Revue de presse : infos générales.
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Tony Fernandes et Richard Branson aimeraient supprimer les drapeaux bleus...
>> Il y a quelques mois, Tony Fernandes, le directeur de l’équipe Lotus F1 Racing avait indiqué que les drapeaux bleus devraient être banis lors des courses de Formule 1. Une idée surprenante ? Pas pour Richard Branson, le patron de l’écurie Virgin Racing...
Pour Tony Fernandes, la discipline y gagnerait beaucoup si les drapeaux bleus disparaissaient lors des Grands Prix : " Les pilotes sont payés pour dépasser. J’estime qu’il serait bon pour le sport de se débarrasser des drapeaux bleus. Si, c’est vraiment dur pour un Champion du Monde de doubler un retardataire alors je pense que c’est un triste jour pour la course automobile. "
Richard Branson (Virgin Racing) semble d’accord avec le directeur de la structure malaisienne puisqu’il a estimé, lors d’une interview pour le site Autosport.com, que les courses seraient plus attractives sans ces fameux drapeaux : " Cela serait beaucoup plus amusant s’il n’y avait pas les drapeaux bleus. Je suis sûr que certaines équipes n’aimeraient pas cela, mais c’est une piste de course et les pilotes ne doivent pas s’arrêter pour se laisser dépasser. Je suis donc d’accord avec les propos de Tony Fernandes. "
Avant d’ajouter : " Nous recevons un drapeau bleu trois secondes avant qu’un concurrent soit proche de notre pilote. C’est beaucoup trop tôt car cela ruine nos courses et nos efforts ! "
Source : FanaticF1.com
Pour Tony Fernandes, la discipline y gagnerait beaucoup si les drapeaux bleus disparaissaient lors des Grands Prix : " Les pilotes sont payés pour dépasser. J’estime qu’il serait bon pour le sport de se débarrasser des drapeaux bleus. Si, c’est vraiment dur pour un Champion du Monde de doubler un retardataire alors je pense que c’est un triste jour pour la course automobile. "
Richard Branson (Virgin Racing) semble d’accord avec le directeur de la structure malaisienne puisqu’il a estimé, lors d’une interview pour le site Autosport.com, que les courses seraient plus attractives sans ces fameux drapeaux : " Cela serait beaucoup plus amusant s’il n’y avait pas les drapeaux bleus. Je suis sûr que certaines équipes n’aimeraient pas cela, mais c’est une piste de course et les pilotes ne doivent pas s’arrêter pour se laisser dépasser. Je suis donc d’accord avec les propos de Tony Fernandes. "
Avant d’ajouter : " Nous recevons un drapeau bleu trois secondes avant qu’un concurrent soit proche de notre pilote. C’est beaucoup trop tôt car cela ruine nos courses et nos efforts ! "
Source : FanaticF1.com
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SAUBER AU COMPLET POUR 2011
Officiel : Perez pilote titulaire chez Sauber en 2011
Et Telmex rejoint ainsi Sauber
lundi 4 octobre 2010 - 16h20, par Franck Drui
Les rumeurs concernant Sauber et la piste mexicaine se sont finalement concrétisées cette après-midi : Sergio Pérez rejoint l’écurie suisse Sauber et sera pilote titulaire en 2011, aux côtés de Kamui Kobayashi. Il arrive avec Telmex, la société du multi-millardaire Carlos Slim, dans ses bagages. Nick Heidfeld, qui a signé pour cinq courses, devra donc chercher un poste de titulaire ailleurs la saison prochaine.
Le Mexicain de 20 ans fera donc ses débuts en Formule 1 après avoir fait un très beau championnat GP2 cette année : il est deuxième, avec deux manches restant à disputer à Abu Dhabi. Il a gagné quatre courses, dont Monaco. Ses débuts, il les a fait en karting avant de poursuivre avec deux ans en Formule BMW puis la F3 britannique, où il a gagné un nombre record de 14 courses.
"La Formule 1 est le rêve de toute jeune pilote de course. Et maintenant il devient réalité pour moi. Bien que je sois conscient du défi devant moi et de la responsabilité, je suis bien entendu très heureux d’accepter tout cela et représenter mon pays dans la catégorie du sport automobile. Je veux remercier Peter Sauber pour la confiance placée en moi et je ferai de mon mieux pour honorer cette opportunité formidable," déclare Sergio Pérez.
"Sergio est sur une pente ascendante depuis ces dernières saisons. Il a montré un bel esprit combatif dans ses courses et il a ainsi prouvé qu’il est prêt pour la Formule 1. J’attends avec impatience de pouvoir travailler avec lui et je n’ai pas de doutes sur le fait qu’avec Sergio Perez et Kamui Kobayashi nous aurons un très bon duo de pilotes," commente Peter Sauber.
La très bonne nouvelle pour Sauber c’est l’arrivée conjointe de Pérez avec Telmex : l’équipe suisse confirme que les logos du géant des télécommunications mexicain seront très présents sur les futures Sauber C30 de 2011. Carlos Slim, le président de Telmex, a discuté avec plusieurs équipes avant de jeter son dévolu sur Sauber. De l’argent frais dont Sauber avait bien besoin pour poursuivre en Formule 1.
"Sauber est non seulement une excellente équipe mais aussi un lieu idéal pour développer les jeunes talents. Beaucoup de pilotes maintenant reconnus sont passés par cette équipe. La décision d’engager Sergio est très significative pour sa carrière et devenir un très bon pilote qui représentera le Mexique. Pour Telmex et notre projet Escuderia Telmex (vivier de jeunes talents de la marque au Mexique), c’est un grand pas en avant et nous sommes fiers de pouvoir consolider ces années de travail avec la présence d’un pilote mexicain en Formule 1, chez Sauber Motorsport," observe Carlos Slim Domit, le fils de Carlos Slim, en charge d’Escuderia Telmex.
Peter Sauber est évidemment ravi d’accueillir un sponsor de cette nature : "Telmex est impliqué dans le sport automobile depuis de nombreuses années et soutient quantité de pilotes dans plusieurs disciplines. Maintenant ils font grâce à Sergio le pas ultime dans la discipline reine et nous sommes heureux et fiers d’être l’équipe choisie pour cela. Telmex est évidemment une très grosse société et un partenaire de choix pour nous. Nous attendons avec impatience de débuter cette collaboration fructueuse."
http://motorsport.nextgen-auto.com/Officiel-Perez-pilote-titulaire-chez-Sauber-en-2011.html
Et Telmex rejoint ainsi Sauber
lundi 4 octobre 2010 - 16h20, par Franck Drui
Les rumeurs concernant Sauber et la piste mexicaine se sont finalement concrétisées cette après-midi : Sergio Pérez rejoint l’écurie suisse Sauber et sera pilote titulaire en 2011, aux côtés de Kamui Kobayashi. Il arrive avec Telmex, la société du multi-millardaire Carlos Slim, dans ses bagages. Nick Heidfeld, qui a signé pour cinq courses, devra donc chercher un poste de titulaire ailleurs la saison prochaine.
Le Mexicain de 20 ans fera donc ses débuts en Formule 1 après avoir fait un très beau championnat GP2 cette année : il est deuxième, avec deux manches restant à disputer à Abu Dhabi. Il a gagné quatre courses, dont Monaco. Ses débuts, il les a fait en karting avant de poursuivre avec deux ans en Formule BMW puis la F3 britannique, où il a gagné un nombre record de 14 courses.
"La Formule 1 est le rêve de toute jeune pilote de course. Et maintenant il devient réalité pour moi. Bien que je sois conscient du défi devant moi et de la responsabilité, je suis bien entendu très heureux d’accepter tout cela et représenter mon pays dans la catégorie du sport automobile. Je veux remercier Peter Sauber pour la confiance placée en moi et je ferai de mon mieux pour honorer cette opportunité formidable," déclare Sergio Pérez.
"Sergio est sur une pente ascendante depuis ces dernières saisons. Il a montré un bel esprit combatif dans ses courses et il a ainsi prouvé qu’il est prêt pour la Formule 1. J’attends avec impatience de pouvoir travailler avec lui et je n’ai pas de doutes sur le fait qu’avec Sergio Perez et Kamui Kobayashi nous aurons un très bon duo de pilotes," commente Peter Sauber.
La très bonne nouvelle pour Sauber c’est l’arrivée conjointe de Pérez avec Telmex : l’équipe suisse confirme que les logos du géant des télécommunications mexicain seront très présents sur les futures Sauber C30 de 2011. Carlos Slim, le président de Telmex, a discuté avec plusieurs équipes avant de jeter son dévolu sur Sauber. De l’argent frais dont Sauber avait bien besoin pour poursuivre en Formule 1.
"Sauber est non seulement une excellente équipe mais aussi un lieu idéal pour développer les jeunes talents. Beaucoup de pilotes maintenant reconnus sont passés par cette équipe. La décision d’engager Sergio est très significative pour sa carrière et devenir un très bon pilote qui représentera le Mexique. Pour Telmex et notre projet Escuderia Telmex (vivier de jeunes talents de la marque au Mexique), c’est un grand pas en avant et nous sommes fiers de pouvoir consolider ces années de travail avec la présence d’un pilote mexicain en Formule 1, chez Sauber Motorsport," observe Carlos Slim Domit, le fils de Carlos Slim, en charge d’Escuderia Telmex.
Peter Sauber est évidemment ravi d’accueillir un sponsor de cette nature : "Telmex est impliqué dans le sport automobile depuis de nombreuses années et soutient quantité de pilotes dans plusieurs disciplines. Maintenant ils font grâce à Sergio le pas ultime dans la discipline reine et nous sommes heureux et fiers d’être l’équipe choisie pour cela. Telmex est évidemment une très grosse société et un partenaire de choix pour nous. Nous attendons avec impatience de débuter cette collaboration fructueuse."
http://motorsport.nextgen-auto.com/Officiel-Perez-pilote-titulaire-chez-Sauber-en-2011.html
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Re: Revue de presse : infos générales.
Le revers de la médaille
Je reste impressionné par la faculté de la Formule 1 à débattre de faux problèmes quand d’autres urgences mériteraient plus de considération. La question du barème est l’une des dernières diversions du genre médiatique, un match entre Ecclestone et Todt dont on connaît fort heureusement le vainqueur. Car le magnat n’a aucune chance face à l’Auvergnat.
Cette lutte faussement réformatrice relève non pas de la volonté de faire passer une idée mais simplement d’imposer une vision discrétionnaire. Dicter une volonté personnelle pour asseoir un pouvoir, sinon une autorité : là se mesure la vraie puissance de changement. Dans ce registre, "Mister E" poursuit son idée lumineuse de distribution de médailles, d’un attrait irrésistible pour lui seul. Sans en justifier le moins du monde l’utilité, mais c’est normal il n’est pas habitué à convaincre. Pour en comprendre la genèse, il ne faut pas s’interroger sur le "pourquoi" ni le "comment" de cet artifice mais le "quand". Le presque octogénaire nous avait sorti ce concept après une réunion de grands manitous du sport à Pékin, en 2008, quelques jours avant les Jeux. Impressionné peut-être, jaloux plus sûrement de ce rayonnement universel promis à l'événement, de cette gloire que Phelps se préparait à immortaliser sur papier glacé, avec huit médailles d’or autour du cou...
Pour tenter d'élever la F1 au niveau de prestige des Jeux, tonton s'est peut-être mis dans la tête de copier ce raccourci fascinant ; diffuser l'image d'un Hamilton, d'un Alonso plaqué or. Le problème est que l'olympisme n'a pas grand-chose à voir avec le sport motorisé et que les pilotes s'en fichent pas mal des breloques. Beaucoup sont déjà bien embarrassés de recevoir une coupe ridiculement sur-dimensionnée. Vous l'avez souvent constaté, leur truc sur les podiums c'est plutôt le champagne... Un pétillant festif que les solennels Jeux n'ont pas concepté. Deux événements, deux mondes distincts dont Ecclestone a entrepris un vain rapprochement subliminal. C'est bien ainsi, Todt l'a éconduit au détour d'une phrase presque anodine sur le plateau de "F1 à la Une" lors du spécial GP de Singapour, estimant son nouveau barème "très convenant, approprié." Autrement dit : "Circule Bernie, y'a rien à voir !" Et puis, c'est le plus important, la course aux médailles a montré son caractère nocif : elle n'aurait fait qu'avancer la conclusion des derniers championnats.
Voilà pour la lutte FOM/FIA. Pour autant, je suis navré de constater que le barème à 25 points n'apporte rien. Il se voulait plus gratifiant pour le vainqueur mais les faits sont têtus. Avec l'ancien système, Webber (202 pts), Alonso (191), Hamilton (182), Vettel (181) et Button (77) seraient aujourd'hui rangés dans le même ordre, étalés dans des proportions comparables (80, 77, 75, 74, 72). Mieux, moins d'une victoire séparerait le 5e du 1er. Jusqu'en 2009, le 1er avait 125% des points du 2e, il en a désormais royalement 138%... En vérité, le seul avantage du système 2010 est de récompenser le 9e et le 10e. C'est louable, mais finalement symbolique. C'était la revendication de Walkinshaw au début des années 2000, et il n'est jamais trop tard pour bien faire. On se souvient que l'ombrageux boss d'Arrows voulait des points pour le top 8 ou le top 10 afin d'apparaître avec quelques unités au Mondial Constructeurs ; de quoi crédibiliser son team. Un argument décisif qu'il n'a pas eu le temps d'expérimenter puisque son équipe a coulé en 2002. Cependant, le barème élargi des six au huit premiers en 2003 n'a pas empêché le nom Jordan de déserter la F1, comme d'autres. Bref, si une distribution de points servait à dynamiser un championnat, à sauver des équipes ça se saurait depuis longtemps. Le ChampCar avait poussé cette démarche en arrosant les 16 premiers, l'auteur de la pole, du meilleur tour en course, le leader le plus assidu si je me souviens bien… Des équipes n'ont pas échappé à la disparation, avant le championnat tout entier ! Moins dramatique mais quand même préoccupante, la situation de la MotoGP, descendue à 17 engagés réguliers -occasionnellement moins- en dépit d'une distribution généreuse pour 15 pilotes. Kovalainen réclame des points pour tous (et surtout pour Lotus), sa démarche à l'opposé de la méritocratie est désespérée. Le fait est que vous pourrez créer ce que vous estimez le barème le plus efficace, restera à voir comment les pilotes l'adopteront. Aujourd'hui, les cinq candidats au titre ne parlent plus de victoire car ils sont obsédés par les fameux "points intermédiaires", plus sérieux viatique pour la gloire.
La gloire, ses récompenses... Parlons-en, justement, du trophée des champions du monde Pilotes. Il faudrait commencer par en populariser l'image plutôt que créer des médailles. Car franchement, vous l'avez souvent vu en dehors du gala FIA de remises des prix ? C'est plutôt incroyable de le cacher ainsi, de même que celui des Constructeurs, comme s'il allait prendre froid. En foot, en rugby, la Coupe du monde est offerte à tous les regards en bordure de terrain avant la finale. J'aimerais voir exposés ces trophées à la convoitise, en tête de grille, pendant quelques minutes avant le départ du dernier GP 2010, puisque les championnats ne seront manifestement pas pliés d'ici là…
Stéphane VRIGNAUD
Source : eurosport.fr
Je reste impressionné par la faculté de la Formule 1 à débattre de faux problèmes quand d’autres urgences mériteraient plus de considération. La question du barème est l’une des dernières diversions du genre médiatique, un match entre Ecclestone et Todt dont on connaît fort heureusement le vainqueur. Car le magnat n’a aucune chance face à l’Auvergnat.
Cette lutte faussement réformatrice relève non pas de la volonté de faire passer une idée mais simplement d’imposer une vision discrétionnaire. Dicter une volonté personnelle pour asseoir un pouvoir, sinon une autorité : là se mesure la vraie puissance de changement. Dans ce registre, "Mister E" poursuit son idée lumineuse de distribution de médailles, d’un attrait irrésistible pour lui seul. Sans en justifier le moins du monde l’utilité, mais c’est normal il n’est pas habitué à convaincre. Pour en comprendre la genèse, il ne faut pas s’interroger sur le "pourquoi" ni le "comment" de cet artifice mais le "quand". Le presque octogénaire nous avait sorti ce concept après une réunion de grands manitous du sport à Pékin, en 2008, quelques jours avant les Jeux. Impressionné peut-être, jaloux plus sûrement de ce rayonnement universel promis à l'événement, de cette gloire que Phelps se préparait à immortaliser sur papier glacé, avec huit médailles d’or autour du cou...
Pour tenter d'élever la F1 au niveau de prestige des Jeux, tonton s'est peut-être mis dans la tête de copier ce raccourci fascinant ; diffuser l'image d'un Hamilton, d'un Alonso plaqué or. Le problème est que l'olympisme n'a pas grand-chose à voir avec le sport motorisé et que les pilotes s'en fichent pas mal des breloques. Beaucoup sont déjà bien embarrassés de recevoir une coupe ridiculement sur-dimensionnée. Vous l'avez souvent constaté, leur truc sur les podiums c'est plutôt le champagne... Un pétillant festif que les solennels Jeux n'ont pas concepté. Deux événements, deux mondes distincts dont Ecclestone a entrepris un vain rapprochement subliminal. C'est bien ainsi, Todt l'a éconduit au détour d'une phrase presque anodine sur le plateau de "F1 à la Une" lors du spécial GP de Singapour, estimant son nouveau barème "très convenant, approprié." Autrement dit : "Circule Bernie, y'a rien à voir !" Et puis, c'est le plus important, la course aux médailles a montré son caractère nocif : elle n'aurait fait qu'avancer la conclusion des derniers championnats.
Voilà pour la lutte FOM/FIA. Pour autant, je suis navré de constater que le barème à 25 points n'apporte rien. Il se voulait plus gratifiant pour le vainqueur mais les faits sont têtus. Avec l'ancien système, Webber (202 pts), Alonso (191), Hamilton (182), Vettel (181) et Button (77) seraient aujourd'hui rangés dans le même ordre, étalés dans des proportions comparables (80, 77, 75, 74, 72). Mieux, moins d'une victoire séparerait le 5e du 1er. Jusqu'en 2009, le 1er avait 125% des points du 2e, il en a désormais royalement 138%... En vérité, le seul avantage du système 2010 est de récompenser le 9e et le 10e. C'est louable, mais finalement symbolique. C'était la revendication de Walkinshaw au début des années 2000, et il n'est jamais trop tard pour bien faire. On se souvient que l'ombrageux boss d'Arrows voulait des points pour le top 8 ou le top 10 afin d'apparaître avec quelques unités au Mondial Constructeurs ; de quoi crédibiliser son team. Un argument décisif qu'il n'a pas eu le temps d'expérimenter puisque son équipe a coulé en 2002. Cependant, le barème élargi des six au huit premiers en 2003 n'a pas empêché le nom Jordan de déserter la F1, comme d'autres. Bref, si une distribution de points servait à dynamiser un championnat, à sauver des équipes ça se saurait depuis longtemps. Le ChampCar avait poussé cette démarche en arrosant les 16 premiers, l'auteur de la pole, du meilleur tour en course, le leader le plus assidu si je me souviens bien… Des équipes n'ont pas échappé à la disparation, avant le championnat tout entier ! Moins dramatique mais quand même préoccupante, la situation de la MotoGP, descendue à 17 engagés réguliers -occasionnellement moins- en dépit d'une distribution généreuse pour 15 pilotes. Kovalainen réclame des points pour tous (et surtout pour Lotus), sa démarche à l'opposé de la méritocratie est désespérée. Le fait est que vous pourrez créer ce que vous estimez le barème le plus efficace, restera à voir comment les pilotes l'adopteront. Aujourd'hui, les cinq candidats au titre ne parlent plus de victoire car ils sont obsédés par les fameux "points intermédiaires", plus sérieux viatique pour la gloire.
La gloire, ses récompenses... Parlons-en, justement, du trophée des champions du monde Pilotes. Il faudrait commencer par en populariser l'image plutôt que créer des médailles. Car franchement, vous l'avez souvent vu en dehors du gala FIA de remises des prix ? C'est plutôt incroyable de le cacher ainsi, de même que celui des Constructeurs, comme s'il allait prendre froid. En foot, en rugby, la Coupe du monde est offerte à tous les regards en bordure de terrain avant la finale. J'aimerais voir exposés ces trophées à la convoitise, en tête de grille, pendant quelques minutes avant le départ du dernier GP 2010, puisque les championnats ne seront manifestement pas pliés d'ici là…
Stéphane VRIGNAUD
Source : eurosport.fr
dom465- Messages : 12793
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LAUDA pas tendre avec RÄIKKÖNEN...
>> L'idée d'un retour de Kimi Räikkönen en F1 fait doucement rire Niki Lauda.
"Jamais il ne reviendra", a déclaré l'Autrichien, lui-même roi du come-back réussi.
- "D'un côté on entend qu'il s'amuse plus que jamais et de l'autre qu'il veut revenir. Il n'est pas assez sérieux pour envisager de courir à nouveau en F1."
> Lauda a également été ironique sur les résultats de Kimi Räikkönen pour sa première année dans le Championnat du Monde WRC. "Il n'est pas arrivé à grand-chose", a déclaré Lauda.
© ESPN EMEA Ltd.
"Jamais il ne reviendra", a déclaré l'Autrichien, lui-même roi du come-back réussi.
- "D'un côté on entend qu'il s'amuse plus que jamais et de l'autre qu'il veut revenir. Il n'est pas assez sérieux pour envisager de courir à nouveau en F1."
> Lauda a également été ironique sur les résultats de Kimi Räikkönen pour sa première année dans le Championnat du Monde WRC. "Il n'est pas arrivé à grand-chose", a déclaré Lauda.
© ESPN EMEA Ltd.
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Re: Revue de presse : infos générales.
Il a raison quand il dit que Raikkonen ne reviendra jamais en F1, il n'est pas maso quand même. Il s'éclate beaucoup plus en rallye!
Re: Revue de presse : infos générales.
...contre les tallus et les bord de route,.... les arbres aussi!Deep purple a écrit:Il a raison quand il dit que Raikkonen ne reviendra jamais en F1, il n'est pas maso quand même. Il s'éclate beaucoup plus en rallye!
mais il "score" et c'est certainement le plus important!!!! je pense que kimi, malgré ses ereurre de jeunesse, a besoins de la "chaleur humaine", et il semble que le rallye lui
convienne en tout points pour ce dernier cas.
Hadzufel- Messages : 9084
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Re: Revue de presse : infos générales.
Hadzufel a écrit:...contre les tallus et les bord de route,.... les arbres aussi!Deep purple a écrit:Il a raison quand il dit que Raikkonen ne reviendra jamais en F1, il n'est pas maso quand même. Il s'éclate beaucoup plus en rallye!
mais il "score" et c'est certainement le plus important!!!! je pense que kimi, malgré ses ereurre de jeunesse, a besoins de la "chaleur humaine", et il semble que le rallye lui
convienne en tout points pour ce dernier cas.
C'est trop court de juger sur une seule saison, laissons le apprendre.
Re: Revue de presse : infos générales.
Deep purple a écrit:
C'est trop court de juger sur une seule saison, laissons le apprendre.
j'étais un fan de la première heures, des la F. Renault, mais là je suis surpris de son manque de compétitivité, et bien sur de ses résultats.
On l'attendait un peu plus sur l'asphalte, et malheureusement il n'a absolument rien à prouver, j'en suis le premier désolé !!
Re: Revue de presse : infos générales.
Le Rallye et la F1, ce n'est pas la même chose et il lui faut un temps d'adaptation.
BJR
Tout d'abord bonjour a tous et merci à Deep Purple de m'avoir indiqué ce forum.
Pour venir au sujet, je vois mal Raikkonen revenir. Ce serait contraire à la philosophie de ce personnage. Il est libre là bas. E F1 il semblait plus malheureux qu'autre chose. Mon seul regret est qu'il doit etre au niveau largement des candidats au championnat du monde cette annee..
Pour venir au sujet, je vois mal Raikkonen revenir. Ce serait contraire à la philosophie de ce personnage. Il est libre là bas. E F1 il semblait plus malheureux qu'autre chose. Mon seul regret est qu'il doit etre au niveau largement des candidats au championnat du monde cette annee..
cedric MLG- Messages : 2
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Re: Revue de presse : infos générales.
Peter Warr est mort
Ancien Team-manager de Team Lotus, Wolf et Copersucar Fittipaldi, le Britannique Peter Warr est décédé hier d’une crise cardiaque.
Né en 1938, cet ancien pilote n’ayant pas accédé à la discipline reine débuta chez Lotus au début des années 1970, et fit partie de l’équipe ayant permis à Emerson Fittipaldi de remporter le titre mondial en 1972. Parti en 1976 chez Wolf, il rejoint, après la fermeture de cette dernière en 1979, l’écurie Copersucar Fittipaldi, propriété du frère ainé d’Emerson. Il reviendra finalement dans le giron Lotus en 1981, à la demande de Colin Chapman.
A la mort de ce dernier en 1982, Warr devient patron de l’écurie, et le restera jusqu’en 1989. Il sera notamment à l’origine de l’arrivée au sein du team d’Ayrton Senna en 1985, année des deux premières victoires du Brésilien en Formule 1.
Source: AutoHebdo.fr
Ancien Team-manager de Team Lotus, Wolf et Copersucar Fittipaldi, le Britannique Peter Warr est décédé hier d’une crise cardiaque.
Né en 1938, cet ancien pilote n’ayant pas accédé à la discipline reine débuta chez Lotus au début des années 1970, et fit partie de l’équipe ayant permis à Emerson Fittipaldi de remporter le titre mondial en 1972. Parti en 1976 chez Wolf, il rejoint, après la fermeture de cette dernière en 1979, l’écurie Copersucar Fittipaldi, propriété du frère ainé d’Emerson. Il reviendra finalement dans le giron Lotus en 1981, à la demande de Colin Chapman.
A la mort de ce dernier en 1982, Warr devient patron de l’écurie, et le restera jusqu’en 1989. Il sera notamment à l’origine de l’arrivée au sein du team d’Ayrton Senna en 1985, année des deux premières victoires du Brésilien en Formule 1.
Source: AutoHebdo.fr
Re: Revue de presse : infos générales.
Je pense que si Räikkö veut revenir, c'est cette année qu'il doit le faire. L'exemple "Schumi" risque de faire passer la date de peremption d'un ex-pilote de F1 à deux ans. Et puis, soyons lucide, même s'il ne démérite pas en WRC, de là à être dans le peloton de tête....cedric MLG a écrit:Tout d'abord bonjour a tous et merci à Deep Purple de m'avoir indiqué ce forum.
Pour venir au sujet, je vois mal Raikkonen revenir. Ce serait contraire à la philosophie de ce personnage. Il est libre là bas. E F1 il semblait plus malheureux qu'autre chose. Mon seul regret est qu'il doit etre au niveau largement des candidats au championnat du monde cette annee..
Re: Revue de presse : infos générales.
Franchement je pense que Raikkonen en rally cet saison sera forcement plus competitif que cet année mais a conditions qu'il garde en téte le rally et qu'il soit concentré a mort la dessus.
Apres si il retourne en F1 chez Renault bonne pioche pour Renault et pour Raikkonen je pense.
Mais perso je ne sait pas quoi dire si il ferait mieux de rester en rally ou revenir en F1 car je ne m'y sent pas capable d'y repondre.
Apres si il retourne en F1 chez Renault bonne pioche pour Renault et pour Raikkonen je pense.
Mais perso je ne sait pas quoi dire si il ferait mieux de rester en rally ou revenir en F1 car je ne m'y sent pas capable d'y repondre.
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
Age : 32
Localisation : Les Pavillons sous bois 93
Eric BOULLIER répond à RÄIKKÖNEN...
>> Le nouveau directeur général du Renault F1 Team Éric Boullier a exprimé son incompréhension après les propos de Kimi Räikkönen qui estimait hier que l'écurie Renault faisait "du marketing sur son nom".
"On a été contactés par ses managers après Spa", a tenu à clarifier Boullier en marge des préparatifs du Grand Prix du Japon. "Ils voulaient que nous entamions des discussions. Nous avons alors dit : 'S'il vous plaît, pouvez-vous patienter. Oui, nous sommes flattés de votre intérêt mais nous devons d'abord finir d'évaluer le potentiel de Vitaly (Petrov). Une fois que ce sera fait, nous reviendrons vers vous'. Il n'y a rien eu d'autre."
"Depuis, je ne suis pas revenu vers eux parce que l'évaluation du potentiel de Vitaly n'est pas terminée. Je n'ai jamais utilisé les médias et je ne vois pas le bénéfice que l'on pourrait tirer de dire aux médias que Kimi est intéressé. Quel serait le but ?"
- On peut penser que cela pourrait attirer l'attention de potentiels partenaires qui verraient dans l'association d'un champion du monde et d'une des équipes de pointe le moyen de trouver une exposition avantageuse.
"Pour finir, les médias ont fait preuve d'un grand intérêt la semaine dernière. J'imagine que c'est simplement parce que qu'il n'y avait rien d'autre dans l'actualité. Et j'imagine que ça a agacé Kimi de voir tout cela dans la presse", a continué Boullier. "Mais je n'ai pas failli à ma parole et quand cela est devenu public je suis resté honnête et courtois. Oui, nous sommes flattés d'être contactés, je n'ai rien dit d'autre. Maintenant je pense qu'il est clair pour lui et pour moi que la discussion est terminée."
"Vous pouvez jouer avec les médias et jouer avec la pression mais il ne s'agit pas de cela ici"
Mais ce qui a le plus surpris Boullier c'est le ton employé par l'actuel pilote Citroën en WRC. "Pourquoi nous accuser de quoi que ce soit ?", s'interroge le Français. "Je n'irais jamais chercher les médias pour pour leur expliquer quelque chose comme cela. Nous n'avons fait que répondre aux questions. Même nous, ça nous a un peu perturbés que l'on ne parle que de cela."
"J'ai été honnête et clair avec tout le monde. Il n'était pas question d'entamer des discussions avant d'avoir pris une décision en ce qui concerne Vitaly", conclut le dirigeant. "L'idée était de dire que l'on suit pour l'instant Vitaly et que s'il ne fait pas l'affaire alors nous commencerions à chercher. Mais pourquoi discuter avant ? Vous pouvez jouer avec les médias et jouer avec la pression mais il ne s'agit pas de cela ici."
© ESPN EMEA Ltd.
"On a été contactés par ses managers après Spa", a tenu à clarifier Boullier en marge des préparatifs du Grand Prix du Japon. "Ils voulaient que nous entamions des discussions. Nous avons alors dit : 'S'il vous plaît, pouvez-vous patienter. Oui, nous sommes flattés de votre intérêt mais nous devons d'abord finir d'évaluer le potentiel de Vitaly (Petrov). Une fois que ce sera fait, nous reviendrons vers vous'. Il n'y a rien eu d'autre."
"Depuis, je ne suis pas revenu vers eux parce que l'évaluation du potentiel de Vitaly n'est pas terminée. Je n'ai jamais utilisé les médias et je ne vois pas le bénéfice que l'on pourrait tirer de dire aux médias que Kimi est intéressé. Quel serait le but ?"
- On peut penser que cela pourrait attirer l'attention de potentiels partenaires qui verraient dans l'association d'un champion du monde et d'une des équipes de pointe le moyen de trouver une exposition avantageuse.
"Pour finir, les médias ont fait preuve d'un grand intérêt la semaine dernière. J'imagine que c'est simplement parce que qu'il n'y avait rien d'autre dans l'actualité. Et j'imagine que ça a agacé Kimi de voir tout cela dans la presse", a continué Boullier. "Mais je n'ai pas failli à ma parole et quand cela est devenu public je suis resté honnête et courtois. Oui, nous sommes flattés d'être contactés, je n'ai rien dit d'autre. Maintenant je pense qu'il est clair pour lui et pour moi que la discussion est terminée."
"Vous pouvez jouer avec les médias et jouer avec la pression mais il ne s'agit pas de cela ici"
Mais ce qui a le plus surpris Boullier c'est le ton employé par l'actuel pilote Citroën en WRC. "Pourquoi nous accuser de quoi que ce soit ?", s'interroge le Français. "Je n'irais jamais chercher les médias pour pour leur expliquer quelque chose comme cela. Nous n'avons fait que répondre aux questions. Même nous, ça nous a un peu perturbés que l'on ne parle que de cela."
"J'ai été honnête et clair avec tout le monde. Il n'était pas question d'entamer des discussions avant d'avoir pris une décision en ce qui concerne Vitaly", conclut le dirigeant. "L'idée était de dire que l'on suit pour l'instant Vitaly et que s'il ne fait pas l'affaire alors nous commencerions à chercher. Mais pourquoi discuter avant ? Vous pouvez jouer avec les médias et jouer avec la pression mais il ne s'agit pas de cela ici."
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Le retour de la fermeture de la Pitlane ?
>> Les douze patrons d’écurie vont discuter lors d’une réunion de la FOTA en Corée du Sud dans deux semaines d’un nouveau changement de la règle concernant la voiture de sécurité, ou plutôt un retour partiel à une ancienne règle.
- Par le passé, lors de l’entrée en piste de la voiture de sécurité, la voie des stands était fermée pendant un tour. Malheureusement si cela arrivait lorsqu’une voiture avait besoin de ravitailler en essence, le pilote recevait une pénalité pour cela. Anti-sportive, la règle fut alors abandonnée et la voie des stands reste depuis ouverte en permanence.
> Depuis l’interdiction des ravitaillements, ce problème de panne d’essence lors de la fin d’un relais n’existe plus. Les patrons des grandes équipes veulent donc refermer la voie des stands, cette fois pendant toute la période de voiture de sécurité, afin d’éviter la loterie que cela engendre.
- Les directeurs des plus petites équipes sont contre : la règle actuelle apporte du spectacle et permet parfois des résultats surprise pour ceux dont les voitures sont les moins rapides.
> L’unanimité étant nécessaire pour introduire ce changement dès 2011, ce qui sera difficile à obtenir, le changement ne sera certainement pas pour la saison prochaine. Sinon il faudra attendre 2012 : seule une majorité des voix des équipes est alors nécessaire puis une ratification par le Conseil Mondial de la FIA.
Source : Nextgen-auto.com
- Par le passé, lors de l’entrée en piste de la voiture de sécurité, la voie des stands était fermée pendant un tour. Malheureusement si cela arrivait lorsqu’une voiture avait besoin de ravitailler en essence, le pilote recevait une pénalité pour cela. Anti-sportive, la règle fut alors abandonnée et la voie des stands reste depuis ouverte en permanence.
> Depuis l’interdiction des ravitaillements, ce problème de panne d’essence lors de la fin d’un relais n’existe plus. Les patrons des grandes équipes veulent donc refermer la voie des stands, cette fois pendant toute la période de voiture de sécurité, afin d’éviter la loterie que cela engendre.
- Les directeurs des plus petites équipes sont contre : la règle actuelle apporte du spectacle et permet parfois des résultats surprise pour ceux dont les voitures sont les moins rapides.
> L’unanimité étant nécessaire pour introduire ce changement dès 2011, ce qui sera difficile à obtenir, le changement ne sera certainement pas pour la saison prochaine. Sinon il faudra attendre 2012 : seule une majorité des voix des équipes est alors nécessaire puis une ratification par le Conseil Mondial de la FIA.
Source : Nextgen-auto.com
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Renault F1 signe avec une Vodka russe
Renault F1 Team annonce un nouveau sponsor Russe : Vodka Flagman pour les quatre dernières courses de la saison 2010.
La société sera visible sur le nez de la Renault F30 et sur badge-board des pontons, ainsi que sur la combinaison de Vitaly Petrov (uniquement).
La société Flagman est née en 1998 et c’est établi parmi les marques de vodka leader du marché russe avec plus de trois millions de bouteilles vendus chaque année.
Ce sponsor devrait rapporter environ 400.000 euros à l’équipe Renault F1 Team.
http://www.tomorrownewsf1.com/renault-f1-signe-avec-une-vodka-russe-16325#comments
=>> Effectivement, on le voit avec ce vendeur de Vodka.. Que Renault a essayé de tout, pour attirer Raikkonen chez eux en 2011....
Ca a pas marché... Il boit pas cette marque là?? lol...
La société sera visible sur le nez de la Renault F30 et sur badge-board des pontons, ainsi que sur la combinaison de Vitaly Petrov (uniquement).
La société Flagman est née en 1998 et c’est établi parmi les marques de vodka leader du marché russe avec plus de trois millions de bouteilles vendus chaque année.
Ce sponsor devrait rapporter environ 400.000 euros à l’équipe Renault F1 Team.
http://www.tomorrownewsf1.com/renault-f1-signe-avec-une-vodka-russe-16325#comments
=>> Effectivement, on le voit avec ce vendeur de Vodka.. Que Renault a essayé de tout, pour attirer Raikkonen chez eux en 2011....
Ca a pas marché... Il boit pas cette marque là?? lol...
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GRAND-PRIX : Un petit nouveau dans les kiosques !
>> Découvert au hasard des rayons d’un kiosque à journaux à la fin de l’été, un nouveau magazine a fait son apparition. Il s’appelle Grand Prix, sans doute en hommage au célèbre magazine de Formule 1 des années 80.
- A l’inverse de la tendance actuelle, Grand Prix est très luxueux, avec une couverture rigide, presque un livre et pourtant pas trop cher (5,90 euros) comparé à certains mensuels. D’ailleurs on parle ici de Volume et non de Numéro.
Assez difficile en terme de magazine papier, je l’ai pris sans grande conviction et lorsque je l’ai ouvert, chez moi, ce fut une véritable révélation !
> Enfin un truc nouveau totalement aux antipodes des magazines actuels, avec de grandes photos, de longs textes, des sujets tournants autour de l’auto et de la course, bien entendu, mais pas uniquement. Il y a un voyage en Dakota DC3, la restauration d’une Porsche 911S 69 (la même que Steve McQueen), un essai de F1 et, surtout, une sublime interview d’Alain Prost sur AyrtonSenna, avec des photos que je n’avais jamais vues. l
- Tout cela sans oublier l’aventure de Jean-Paul Humbert qui crée des Matra MS630 dans son atelier de Romorantin, presque toute seul !
Un ton nouveau, décalés, des angles originaux et une maquette rigoureuse et simple. Après avoir pris contact avec l’éditeur, seulement 20 000 exemplaires ont été imprimés de ce bel album et la plupart ont été vendus.
Il en reste encore quelques dizaines de disponibles. (chèque de 6,90 euros à cape Editions, 19, rue Ledion 75014 Paris)
Le deuxième Volume sera en kiosque au cours des premiers jours de novembre. Dans cette période difficile de la presse papier, il semblait important de saluer cette initiative. Longue vie à Grand Prix !
Source : Leblogauto.com
- A l’inverse de la tendance actuelle, Grand Prix est très luxueux, avec une couverture rigide, presque un livre et pourtant pas trop cher (5,90 euros) comparé à certains mensuels. D’ailleurs on parle ici de Volume et non de Numéro.
Assez difficile en terme de magazine papier, je l’ai pris sans grande conviction et lorsque je l’ai ouvert, chez moi, ce fut une véritable révélation !
> Enfin un truc nouveau totalement aux antipodes des magazines actuels, avec de grandes photos, de longs textes, des sujets tournants autour de l’auto et de la course, bien entendu, mais pas uniquement. Il y a un voyage en Dakota DC3, la restauration d’une Porsche 911S 69 (la même que Steve McQueen), un essai de F1 et, surtout, une sublime interview d’Alain Prost sur AyrtonSenna, avec des photos que je n’avais jamais vues. l
- Tout cela sans oublier l’aventure de Jean-Paul Humbert qui crée des Matra MS630 dans son atelier de Romorantin, presque toute seul !
Un ton nouveau, décalés, des angles originaux et une maquette rigoureuse et simple. Après avoir pris contact avec l’éditeur, seulement 20 000 exemplaires ont été imprimés de ce bel album et la plupart ont été vendus.
Il en reste encore quelques dizaines de disponibles. (chèque de 6,90 euros à cape Editions, 19, rue Ledion 75014 Paris)
Le deuxième Volume sera en kiosque au cours des premiers jours de novembre. Dans cette période difficile de la presse papier, il semblait important de saluer cette initiative. Longue vie à Grand Prix !
Source : Leblogauto.com
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Re: Revue de presse : infos générales.
Visite du centre névralgique
Au cours d'un week-end, le directeur de course Charlie Whiting accumule les fonctions : il s'occupe de diriger l'événement, de vérifier que tout soit sûr, de mener la division technique de la F1 et, bien sûr, de donner le signal de départ. Le plus haut représentant de la FIA lors d'un Grand Prix est un homme très occupé.
Charlie, qui était le mécanicien en chef de l'écurie Brabham lorsque Bernie Ecclestone en était le patron, travaille pour la FIA depuis 1988. Sa responsabilité, c'est de s'assurer que tout se passe à la perfection au cours du week-end. Entre autres choses, il doit décider des changements de dernière minute à effectuer sur la piste, rencontrer les pilotes avant la course, et diriger l'équipe qui surveille l'action à partir du centre de contrôle.
Le centre de contrôle est une salle comptant une multitude d'écrans affichant les images captées par les caméras de la FOM (Formula One Management), mais aussi celles transmises par le personnel du circuit. La voiture de sécurité reçoit ses ordres d'ici, ainsi que la voiture médicale. Les instructions données aux commissaires de piste émanent du même endroit. Les messages affichés sur votre télé sont d'abord écrits par le directeur de course et ensuite affichés par les gens de FOM.
Mis à part Charlie Whiting, le centre de contrôle acceuille un observateur, un opérateur technique, le délégué médical et des responsables locaux. En tout, 15 à 20 personnes travaillent au centre.
Dans la salle voisine, les commissaires de course se tiennent prêts à évaluer les incidents sur la piste, à consulter les règlements et à imposer les pénalités si nécessaire. Dès qu'un message apparaît sur votre écran de télé, le centre de contrôle et la salle des commissaires s'activent tant qu'une décision n'a pas été prise. Cette année, un ancien pilote vient se joindre aux commissaires habituels. Alain Prost, Derek Warwick, Nigel Mansell, Alex Wurz, Damon Hill, Danny Sullivan et Johnny Herbert ont participé à l'exercice. Peu doutent du fait que la FIA profite de l'expérience et rend de meilleures décisions depuis.
La communication entre le centre de contrôle et le personnel aux abords de la piste est crucial. Le responsable doit s'assurer d'être en contact avec tous les postes à tout moment. De plus, avec l'approbation du directeur de course, il doit gérer les incidents de manière appropriée. Sachant que la langue peut représenter un problème supplémentaire, le rôle du responsable des communications prend d'autant plus d'importance.
En plus de surveiller les images transmises par la FOM et les caméras du circuit, le centre de contrôle garde un œil sur les signaux GPS montrant la position exacte des voitures, les communications radio entre les équipes et les cockpits, ainsi que la signalisation aux abords du circuit (c'est-à-dire les drapeaux agités par les commissaires de piste, les panneaux illuminés et les messages transmis aux pilotes).
Le directeur de course et les commissaires peuvent regarder de plus près tout incident qui survient en piste, et chacun peut décider si une enquête doit être lancée. Cependant, seuls les commissaires peuvent émettre des pénalités.
Parfois, la procédure est vivement critiquée. Nous pouvons citer en exemple l'incident du GP d'Europe, quand Lewis Hamilton a doublé la voiture de sécurité et n'a été pénalisé que beaucoup plus tard dans la course. La sanction n'a aucunement affecté le classement de Hamilton, au grand dam de Fernando Alonso, qui lui s'était retrouvé coincé derrière la voiture de sécurité alors que son rival filait devant. Alors, que s'est-il passé dans la salle des commissaires ?
Les images fournies par les caméras ne permettaient pas de déterminer clairement si Hamilton avait doublé la voiture de sécurité alors qu'il n'en avait plus le droit. Le centre de contrôle a alors demandé de voir les images enregistrées par l'hélicoptère. L'enquête a été démarrée au moment où ces images ont été reçues par les commissaires ; la pénalité a donc été tardive.
Dans un sport aussi compliqué que la F1, plus d'une chose peut sembler nébuleuse. Combien de fois avons-nous entendu une équipe dire qu'elle allait "vérifier avec Charlie" ? Le directeur de course peut donner son opinion, mais c'est aux commissaires de prendre une décision.
Pendant une enquête, et grâce à l'assistance d'un technicien qui leur est affecté, les commissaires ont accès à tout : télémétrie, communications radio de l'équipe, images captées par toutes les caméras disponibles (télé, voiture, hélicoptère), etc. Ce qu'ils veulent, ils le demandent. Une pénalité pourrait coûter un championnat, alors toute enquête doit être la plus juste possible et être appuyée par des preuves.
Chaque incident est vérifié un après l'autre, dans l'ordre chronologique. Tous les commissaires étudient un même incident ; la majorité des décisions sont unanimes. Certaines enquêtes sont plus approfondies que d'autres, ce qui explique qu'il y ait parfois des pénalités tardives.
Tout ce ballet au sein du centre de contrôle et dans la salle des commissaires a lieu pendant les essais libres, les qualifications et la course. Lors du Grand Prix, il faut gérer la tension, les demandes de clarification des équipes, la surveillance de l'épreuve, le personnel aux abords de la piste, les enquêtes et plus encore.
Habituellement, tout se passe très bien. Tellement bien que les tâches qu'accomplissent ces professionnels sont vite oubliés. Mais si les choses se compliquent, ils se retrouvent au cœur de la tempête.
© ESPN EMEA Ltd.
Personnellement, je trouve cet article très intéressant. Il nous montre que les choses ne sont pas aussi simples qu'on pourrait le penser et nous explique pourquoi les décisions nous semblent parfois trop longues à prendre.
Au cours d'un week-end, le directeur de course Charlie Whiting accumule les fonctions : il s'occupe de diriger l'événement, de vérifier que tout soit sûr, de mener la division technique de la F1 et, bien sûr, de donner le signal de départ. Le plus haut représentant de la FIA lors d'un Grand Prix est un homme très occupé.
Charlie, qui était le mécanicien en chef de l'écurie Brabham lorsque Bernie Ecclestone en était le patron, travaille pour la FIA depuis 1988. Sa responsabilité, c'est de s'assurer que tout se passe à la perfection au cours du week-end. Entre autres choses, il doit décider des changements de dernière minute à effectuer sur la piste, rencontrer les pilotes avant la course, et diriger l'équipe qui surveille l'action à partir du centre de contrôle.
Le centre de contrôle est une salle comptant une multitude d'écrans affichant les images captées par les caméras de la FOM (Formula One Management), mais aussi celles transmises par le personnel du circuit. La voiture de sécurité reçoit ses ordres d'ici, ainsi que la voiture médicale. Les instructions données aux commissaires de piste émanent du même endroit. Les messages affichés sur votre télé sont d'abord écrits par le directeur de course et ensuite affichés par les gens de FOM.
Mis à part Charlie Whiting, le centre de contrôle acceuille un observateur, un opérateur technique, le délégué médical et des responsables locaux. En tout, 15 à 20 personnes travaillent au centre.
Dans la salle voisine, les commissaires de course se tiennent prêts à évaluer les incidents sur la piste, à consulter les règlements et à imposer les pénalités si nécessaire. Dès qu'un message apparaît sur votre écran de télé, le centre de contrôle et la salle des commissaires s'activent tant qu'une décision n'a pas été prise. Cette année, un ancien pilote vient se joindre aux commissaires habituels. Alain Prost, Derek Warwick, Nigel Mansell, Alex Wurz, Damon Hill, Danny Sullivan et Johnny Herbert ont participé à l'exercice. Peu doutent du fait que la FIA profite de l'expérience et rend de meilleures décisions depuis.
La communication entre le centre de contrôle et le personnel aux abords de la piste est crucial. Le responsable doit s'assurer d'être en contact avec tous les postes à tout moment. De plus, avec l'approbation du directeur de course, il doit gérer les incidents de manière appropriée. Sachant que la langue peut représenter un problème supplémentaire, le rôle du responsable des communications prend d'autant plus d'importance.
En plus de surveiller les images transmises par la FOM et les caméras du circuit, le centre de contrôle garde un œil sur les signaux GPS montrant la position exacte des voitures, les communications radio entre les équipes et les cockpits, ainsi que la signalisation aux abords du circuit (c'est-à-dire les drapeaux agités par les commissaires de piste, les panneaux illuminés et les messages transmis aux pilotes).
Le directeur de course et les commissaires peuvent regarder de plus près tout incident qui survient en piste, et chacun peut décider si une enquête doit être lancée. Cependant, seuls les commissaires peuvent émettre des pénalités.
Parfois, la procédure est vivement critiquée. Nous pouvons citer en exemple l'incident du GP d'Europe, quand Lewis Hamilton a doublé la voiture de sécurité et n'a été pénalisé que beaucoup plus tard dans la course. La sanction n'a aucunement affecté le classement de Hamilton, au grand dam de Fernando Alonso, qui lui s'était retrouvé coincé derrière la voiture de sécurité alors que son rival filait devant. Alors, que s'est-il passé dans la salle des commissaires ?
Les images fournies par les caméras ne permettaient pas de déterminer clairement si Hamilton avait doublé la voiture de sécurité alors qu'il n'en avait plus le droit. Le centre de contrôle a alors demandé de voir les images enregistrées par l'hélicoptère. L'enquête a été démarrée au moment où ces images ont été reçues par les commissaires ; la pénalité a donc été tardive.
Dans un sport aussi compliqué que la F1, plus d'une chose peut sembler nébuleuse. Combien de fois avons-nous entendu une équipe dire qu'elle allait "vérifier avec Charlie" ? Le directeur de course peut donner son opinion, mais c'est aux commissaires de prendre une décision.
Pendant une enquête, et grâce à l'assistance d'un technicien qui leur est affecté, les commissaires ont accès à tout : télémétrie, communications radio de l'équipe, images captées par toutes les caméras disponibles (télé, voiture, hélicoptère), etc. Ce qu'ils veulent, ils le demandent. Une pénalité pourrait coûter un championnat, alors toute enquête doit être la plus juste possible et être appuyée par des preuves.
Chaque incident est vérifié un après l'autre, dans l'ordre chronologique. Tous les commissaires étudient un même incident ; la majorité des décisions sont unanimes. Certaines enquêtes sont plus approfondies que d'autres, ce qui explique qu'il y ait parfois des pénalités tardives.
Tout ce ballet au sein du centre de contrôle et dans la salle des commissaires a lieu pendant les essais libres, les qualifications et la course. Lors du Grand Prix, il faut gérer la tension, les demandes de clarification des équipes, la surveillance de l'épreuve, le personnel aux abords de la piste, les enquêtes et plus encore.
Habituellement, tout se passe très bien. Tellement bien que les tâches qu'accomplissent ces professionnels sont vite oubliés. Mais si les choses se compliquent, ils se retrouvent au cœur de la tempête.
© ESPN EMEA Ltd.
Personnellement, je trouve cet article très intéressant. Il nous montre que les choses ne sont pas aussi simples qu'on pourrait le penser et nous explique pourquoi les décisions nous semblent parfois trop longues à prendre.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
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Re: Revue de presse : infos générales.
McLaren a écrit:Deep purple a écrit:
C'est trop court de juger sur une seule saison, laissons le apprendre.
j'étais un fan de la première heures, des la F. Renault, mais là je suis surpris de son manque de compétitivité, et bien sur de ses résultats.
On l'attendait un peu plus sur l'asphalte, et malheureusement il n'a absolument rien à prouver, j'en suis le premier désolé !!
Tu est devenu moins fan quand il est passé en rouge?
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
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Re: Revue de presse : infos générales.
alessitalia a écrit:McLaren a écrit:Deep purple a écrit:
C'est trop court de juger sur une seule saison, laissons le apprendre.
j'étais un fan de la première heures, des la F. Renault, mais là je suis surpris de son manque de compétitivité, et bien sur de ses résultats.
On l'attendait un peu plus sur l'asphalte, et malheureusement il n'a absolument rien à prouver, j'en suis le premier désolé !!
Tu est devenu moins fan quand il est passé en rouge?
Bien évidemment j'aime bien l'homme et le pilote, même si décrié, il n'as besoin de personne pour gagner, pas comme schum ou la danseuse espagnole. Un vrais pilote charismatique.
Depuis la disaparition du Commandatore, et la prise du pouvoir de Todt et ses magnigance, je me suis vraiment détourné de ce team, qui pour moi à tant bafoué les valeurs sportives.
Mais bien avant Ron Dennis, j'ai toujours été fan de Mclaren du temps des Fitipaldi, Watson et cie.
Pour en revenir à Kimi, il à, à mon avis sous estimé le challenge !
Re: Revue de presse : infos générales.
McLaren a écrit:alessitalia a écrit:McLaren a écrit:Deep purple a écrit:
C'est trop court de juger sur une seule saison, laissons le apprendre.
j'étais un fan de la première heures, des la F. Renault, mais là je suis surpris de son manque de compétitivité, et bien sur de ses résultats.
On l'attendait un peu plus sur l'asphalte, et malheureusement il n'a absolument rien à prouver, j'en suis le premier désolé !!
Tu est devenu moins fan quand il est passé en rouge?
Bien évidemment j'aime bien l'homme et le pilote, même si décrié, il n'as besoin de personne pour gagner, pas comme schum ou la danseuse espagnole. Un vrais pilote charismatique.
Depuis la disaparition du Commandatore, et la prise du pouvoir de Todt et ses magnigance, je me suis vraiment détourné de ce team, qui pour moi à tant bafoué les valeurs sportives.
Mais bien avant Ron Dennis, j'ai toujours été fan de Mclaren du temps des Fitipaldi, Watson et cie.
Pour en revenir à Kimi, il à, à mon avis sous estimé le challenge !
Moi je suis un grand fan de la Scuderia comme vous pouvez le voir.
L'ecurie mclaren si on enlever la rivalité avec Ferrari j'aime pluto bien cet ecurie surtout son superbe passé et puis de superbe machine avec une deco que j'adore sur leur voiture et de grand pilote.
De toute façon Ferrari et mclaren sont les deux pilier de la F1 il n'y a pas a ch... il y a aussi Williams mais sa fait combien de temps que c'est plus tres bon apres peut etre qu'un pilier est en train de se construire en la presence de Red Bull certain diront mais non Red Bull c'est que du business etc moi je dit Red Bull c'est tout neuf et laissont leur ecrire leur histoire aussi mais je pense que cet equipe est en train de devenir grande.
alessitalia- Messages : 2699
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GP en Russie...il n'y a plus qu'à signer !
>> Selon le journal "Kommersant", les autorités russes et Bernie Ecclestone auraient enfin finalisé les termes d’un contrat pour l’organisation d’un Grand Prix de F1 près de la ville de Sotchi, celle qui accueillera les Jeux olympiques d’hiver en 2014.
"Le contrat n’a pas encore été signé, mais lorsque les bonnes personnes de Russie le signeront, je le signerai à mon tour le lendemain," déclare Bernie Ecclestone dans les colonnes de ce journal russe.
- Pour accueillir cette course, la Russie devra payer une "redevance" annuelle de 40 millions de dollars, soit le tarif que paye actuellement Singapour et Abu Dhabi par exemple.
"Il y a un compromis majeur dans ce contrat et ce devrait donc être une base pratique pour terminer les négociations," déclare un collaborateur de Dmitri Nikolaïevitch Kozak, vice-premier ministre de Russie et responsable de la préparation des Jeux olympiques d’hiver de 2014.
Source : Nextgen-auto.com
"Le contrat n’a pas encore été signé, mais lorsque les bonnes personnes de Russie le signeront, je le signerai à mon tour le lendemain," déclare Bernie Ecclestone dans les colonnes de ce journal russe.
- Pour accueillir cette course, la Russie devra payer une "redevance" annuelle de 40 millions de dollars, soit le tarif que paye actuellement Singapour et Abu Dhabi par exemple.
"Il y a un compromis majeur dans ce contrat et ce devrait donc être une base pratique pour terminer les négociations," déclare un collaborateur de Dmitri Nikolaïevitch Kozak, vice-premier ministre de Russie et responsable de la préparation des Jeux olympiques d’hiver de 2014.
Source : Nextgen-auto.com
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Ecclestone voudrait aider Porsche à entrer en F1...
>> Le constructeur allemand Porsche a exprimé récemment son désir de s’impliquer en F1 et Bernie Ecclestone a accueilli cette nouvelle avec un large sourire.
"Ca me semble absolument génial," déclare Bernie Ecclestone dans les colonnes du "Bild". "Si je peux faire quelque chose pour que cela arrive, je le ferai."
- Porsche est actuellement en phase d’absorption par le groupe Volkswagen et c’est donc cette société qui devrait prendre une décision concernant l’entrée éventuelle de Porsche en F1 au cours d’un conseil d’administration qui se tiendra au début du mois prochain.
"Je ne sais pas si Porsche viendra en F1, mais s’ils le font, mes félicitations à eux. Je ne peux que leur souhaiter le meilleur. S’ils ne viennent pas, ce serait dommage," déclare Norbert Haug, vice-président de Mercedes Motorsport.
Source : Nextgen-auto.com
"Ca me semble absolument génial," déclare Bernie Ecclestone dans les colonnes du "Bild". "Si je peux faire quelque chose pour que cela arrive, je le ferai."
- Porsche est actuellement en phase d’absorption par le groupe Volkswagen et c’est donc cette société qui devrait prendre une décision concernant l’entrée éventuelle de Porsche en F1 au cours d’un conseil d’administration qui se tiendra au début du mois prochain.
"Je ne sais pas si Porsche viendra en F1, mais s’ils le font, mes félicitations à eux. Je ne peux que leur souhaiter le meilleur. S’ils ne viennent pas, ce serait dommage," déclare Norbert Haug, vice-président de Mercedes Motorsport.
Source : Nextgen-auto.com
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Re: Revue de presse : infos générales.
Prost juge le club des cinq
Alain Prost a des idées bien arrêtées sur les profils de Mark Webber (Red Bull), Fernando Alonso (Ferrari), Lewis Hamilton (McLaren), Sebastian Vettel (Red Bull) et Jenson Button (McLaren). Entre erreurs à répétition et classe naturelle...
Alain Prost a perdu des championnats de toutes les façons. En s'inclinant face à un tricheur (Piquet en 1983), nanti d'un total supérieur au champion avant décompte des moins bons résultats (Lauda en 1984, Senna en 1988) ou tout simplement victime d'un règlement de compte (Senna en 1990). De même, il a triomphé dans des circonstances contrastées: avec la préférence de son patron (McLaren en 1985) ou sa défiance (McLaren en 1989), à l'arraché avec un matériel inférieur (contre Mansell, Senna et Piquet en 1986) ou une machine avec laquelle il ne pouvait échouer (1993). Bref, il reconnaît dans chacun des cinq candidats au titre 2010 un adversaire ou une attitude qu'il a connus. Econome de ses mots, rare sur les circuits, le Français de 55 ans livre un avis forcément pertinent samedi, dans l'Equipe Magazine.
En préambule de l'article, le Professeur qui a construit son palmarès sur un comportement sûr relève "beaucoup d'erreurs de pilotage". Plus particulièrement de la part de Lewis Hamilton dont il est "pourtant un fan". Pas plus tard qu'à Monza, dans les roues de Massa (Ferrari), l'impétueux de McLaren a commis "une vraie erreur." Le verbe mesuré dissimule une faute lourde. "Prostichon" souligne aussi le déchet de Sebastian Vettel (Red Bull) et Fernando Alonso (Ferrari). Vettel a ceci de commun avec Hamilton qu'il a débuté en F1 en 2007, alors qu'Alonso est arrivé en 2001. Le stratège qu'il était se plaît donc à souligner que Mark Webber "fait le moins d'erreur", avec Jenson Button.
Webber/Vettel loin de Prost/Senna
Quand on a sondé la psychologie des plus grands, de "l'ordinateur " Lauda à la flamboyance de l'écorché vif "Magic" Senna, en passant par les façons bourrues de "Big Nige", on lit rapidement l'actuel affrontement dans le prisme de la tactique. Voilà pourquoi Webber, besogneux parvenu à l'excellence, et Button, encore fraîchement couronné, "sont les plus tranquilles" aux yeux du Couramiaud. Aux antipodes de la pression que supportent Vettel et Alonso, parce que l'Allemand est le "chouchou" de Red Bull, parce que Ferrari est par définition sans répit. Une énigme quand même : le "très clame" Hamilton "commence à perdre ses nerfs"...
Il faut aussi remettre les réputations à leur place. Le quadruple champion du monde a incarné avec Senna le duel à son paroxysme, à coups de volant pas toujours subtiles dans le décor de Suzuka. En 1989 et 90, le Français et le Brésilien étaient champions du monde. Largement de quoi juger l'accrochage turc entre Webber et Vettel en dehors de cette lignée. "Un peu épisodique" ; "ça aurait pu être un fait de course", lâche-t-il. Simplement, les médias ont fait le reste, nourris par les antagonismes de l'équipe autrichienne, "des infos qui sortent d'un côté de l'écurie pour déstabiliser l'autre voiture." Et il sait que des ingénieurs peuvent presque en venir aux mains.
"Jenson est un super mec"
Dans sa carrière, Prost a aussi revendiqué une éthique. De fait, "c'était très choquant de voir Massa laisser passer Alonso au Grand Prix d'Allemagne". Choquant sur la forme mais pas le fond, parce qu'il réclame de "lever l'ambiguïté", qu'il estime que "la course d'équipe devrait être autorisée". Il est bien placé pour l'avoir vécu, "du bon côté" en 1984 et 1985, et du mauvais en 1989, saison "psychologiquement épouvantable" où il avait annoncé dès le début du mois de juillet son ralliement à Ferrari -ennemi juré de Ron Dennis-, qui n'a jamais officialisé son statu de N.2 malgré ses suppliques.
Finalement, entre les déchirements de Red Bull, l'aveuglement de la Scuderia pour son N.1 et le calme apparent de McLaren, ce dernier modèle aurait le plus de chances de réussir. Woking n'a pas forcément le meilleur management mais Button est un élément pondérateur. "Je peux vous dire que ça se passe réellement bien entre Lewis et Jenson. Après, combien de temps ça durera…", se demande t-il, en repensant à la complicité avec Senna qui avait fini par dégénérer. "Mais il faut dire que Jenson est un super mec", reprend t-il. L'avenir dira si ce sens plus poussé du collectif chez McLaren aboutira à des lauriers.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
Alain Prost a des idées bien arrêtées sur les profils de Mark Webber (Red Bull), Fernando Alonso (Ferrari), Lewis Hamilton (McLaren), Sebastian Vettel (Red Bull) et Jenson Button (McLaren). Entre erreurs à répétition et classe naturelle...
Alain Prost a perdu des championnats de toutes les façons. En s'inclinant face à un tricheur (Piquet en 1983), nanti d'un total supérieur au champion avant décompte des moins bons résultats (Lauda en 1984, Senna en 1988) ou tout simplement victime d'un règlement de compte (Senna en 1990). De même, il a triomphé dans des circonstances contrastées: avec la préférence de son patron (McLaren en 1985) ou sa défiance (McLaren en 1989), à l'arraché avec un matériel inférieur (contre Mansell, Senna et Piquet en 1986) ou une machine avec laquelle il ne pouvait échouer (1993). Bref, il reconnaît dans chacun des cinq candidats au titre 2010 un adversaire ou une attitude qu'il a connus. Econome de ses mots, rare sur les circuits, le Français de 55 ans livre un avis forcément pertinent samedi, dans l'Equipe Magazine.
En préambule de l'article, le Professeur qui a construit son palmarès sur un comportement sûr relève "beaucoup d'erreurs de pilotage". Plus particulièrement de la part de Lewis Hamilton dont il est "pourtant un fan". Pas plus tard qu'à Monza, dans les roues de Massa (Ferrari), l'impétueux de McLaren a commis "une vraie erreur." Le verbe mesuré dissimule une faute lourde. "Prostichon" souligne aussi le déchet de Sebastian Vettel (Red Bull) et Fernando Alonso (Ferrari). Vettel a ceci de commun avec Hamilton qu'il a débuté en F1 en 2007, alors qu'Alonso est arrivé en 2001. Le stratège qu'il était se plaît donc à souligner que Mark Webber "fait le moins d'erreur", avec Jenson Button.
Webber/Vettel loin de Prost/Senna
Quand on a sondé la psychologie des plus grands, de "l'ordinateur " Lauda à la flamboyance de l'écorché vif "Magic" Senna, en passant par les façons bourrues de "Big Nige", on lit rapidement l'actuel affrontement dans le prisme de la tactique. Voilà pourquoi Webber, besogneux parvenu à l'excellence, et Button, encore fraîchement couronné, "sont les plus tranquilles" aux yeux du Couramiaud. Aux antipodes de la pression que supportent Vettel et Alonso, parce que l'Allemand est le "chouchou" de Red Bull, parce que Ferrari est par définition sans répit. Une énigme quand même : le "très clame" Hamilton "commence à perdre ses nerfs"...
Il faut aussi remettre les réputations à leur place. Le quadruple champion du monde a incarné avec Senna le duel à son paroxysme, à coups de volant pas toujours subtiles dans le décor de Suzuka. En 1989 et 90, le Français et le Brésilien étaient champions du monde. Largement de quoi juger l'accrochage turc entre Webber et Vettel en dehors de cette lignée. "Un peu épisodique" ; "ça aurait pu être un fait de course", lâche-t-il. Simplement, les médias ont fait le reste, nourris par les antagonismes de l'équipe autrichienne, "des infos qui sortent d'un côté de l'écurie pour déstabiliser l'autre voiture." Et il sait que des ingénieurs peuvent presque en venir aux mains.
"Jenson est un super mec"
Dans sa carrière, Prost a aussi revendiqué une éthique. De fait, "c'était très choquant de voir Massa laisser passer Alonso au Grand Prix d'Allemagne". Choquant sur la forme mais pas le fond, parce qu'il réclame de "lever l'ambiguïté", qu'il estime que "la course d'équipe devrait être autorisée". Il est bien placé pour l'avoir vécu, "du bon côté" en 1984 et 1985, et du mauvais en 1989, saison "psychologiquement épouvantable" où il avait annoncé dès le début du mois de juillet son ralliement à Ferrari -ennemi juré de Ron Dennis-, qui n'a jamais officialisé son statu de N.2 malgré ses suppliques.
Finalement, entre les déchirements de Red Bull, l'aveuglement de la Scuderia pour son N.1 et le calme apparent de McLaren, ce dernier modèle aurait le plus de chances de réussir. Woking n'a pas forcément le meilleur management mais Button est un élément pondérateur. "Je peux vous dire que ça se passe réellement bien entre Lewis et Jenson. Après, combien de temps ça durera…", se demande t-il, en repensant à la complicité avec Senna qui avait fini par dégénérer. "Mais il faut dire que Jenson est un super mec", reprend t-il. L'avenir dira si ce sens plus poussé du collectif chez McLaren aboutira à des lauriers.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
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