 : Renault a su bénéficier des opportunités commerciales que leur apportait Vitaly Petrov. Il a marqué 109 points de moins que son coéquipier en 2010, mais grâce aux sponsors russes ayant déposé une somme approximative de 5,5 M$ dans les coffres de Renault, en plus des 10 M$ réunis par le père de Petrov, la présence de la recrue a surtout fait le bonheur de Renault ailleurs que sur la piste.
Mais Renault a vite souligné que la contribution de Petrov était bien plus que monétaire. Éric Boullier, le patron de l'équipe, a affirmé que des pilotes "ayant le double du budget de Vitaly" se trouvaient sur sa liste. Gérard Lopez, l'actionnaire majoritaire de l'écurie, a assuré que Petrov n'était pas un pilote payant, mais admettait que "les sponsors qu'il a emmenés avec lui ou qui sont arrivés par la suite sont de très bons sponsors."
Le fait de voir Renault rejeter l'étiquette de pilote payant démontre à quel point une image négative est associée au phénomène. Pour plusieurs personnes, une telle relation signifie automatiquement qu'il s'agit d'un pilote peu talentueux mais possédant un bon portefeuille. Voilà probablement pourquoi Lopez ne voulait pas que Petrov soit inclus dans cette catégorie.
Il est vrai qu'il existe des pilotes compétents, issus de marchés émergents et capables d'attirer de généreux sponsors aux équipes qui les embauchent. Mais les opportunités financières demeurent néanmoins l'attrait principal dans la plupart des cas.
Sergio Pérez, par l'entremise des millions de Telmex, a obtenu un poste chez Sauber
En 2011, plusieurs autres recrues suivront dans les pas de Petrov. Le Mexicain Sergio Pérez, titularisé chez Sauber, apporterait avec lui un montant de 10 M$ provenant du géant des télécommunications Telmex. Williams a laissé tomber le prometteur Nico Hülkenberg pour le remplacer par le Vénézuelien Pastor Maldonado, généreusement appuyé par la compagnie pétrolière nationale de son pays, PDVSA. Notons que Maldonado a de bons arguments puisqu'il est champion GP2 comme son prédécesseur. Mais le fait d'avoir été le mieux soutenu du plateau GP2 ne lui a certainement pas fait de tort.
Maldonado aurait 3 M$ en sponsoring personnel dans ses valises, en plus des 15 M$ qu'apporterait PDVSA à Williams. Sachant que l'écurie britannique a perdu ses partenaires RBS, Philips, McGregor et AirAsia (une perte de revenu estimée à 44 M$), le soutien du Vénézuélien est sûrement le bienvenu.
Comme Renault, Williams tente aussi de faire tomber l'étiquette de pilote payant. "Répugnant et sans pertinence", a déclaré Adam Parr, le président de l'équipe. "Nous n'avons jamais placé un pilote derrière le volant d'une de nos voitures sans qu'il soit prêt pour la F1, méritant du poste et en mesure de répondre aux attentes. Ce type a remporté le championnat GP2 avec une nouvelle équipe, en remportant plus de courses que quiconque. Le seul fait d'avoir à aborder ce sujet est absurde." Néanmoins, les bons résultats de Maldonado ne diminuent pas l'attrait financier qu'il représente pour Williams.
Un des grands problèmes liés à l'embauche de pilotes payants, c'est la perception du public : l'équipe doit être en si piteux état financier qu'elle est prête à sacrifier ses performances pour récolter quelques millions de dollars supplémentaires. Cette impression ne pourrait s'appliquer dans les cas de Renault et Williams, des écuries de mi-peloton ne pouvant se permettre de sacrifier de bons résultats.
Si une écurie n'a aucune chance de s'évader du fond du peloton, le talent de ses pilotes devient quelque peu secondaire. Cependant, pour celles tentant de rejoindre le podium, les points que pourraient rapporter un pilote talentueux signifient des millions de dollars en récompense et la possibilité de meilleurs sponsors. Ces équipes doivent donc trouver un équilibre entre talent et argent.
Pour cette raison, la nouvelle génération de pilotes payants possède de belles feuilles de route. Petrov, Pérez, Maldonado et Bruno Senna (HRT) ont tous gagné des courses en GP2. Exactement le type de pilote qui se retrouve habituellement en F1 de toute façon. Leur soutien financier les rend tout simplement plus attractifs que leurs confrères aussi qualifiés mais moins sponsorisés. On comprend facilement pourquoi les écuries cherchant à compléter leurs budgets les prennent à bord.
Taki Inoue, un des nombreux pilotes payants mais lents des années 1990
La situation d'aujourd'hui n'est pas celle des années 1990, lorsque les pilotes payants en F1 étaient souvent décevants. Pensez à Taki Inoue, qui n'a jamais marqué un seul point (en plus d'avoir été frappé par la voiture médicale). Il y avait aussi les enfants riches, comme Pedro Diniz, qui apportait avec lui l'argent des nombreuses marques se trouvant sur les tablettes de la chaîne de supermarchés de son père.
Le plus gros problème auquel fait face la F1, c'est le fait que même les recrues talentueuses doivent trouver de généreux sponsors pour avoir accès à la catégorie reine. Il est donc probable qu'une potentielle future vedette de la F1 n'aura jamais la chance de faire ses preuves si son budget ne correspond pas aux besoins des équipes.
Ceux qui réussiront comme pilotes payeurs auront l'occasion de grimper les échelons et d'un jour devenir des pilotes payés. Et il n'est pas impossible que certains d'entre eux se retrouvent non seulement au sommet du podium, mais aussi au sommet du classement. Après tout, le septuple champion Michael Schumacher a donné 150 000 $ à l'écurie Jordan pour obtenir son premier volant en F1. C'était en 1991.
20 ans plus tard, il a regagné son investissement près de 3000 fois.
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
C'est quand même bien triste, même si c'est pas la première fois. Karthikeyan pique la place à plus méritant que lui...
Re: Revue de presse : infos générales.
>> Karun Chandhok aurait pu être l’un des pilotes titulaires de l’équipe HRT en 2011, mais il a décliné l’offre qui lui a été faite.
L’Indien, qui a disputé une partie de la saison 2010 avec le team espagnol, a justifié sa décision par son désir d’aller de l’avant.
- « J’avais une offre de leur part, mais je l’ai refusée parce qu’elle ne correspondait pas à mes objectifs sur le long terme », a-t-il déclaré à "Indo-Asian News Service".
- « Courir pour l’équipe la première année était logique, mais maintenant je cherche une équipe qui peut me rapporter des points. »
Chandhok concentrerait ses efforts sur une ou deux autres équipes, mais refuse d’en parler avant la signature d’un accord.
Source : Nextgen-auto.com
L’Indien, qui a disputé une partie de la saison 2010 avec le team espagnol, a justifié sa décision par son désir d’aller de l’avant.
- « J’avais une offre de leur part, mais je l’ai refusée parce qu’elle ne correspondait pas à mes objectifs sur le long terme », a-t-il déclaré à "Indo-Asian News Service".
- « Courir pour l’équipe la première année était logique, mais maintenant je cherche une équipe qui peut me rapporter des points. »
Chandhok concentrerait ses efforts sur une ou deux autres équipes, mais refuse d’en parler avant la signature d’un accord.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Peut être un moyen d'animer le g.p d'Abu dhabi
La nouvelle, stupéfiante, vient d'être publiée par des journaux anglo-saxons : une entreprise suisse aurait réussi, dans le plus grand secret, à mettre au point un procédé pour déclencher la pluie en plein désert. Le cheikh Khalifa ben Zayed Al Nahyane, président des Émirats arabes unis (EAU), aurait financé une installation pilote qui aurait déclenché cinquante-deux orages de pluie dans la région d'Al Ain, près d'Abou Dabi, l'été dernier.
Si cette nouvelle devait être confirmée, ce serait une véritable révolution susceptible de bouleverser la vie de nombreux pays désertiques. Ma bonne dame, s'il se met à pleuvoir dans les déserts, où allons-nous ?
Ciel bleu
En elle-même, une pluie artificielle n'a rien de nouveau. Il existe déjà plusieurs procédés pour déclencher la pluie lorsque les nuages sont déjà là, mais c'est la première fois qu'une technologie parviendrait à tirer des larmes d'un ciel bleu azur. Voyons ce miracle d'un peu plus près. La firme suisse Metro Systems International, créée par Helmut Fluhrer, a installé dans le désert une centaine d'ionisateurs géants répartis sur cinq sites. Ils ressemblent à d'immenses palmiers dont les feuilles métalliques émettent dans l'atmosphère des milliards de milliards de particules ionisées (en général des électrons). Ils ne fonctionnent pas en permanence, seulement quand l'humidité dans la haute atmosphère, où se forment normalement les nuages, dépasse 30 %.
Une fois dans l'air, les particules ionisées agglomèrent autour d'elles de microscopiques grains de poussière, avant de s'envoler vers le ciel, entraînées par la convection naturelle. Une fois l'altitude de formation des nuages atteinte, ces poussières chargées négativement font leur boulot habituel : elles condensent sur elles l'humidité atmosphérique jusqu'à former de grosses gouttes qui n'ont alors plus aucune autre idée en tête que de se précipiter sur le sol. Alleluia, il pleut en plein désert !
Un coût faible
Sous le contrôle du Max Planck Institute for Meteorology, ce procédé expérimental aurait prouvé son efficacité dans cette région d'Al Ain où les météorologues n'attendaient aucune pluie. Selon son créateur, la construction d'un système ionisant ne dépasse pas 7 millions de livres contre plus de 850 millions pour une usine de dessalement d'eau de mer.
Avant de s'emballer, il faut contrôler la nature exacte des pluies. S'agit-il réellement de pluies d'orage ou d'une fine bruine qui s'évapore immédiatement ? Il faudra également vérifier si le système fonctionne partout. N'oublions pas qu'Abou Dabi est près de l'océan, qui fournit en permanence de l'humidité. Il n'est pas dit qu'au coeur du Sahara, les ionisateurs trouvent suffisamment d'humidité dans l'atmosphère. Par ailleurs, le climat est un mécanisme très fragile. Si on se met à éponger à tour de bras la vapeur atmosphérique dans un coin du ciel, est-ce que cela n'aura pas des retombées négatives ailleurs ? C'est encore à vérifier. On n'est pas né de la dernière pluie...
SOURCE LE POINT.FR
La nouvelle, stupéfiante, vient d'être publiée par des journaux anglo-saxons : une entreprise suisse aurait réussi, dans le plus grand secret, à mettre au point un procédé pour déclencher la pluie en plein désert. Le cheikh Khalifa ben Zayed Al Nahyane, président des Émirats arabes unis (EAU), aurait financé une installation pilote qui aurait déclenché cinquante-deux orages de pluie dans la région d'Al Ain, près d'Abou Dabi, l'été dernier.
Si cette nouvelle devait être confirmée, ce serait une véritable révolution susceptible de bouleverser la vie de nombreux pays désertiques. Ma bonne dame, s'il se met à pleuvoir dans les déserts, où allons-nous ?
Ciel bleu
En elle-même, une pluie artificielle n'a rien de nouveau. Il existe déjà plusieurs procédés pour déclencher la pluie lorsque les nuages sont déjà là, mais c'est la première fois qu'une technologie parviendrait à tirer des larmes d'un ciel bleu azur. Voyons ce miracle d'un peu plus près. La firme suisse Metro Systems International, créée par Helmut Fluhrer, a installé dans le désert une centaine d'ionisateurs géants répartis sur cinq sites. Ils ressemblent à d'immenses palmiers dont les feuilles métalliques émettent dans l'atmosphère des milliards de milliards de particules ionisées (en général des électrons). Ils ne fonctionnent pas en permanence, seulement quand l'humidité dans la haute atmosphère, où se forment normalement les nuages, dépasse 30 %.
Une fois dans l'air, les particules ionisées agglomèrent autour d'elles de microscopiques grains de poussière, avant de s'envoler vers le ciel, entraînées par la convection naturelle. Une fois l'altitude de formation des nuages atteinte, ces poussières chargées négativement font leur boulot habituel : elles condensent sur elles l'humidité atmosphérique jusqu'à former de grosses gouttes qui n'ont alors plus aucune autre idée en tête que de se précipiter sur le sol. Alleluia, il pleut en plein désert !
Un coût faible
Sous le contrôle du Max Planck Institute for Meteorology, ce procédé expérimental aurait prouvé son efficacité dans cette région d'Al Ain où les météorologues n'attendaient aucune pluie. Selon son créateur, la construction d'un système ionisant ne dépasse pas 7 millions de livres contre plus de 850 millions pour une usine de dessalement d'eau de mer.
Avant de s'emballer, il faut contrôler la nature exacte des pluies. S'agit-il réellement de pluies d'orage ou d'une fine bruine qui s'évapore immédiatement ? Il faudra également vérifier si le système fonctionne partout. N'oublions pas qu'Abou Dabi est près de l'océan, qui fournit en permanence de l'humidité. Il n'est pas dit qu'au coeur du Sahara, les ionisateurs trouvent suffisamment d'humidité dans l'atmosphère. Par ailleurs, le climat est un mécanisme très fragile. Si on se met à éponger à tour de bras la vapeur atmosphérique dans un coin du ciel, est-ce que cela n'aura pas des retombées négatives ailleurs ? C'est encore à vérifier. On n'est pas né de la dernière pluie...
SOURCE LE POINT.FR
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Re: Revue de presse : infos générales.
Thomas Milton a écrit:C'est quand même bien triste, même si c'est pas la première fois. Karthikeyan pique la place à plus méritant que lui...
J'suis d'accord, mais moi qui ai vu Karthikeyan en F3 à Pau, je peut jurer que c'est un des pilotes qui m'a le plus impressionné, franchement un vrai grand talent !!!!
Re: Revue de presse : infos générales.
McLaren a écrit:Thomas Milton a écrit:C'est quand même bien triste, même si c'est pas la première fois. Karthikeyan pique la place à plus méritant que lui...
J'suis d'accord, mais moi qui ai vu Karthikeyan en F3 à Pau, je peut jurer que c'est un des pilotes qui m'a le plus impressionné, franchement un vrai grand talent !!!!
le plus surprenant est d'apporté de l'argent pour conduite une F1 qui restera stotché au dernier du grille de départ à plusieur seconde de l'avant derniere ligne ... quel est l'intêret pour un pilote qui aime la compétition de se la jouer derriere ?
pour moi chez HRT , y'a aucune chance de se faire remarqué par un meilleur team !
Re: Revue de presse : infos générales.
pipom a écrit:McLaren a écrit:Thomas Milton a écrit:C'est quand même bien triste, même si c'est pas la première fois. Karthikeyan pique la place à plus méritant que lui...
J'suis d'accord, mais moi qui ai vu Karthikeyan en F3 à Pau, je peut jurer que c'est un des pilotes qui m'a le plus impressionné, franchement un vrai grand talent !!!!
le plus surprenant est d'apporté de l'argent pour conduite une F1 qui restera stotché au dernier du grille de départ à plusieur seconde de l'avant derniere ligne ... quel est l'intêret pour un pilote qui aime la compétition de se la jouer derriere ?
pour moi chez HRT , y'a aucune chance de se faire remarqué par un meilleur team !
absolument d'accord, il vaut mieux allez courir dans une autre discipline !!
Un tel talent ne devrait pas avoir de peine à trouver un bon volant... Mais le rêve de la F1 est plus fort que tout !!
Re: Revue de presse : infos générales.
McLaren a écrit:Thomas Milton a écrit:C'est quand même bien triste, même si c'est pas la première fois. Karthikeyan pique la place à plus méritant que lui...
J'suis d'accord, mais moi qui ai vu Karthikeyan en F3 à Pau, je peut jurer que c'est un des pilotes qui m'a le plus impressionné, franchement un vrai grand talent !!!!
Karthikeyan n'a jamais démérité en F1.
Maintenant revenir après autant d'années de plus dans une équipe qui sera de nouveau dans le fond de la grille est un fameux challenge pour ce pilote.
stanito71- En transit
- Messages : 975
Date d'inscription : 20/02/2010
Localisation : Binche (Belgique)
Malaises en série à la FOTA...
>> Si la situation ne se règle pas rapidement au sein de la FOTA, Max Mosley et Bernie Ecclestone vont bientôt avoir raison :
des équipes rivales ne sont pas faites pour pouvoir s’entendre avec des accords internes dans le cadre d’une association. Il y a actuellement deux malaises très importants qui se sont créés en l’espace de quelques jours.
- Le premier, le plus important et révélé par Mosley il y a peu, c’est que l’équipe Red Bull a explosé la limite de coûts que s’était fixée la FOTA pour 2010 : il n’y a pas de limite budgétaire à une équipe mais certains domaines ont fait l’objet d’accords sur une restriction des ressources. Ainsi dans le chapitre des factures "Fournisseurs, investissements et salaires", le chiffre de 100 millions d’euros ne doit pas être dépassé. Lorsque Red Bull a rendu ses comptes à la FOTA, la facture de l’équipe était de 160 millions d’euros !
> La règle stipule alors que pour l’année suivante, l’excédent utilisé soit défalqué du quota, ce qui laisserait à Red Bull seulement 40 millions pour 2011.
- Mais le chiffre 2011 à ne pas dépasser n’a toujours pas été voté et Red Bull, ainsi que son écurie sœur Toro Rosso n’ont du coup plus très envie de le faire.
- Très astucieux diront certains, aussi peu sportif que l’affaire Ferrari à Hockenheim diront d’autres. Les deux équipes de Mateschitz ont même trouvé un allié avec Mercedes GP qui souhaite pouvoir dépenser presque sans compter en investissements sur le KERS !
> Cette situation intenable a créé le deuxième malaise, provoquant le départ il y a quelques jours de l’équipe HRT de la FOTA, courroucée par l’attitude des grandes équipes. Les douze équipes ne sont déjà plus que onze, c’est une vraie brèche dans l’union et si toutes les équipes ne respectent pas les mêmes règles entre elles, c’est un risque réel d’effondrement du système... et ce, même si HRT n’est pas (pour le moment) une menace, capable d’aligner de tels budgets.
Enfin, Martin Whitmarsh, président de la FOTA en 2010, devrait être reconduit pour 2011. A moins que ce ne soit finalement Adam Parr...
- Le vote a finalement été remis à plus tard et n’a pas eu lieu à Londres, à la mi-décembre, comme prévu, devant les urgences qui se sont présentées.
Source : Nextgen-auto.com
des équipes rivales ne sont pas faites pour pouvoir s’entendre avec des accords internes dans le cadre d’une association. Il y a actuellement deux malaises très importants qui se sont créés en l’espace de quelques jours.
- Le premier, le plus important et révélé par Mosley il y a peu, c’est que l’équipe Red Bull a explosé la limite de coûts que s’était fixée la FOTA pour 2010 : il n’y a pas de limite budgétaire à une équipe mais certains domaines ont fait l’objet d’accords sur une restriction des ressources. Ainsi dans le chapitre des factures "Fournisseurs, investissements et salaires", le chiffre de 100 millions d’euros ne doit pas être dépassé. Lorsque Red Bull a rendu ses comptes à la FOTA, la facture de l’équipe était de 160 millions d’euros !
> La règle stipule alors que pour l’année suivante, l’excédent utilisé soit défalqué du quota, ce qui laisserait à Red Bull seulement 40 millions pour 2011.
- Mais le chiffre 2011 à ne pas dépasser n’a toujours pas été voté et Red Bull, ainsi que son écurie sœur Toro Rosso n’ont du coup plus très envie de le faire.
- Très astucieux diront certains, aussi peu sportif que l’affaire Ferrari à Hockenheim diront d’autres. Les deux équipes de Mateschitz ont même trouvé un allié avec Mercedes GP qui souhaite pouvoir dépenser presque sans compter en investissements sur le KERS !
> Cette situation intenable a créé le deuxième malaise, provoquant le départ il y a quelques jours de l’équipe HRT de la FOTA, courroucée par l’attitude des grandes équipes. Les douze équipes ne sont déjà plus que onze, c’est une vraie brèche dans l’union et si toutes les équipes ne respectent pas les mêmes règles entre elles, c’est un risque réel d’effondrement du système... et ce, même si HRT n’est pas (pour le moment) une menace, capable d’aligner de tels budgets.
Enfin, Martin Whitmarsh, président de la FOTA en 2010, devrait être reconduit pour 2011. A moins que ce ne soit finalement Adam Parr...
- Le vote a finalement été remis à plus tard et n’a pas eu lieu à Londres, à la mi-décembre, comme prévu, devant les urgences qui se sont présentées.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
C'est pas une bonne nouvelle, certaines personnes malveillantes risquent de bien en profiter.
Re: Revue de presse : infos générales.
>> Le début des essais de pré-saison approche et certaines écuries de F1 ont révélé la date de présentation de leur nouvelle monoplace.
- Les différentes équipes ne semblent pas pressées à dévoiler leur voiture 2011, à tel point que plusieurs commenceront les essais de pré-saison avec leur ancienne monoplace.
Ferrari (code 288) : fin janvier, à Maranello
Sauber (C30) et Lotus Renault GP (R31) : 31 janvier, à Valencia
Toro Rosso (STR6) : 1er février, à Valencia
McLaren (MP4-26) : le 4 février, à Berlin
Force India (VJM04) : très certainement le 10 février, à Jerez
Source : Autohebdo.fr
- Les différentes équipes ne semblent pas pressées à dévoiler leur voiture 2011, à tel point que plusieurs commenceront les essais de pré-saison avec leur ancienne monoplace.
Ferrari (code 288) : fin janvier, à Maranello
Sauber (C30) et Lotus Renault GP (R31) : 31 janvier, à Valencia
Toro Rosso (STR6) : 1er février, à Valencia
McLaren (MP4-26) : le 4 février, à Berlin
Force India (VJM04) : très certainement le 10 février, à Jerez
Source : Autohebdo.fr
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
juste pour rire, et HRT?
ok! ok!
ok! ok!
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Certains diront que HRT a été écarté de la FOTA pour non paiement de la caution de 100.000 Usd (2010).
D'autres, diront que HRT s'est écarté volontairement de la FOTA pour avoir plus de pression pour être ramenée au sein de l'hunanimité des voix. (Echange: des gros tyaux, plus gros que les F'Duct, plus de support.Etc.)
Il me semble que l'écurie de Grove avait déjà utilisé la même stratégie pour faire passer des "gros messages".
Maintenant, HRT a t'elle la force suffisante de sa politique? Ma foi, non.
Wait and see......
D'autres, diront que HRT s'est écarté volontairement de la FOTA pour avoir plus de pression pour être ramenée au sein de l'hunanimité des voix. (Echange: des gros tyaux, plus gros que les F'Duct, plus de support.Etc.)
Il me semble que l'écurie de Grove avait déjà utilisé la même stratégie pour faire passer des "gros messages".
Maintenant, HRT a t'elle la force suffisante de sa politique? Ma foi, non.
Wait and see......
TROIKA- Messages : 5922
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 65
Localisation : La Hulpe
Re: Revue de presse : infos générales.
Williams c'est quand même un nom plus qu'important en F1, HRT je pense que tout le monde s'en fiche... Ce n'est pas politique mais juste économique selon moi.
Les factures sont souvent payées en retard en F1.....
>> La société Dun & Bradstreet continue à analyser la rapidité des équipes de F1 à payer leurs factures et dans sa dernière étude, elle est arrivée à la conclusion que c’est l’écurie Lotus qui est la plus lente à s’exécuter...
> Lotus devance Force India qui ne semble pourtant pas en délicatesse avec ses finances. "Si Vijay (Mallya, patron de l’équipe Force India) vendait son yacht, il pourrait faire vivre son équipe pendant quelques années," déclare un fournisseur de l’équipe indienne, dans les colonnes du "Daily Mail".
- Dun & Bradstreet affirme en revanche que ce sont les équipes appartenant à Red Bull qui sont les plus rapides à honorer les factures de leurs fournisseurs.
>> Voici le classement établi par Dun & Bradstreet (10 équipes sur 12) :
Red Bull : 0 jour
Toro Rosso : 0 jour
Virgin : 8 jours de retard
Williams : 9 jours de retard
Mercedes : 11 jours de retard
Renault : 14 jours de retard
Ferrari : 15 jours de retard
McLaren : 17 jours de retard
Force India : 30 jours de retard
Lotus : 180 jours de retard
Source : Nextgen-auto.com
PS : Il manque HRT...
> Lotus devance Force India qui ne semble pourtant pas en délicatesse avec ses finances. "Si Vijay (Mallya, patron de l’équipe Force India) vendait son yacht, il pourrait faire vivre son équipe pendant quelques années," déclare un fournisseur de l’équipe indienne, dans les colonnes du "Daily Mail".
- Dun & Bradstreet affirme en revanche que ce sont les équipes appartenant à Red Bull qui sont les plus rapides à honorer les factures de leurs fournisseurs.
>> Voici le classement établi par Dun & Bradstreet (10 équipes sur 12) :
Red Bull : 0 jour
Toro Rosso : 0 jour
Virgin : 8 jours de retard
Williams : 9 jours de retard
Mercedes : 11 jours de retard
Renault : 14 jours de retard
Ferrari : 15 jours de retard
McLaren : 17 jours de retard
Force India : 30 jours de retard
Lotus : 180 jours de retard
Source : Nextgen-auto.com
PS : Il manque HRT...
_________________
Carabante confirme le retrait de HRT de la FOTA...
>> Nous vous parlions hier dans notre article sur les malaises en cours au sein de la FOTA que l’équipe HRT avait décidé de quitter cette association des équipes de Formule 1.
- Le propriétaire de Hispania, Jose Ramon Carabante, a confirmé l’information.
Le site internet de la FOTA ne mentionne plus HRT depuis quelques jours et pour cause :
> Carabante n’est plus en accord avec les grandes équipes concernant les accords sur les restrictions des coûts.
L’équipe n’a pas versé les 100.000 euros de cotisations annuelles nécessaires pour 2011 pour maintenir sa participation à la FOTA.
- "Nous n’avons pas payé effectivement mais cette information est parue après que nous ayons déjà décidé de quitter les rangs de l’association," assure le patron de l’équipe HRT.
Source : Nextgen-auto.com
- Le propriétaire de Hispania, Jose Ramon Carabante, a confirmé l’information.
Le site internet de la FOTA ne mentionne plus HRT depuis quelques jours et pour cause :
> Carabante n’est plus en accord avec les grandes équipes concernant les accords sur les restrictions des coûts.
L’équipe n’a pas versé les 100.000 euros de cotisations annuelles nécessaires pour 2011 pour maintenir sa participation à la FOTA.
- "Nous n’avons pas payé effectivement mais cette information est parue après que nous ayons déjà décidé de quitter les rangs de l’association," assure le patron de l’équipe HRT.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
A mon avis, on ne reverra pas HRT cette saison. Je veux pas me précipiter mais je crois que c'est terminé pour eux.
La politique "low cost" de Mosley a fait des ravages et a empiré la situation de cette écurie.
La politique "low cost" de Mosley a fait des ravages et a empiré la situation de cette écurie.
Re: Revue de presse : infos générales.
BRUNO935K3 a écrit:>> La société Dun & Bradstreet continue à analyser la rapidité des équipes de F1 à payer leurs factures et dans sa dernière étude, elle est arrivée à la conclusion que c’est l’écurie Lotus qui est la plus lente à s’exécuter...
> Lotus devance Force India qui ne semble pourtant pas en délicatesse avec ses finances. "Si Vijay (Mallya, patron de l’équipe Force India) vendait son yacht, il pourrait faire vivre son équipe pendant quelques années," déclare un fournisseur de l’équipe indienne, dans les colonnes du "Daily Mail".
- Dun & Bradstreet affirme en revanche que ce sont les équipes appartenant à Red Bull qui sont les plus rapides à honorer les factures de leurs fournisseurs.
>> Voici le classement établi par Dun & Bradstreet (10 équipes sur 12) :
Red Bull : 0 jour
Toro Rosso : 0 jour
Virgin : 8 jours de retard
Williams : 9 jours de retard
Mercedes : 11 jours de retard
Renault : 14 jours de retard
Ferrari : 15 jours de retard
McLaren : 17 jours de retard
Force India : 30 jours de retard
Lotus : 180 jours de retard
Source : Nextgen-auto.com
PS : Il manque HRT...
Et BMW Sauber...
Re: Revue de presse : infos générales.
Deep purple a écrit:A mon avis, on ne reverra pas HRT cette saison. Je veux pas me précipiter mais je crois que c'est terminé pour eux.
La politique "low cost" de Mosley a fait des ravages et a empiré la situation de cette écurie.
Ba le truc c'est que sans cet politique low cost cet equipe ne serait jamais arriver et je pense que le mieux c'etait qu'elle ne viennent jamais en F1 comme toute equipe low cost.
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
Age : 32
Localisation : Les Pavillons sous bois 93
Page 32 sur 39 • 1 ... 17 ... 31, 32, 33 ... 35 ... 39
Sujets similaires
» Revue de presse : infos générales V
» Stefan GP mise sur Villeneuve!
» Article de presse
» News WEC 2012
» RENAULT F1 TEAM
» Stefan GP mise sur Villeneuve!
» Article de presse
» News WEC 2012
» RENAULT F1 TEAM
Page 32 sur 39
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum