Revue de presse : infos générales.
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Re: Revue de presse : infos générales.
A suivre sans nul doute:
Le prochain Auto hebdo de 100 pages, en sortie ce prochain mercredi: Compile de la saison et l'intégrale des BD de Fizman!
Cela ne se rate pas!
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TROIKA- Messages : 5922
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 65
Localisation : La Hulpe
Re: Revue de presse : infos générales.
TROIKA a écrit:A suivre sans nul doute:
Le prochain Auto hebdo de 100 pages, en sortie ce prochain mercredi: Compile de la saison et l'intégrale des BD de Fizman!
Cela ne se rate pas!
ouiaps!!!
moiu aussi je l'attends avec impatience
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Tout sur la F1 2011
ToileF1.com vous présente son dossier sur la saison 2011 de Formule 1 afin de rester pleinement informé sur l’évolution de la F1. Ce dossier comprend une partie sur le marché des transferts, qui sera tenue à jour.
Il contient également une section sur le calendrier 2011 de Formule 1 et les principaux changements qui interviendront au règlement technique de F1 la saison prochaine.
Transferts F1 2011
Calendrier F1 2011
Calendrier F1 Essais Privés 2011
Calendrier F1 Présentation des nouvelles F1 2011
Pneumatiques F1 2011
Règlement technique 2011
Transferts pour la saison 2011 :
Cette année plus tôt que d’habitude, la majorité des grandes équipes a annoncé son line-up 2011 au courant de l’été, en jouant la stabilité. Si aucune nouvelle écurie ne fera son apparition la saison prochaine, plusieurs envisagent à court ou moyen terme des partenariats avec certains motoristes.
Du côté des pilotes, plusieurs d’entre eux, peu convaincants cette saison 2010, pourraient laisser leur place à de nouveaux venus ou tout simplement s’échanger leur baquet. L’occasion pour ToileF1.com de faire le point sur le marché des transferts, qui sera mis à jour en temps et en heure.
McLaren Mercedes :
On voit mal Lewis Hamilton quitter le navire. Il poursuivra donc l’aventure avec l’écurie de son cœur, tout comme son compatriote Jenson Button arrivé à l’intersaison. En attendant une éventuelle arrivée de Sebastian Vettel en 2013 ? Le team principal de McLaren Mercedes, Martin Whitmarsh, a déjà indiqué que son équipe essayera d’engager le pilote allemand quand son contrat se terminera fin 2012.
Mercedes GP :
Ayant marqué près du double des points de son illustre équipier, Nico Rosberg aura toujours la confiance du team principal Ross Brawn la saison prochaine. Plus critiqué, Michael Schumacher, sous contrat pour trois ans, conservera son baquet pour une seconde saison chez Mercedes GP. Nul doute qu’il aura à cœur de se refaire d’une saison 2010 assez décevante.
Red Bull Racing-Renault :
On ne change pas une équipe qui gagne et c’est bien pour cela que la firme autrichienne accordera sa confiance une saison supplémentaire à Sebastian Vettel (sous contrat jusqu’à fin 2012) et Mark Webber (sous contrat jusqu’à fin 2011). L’écurie autrichienne, qui a resigné avec Renault jusqu’en 2012, devra défendre ses deux titres mondiaux l’an prochain !
Ferrari :
L’arrivée de Fernando Alonso au sein de Ferrari a tenu toutes ses promesses, projetant à nouveau les monoplaces rouges sur le devant de la scène, malgré leur échec - suite à une erreur stratégique - en fin de saison. L’Espagnol sera bien de la partie en 2011, de même que Felipe Massa. Ferrari jouera donc la carte de la continuité, avec le futur de Maranello se conjuguant autour de Fernando Alonso. Son contrat s’achève en 2012 avec deux années supplémentaires en option.
Williams-Cosworth :
Au niveau du moteur tout d’abord, il était un temps question que Williams s’associe à Renault pour la fourniture des moteurs, mais Sir Frank Williams a préféré conserver le Cosworth.
En ce qui concerne les pilotes, l’équipe alignera l’expérimenté Rubens Barrichello et le débutant Pastor Maldonado en 2011. La venue du pilote vénézuélien en lieu et place de Nico Hülkenberg n’est guère surprenante étant donné que Williams a cruellement besoin d’argent. Pastor Maldonado arriverait à Grove avec une valise de 12 à 15 millions d’euros.
Lotus Renault GP :
L’équipe Lotus Renault GP a choisi la continuité au niveau de ses pilotes en 2011. Robert Kubica a prolongé son contrat de deux ans au courant de l’été, mettant ainsi fin aux spéculations qui le rapprochaient de Ferrari et du baquet de Felipe Massa. Après de longs mois de discussions quant à sa reconduction, Vitaly Petrov (et les millions d’euros de sponsoring qu’il peut susciter en Russie) a également finalement convaincu ses employeurs de lui faire confiance pour deux années supplémentaires.
Le seul changement l’an prochain pour l’écurie basée à Enstone réside dans son capital. Renault a décidé de vendre les dernières parts de son équipe, se retirant ainsi de la Formule 1 comme constructeur pour ne plus y rester qu’en tant que motoriste. L’écurie, renommée Lotus Renault GP pour au moins jusqu’à fin 2012, appartient désormais à la société luxembourgeoise Genii Capital et au constructeur automobile malaisien Group Lotus. Tous deux possèdent 50% des parts. L’arrivée de Lotus est un gage de stabilité pour l’équipe puisque le constructeur restera au moins sept ans à Enstone.
Force India-Mercedes :
Force India n’a toujours pas officialisé le moindre pilote mais Adrian Sutil aurait d’ores et déjà prolongé l’aventure avec l’écurie indienne. Le second baquet semble en revanche acquis au pilote de réserve Paul di Resta, soutenu par Mercedes et en lice à l’heure actuelle pour devenir le champion du monde de DTM. Dans une telle situation, l’avenir de Vitantonio Liuzzi en Formule 1 paraît fort incertain. Toutefois, l’arrivée en Formule 1 de Paul di Resta pourrait également être retardée à 2012. Affaire à suivre...
Toro Rosso-Ferrari :
Toro Rosso poursuivra avec le même duo de pilotes la saison prochaine, sauf changement de dernière minute. Cela peut toujours arriver de nos jours en Formule 1, tant les contrats ne valent plus grand-chose. Les évictions de Sébastien Bourdais en cours de saison en 2009 et de Kimi Räikkönen une année avant la fin de son contrat l’ont bien montré.
Team Lotus-Renault :
Beaucoup de changements interviendront l’an prochain au sein de l’équipe Lotus, qui reprendra d’ailleurs le nom de Team Lotus, la célèbre écurie de Colin Chapman. L’équipe sera en outre motorisée par Renault et utilisera la transmission développée par Red Bull Racing. Du côté des pilotes, Team Lotus devrait reconduire sa confiance envers Jarno Trulli et Heikki Kovalainen pour une seconde saison.
HRT-Cosworth :
Avant de spéculer sur les pilotes de l’équipe HRT pour 2011, encore faut-il savoir si l’écurie espagnole sera toujours sur les grilles de départ l’an prochain. Même en admettant que oui, bien malin qui pourrait prédire quel serait son line-up tant les choix de HRT ont été des plus étranges cette saison.
Rappelez-vous la mystérieuse intoxication alimentaire dont a été victime Sakon Yamamoto à la veille du Grand Prix de Singapour ! Il avait été remplacé au pied levé par l’expérimenté Christian Klien. Deviner les pilotes de HRT est donc une tâche difficile. Seule certitude, il devrait s’agir de deux pilotes payants tant les finances de l’équipe espagnole sont délicates.
Williams ayant accordé sa préférence à Pastor Maldonado, Giedo van der Garde et ses millions d’euros pourraient rejoindre le navire ibérique bancal en 2011. Pedro de la Rosa pourrait également voir en HRT le moyen de poursuivre sa carrière en Formule 1, mais l’Espagnol doit amener 10 millions d’euros de sponsoring. Bruno Senna, Christian Klien ou encore Davide Valsecchi sont également des candidats potentiels.
HRT doit d’ailleurs encore se trouver une monoplace pour 2011. Difficile d’aligner des pilotes sans voiture... et Toyota a mis un terme à la vente de son châssis qui avait été conçu pour 2010. Niveau moteur, le contrat avec Cosworth court jusqu’à fin 2012.
Marussia Virgin Racing-Cosworth :
Marussia Virgin Racing est la première des nouvelles équipes à avoir confirmé son line-up complet quelques jours avant Noël. Si la présence de Timo Glock ne faisait aucun doute, l’écurie a titularisé Jérôme d’Ambrosio après des mois de négociations. Il s’agira du premier pilote belge en Formule 1 depuis Philippe Adams et sa Lotus Mugen en 1994.
Sauber-Ferrari :
Après un début de saison 2010 très difficile suite au départ de BMW de la Formule 1, l’équipe Sauber voit à présent l’avenir avec beaucoup plus d’optimisme. Elle a d’ores et déjà confirmé Kamui Kobayashi et Sergio Perez pour 2011. Le pilote mexicain n’arrivera d’ailleurs pas les mains vides à Hinwil, qui dispose de très bonnes infrastructures grâce aux investissements réalisés par BMW ces dernières années.
La compagnie mexicaine de télécommunications Telmex deviendra le sponsor principal de l’écurie l’an prochain. Il s’agit de l’entreprise qui appartient à l’homme le plus riche de la planète, Carlos Slim, qui soutient la carrière de Sergio Perez en sport automobile. Carlos Slim lui-même avait d’ailleurs longtemps été cité comme un acheteur potentiel de l’équipe suisse, mais Peter Sauber a écarté toute vente de son écurie.
Calendrier F1 2011 :
La FIA a publié le calendrier définitif du championnat du monde 2011 de Formule 1. Il s’agira de la saison la plus longue de l’histoire de la catégorie reine du sport automobile.
En effet, pas moins de 20 Grands Prix auront lieu l’an prochain puisque l’Inde fait comme prévu son entrée au calendrier. Le circuit doit cependant encore être homologué par la FIA, tout comme celui de Shanghai qui a été prié d’apporter des modifications à sa piste.
Par ailleurs, la principale modification concerne la manche finale de la saison 2011, puisque le Brésil retrouvera sa position de dernière course au détriment d’Abu Dhabi. Si la saison s’ouvrira bien de nouveau à Bahreïn le 13 mars 2011, sur le tracé d’origine de Sakhir, contrairement à 2010, on jouera les prolongations presqu’en hiver puisque Interlagos n’aura lieu que le 27 novembre.
Pour le reste, la trêve du mois d’août est conservée, toujours entre la Hongrie et la Belgique, qui accueillera la Formule 1 le 28 août 2011 sur le toboggan des Ardennes de Spa-Francorchamps.
Calendrier f1 2011 POS. DATE GRAND PRIX TOURS DISTANCE
1 13/03/2011 Bahreïn 49 308,651
2 27/03/2011 Australie 58 307,574
3 10/04/2011 Malaisie 56 310,408
4 17/04/2011 Chine 56 305,256
5 08/05/2011 Turquie 58 309.604
6 22/05/2011 Espagne 66 307,230
7 29/05/2011 Monaco 78 260,520
8 12/06/2011 Canada 70 305,270
9 26/06/2011 Europe (Valence) 57 308,883
10 10/07/2011 Grande Bretagne 60 308,460
11 24/07/2011 Allemagne 60 308.880
12 31/07/2011 Hongrie 70 306,670
13 28/08/2011 Belgique 44 308,176
14 11/09/2011 Italie 53 307,209
15 25/09/2011 Singapour 61 309,453
16 09/10/2011 Japon 53 307,771
17 16/10/2011 Corée du Sud 55 309,155
18 30/10/2011 Inde Inconnu Inconnu
19 13/11/2011 Abu Dhabi 55 305,470
20 27/11/2011 Brésil 71 305,939
Calendrier F1 Essais Privés 2011 :
Quatre sessions d’essais privés auront lieu début 2011 pour préparer la nouvelle saison de Formule 1. Ces essais hivernaux seront répartis en une session de trois jours et trois sessions de quatre jours d’essais. Les trois premiers tests auront lieu sur les circuits espagnols de Valence, Jerez et Barcelone. La Formule 1 s’en volera ensuite pour Bahreïn pour les derniers préparatifs avant le coup d’envoi de la saison, donné à Sakhir, le 13 mars.
Calendrier f1 2011 DU AU CIRCUIT JOURS D'ESSAIS
01/02/2011 03/03/2011 Valence 3
10/02/2011 13/02/2011 Jerez 4
18/02/2011 21/02/2011 Barcelone 4
03/03/2011 06/03/2011 Bahreïn 4
Calendrier F1 Présentation des nouvelles F1 2011
Actuellement, seules deux équipes ont confirmé la date de présentation de leur nouvelle monoplace de Formule 1 pour la saison 2011. Il s’agit de Sauber et Toro Rosso. Ferrari a par ailleurs confirmé qu’elle présentera sa nouvelle voiture durant la dernière semaine de janvier. La majeure partie des équipes devrait de toute façon aligner leur nouvelle F1 pour la première session d’essais privés à Valence, qui aura lieu du 1er au 3 février.
Calendrier f1 2011 DATE EQUIPE MONOPLACE
31/01/2011 Sauber-Ferrari C30
01/02/2011 Toro Rosso-Ferrari STR6
Pneumatiques :
Après 14 saisons consécutives passées en Formule 1, les quatre dernières comme manufacturier unique de pneumatiques, Bridgestone a tiré sa révérence lors du Grand Prix d’Abu Dhabi de 2010. Sur les neuf manufacturiers de pneus qu’a compté la F1 en 60 ans d’existence, l’entreprise nippone restera celle avec l’un des meilleurs palmarès.
Pirelli sera le prochain manufacturier unique, pour une période de trois ans, à partir de 2011. Les gommes italiennes effectueront leur grand retour en Formule 1 pour la première fois depuis le Grand Prix d’Australie 1991. Les deux premières journées officielles d’essais privés de Pirelli à Abu Dhabi se sont d’ailleurs bien passées, rencontrant la satisfaction générale des équipes et des pilotes.
Principales modifications apportées au règlement technique 2011 de F1 :
La saison 2011 de Formule 1 sera marquée par de profonds changements de réglementation sur le plan technique. Selon le team principal de McLaren Mercedes, Martin Whitmarsh, cette nouvelle saison sera encore plus ouverte que la précédente et l’innovation technique sera primordiale pour se hisser aux avant-postes.
Retour du Kinetic Energy Recovery System (KERS) :
Le KERS effectuera son grand retour en 2011. Il n’était pas interdit en 2010 mais l’Association des Equipes de Formule 1 (FOTA) avait décidé majoritairement de ne pas l’utiliser. La FOTA avait ensuite convenu de sa réutilisation pour la saison prochaine en alignant un KERS moins onéreux.
En outre, le poids des monoplaces de Formule 1 passera de 620 à 640 kg pour compenser l’handicap du poids du KERS sur les lests. A l’inverse de 2009, la majorité des équipes du plateau devrait l’utiliser afin de ne pas avoir une F1 à deux vitesses. De plus, toutes les écuries utiliseront un KERS à batterie, Williams ayant laissé tomber son KERS à volant d’inertie.
Introduction d’un aileron arrière ajustable :
Afin d’améliorer les opportunités de dépassement lors des Grands Prix, la FIA a décidé d’introduire un aileron arrière ajustable. Pour que ce dispositif soit efficace, seul le pilote rattrapant un concurrent pourra modifier son aileron arrière quand il sera à moins d’une seconde de la voiture qui le précède. Tout sera géré par le système électronique.
Le système sera activé après le deuxième tour de course et sera désactivé au freinage. Afin de maximiser l’effet de ce dispositif, la FIA a précisé qu’elle "pourra, après avoir consulté tous les participants, ajuster la proximité autorisée".
Par le passé, lorsqu’elle était encore en Formule 1, l’équipe Honda avait testé un tel dispositif selon Jacky Eeckelaert, qui travaillait à l’époque pour l’écurie japonaise. Le résultat avait été concluant.
Bannissement du F-duct :
L’ingénieux système mis au point par McLaren Mercedes sera interdit en 2011. Son activation durant les Grands Prix nécessite l’intervention du pilote au travers de sa jambe, comme pour les pilotes McLaren Mercedes, ou même de sa main, comme pour les pilotes Renault. La FIA a donc décidé de l’interdire face au danger potentiel qu’il pourrait causer en distrayant le pilote.
"A l’exception des parties nécessaires aux ailerons ajustables, tout système, dispositif ou procédure qui nécessite l’intervention du pilote afin d’altérer les caractéristiques aérodynamiques de la voiture est interdit à partir de 2011," a indiqué la FIA à propos de la réglementation de 2011.
Bannissement du double diffuseur :
Le double diffuseur aura fait couler beaucoup d’encre depuis son apparition lors des essais hivernaux de 2009, rendant caduque la nouvelle réglementation de l’époque visant à réduire l’importance des appuis pour faciliter les dépassements. La FOTA a donc décidé – un peu tard – de l’interdire à partir de 2011, une proposition acceptée par la FIA. Ce bannissement devrait se traduire par une perte d’appui importante pour les monoplaces.
Source : toilef1.com
ToileF1.com vous présente son dossier sur la saison 2011 de Formule 1 afin de rester pleinement informé sur l’évolution de la F1. Ce dossier comprend une partie sur le marché des transferts, qui sera tenue à jour.
Il contient également une section sur le calendrier 2011 de Formule 1 et les principaux changements qui interviendront au règlement technique de F1 la saison prochaine.
Transferts F1 2011
Calendrier F1 2011
Calendrier F1 Essais Privés 2011
Calendrier F1 Présentation des nouvelles F1 2011
Pneumatiques F1 2011
Règlement technique 2011
Transferts pour la saison 2011 :
Cette année plus tôt que d’habitude, la majorité des grandes équipes a annoncé son line-up 2011 au courant de l’été, en jouant la stabilité. Si aucune nouvelle écurie ne fera son apparition la saison prochaine, plusieurs envisagent à court ou moyen terme des partenariats avec certains motoristes.
Du côté des pilotes, plusieurs d’entre eux, peu convaincants cette saison 2010, pourraient laisser leur place à de nouveaux venus ou tout simplement s’échanger leur baquet. L’occasion pour ToileF1.com de faire le point sur le marché des transferts, qui sera mis à jour en temps et en heure.
McLaren Mercedes :
On voit mal Lewis Hamilton quitter le navire. Il poursuivra donc l’aventure avec l’écurie de son cœur, tout comme son compatriote Jenson Button arrivé à l’intersaison. En attendant une éventuelle arrivée de Sebastian Vettel en 2013 ? Le team principal de McLaren Mercedes, Martin Whitmarsh, a déjà indiqué que son équipe essayera d’engager le pilote allemand quand son contrat se terminera fin 2012.
Mercedes GP :
Ayant marqué près du double des points de son illustre équipier, Nico Rosberg aura toujours la confiance du team principal Ross Brawn la saison prochaine. Plus critiqué, Michael Schumacher, sous contrat pour trois ans, conservera son baquet pour une seconde saison chez Mercedes GP. Nul doute qu’il aura à cœur de se refaire d’une saison 2010 assez décevante.
Red Bull Racing-Renault :
On ne change pas une équipe qui gagne et c’est bien pour cela que la firme autrichienne accordera sa confiance une saison supplémentaire à Sebastian Vettel (sous contrat jusqu’à fin 2012) et Mark Webber (sous contrat jusqu’à fin 2011). L’écurie autrichienne, qui a resigné avec Renault jusqu’en 2012, devra défendre ses deux titres mondiaux l’an prochain !
Ferrari :
L’arrivée de Fernando Alonso au sein de Ferrari a tenu toutes ses promesses, projetant à nouveau les monoplaces rouges sur le devant de la scène, malgré leur échec - suite à une erreur stratégique - en fin de saison. L’Espagnol sera bien de la partie en 2011, de même que Felipe Massa. Ferrari jouera donc la carte de la continuité, avec le futur de Maranello se conjuguant autour de Fernando Alonso. Son contrat s’achève en 2012 avec deux années supplémentaires en option.
Williams-Cosworth :
Au niveau du moteur tout d’abord, il était un temps question que Williams s’associe à Renault pour la fourniture des moteurs, mais Sir Frank Williams a préféré conserver le Cosworth.
En ce qui concerne les pilotes, l’équipe alignera l’expérimenté Rubens Barrichello et le débutant Pastor Maldonado en 2011. La venue du pilote vénézuélien en lieu et place de Nico Hülkenberg n’est guère surprenante étant donné que Williams a cruellement besoin d’argent. Pastor Maldonado arriverait à Grove avec une valise de 12 à 15 millions d’euros.
Lotus Renault GP :
L’équipe Lotus Renault GP a choisi la continuité au niveau de ses pilotes en 2011. Robert Kubica a prolongé son contrat de deux ans au courant de l’été, mettant ainsi fin aux spéculations qui le rapprochaient de Ferrari et du baquet de Felipe Massa. Après de longs mois de discussions quant à sa reconduction, Vitaly Petrov (et les millions d’euros de sponsoring qu’il peut susciter en Russie) a également finalement convaincu ses employeurs de lui faire confiance pour deux années supplémentaires.
Le seul changement l’an prochain pour l’écurie basée à Enstone réside dans son capital. Renault a décidé de vendre les dernières parts de son équipe, se retirant ainsi de la Formule 1 comme constructeur pour ne plus y rester qu’en tant que motoriste. L’écurie, renommée Lotus Renault GP pour au moins jusqu’à fin 2012, appartient désormais à la société luxembourgeoise Genii Capital et au constructeur automobile malaisien Group Lotus. Tous deux possèdent 50% des parts. L’arrivée de Lotus est un gage de stabilité pour l’équipe puisque le constructeur restera au moins sept ans à Enstone.
Force India-Mercedes :
Force India n’a toujours pas officialisé le moindre pilote mais Adrian Sutil aurait d’ores et déjà prolongé l’aventure avec l’écurie indienne. Le second baquet semble en revanche acquis au pilote de réserve Paul di Resta, soutenu par Mercedes et en lice à l’heure actuelle pour devenir le champion du monde de DTM. Dans une telle situation, l’avenir de Vitantonio Liuzzi en Formule 1 paraît fort incertain. Toutefois, l’arrivée en Formule 1 de Paul di Resta pourrait également être retardée à 2012. Affaire à suivre...
Toro Rosso-Ferrari :
Toro Rosso poursuivra avec le même duo de pilotes la saison prochaine, sauf changement de dernière minute. Cela peut toujours arriver de nos jours en Formule 1, tant les contrats ne valent plus grand-chose. Les évictions de Sébastien Bourdais en cours de saison en 2009 et de Kimi Räikkönen une année avant la fin de son contrat l’ont bien montré.
Team Lotus-Renault :
Beaucoup de changements interviendront l’an prochain au sein de l’équipe Lotus, qui reprendra d’ailleurs le nom de Team Lotus, la célèbre écurie de Colin Chapman. L’équipe sera en outre motorisée par Renault et utilisera la transmission développée par Red Bull Racing. Du côté des pilotes, Team Lotus devrait reconduire sa confiance envers Jarno Trulli et Heikki Kovalainen pour une seconde saison.
HRT-Cosworth :
Avant de spéculer sur les pilotes de l’équipe HRT pour 2011, encore faut-il savoir si l’écurie espagnole sera toujours sur les grilles de départ l’an prochain. Même en admettant que oui, bien malin qui pourrait prédire quel serait son line-up tant les choix de HRT ont été des plus étranges cette saison.
Rappelez-vous la mystérieuse intoxication alimentaire dont a été victime Sakon Yamamoto à la veille du Grand Prix de Singapour ! Il avait été remplacé au pied levé par l’expérimenté Christian Klien. Deviner les pilotes de HRT est donc une tâche difficile. Seule certitude, il devrait s’agir de deux pilotes payants tant les finances de l’équipe espagnole sont délicates.
Williams ayant accordé sa préférence à Pastor Maldonado, Giedo van der Garde et ses millions d’euros pourraient rejoindre le navire ibérique bancal en 2011. Pedro de la Rosa pourrait également voir en HRT le moyen de poursuivre sa carrière en Formule 1, mais l’Espagnol doit amener 10 millions d’euros de sponsoring. Bruno Senna, Christian Klien ou encore Davide Valsecchi sont également des candidats potentiels.
HRT doit d’ailleurs encore se trouver une monoplace pour 2011. Difficile d’aligner des pilotes sans voiture... et Toyota a mis un terme à la vente de son châssis qui avait été conçu pour 2010. Niveau moteur, le contrat avec Cosworth court jusqu’à fin 2012.
Marussia Virgin Racing-Cosworth :
Marussia Virgin Racing est la première des nouvelles équipes à avoir confirmé son line-up complet quelques jours avant Noël. Si la présence de Timo Glock ne faisait aucun doute, l’écurie a titularisé Jérôme d’Ambrosio après des mois de négociations. Il s’agira du premier pilote belge en Formule 1 depuis Philippe Adams et sa Lotus Mugen en 1994.
Sauber-Ferrari :
Après un début de saison 2010 très difficile suite au départ de BMW de la Formule 1, l’équipe Sauber voit à présent l’avenir avec beaucoup plus d’optimisme. Elle a d’ores et déjà confirmé Kamui Kobayashi et Sergio Perez pour 2011. Le pilote mexicain n’arrivera d’ailleurs pas les mains vides à Hinwil, qui dispose de très bonnes infrastructures grâce aux investissements réalisés par BMW ces dernières années.
La compagnie mexicaine de télécommunications Telmex deviendra le sponsor principal de l’écurie l’an prochain. Il s’agit de l’entreprise qui appartient à l’homme le plus riche de la planète, Carlos Slim, qui soutient la carrière de Sergio Perez en sport automobile. Carlos Slim lui-même avait d’ailleurs longtemps été cité comme un acheteur potentiel de l’équipe suisse, mais Peter Sauber a écarté toute vente de son écurie.
Calendrier F1 2011 :
La FIA a publié le calendrier définitif du championnat du monde 2011 de Formule 1. Il s’agira de la saison la plus longue de l’histoire de la catégorie reine du sport automobile.
En effet, pas moins de 20 Grands Prix auront lieu l’an prochain puisque l’Inde fait comme prévu son entrée au calendrier. Le circuit doit cependant encore être homologué par la FIA, tout comme celui de Shanghai qui a été prié d’apporter des modifications à sa piste.
Par ailleurs, la principale modification concerne la manche finale de la saison 2011, puisque le Brésil retrouvera sa position de dernière course au détriment d’Abu Dhabi. Si la saison s’ouvrira bien de nouveau à Bahreïn le 13 mars 2011, sur le tracé d’origine de Sakhir, contrairement à 2010, on jouera les prolongations presqu’en hiver puisque Interlagos n’aura lieu que le 27 novembre.
Pour le reste, la trêve du mois d’août est conservée, toujours entre la Hongrie et la Belgique, qui accueillera la Formule 1 le 28 août 2011 sur le toboggan des Ardennes de Spa-Francorchamps.
Calendrier f1 2011 POS. DATE GRAND PRIX TOURS DISTANCE
1 13/03/2011 Bahreïn 49 308,651
2 27/03/2011 Australie 58 307,574
3 10/04/2011 Malaisie 56 310,408
4 17/04/2011 Chine 56 305,256
5 08/05/2011 Turquie 58 309.604
6 22/05/2011 Espagne 66 307,230
7 29/05/2011 Monaco 78 260,520
8 12/06/2011 Canada 70 305,270
9 26/06/2011 Europe (Valence) 57 308,883
10 10/07/2011 Grande Bretagne 60 308,460
11 24/07/2011 Allemagne 60 308.880
12 31/07/2011 Hongrie 70 306,670
13 28/08/2011 Belgique 44 308,176
14 11/09/2011 Italie 53 307,209
15 25/09/2011 Singapour 61 309,453
16 09/10/2011 Japon 53 307,771
17 16/10/2011 Corée du Sud 55 309,155
18 30/10/2011 Inde Inconnu Inconnu
19 13/11/2011 Abu Dhabi 55 305,470
20 27/11/2011 Brésil 71 305,939
Calendrier F1 Essais Privés 2011 :
Quatre sessions d’essais privés auront lieu début 2011 pour préparer la nouvelle saison de Formule 1. Ces essais hivernaux seront répartis en une session de trois jours et trois sessions de quatre jours d’essais. Les trois premiers tests auront lieu sur les circuits espagnols de Valence, Jerez et Barcelone. La Formule 1 s’en volera ensuite pour Bahreïn pour les derniers préparatifs avant le coup d’envoi de la saison, donné à Sakhir, le 13 mars.
Calendrier f1 2011 DU AU CIRCUIT JOURS D'ESSAIS
01/02/2011 03/03/2011 Valence 3
10/02/2011 13/02/2011 Jerez 4
18/02/2011 21/02/2011 Barcelone 4
03/03/2011 06/03/2011 Bahreïn 4
Calendrier F1 Présentation des nouvelles F1 2011
Actuellement, seules deux équipes ont confirmé la date de présentation de leur nouvelle monoplace de Formule 1 pour la saison 2011. Il s’agit de Sauber et Toro Rosso. Ferrari a par ailleurs confirmé qu’elle présentera sa nouvelle voiture durant la dernière semaine de janvier. La majeure partie des équipes devrait de toute façon aligner leur nouvelle F1 pour la première session d’essais privés à Valence, qui aura lieu du 1er au 3 février.
Calendrier f1 2011 DATE EQUIPE MONOPLACE
31/01/2011 Sauber-Ferrari C30
01/02/2011 Toro Rosso-Ferrari STR6
Pneumatiques :
Après 14 saisons consécutives passées en Formule 1, les quatre dernières comme manufacturier unique de pneumatiques, Bridgestone a tiré sa révérence lors du Grand Prix d’Abu Dhabi de 2010. Sur les neuf manufacturiers de pneus qu’a compté la F1 en 60 ans d’existence, l’entreprise nippone restera celle avec l’un des meilleurs palmarès.
Pirelli sera le prochain manufacturier unique, pour une période de trois ans, à partir de 2011. Les gommes italiennes effectueront leur grand retour en Formule 1 pour la première fois depuis le Grand Prix d’Australie 1991. Les deux premières journées officielles d’essais privés de Pirelli à Abu Dhabi se sont d’ailleurs bien passées, rencontrant la satisfaction générale des équipes et des pilotes.
Principales modifications apportées au règlement technique 2011 de F1 :
La saison 2011 de Formule 1 sera marquée par de profonds changements de réglementation sur le plan technique. Selon le team principal de McLaren Mercedes, Martin Whitmarsh, cette nouvelle saison sera encore plus ouverte que la précédente et l’innovation technique sera primordiale pour se hisser aux avant-postes.
Retour du Kinetic Energy Recovery System (KERS) :
Le KERS effectuera son grand retour en 2011. Il n’était pas interdit en 2010 mais l’Association des Equipes de Formule 1 (FOTA) avait décidé majoritairement de ne pas l’utiliser. La FOTA avait ensuite convenu de sa réutilisation pour la saison prochaine en alignant un KERS moins onéreux.
En outre, le poids des monoplaces de Formule 1 passera de 620 à 640 kg pour compenser l’handicap du poids du KERS sur les lests. A l’inverse de 2009, la majorité des équipes du plateau devrait l’utiliser afin de ne pas avoir une F1 à deux vitesses. De plus, toutes les écuries utiliseront un KERS à batterie, Williams ayant laissé tomber son KERS à volant d’inertie.
Introduction d’un aileron arrière ajustable :
Afin d’améliorer les opportunités de dépassement lors des Grands Prix, la FIA a décidé d’introduire un aileron arrière ajustable. Pour que ce dispositif soit efficace, seul le pilote rattrapant un concurrent pourra modifier son aileron arrière quand il sera à moins d’une seconde de la voiture qui le précède. Tout sera géré par le système électronique.
Le système sera activé après le deuxième tour de course et sera désactivé au freinage. Afin de maximiser l’effet de ce dispositif, la FIA a précisé qu’elle "pourra, après avoir consulté tous les participants, ajuster la proximité autorisée".
Par le passé, lorsqu’elle était encore en Formule 1, l’équipe Honda avait testé un tel dispositif selon Jacky Eeckelaert, qui travaillait à l’époque pour l’écurie japonaise. Le résultat avait été concluant.
Bannissement du F-duct :
L’ingénieux système mis au point par McLaren Mercedes sera interdit en 2011. Son activation durant les Grands Prix nécessite l’intervention du pilote au travers de sa jambe, comme pour les pilotes McLaren Mercedes, ou même de sa main, comme pour les pilotes Renault. La FIA a donc décidé de l’interdire face au danger potentiel qu’il pourrait causer en distrayant le pilote.
"A l’exception des parties nécessaires aux ailerons ajustables, tout système, dispositif ou procédure qui nécessite l’intervention du pilote afin d’altérer les caractéristiques aérodynamiques de la voiture est interdit à partir de 2011," a indiqué la FIA à propos de la réglementation de 2011.
Bannissement du double diffuseur :
Le double diffuseur aura fait couler beaucoup d’encre depuis son apparition lors des essais hivernaux de 2009, rendant caduque la nouvelle réglementation de l’époque visant à réduire l’importance des appuis pour faciliter les dépassements. La FOTA a donc décidé – un peu tard – de l’interdire à partir de 2011, une proposition acceptée par la FIA. Ce bannissement devrait se traduire par une perte d’appui importante pour les monoplaces.
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
L'Ukraine candidate pour un GP de F1
Après l’Inde, les Etats-Unis et la Russie dans les années à venir, le calendrier de la Formule 1 pourrait accueillir l’Ukraine dans un futur proche.
Le responsable de l’administration de la région de Kiev, Anatoliy Prysiazhniuk, a annoncé que son pays était candidat à l’organisation d’un Grand Prix de Formule 1. Un circuit d’un milliard de dollars sera ainsi construit dans les années à venir près de Kiev.
"Nous construirons un circuit international dans les districts de Polissia et Ivankiv afin d’accueillir des compétitions internationales. J’ai vu le projet, et des experts européens l’ont évalué. Le projet a été monté par une personne du Danemark qui a construit les circuits des Emirats [Arabes Unis], de Singapour et d’autres pays. Le circuit satisfera toutes les exigences modernes," a-t-il déclaré, cité par le Kyiv Post.
Ce nouveau circuit destiné à accueillir la Formule 1 mesurera 5,2 kilomètres de long. Les travaux de construction pourraient débuter dès l’année prochaine. Reste maintenant à savoir si la Formule 1 peut se permettre d’aller en Ukraine, alors que son calendrier est déjà à son maximum avec 20 courses au programme en 2011. Sans compter qu’il faudra déjà se séparer de deux Grands Prix actuels pour faire de la place aux Etats-Unis en 2012 et à la Russie en 2014.
Rappelons que ces derniers jours, le Vietnam a également montré un certain intérêt pour la Formule 1. En outre, la Bulgarie et Rome n’ont toujours pas renoncé à rejoindre le calendrier, malgré l’opposition de Ferrari en ce qui concerne la candidature de la capitale italienne.
Reste que la Formule 1 devra faire attention à ne pas être victime de son succès croissant. La chute des audiences de la NASCAR ces dernières années a bien montré les conséquences néfastes d’une extension constante d’un calendrier trop chargé.
Source : toilef1.com
Après l’Inde, les Etats-Unis et la Russie dans les années à venir, le calendrier de la Formule 1 pourrait accueillir l’Ukraine dans un futur proche.
Le responsable de l’administration de la région de Kiev, Anatoliy Prysiazhniuk, a annoncé que son pays était candidat à l’organisation d’un Grand Prix de Formule 1. Un circuit d’un milliard de dollars sera ainsi construit dans les années à venir près de Kiev.
"Nous construirons un circuit international dans les districts de Polissia et Ivankiv afin d’accueillir des compétitions internationales. J’ai vu le projet, et des experts européens l’ont évalué. Le projet a été monté par une personne du Danemark qui a construit les circuits des Emirats [Arabes Unis], de Singapour et d’autres pays. Le circuit satisfera toutes les exigences modernes," a-t-il déclaré, cité par le Kyiv Post.
Ce nouveau circuit destiné à accueillir la Formule 1 mesurera 5,2 kilomètres de long. Les travaux de construction pourraient débuter dès l’année prochaine. Reste maintenant à savoir si la Formule 1 peut se permettre d’aller en Ukraine, alors que son calendrier est déjà à son maximum avec 20 courses au programme en 2011. Sans compter qu’il faudra déjà se séparer de deux Grands Prix actuels pour faire de la place aux Etats-Unis en 2012 et à la Russie en 2014.
Rappelons que ces derniers jours, le Vietnam a également montré un certain intérêt pour la Formule 1. En outre, la Bulgarie et Rome n’ont toujours pas renoncé à rejoindre le calendrier, malgré l’opposition de Ferrari en ce qui concerne la candidature de la capitale italienne.
Reste que la Formule 1 devra faire attention à ne pas être victime de son succès croissant. La chute des audiences de la NASCAR ces dernières années a bien montré les conséquences néfastes d’une extension constante d’un calendrier trop chargé.
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
trois écuries de suite qui jettent l'éponge, c'est tout de même affolant!Deep purple a écrit:Il ne fait pas bon de créer une écurie de F1 aux USA...
en plus, ça prouve que les USA s'interressent finalement beaucoups plus à la F1 que ce qu'on pouvait penser, 'pi revient toujour les problemes du fric et du budget pour la construction.
Hadzufel- Messages : 9084
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La famille de Colin Chapman soutient Group Lotus...
>> La famille de Colin Chapman, fondateur de la marque Lotus et de la mythique équipe Team Lotus en Formule 1, a apporté son soutien à Group Lotus dans le bras de fer qui l'oppose à l'écurie de Tony Fernandes.
- La Formule 1 connaît actuellement une situation cocasse avec deux équipes désirant toutes deux représenter Lotus. D'un côté, Lotus Renault GP représente la vraie marque. L'écurie appartient à parts égales à Group Lotus et Genii Capital depuis le retrait de Renault de la F1 comme constructeur.
> De l'autre, Tony Fernandes a racheté en septembre dernier les droits du nom Team Lotus à David Hunt, frère de James, champion du monde en 1976. L'homme d'affaires malaisien revendique ainsi le droit d'appeler son équipe Team Lotus, la célèbre écurie de Colin Chapman créée en 1958, la saison prochaine.
Group Lotus, la marque également créée par Colin Chapman en 1952 qui appartient dorénavant au constructeur malaisien Proton, n'entend cependant pas laisser faire Tony Fernandes. Les deux parties sont ainsi en procès en Malaisie afin de résoudre ce conflit sur le nom Lotus.
> Jusqu'à présent, la famille du fondateur de la marque Lotus était restée en-dehors de ce conflit. A présent, son fils Clive a apporté son soutien à Group Lotus. Il a toutefois ajouté qu'il préférait qu'aucune équipe n'utilise le nom Team Lotus en Formule 1.
- « La famille Chapman est impressionnée par les développements excitants qui ont lieu actuellement chez Group Lotus, et est très reconnaissante envers Proton pour l'investissement important qui est fait, pour garantir un futur solide pour les salariés excellents de l'usine d'Hethel [où sont fabriquées les Lotus de série], » a déclaré Clive Chapman dans un communiqué.
- « En 2010, la famille Chapman et Classic Team Lotus ont été heureux de soutenir de bien des façons le Group Lotus. En accord avec Proton, cela comprenait le soutien de l'utilisation du nom Lotus en Formule 1, qui était une licence accordée par Group Lotus. La famille Chapman a été impressionnée par le parcours de Lotus Racing en tant qu'équipe, et a apprécié son respect pour l'histoire de Team Lotus. Cependant, ensuite sa licence d'utiliser le nom Lotus a été résiliée et les choses ont changé. »
Il a ajouté : « Au cours de 2010, la famille Chapman, selon les besoins, a fait comprendre à ceux impliqués qu'elle préférerait que le nom de Team Lotus ne soit pas utilisé en Formule 1. A ce titre, des garanties à cet égard ont été reçues. L'identité de Team Lotus représente l'héritage en sport automobile de Colin Chapman, et cela était préservé par la famille Chapman et redirigé au sein de Classic Team Lotus. »
« L'association de Group Lotus avec l'histoire de Team Lotus est bien plus appréciée et entièrement appropriée, d'autant qu'elle est en accord avec la façon dont les choses étaient à l'époque de Colin Chapman. La famille Chapman est impatiente de continuer à apporter son soutien à Group Lotus, qui est l'entité actuelle de Lotus créée par Colin et Hazel Chapman. Après tout, la marque Lotus est de la responsabilité de Group Lotus, et Hethel est le berceau de Lotus. »
Source : GPupdate.net
- La Formule 1 connaît actuellement une situation cocasse avec deux équipes désirant toutes deux représenter Lotus. D'un côté, Lotus Renault GP représente la vraie marque. L'écurie appartient à parts égales à Group Lotus et Genii Capital depuis le retrait de Renault de la F1 comme constructeur.
> De l'autre, Tony Fernandes a racheté en septembre dernier les droits du nom Team Lotus à David Hunt, frère de James, champion du monde en 1976. L'homme d'affaires malaisien revendique ainsi le droit d'appeler son équipe Team Lotus, la célèbre écurie de Colin Chapman créée en 1958, la saison prochaine.
Group Lotus, la marque également créée par Colin Chapman en 1952 qui appartient dorénavant au constructeur malaisien Proton, n'entend cependant pas laisser faire Tony Fernandes. Les deux parties sont ainsi en procès en Malaisie afin de résoudre ce conflit sur le nom Lotus.
> Jusqu'à présent, la famille du fondateur de la marque Lotus était restée en-dehors de ce conflit. A présent, son fils Clive a apporté son soutien à Group Lotus. Il a toutefois ajouté qu'il préférait qu'aucune équipe n'utilise le nom Team Lotus en Formule 1.
- « La famille Chapman est impressionnée par les développements excitants qui ont lieu actuellement chez Group Lotus, et est très reconnaissante envers Proton pour l'investissement important qui est fait, pour garantir un futur solide pour les salariés excellents de l'usine d'Hethel [où sont fabriquées les Lotus de série], » a déclaré Clive Chapman dans un communiqué.
- « En 2010, la famille Chapman et Classic Team Lotus ont été heureux de soutenir de bien des façons le Group Lotus. En accord avec Proton, cela comprenait le soutien de l'utilisation du nom Lotus en Formule 1, qui était une licence accordée par Group Lotus. La famille Chapman a été impressionnée par le parcours de Lotus Racing en tant qu'équipe, et a apprécié son respect pour l'histoire de Team Lotus. Cependant, ensuite sa licence d'utiliser le nom Lotus a été résiliée et les choses ont changé. »
Il a ajouté : « Au cours de 2010, la famille Chapman, selon les besoins, a fait comprendre à ceux impliqués qu'elle préférerait que le nom de Team Lotus ne soit pas utilisé en Formule 1. A ce titre, des garanties à cet égard ont été reçues. L'identité de Team Lotus représente l'héritage en sport automobile de Colin Chapman, et cela était préservé par la famille Chapman et redirigé au sein de Classic Team Lotus. »
« L'association de Group Lotus avec l'histoire de Team Lotus est bien plus appréciée et entièrement appropriée, d'autant qu'elle est en accord avec la façon dont les choses étaient à l'époque de Colin Chapman. La famille Chapman est impatiente de continuer à apporter son soutien à Group Lotus, qui est l'entité actuelle de Lotus créée par Colin et Hazel Chapman. Après tout, la marque Lotus est de la responsabilité de Group Lotus, et Hethel est le berceau de Lotus. »
Source : GPupdate.net
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Re: Revue de presse : infos générales.
D’Ambrosio : Le talent et l’argent
Le Belge vient d’être officialisé comme pilote titulaire chez Virgin Racing pour 2011. S’il était pressenti depuis plusieurs mois pour remplacer Lucas di Grassi, il devait avant tout réunir les fonds nécessaires.
Le pilote Gravity visait depuis octobre une place chez Virgin Racing mais il a dû tout d’abord réunir les cinq millions d’euros réclamés par l’écurie britannique. Une fois parvenu à ses fins, Jérôme D’Ambrosio a concédé que si son talent a bien évidemment contribué à le titulariser chez Virgin, ses soutiens financiers ont été également nécessaires pour qu’il puisse réaliser son rêve.
« Bien sûr qu’il y a le talent, mais il y a aussi un aspect commercial », a avoué le pilote Virgin sur RTL Belgique. « Il y a des gens, des partenaires, qui travaillent avec moi en Belgique, comme Gravity et Éric Boullier qui continuent à me suivre. Nous avons réussi à réunir la somme dont nous avions besoin pour pouvoir signer. »
Mais le Belge a atteint son objectif et savoure l’instant, tout en pensant déjà à viser plus loin. « J’ai bondi comme un kangourou ! », s’est-il souvenu lorsqu’il a appris la nouvelle. « C’est exceptionnel, extraordinaire, mais ce n’est pas une fin en soi, car vous devez désormais vous fixer de nouveaux objectifs. Je compte rester en F1 le plus longtemps possible. J’ai rêvé d’aller en F1 depuis que je suis tout petit, c’est devenu mon objectif à partir de mes 16 ans. »
Jérôme D’Ambrosio compte mettre à profit sa première saison au plus haut niveau de la monoplace pour apprendre et acquérir le plus d’expérience possible. « La chose la plus importante est de me concentrer sur moi-même, apprendre quelque chose à chaque fois que je suis sur la piste. Je suis heureux d’avoir Timo Glock, qui a décroché plusieurs podiums en F1, à mes côtés. Ce sera une expérience très importante pour moi. »
SOURCE CARADISIAC.FR
Le Belge vient d’être officialisé comme pilote titulaire chez Virgin Racing pour 2011. S’il était pressenti depuis plusieurs mois pour remplacer Lucas di Grassi, il devait avant tout réunir les fonds nécessaires.
Le pilote Gravity visait depuis octobre une place chez Virgin Racing mais il a dû tout d’abord réunir les cinq millions d’euros réclamés par l’écurie britannique. Une fois parvenu à ses fins, Jérôme D’Ambrosio a concédé que si son talent a bien évidemment contribué à le titulariser chez Virgin, ses soutiens financiers ont été également nécessaires pour qu’il puisse réaliser son rêve.
« Bien sûr qu’il y a le talent, mais il y a aussi un aspect commercial », a avoué le pilote Virgin sur RTL Belgique. « Il y a des gens, des partenaires, qui travaillent avec moi en Belgique, comme Gravity et Éric Boullier qui continuent à me suivre. Nous avons réussi à réunir la somme dont nous avions besoin pour pouvoir signer. »
Mais le Belge a atteint son objectif et savoure l’instant, tout en pensant déjà à viser plus loin. « J’ai bondi comme un kangourou ! », s’est-il souvenu lorsqu’il a appris la nouvelle. « C’est exceptionnel, extraordinaire, mais ce n’est pas une fin en soi, car vous devez désormais vous fixer de nouveaux objectifs. Je compte rester en F1 le plus longtemps possible. J’ai rêvé d’aller en F1 depuis que je suis tout petit, c’est devenu mon objectif à partir de mes 16 ans. »
Jérôme D’Ambrosio compte mettre à profit sa première saison au plus haut niveau de la monoplace pour apprendre et acquérir le plus d’expérience possible. « La chose la plus importante est de me concentrer sur moi-même, apprendre quelque chose à chaque fois que je suis sur la piste. Je suis heureux d’avoir Timo Glock, qui a décroché plusieurs podiums en F1, à mes côtés. Ce sera une expérience très importante pour moi. »
SOURCE CARADISIAC.FR
nairboul- Messages : 8951
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Re: Revue de presse : infos générales.
''Le père Noël plus rapide que toi''
Après avoir fait main basse sur les deux titres mondiaux en 2010, Red Bull remporte aussi la palme de la carte de voeux la plus décalée.
Celle que nous avons reçue met en scène le champion du monde Sebastian Vettel en piste dans un duel face au père Noël au moment où il reçoit de son stand le message suivant : "Le père Noël est plus rapide que toi, peux-tu confirmer que tu as reçu le message ?". Des mots qui rappelleront un certain Grand Prix d'Allemagne 2010, qui fut l'une des polémiques de l'année.
Le directeur général de la FOM Bernie Ecclestone a, lui aussi, choisi Red Bull comme thème pour sa carte de voeux et lui aussi mise, c'est une tradition, sur l'humour. Dans la carte du Supremo, on voit les deux pilotes Red Bull Vettel et Mark Webber réunis hors du stand par Christian Horner, le patron du team, qui joue à pile ou face et s'écrie : "Le résultat n'est pas toujours celui qu'on croit". Joyeux Noël à tous.
ESPN EMEA Ltd.
Après avoir fait main basse sur les deux titres mondiaux en 2010, Red Bull remporte aussi la palme de la carte de voeux la plus décalée.
Celle que nous avons reçue met en scène le champion du monde Sebastian Vettel en piste dans un duel face au père Noël au moment où il reçoit de son stand le message suivant : "Le père Noël est plus rapide que toi, peux-tu confirmer que tu as reçu le message ?". Des mots qui rappelleront un certain Grand Prix d'Allemagne 2010, qui fut l'une des polémiques de l'année.
Le directeur général de la FOM Bernie Ecclestone a, lui aussi, choisi Red Bull comme thème pour sa carte de voeux et lui aussi mise, c'est une tradition, sur l'humour. Dans la carte du Supremo, on voit les deux pilotes Red Bull Vettel et Mark Webber réunis hors du stand par Christian Horner, le patron du team, qui joue à pile ou face et s'écrie : "Le résultat n'est pas toujours celui qu'on croit". Joyeux Noël à tous.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Écurie par écurie, qui pilote où en 2011 ?
Mis à jour le 24 décembre 2010
Red Bull Racing
1. Sebastian Vettel
2. Mark Webber
Le champion du monde des Constructeurs a Vettel, champion des Pilotes, sous contrat jusqu'à la fin 2011 et compte sur lui pour être l'un des plus grands champions de l'Histoire de la discipline. Un contrat courant jusqu'en 2015 lui a été proposé. Le jeune Allemand n'a toujours pas de manager mais pense sérieusement à Ferrari ou Mercedes dans un futur plus ou moins proche. Webber n'a lui que des contrats d'un an. Lors de l'avant-dernière manche de la saison, cependant, las que son équipe donne la préférence à Vettel, il avait sous-entendu qu'il pourrait ne pas honorer celui de 2011. La rumeur de son départ à la retraite fin 2010 fut aussi un serpent de mer de la saison. Mais après la dernière course, il a confirmé qu'il serait là en 2011. Les choses peuvent-elles être remise en cause par l'affaire de l'épaule fracturée ? En cas de coup de théâtre, la liste de prétendants est bien entendu sans fin. Jaime Alguersuari et Sébastien Buemi, les deux pilotes Toro Rosso, n'attendent que cela pour avoir une chance mondiale.
Vodafone McLaren Mercedes
3. Jenson Button
4. Lewis Hamilton
Arrivé il y a un an avec le n°1, Button n'est pas parvenu à conserver son titre. Mais son entente avec Hamilton en a étonné plus d'un. Il n'est donc pas surprenant que le duo anglo-anglais soit encore en place. Button avait signé pour trois ans et 8 M€ annuels. Hamilton est l'enfant de Woking où il a été recruté à 14 ans. Aucune chance qu'il s'en aille. Ni chez Ferrari ni chez Red Bull.
Scuderia Ferrari Marlboro
5. Fernando Alonso
6. Felipe Massa
Avant même la fin de la saison 2009, Alonso a signé pour trois ans chez Ferrari. Après une première saison pleine de bonheur en dépit du couac d'Abou Dhabi, il rempile sans ciller et sera encore évidemment l'un des favoris pour le titre. En plus, il serait le pilote le mieux payé du plateau. Massa a prolongé son contrat et s'est engagé avec Ferrari jusqu'en 2012. La rumeur qui a couru cette année faisait état de la venue de Robert Kubica, à qui un top team devra rapidement donner une chance de remporter le titre.
Mercedes GP Petronas F1 Team
7. Michael Schumacher
8. Nico Rosberg
Il jure régulièrement qu'il fera ses trois ans de contrat, à l'unisson de Mercedes, mais Schumacher est toujours vu sur le départ. Très vite en 2010, lorsque son come-back a entraîné une inévitable déception, un nom a circulé pour savoir qui le remplacerait en 2011. Mais Adrian Sutil a décliné. Ce qui est acquis, en revanche, c'est qu'il va y avoir du changement dans l'encadrement de l'équipe qui a perdu les deux titres en 2010. L'incertitude plane notamment sur Ross Brawn. Nico Rosberg, qui s'est affirmé comme un champion du monde en puissance en devenant le premier de ses coéquipiers à dominer Schumacher sur la durée d'une saison, a tout intérêt à rester. D'autant que Mercedes prédit du mieux pour 2011. Schumacher vise une ou des victoires.
Lotus Renault GP Team
9. Robert Kubica
10. Vitaly Petrov
Le 8 décembre, le constructeur britannique Lotus Group a été intronisé comme sponsor titre de l'équipe qui ne s'appellera plus Renault F1 Team mais Lotus Renault GP Team. Kubica a été exceptionnel tout au long de la saison 2010. Sur ce qu'il a fait avec la voiture qu'il avait, il peut être considéré comme l'un des meilleurs pilotes au monde. Il est sous contrat mais l'équipe ne doit qu'à la stabilité des top teams, et peut-être à son amour immodéré pour le rallye, de pouvoir le conserver. Rappelons que le Polonais avait demandé un temps de réflexion quand Genii a repris Renault. Petrov n'a été reconduit par Renault dans la première liste des engagés fournie à la FIA. Le Russe a séduit par quelques fulgurances mais a manqué de vitesse en qualif et de constance en course, son volant était menacé. Ce qui l'a sauvé est peut-être c'est la promesse d'un premier Grand Prix de Russie, à Sotchi en 2014. Le vice-champion GP2 2009 serait la tête de pont de la F1 sur le marché ex-soviétique. Son agent a fait le job et la balance a penché en faveur de son poulain qui a prolongé son contrat de deux ans. quatre ans c'est long pour arriver à Sotchi et la comparaison avec Kubica fait très mal à Petrov, même s'il n'était que dans sa première saison. Qui à sa place s'il part ? Les candidats sont d'autant plus nombreux que Renault a été la bonne surprise de la saison en terme de performance. Adrian Sutil et Nick Heidfeld sont aujourd'hui les plus sérieux. Romain Grosjean peut aussi rêver d'un retour en grâce s'il amène du budget. Une chose est sûre, Kimi Räikkönen ne viendra pas.
AT&T Williams
11. Rubens Barrichello
12. Pastor Maldonado
Au lendemain de la dernière course de la saison, Williams a annoncé la confirmation de Rubens Barrichello. Malgré sa pole à Interlagos, Nico Hülkenberg ne fera pas une deuxième saison avec l'équipe. L'écurie aux neuf Championnats, qui n'a plus gagné de titre depuis 1997, est en panne de sponsors. Elle a donc fait appel à un pilote payant, le Vénézuélien Pastor Maldonado, qui arriverait avec 15 M€ issus des caisses de la compagnie pétrolière nationalisée PDVSA, mais son championnat en GP2 vaut aussi beaucoup.
Force India
14. À déterminer
15. À déterminer
Avant de sous-entendre des reconductions imminentes d' Adrian Sutil et Vitantonio Liuzzi, le propriétaire lui-même, Vijay Mallya, affirmait que des places étaient vacantes. "On devrait être bientôt fixés", répète Liuzzi, qui a encore un an de contrat et qui compte s'y accrocher. L'ancien pilote Red Bull et Toro Rosso est en difficulté sur le marché des pilotes, fragilisé par une saison où il a été dominé par Sutil et par une voiture qui ne s'est pas inscrite dans la progression de l'équipe ces dernières années. Mallya voulait "un ou deux podiums". Il n'a au final que deux pilotes qui ont du mal à s'entendre sauf sur un point : l'avenir est incertain. Paul di Resta, champion DTM 2010, se verrait bien en profiter. Il a roulé sur la Force India cette année le vendredi et confirmé son talent. Poussé par Mercedes de Norbert Haug, il pourrait faire ses débuts en F1. L'agent de Sutil a toutefois clamé avoir un accord avec l'équipe, mais pas encore de signature.
Sauber F1 Team
16. Kamui Kobayashi
17. Sergio Pérez
Premier Mexicain en F1 depuis Hector Rebaque il y a pile 30 ans, Pérez a été engagé par Sauber à la place de Nick Heidfeld, qui a lui même remplacé avant Singapour Pedro De la Rosa . La cuvée Sauber 2011 aura le goût d'un intriguant mélange de vin chaud des montagnes suisses allemandes et de téquila. Car c'est une véritable OPA que Telmex et le richissime Carlos Slim ont fait sur l'équipe de Hinwil. Estéban Guttierrez est le réserviste et l'écurie s'est assurée mexicain. Mais, c'est promis, le réjouissant Kobayashi sera le leader d'une équipe aux couleurs du monde et dirigée par une femme, Monisha Kalterborn, si Peter Sauber, après 40 ans sur les circuits, mettait à exécution ses menaces de retraite.
Scuderia Toro Rosso
18. Sébastien Buemi
19. Jaime Alguersuari
Les deux hommes ne figurent pas sur la première liste de la FIA mais malgré des propos peu amènes de Franz Tost sur Buemi, le Suisse et son coéquipier ont été confirmés le 26 novembre. La nouveauté c'est donc l'arrivée de Daniel Ricciardo qui sera pilote en essais libres du vendredi. L'Australien de 21 ans a impressionné lors des essais réservés aux jeune en novembre, à Abou Dhabi. À tel point que le responsable des programmes de développement et conseiller de Red Bull Helmut Marko a souhaité le voir en piste en Grand Prix dès cette saison. Il y a aussi des incertitudes sur l'avenir de l'actionnariat chez Toro Rosso.
Team Lotus
20. Jarno Trulli
21. Heikki Kovalainen
Ce ne sont pas ses pilotes que l'écurie pourrait perdre mais ce qu'elle a de plus cher, son nom. Ces cinq lettres évocatrices sont l'enjeu d'une querelle juridique entre Tony Fernandes, le patron de l'équipe Lotus Racing, celle qui a couru en F1 en 2010, et Lotus Group, la "vraie'' Lotus, qui pourrait revenir en rachetant Renault F1. Au 1er décembre, l'équipe s'appelait officiellement Team Lotus. Autre changement pour l'équipe qui s'appellerait à l'avenir 1Malaysia, Renault a signé pour devenir motoriste. Côté pilotes, bien qu'aperçu dans le giron de la NASCAR, Trulli devrait rester. L'ancien vainqueur du Grand Prix de Monaco a récemment déclaré qu'il n'avait nulle envie de quitter la F1. Kovalainen devrait lui aussi être prolongé. Le grain de sable, pour les deux hommes, pourrait se nommer Bruno Senna. Mais ce dernier a démenti tout contact avec Lotus.
HRT F1 Team
22. À déterminer
23. À déterminer
Karun Chandhok, Sakon Yamamoto, Christian Klien
Bruno Senna... Une petite année d'existence mais déjà quatre pilotes, deux ou trois noms, une intoxication alimentaire et une voiture qui bat des records de lenteur et de sous-développement. Le HRT est-il conforme avec les standards de la F1 ? Il faut poser la question a la FIA qui a accordé une licence à Adrian Campos. En ce qui concerne les pilotes, Klien, lors de ses rares apparitions, s'est montré le plus à l'aise. Mais cela a-t-il un sens dans une écurie qui lutte pour sa survie et fait courir le pilote qui lui apporte le plus de budget. En 2011, toutefois, la donne pourrait changer. Juan Villalonga, ancien président de Telefonica, est entré dans la danse. Dallara cède la place, mais finalement pas à Toyota et Xtrac est remplacé par Williams. Des progrès sont attendus. Heureusement, mais il n'y a toujours pas de châssis et pas de projet, selon Pedro de la Rosa, qui s'est retiré de l'affaire. Début décembre, la presse espagnole a même affirmé que l'écurie était à vendre. Ce qui a été démenti. Le propriétaire José Ramon Carabante affirme négocier avec ''cinq ou six pilotes'' et rassure sur l'avenir.
Marussia Virgin Racing
24. Timo Glock
25. Jérôme D'Ambrosio
Il l'a fait ! Le 21 décembre, Jérôme D'Ambrosio est devenu officiellement pilote titulaire en F1. Glock, qui s'est dit à 100% sûr de rester a été officialisé le même jour. Lucas Di Grassi fait les frais de ce remaniement. D'Ambrosio, avait roulé le vendredi matin sur quelques-uns des derniers Grands Prix. Giedo van der Garde, autre pilote payant, faisait également le forcing. Pour D'Ambrosio, le choix a appartenu en dernier ressort au nouveau sponsor titre de Virgin, Marussia. Il est le premier Belge sur la grille de départ depuis Jean-Pierre Adams en 1994
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Mis à jour le 24 décembre 2010
Red Bull Racing
1. Sebastian Vettel
2. Mark Webber
Le champion du monde des Constructeurs a Vettel, champion des Pilotes, sous contrat jusqu'à la fin 2011 et compte sur lui pour être l'un des plus grands champions de l'Histoire de la discipline. Un contrat courant jusqu'en 2015 lui a été proposé. Le jeune Allemand n'a toujours pas de manager mais pense sérieusement à Ferrari ou Mercedes dans un futur plus ou moins proche. Webber n'a lui que des contrats d'un an. Lors de l'avant-dernière manche de la saison, cependant, las que son équipe donne la préférence à Vettel, il avait sous-entendu qu'il pourrait ne pas honorer celui de 2011. La rumeur de son départ à la retraite fin 2010 fut aussi un serpent de mer de la saison. Mais après la dernière course, il a confirmé qu'il serait là en 2011. Les choses peuvent-elles être remise en cause par l'affaire de l'épaule fracturée ? En cas de coup de théâtre, la liste de prétendants est bien entendu sans fin. Jaime Alguersuari et Sébastien Buemi, les deux pilotes Toro Rosso, n'attendent que cela pour avoir une chance mondiale.
Vodafone McLaren Mercedes
3. Jenson Button
4. Lewis Hamilton
Arrivé il y a un an avec le n°1, Button n'est pas parvenu à conserver son titre. Mais son entente avec Hamilton en a étonné plus d'un. Il n'est donc pas surprenant que le duo anglo-anglais soit encore en place. Button avait signé pour trois ans et 8 M€ annuels. Hamilton est l'enfant de Woking où il a été recruté à 14 ans. Aucune chance qu'il s'en aille. Ni chez Ferrari ni chez Red Bull.
Scuderia Ferrari Marlboro
5. Fernando Alonso
6. Felipe Massa
Avant même la fin de la saison 2009, Alonso a signé pour trois ans chez Ferrari. Après une première saison pleine de bonheur en dépit du couac d'Abou Dhabi, il rempile sans ciller et sera encore évidemment l'un des favoris pour le titre. En plus, il serait le pilote le mieux payé du plateau. Massa a prolongé son contrat et s'est engagé avec Ferrari jusqu'en 2012. La rumeur qui a couru cette année faisait état de la venue de Robert Kubica, à qui un top team devra rapidement donner une chance de remporter le titre.
Mercedes GP Petronas F1 Team
7. Michael Schumacher
8. Nico Rosberg
Il jure régulièrement qu'il fera ses trois ans de contrat, à l'unisson de Mercedes, mais Schumacher est toujours vu sur le départ. Très vite en 2010, lorsque son come-back a entraîné une inévitable déception, un nom a circulé pour savoir qui le remplacerait en 2011. Mais Adrian Sutil a décliné. Ce qui est acquis, en revanche, c'est qu'il va y avoir du changement dans l'encadrement de l'équipe qui a perdu les deux titres en 2010. L'incertitude plane notamment sur Ross Brawn. Nico Rosberg, qui s'est affirmé comme un champion du monde en puissance en devenant le premier de ses coéquipiers à dominer Schumacher sur la durée d'une saison, a tout intérêt à rester. D'autant que Mercedes prédit du mieux pour 2011. Schumacher vise une ou des victoires.
Lotus Renault GP Team
9. Robert Kubica
10. Vitaly Petrov
Le 8 décembre, le constructeur britannique Lotus Group a été intronisé comme sponsor titre de l'équipe qui ne s'appellera plus Renault F1 Team mais Lotus Renault GP Team. Kubica a été exceptionnel tout au long de la saison 2010. Sur ce qu'il a fait avec la voiture qu'il avait, il peut être considéré comme l'un des meilleurs pilotes au monde. Il est sous contrat mais l'équipe ne doit qu'à la stabilité des top teams, et peut-être à son amour immodéré pour le rallye, de pouvoir le conserver. Rappelons que le Polonais avait demandé un temps de réflexion quand Genii a repris Renault. Petrov n'a été reconduit par Renault dans la première liste des engagés fournie à la FIA. Le Russe a séduit par quelques fulgurances mais a manqué de vitesse en qualif et de constance en course, son volant était menacé. Ce qui l'a sauvé est peut-être c'est la promesse d'un premier Grand Prix de Russie, à Sotchi en 2014. Le vice-champion GP2 2009 serait la tête de pont de la F1 sur le marché ex-soviétique. Son agent a fait le job et la balance a penché en faveur de son poulain qui a prolongé son contrat de deux ans. quatre ans c'est long pour arriver à Sotchi et la comparaison avec Kubica fait très mal à Petrov, même s'il n'était que dans sa première saison. Qui à sa place s'il part ? Les candidats sont d'autant plus nombreux que Renault a été la bonne surprise de la saison en terme de performance. Adrian Sutil et Nick Heidfeld sont aujourd'hui les plus sérieux. Romain Grosjean peut aussi rêver d'un retour en grâce s'il amène du budget. Une chose est sûre, Kimi Räikkönen ne viendra pas.
AT&T Williams
11. Rubens Barrichello
12. Pastor Maldonado
Au lendemain de la dernière course de la saison, Williams a annoncé la confirmation de Rubens Barrichello. Malgré sa pole à Interlagos, Nico Hülkenberg ne fera pas une deuxième saison avec l'équipe. L'écurie aux neuf Championnats, qui n'a plus gagné de titre depuis 1997, est en panne de sponsors. Elle a donc fait appel à un pilote payant, le Vénézuélien Pastor Maldonado, qui arriverait avec 15 M€ issus des caisses de la compagnie pétrolière nationalisée PDVSA, mais son championnat en GP2 vaut aussi beaucoup.
Force India
14. À déterminer
15. À déterminer
Avant de sous-entendre des reconductions imminentes d' Adrian Sutil et Vitantonio Liuzzi, le propriétaire lui-même, Vijay Mallya, affirmait que des places étaient vacantes. "On devrait être bientôt fixés", répète Liuzzi, qui a encore un an de contrat et qui compte s'y accrocher. L'ancien pilote Red Bull et Toro Rosso est en difficulté sur le marché des pilotes, fragilisé par une saison où il a été dominé par Sutil et par une voiture qui ne s'est pas inscrite dans la progression de l'équipe ces dernières années. Mallya voulait "un ou deux podiums". Il n'a au final que deux pilotes qui ont du mal à s'entendre sauf sur un point : l'avenir est incertain. Paul di Resta, champion DTM 2010, se verrait bien en profiter. Il a roulé sur la Force India cette année le vendredi et confirmé son talent. Poussé par Mercedes de Norbert Haug, il pourrait faire ses débuts en F1. L'agent de Sutil a toutefois clamé avoir un accord avec l'équipe, mais pas encore de signature.
Sauber F1 Team
16. Kamui Kobayashi
17. Sergio Pérez
Premier Mexicain en F1 depuis Hector Rebaque il y a pile 30 ans, Pérez a été engagé par Sauber à la place de Nick Heidfeld, qui a lui même remplacé avant Singapour Pedro De la Rosa . La cuvée Sauber 2011 aura le goût d'un intriguant mélange de vin chaud des montagnes suisses allemandes et de téquila. Car c'est une véritable OPA que Telmex et le richissime Carlos Slim ont fait sur l'équipe de Hinwil. Estéban Guttierrez est le réserviste et l'écurie s'est assurée mexicain. Mais, c'est promis, le réjouissant Kobayashi sera le leader d'une équipe aux couleurs du monde et dirigée par une femme, Monisha Kalterborn, si Peter Sauber, après 40 ans sur les circuits, mettait à exécution ses menaces de retraite.
Scuderia Toro Rosso
18. Sébastien Buemi
19. Jaime Alguersuari
Les deux hommes ne figurent pas sur la première liste de la FIA mais malgré des propos peu amènes de Franz Tost sur Buemi, le Suisse et son coéquipier ont été confirmés le 26 novembre. La nouveauté c'est donc l'arrivée de Daniel Ricciardo qui sera pilote en essais libres du vendredi. L'Australien de 21 ans a impressionné lors des essais réservés aux jeune en novembre, à Abou Dhabi. À tel point que le responsable des programmes de développement et conseiller de Red Bull Helmut Marko a souhaité le voir en piste en Grand Prix dès cette saison. Il y a aussi des incertitudes sur l'avenir de l'actionnariat chez Toro Rosso.
Team Lotus
20. Jarno Trulli
21. Heikki Kovalainen
Ce ne sont pas ses pilotes que l'écurie pourrait perdre mais ce qu'elle a de plus cher, son nom. Ces cinq lettres évocatrices sont l'enjeu d'une querelle juridique entre Tony Fernandes, le patron de l'équipe Lotus Racing, celle qui a couru en F1 en 2010, et Lotus Group, la "vraie'' Lotus, qui pourrait revenir en rachetant Renault F1. Au 1er décembre, l'équipe s'appelait officiellement Team Lotus. Autre changement pour l'équipe qui s'appellerait à l'avenir 1Malaysia, Renault a signé pour devenir motoriste. Côté pilotes, bien qu'aperçu dans le giron de la NASCAR, Trulli devrait rester. L'ancien vainqueur du Grand Prix de Monaco a récemment déclaré qu'il n'avait nulle envie de quitter la F1. Kovalainen devrait lui aussi être prolongé. Le grain de sable, pour les deux hommes, pourrait se nommer Bruno Senna. Mais ce dernier a démenti tout contact avec Lotus.
HRT F1 Team
22. À déterminer
23. À déterminer
Karun Chandhok, Sakon Yamamoto, Christian Klien
Bruno Senna... Une petite année d'existence mais déjà quatre pilotes, deux ou trois noms, une intoxication alimentaire et une voiture qui bat des records de lenteur et de sous-développement. Le HRT est-il conforme avec les standards de la F1 ? Il faut poser la question a la FIA qui a accordé une licence à Adrian Campos. En ce qui concerne les pilotes, Klien, lors de ses rares apparitions, s'est montré le plus à l'aise. Mais cela a-t-il un sens dans une écurie qui lutte pour sa survie et fait courir le pilote qui lui apporte le plus de budget. En 2011, toutefois, la donne pourrait changer. Juan Villalonga, ancien président de Telefonica, est entré dans la danse. Dallara cède la place, mais finalement pas à Toyota et Xtrac est remplacé par Williams. Des progrès sont attendus. Heureusement, mais il n'y a toujours pas de châssis et pas de projet, selon Pedro de la Rosa, qui s'est retiré de l'affaire. Début décembre, la presse espagnole a même affirmé que l'écurie était à vendre. Ce qui a été démenti. Le propriétaire José Ramon Carabante affirme négocier avec ''cinq ou six pilotes'' et rassure sur l'avenir.
Marussia Virgin Racing
24. Timo Glock
25. Jérôme D'Ambrosio
Il l'a fait ! Le 21 décembre, Jérôme D'Ambrosio est devenu officiellement pilote titulaire en F1. Glock, qui s'est dit à 100% sûr de rester a été officialisé le même jour. Lucas Di Grassi fait les frais de ce remaniement. D'Ambrosio, avait roulé le vendredi matin sur quelques-uns des derniers Grands Prix. Giedo van der Garde, autre pilote payant, faisait également le forcing. Pour D'Ambrosio, le choix a appartenu en dernier ressort au nouveau sponsor titre de Virgin, Marussia. Il est le premier Belge sur la grille de départ depuis Jean-Pierre Adams en 1994
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Re: Revue de presse : infos générales.
La dernière pique de Mosley
L'ancien président de la FIA Max Mosley continue de distiller les attaques sur la F1 actuelle. Pour terminer l'année : réquisitoire l'encontre de l'accord sur la réduction des coûts. Il est inopérant selon le septuagénaire britannique qui préconisait des budgets capés.
Le Resource Restriction Agreement (RRA, accord sur la réduction des coûts) vient d'être reconduit et salué par les équipes, mais il n'a pas l'heur de plaire à Mosley. "L'effet de cet accord est minimal", confie celui qui fut président de la FIA de 1993 à 2009, "et c'est la raison pour laquelle il existe."
Mosley croit savoir que "jeudi dernier, lors de la dernière réunion de la FOTA, Red Bull a demandé une dérogation. Si cela se confirme, cela veut dire qu'ils demandent à dépenser plus qu'ils n'en ont le droit et espèrent que les autres équipes leur donneront leur aval. Je me demande comment leurs adversaires vont réagir", a-t-il ajouté.
"Je vais donner un exemple : les équipes ne peuvent pas employer plus de 100 personnes. Mais si je me promène dans le paddock avec un chéquier bien approvisionné, je peux dépenser beaucoup pour prendre les 100 meilleurs. Les petites équipes n'ont toujours aucune chance contre les grandes. La seule chose qui va marcher, ce sera de caper les budgets. Avoir plus d'argent, c'est comme avoir un meilleur moteur."
"Sans les nouvelles équipes, la F1 mourrait"
Dans le magazine Auto Motor und Sport Mosley n'oublie pas son meilleur ennemi, le président de Ferrari Luca di Montezemolo, qui critique les petites équipes.
"D'un côté, il se plaint qu'elles sont trop lentes et de l'autre il demande quelque chose qui va lui permettre de creuser encore l'écart (plus d'essais privés)", ironise Mosley. "La troisième voiture (réclamée par Maranello), c'est quelque chose qui n'a pas de sens. Elle donnera encore plus de puissance aux grandes équipes, politiquement et sportivement. Cela va aussi à l'encontre de l'esprit de la F1."
"Sans les nouvelles équipes, la F1 mourrait. Le problème avec Luca, c'est qu'il n'a jamais eu à construire une équipe en partant de zéro. Il ignore combien c'est difficile. La F1 a beaucoup de problèmes et Luca ne fait qu'en ajouter."
Mosley raconte aussi comment sa tentative de caper les budgets s'est brisée sur les révélations de News of the World sur sa vie sexuelle. "Mon plan était d'introduire les budgets capés avec les autres équipes. Ferrari menaçait de se retirer mais tout le monde savait qu'ils ne l'auraient pas fait. Puis il y a eu l'affaire avec le journal (une vidéo montrant Mosley ayant recours aux services de prostituées dans une mise en scène douteuse). Ferrari est la seule équipe qui est restée loyale. Alors je ne pouvais pas vraiment leur faire cela."
Mosley a aussi déclaré qu'il était trop tôt pour juger de l'action de son successeur à la présidence de la FIA Jean Todt : "Cette saison a été très bonne, mais on est encore dans la transition. Je pense que l'on ne pourra vraiment évaluer Jean Todt que dans un an".
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L'ancien président de la FIA Max Mosley continue de distiller les attaques sur la F1 actuelle. Pour terminer l'année : réquisitoire l'encontre de l'accord sur la réduction des coûts. Il est inopérant selon le septuagénaire britannique qui préconisait des budgets capés.
Le Resource Restriction Agreement (RRA, accord sur la réduction des coûts) vient d'être reconduit et salué par les équipes, mais il n'a pas l'heur de plaire à Mosley. "L'effet de cet accord est minimal", confie celui qui fut président de la FIA de 1993 à 2009, "et c'est la raison pour laquelle il existe."
Mosley croit savoir que "jeudi dernier, lors de la dernière réunion de la FOTA, Red Bull a demandé une dérogation. Si cela se confirme, cela veut dire qu'ils demandent à dépenser plus qu'ils n'en ont le droit et espèrent que les autres équipes leur donneront leur aval. Je me demande comment leurs adversaires vont réagir", a-t-il ajouté.
"Je vais donner un exemple : les équipes ne peuvent pas employer plus de 100 personnes. Mais si je me promène dans le paddock avec un chéquier bien approvisionné, je peux dépenser beaucoup pour prendre les 100 meilleurs. Les petites équipes n'ont toujours aucune chance contre les grandes. La seule chose qui va marcher, ce sera de caper les budgets. Avoir plus d'argent, c'est comme avoir un meilleur moteur."
"Sans les nouvelles équipes, la F1 mourrait"
Dans le magazine Auto Motor und Sport Mosley n'oublie pas son meilleur ennemi, le président de Ferrari Luca di Montezemolo, qui critique les petites équipes.
"D'un côté, il se plaint qu'elles sont trop lentes et de l'autre il demande quelque chose qui va lui permettre de creuser encore l'écart (plus d'essais privés)", ironise Mosley. "La troisième voiture (réclamée par Maranello), c'est quelque chose qui n'a pas de sens. Elle donnera encore plus de puissance aux grandes équipes, politiquement et sportivement. Cela va aussi à l'encontre de l'esprit de la F1."
"Sans les nouvelles équipes, la F1 mourrait. Le problème avec Luca, c'est qu'il n'a jamais eu à construire une équipe en partant de zéro. Il ignore combien c'est difficile. La F1 a beaucoup de problèmes et Luca ne fait qu'en ajouter."
Mosley raconte aussi comment sa tentative de caper les budgets s'est brisée sur les révélations de News of the World sur sa vie sexuelle. "Mon plan était d'introduire les budgets capés avec les autres équipes. Ferrari menaçait de se retirer mais tout le monde savait qu'ils ne l'auraient pas fait. Puis il y a eu l'affaire avec le journal (une vidéo montrant Mosley ayant recours aux services de prostituées dans une mise en scène douteuse). Ferrari est la seule équipe qui est restée loyale. Alors je ne pouvais pas vraiment leur faire cela."
Mosley a aussi déclaré qu'il était trop tôt pour juger de l'action de son successeur à la présidence de la FIA Jean Todt : "Cette saison a été très bonne, mais on est encore dans la transition. Je pense que l'on ne pourra vraiment évaluer Jean Todt que dans un an".
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Coup dur pour Räikkönen
La famille Räikkönen est en deuil depuis mercredi après le décès de Matti Räikkönen, le père de Kimi.
La triste nouvelle est rapportée par le journal autrichien Kleine Zeitung. Matti Räikkönen avait 56 ans, les causes de son décès ne sont pas connues pour l'instant.
Le champion du monde 2007 a immédiatement demandé à la presse de respecter son intimité en cette période délicate. "Une telle nouvelle, surtout au moment de Noël, est quelque chose de difficile à vivre", a fait savoir le pilote dans le journal Ilta-Sanomat. Matti Räikkönen, comme son autre fils Rami, était lui-même pilote et c'est lui qui a donné à Kimi l'envie d'embrasser cette carrière. Il fut longtemps le conseiller de son fils.
"Je connaissais Matti depuis des années, depuis que nos fils ont commencé le karting", a déclaré Seppo Kovalainen, le père d'un autre pilote finlandais, Heikki Kovalainen, qui fut cette année le coéquipier de Matti dans une course de voitures anciennes. "C'était une personne bonne et juste. Je suis désolé pour cette famille à laquelle je souhaite d'être forte." "C'est arrivé de manière soudaine et surprenante", a déclaré Kikka Kuosmanen, ancien attaché de presse de Kimi et ami de la famille. "Matti était le patriarche de la famille. C'est une nouvelle très difficile."
L'ancien pilote Mika Salo a lui aussi souligné l'importance de Matti pour Kimi Räikkönen. "Matti était le premier supporter de Kimi. Sans lui, il ne serait pas allé si loin. Aucun père n'a pu davantage aider son fils. Matti est parti trop tôt."
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La famille Räikkönen est en deuil depuis mercredi après le décès de Matti Räikkönen, le père de Kimi.
La triste nouvelle est rapportée par le journal autrichien Kleine Zeitung. Matti Räikkönen avait 56 ans, les causes de son décès ne sont pas connues pour l'instant.
Le champion du monde 2007 a immédiatement demandé à la presse de respecter son intimité en cette période délicate. "Une telle nouvelle, surtout au moment de Noël, est quelque chose de difficile à vivre", a fait savoir le pilote dans le journal Ilta-Sanomat. Matti Räikkönen, comme son autre fils Rami, était lui-même pilote et c'est lui qui a donné à Kimi l'envie d'embrasser cette carrière. Il fut longtemps le conseiller de son fils.
"Je connaissais Matti depuis des années, depuis que nos fils ont commencé le karting", a déclaré Seppo Kovalainen, le père d'un autre pilote finlandais, Heikki Kovalainen, qui fut cette année le coéquipier de Matti dans une course de voitures anciennes. "C'était une personne bonne et juste. Je suis désolé pour cette famille à laquelle je souhaite d'être forte." "C'est arrivé de manière soudaine et surprenante", a déclaré Kikka Kuosmanen, ancien attaché de presse de Kimi et ami de la famille. "Matti était le patriarche de la famille. C'est une nouvelle très difficile."
L'ancien pilote Mika Salo a lui aussi souligné l'importance de Matti pour Kimi Räikkönen. "Matti était le premier supporter de Kimi. Sans lui, il ne serait pas allé si loin. Aucun père n'a pu davantage aider son fils. Matti est parti trop tôt."
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Red Bull Racing a une nouvelle fois fait preuve de beaucoup d’humour pour sa traditionnelle carte de Noël !
Pour adresser ses vœux en cette période de fêtes, l’équipe championne du monde a repris la polémique – l’une des rares de la saison 2010 – du Grand Prix d’Allemagne, celle des consignes d’équipe.
> Souvenez-vous, l’ingénieur de Felipe Massa, Rob Smedley, avait indiqué à son pilote par radio, alors qu’il était en tête de la course devant son équipier espagnol : "Fernando [Alonso] est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer que tu as compris ce message ?".
- Felipe Massa l’avait ensuite laissé passer quelques virages plus loin, créant la polémique qui a finalement abouti à la levée du bannissement des consignes d’équipe.
> Dans sa carte de vœux, Red Bull Racing reprend à sa sauce cet événement. Le champion du monde Sebastian Vettel est au coude-à-coude avec le Père Noël, son équipe lui indiquant par radio : "Santa est plus rapide que toi… S’il te plait, confirme que tu comprends ce message !"
L’histoire ne dit pas si Sebastian Vettel a effectivement laissé passer le Père Noël pour qu’il ne soit pas en retard pour livrer ses cadeaux !
Source : ToileF1.com
Pour adresser ses vœux en cette période de fêtes, l’équipe championne du monde a repris la polémique – l’une des rares de la saison 2010 – du Grand Prix d’Allemagne, celle des consignes d’équipe.
> Souvenez-vous, l’ingénieur de Felipe Massa, Rob Smedley, avait indiqué à son pilote par radio, alors qu’il était en tête de la course devant son équipier espagnol : "Fernando [Alonso] est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer que tu as compris ce message ?".
- Felipe Massa l’avait ensuite laissé passer quelques virages plus loin, créant la polémique qui a finalement abouti à la levée du bannissement des consignes d’équipe.
> Dans sa carte de vœux, Red Bull Racing reprend à sa sauce cet événement. Le champion du monde Sebastian Vettel est au coude-à-coude avec le Père Noël, son équipe lui indiquant par radio : "Santa est plus rapide que toi… S’il te plait, confirme que tu comprends ce message !"
L’histoire ne dit pas si Sebastian Vettel a effectivement laissé passer le Père Noël pour qu’il ne soit pas en retard pour livrer ses cadeaux !
Source : ToileF1.com
_________________
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
j'en connais qui doient bouillir sous leur scalpe!
Hadzufel- Messages : 9084
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Re: Revue de presse : infos générales.
Mdr excellent
alessitalia- Messages : 2699
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Re: Revue de presse : infos générales.
La FIA ne s’intéresse pas au Vietnam
Hans Geist, conseiller de la FIA, a tenu à démentir les spéculations sur un éventuel GP au Vietnam en projet. « Ma mission est d’informer les parties intéressées par la F1 qui souhaitent construire un circuit aux standards de la F1 et organiser un GP », a déclaré le conseiller qui est récemment venu visiter les officiels du pays concerné. « Je dirais que sur tous ces rendez-vous informatifs, 10% aboutissent à un concept sérieux. Au Vietnam, mon travail était purement informationnel. »
La F1 s’intéresserait en revanche à un GP, en Roumanie, en Afrique du Sud, en Bulgarie et à un autre GP en Chine.
Source : Auto Hebdo.
Un autre en Chine alors que le premier se remplit mal, Roumanie et Bulgarie franchement quelle utilité ? Mais nous voilà rassurés, pas de Vietnam !
Hans Geist, conseiller de la FIA, a tenu à démentir les spéculations sur un éventuel GP au Vietnam en projet. « Ma mission est d’informer les parties intéressées par la F1 qui souhaitent construire un circuit aux standards de la F1 et organiser un GP », a déclaré le conseiller qui est récemment venu visiter les officiels du pays concerné. « Je dirais que sur tous ces rendez-vous informatifs, 10% aboutissent à un concept sérieux. Au Vietnam, mon travail était purement informationnel. »
La F1 s’intéresserait en revanche à un GP, en Roumanie, en Afrique du Sud, en Bulgarie et à un autre GP en Chine.
Source : Auto Hebdo.
Un autre en Chine alors que le premier se remplit mal, Roumanie et Bulgarie franchement quelle utilité ? Mais nous voilà rassurés, pas de Vietnam !
Re: Revue de presse : infos générales.
Thomas Milton a écrit:La FIA ne s’intéresse pas au Vietnam
Hans Geist, conseiller de la FIA, a tenu à démentir les spéculations sur un éventuel GP au Vietnam en projet. « Ma mission est d’informer les parties intéressées par la F1 qui souhaitent construire un circuit aux standards de la F1 et organiser un GP », a déclaré le conseiller qui est récemment venu visiter les officiels du pays concerné. « Je dirais que sur tous ces rendez-vous informatifs, 10% aboutissent à un concept sérieux. Au Vietnam, mon travail était purement informationnel. »
La F1 s’intéresserait en revanche à un GP, en Roumanie, en Afrique du Sud, en Bulgarie et à un autre GP en Chine.
Source : Auto Hebdo.
Un autre en Chine alors que le premier se remplit mal, Roumanie et Bulgarie franchement quelle utilité ? Mais nous voilà rassurés, pas de Vietnam !
Un autre GP en chine et pourquoi? oh lala
Dans ces pays citer le seul serait l'afrique du sud histoire d'avoir tout les continent représenté mais apres la roumanie,Bulgarie,Viet nam et un seconde GP de chine se serait nimpoorte quoi.
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
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Localisation : Les Pavillons sous bois 93
Re: Revue de presse : infos générales.
alessitalia a écrit:Thomas Milton a écrit:La FIA ne s’intéresse pas au Vietnam
Hans Geist, conseiller de la FIA, a tenu à démentir les spéculations sur un éventuel GP au Vietnam en projet. « Ma mission est d’informer les parties intéressées par la F1 qui souhaitent construire un circuit aux standards de la F1 et organiser un GP », a déclaré le conseiller qui est récemment venu visiter les officiels du pays concerné. « Je dirais que sur tous ces rendez-vous informatifs, 10% aboutissent à un concept sérieux. Au Vietnam, mon travail était purement informationnel. »
La F1 s’intéresserait en revanche à un GP, en Roumanie, en Afrique du Sud, en Bulgarie et à un autre GP en Chine.
Source : Auto Hebdo.
Un autre en Chine alors que le premier se remplit mal, Roumanie et Bulgarie franchement quelle utilité ? Mais nous voilà rassurés, pas de Vietnam !
Un autre GP en chine et pourquoi? oh lala
Dans ces pays citer le seul serait l'afrique du sud histoire d'avoir tout les continent représenté mais apres la roumanie,Bulgarie,Viet nam et un seconde GP de chine se serait nimpoorte quoi.
+1000
Et puis, l'Afrique du Sud a quand même une certaine tradition dans la course automobile. Le problème est de savoir quel est le GP qui sauterait.
C'est déjà le cas par rapport aux USA et à la Russie, d'ailleurs. Car je ne pense pas qu'on dépassera le 20 GP !
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
dom465 a écrit:alessitalia a écrit:Thomas Milton a écrit:La FIA ne s’intéresse pas au Vietnam
Hans Geist, conseiller de la FIA, a tenu à démentir les spéculations sur un éventuel GP au Vietnam en projet. « Ma mission est d’informer les parties intéressées par la F1 qui souhaitent construire un circuit aux standards de la F1 et organiser un GP », a déclaré le conseiller qui est récemment venu visiter les officiels du pays concerné. « Je dirais que sur tous ces rendez-vous informatifs, 10% aboutissent à un concept sérieux. Au Vietnam, mon travail était purement informationnel. »
La F1 s’intéresserait en revanche à un GP, en Roumanie, en Afrique du Sud, en Bulgarie et à un autre GP en Chine.
Source : Auto Hebdo.
Un autre en Chine alors que le premier se remplit mal, Roumanie et Bulgarie franchement quelle utilité ? Mais nous voilà rassurés, pas de Vietnam !
Un autre GP en chine et pourquoi? oh lala
Dans ces pays citer le seul serait l'afrique du sud histoire d'avoir tout les continent représenté mais apres la roumanie,Bulgarie,Viet nam et un seconde GP de chine se serait nimpoorte quoi.
+1000
Et puis, l'Afrique du Sud a quand même une certaine tradition dans la course automobile. Le problème est de savoir quel est le GP qui sauterait.
C'est déjà le cas par rapport aux USA et à la Russie, d'ailleurs. Car je ne pense pas qu'on dépassera le 20 GP !
+2000, l'afrique du sud est le seul pys cité qui a une vrai histoire avec la F1
et puis, Kyalami est vraiment un super tracé!
Hadzufel- Messages : 9084
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Re: Revue de presse : infos générales.
Bien que le nouveau Kyalami ne vale pas l'ancien !
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Dossier Schumacher, 1ère partie : une ascension méthodique.
Michael Schumacher est sans conteste l’un des plus grands pilotes qu’ait connu le sport automobile. L’un des plus grands mais aussi l’un des plus controversés.
Son règne est le plus prolifique (7 titres de champion du monde, 91 victoires, 68 poles…) mais c’est aussi celui qui a le plus de points noirs difficiles à éclaircir.
A l’instar d’Ayrton Senna, il ne laisse personne indifférent : soit on l’aime, soit on le déteste. Tout au long de la semaine, ToileF1.com vous propose de revenir sur la carrière d’une légende du sport automobile, en particulier, et du sport en général.
Partie I : Une ascension méthodique
Michael Schumacher est né le 3 janvier 1969 dans le village de Hürth-Hermülheim, près de Cologne. C’est a quatre ans, qu’il effectue ses premiers tours de roue sur la piste de karting de Kerpen. Mais à l’époque le sport automobile n’est pas au centre des préoccupations du jeune homme, qui préfère le football et le judo. Ce n’est que lorsqu’il comprend qu’il n’est pas assez bon pour envisager une carrière de footballeur professionnel qu’il considère sérieusement le sport automobile. Mais encore une fois, ce n’est pas le pilotage proprement dit qui attire l’attention du futur septuple champion du monde. Ce que Michael adore c’est passer du temps à régler sa machine. C’est d’ailleurs lui qui, plus tard, préparera le kart de son petit frère Ralf.
Sa passion pour la Formule 1 remonte à 1980. C’est à cette époque qu’il s’investit sérieusement dans le karting. "Je me rappelle avoir été épaté par un type vêtu d’une combinaison noire. Il était complètement dingue et pourtant si impressionnant dans sa façon de conduire. Je ne savais pas qui il était. Alors, le lendemain, j’ai regardé dans le journal. Son nom était Ayrton da Silva. "
En 1984, il remporte le championnat d’Allemagne junior en karting. L’année suivante, il participe au championnat du monde junior qu’il termine à la deuxième place. En 1987, il décroche le titre en championnat européen. Le palmarès de Michael est raisonnable, mais il est loin d’impressionner son monde comme l’explique Elmar Hoffman, officiel dans le championnat allemand : " Il n’a jamais été un brillant kartman. Il était bon, mais pas au point de l’imaginer un jour devenir pilote de F1. Aujourd’hui on sait que ce n’est pas incompatible !"
En 1988, Schumacher participe au championnat de Formule Ford 1600 Europe. Il termine à la deuxième position loin derrière un certain Mika Salo. "Il y a eu de belles bagarres cette année-là, " se souvient Salo. "C’était souvent du roues dans roues et tous les pilotes ne rêvaient que d’une chose : mettre leur poing dans ma gueule parce que j’étais trop brutal ! Sauf Michael, qui était toujours beau joueur et venait me serrer la main. "
A l’automne 88 la carrière du jeune Schumacher va prendre un tournant important. C’est à cette époque qu’il fait la connaissance de celui qui deviendra son manager : Willi Weber. Weber est alors le patron de l’écurie WTS de Formule 3. Il propose à Michael de faire un test au volant d’une de ses voitures. Test qui sera concluant. "Dés l’instant ou Michael est monté dans la voiture, j’ai su que je tenais un oiseau rare," se souvient Weber. "Il y avait dans sa manière de piloter quelque chose qui m’a plu. J’ai su alors que c’était lui que je voulais." Weber lui propose alors de financer sa prochaine saison en échange d’un contrat de management. C’est à partir de ce moment que la carrière de Schumacher va véritablement décoller.
En 1989 il participe au championnat allemand de F3 au sein de l’équipe WTS. Il termine la saison à la deuxième position ex aequo avec Heinz-Harald Frentzen. Cette année-là, c’est Karl Wendlinger qui coiffe la couronne.
L’année suivante, il est intégré au junior team de Mercedes en voiture de sport avec Frentzen et Wendlinger. Lors des premiers essais organisés sur le tracé du Paul Ricard, Schumacher ne s’avère pas, une nouvelle fois, être le plus impressionnant. Michael avait besoin de temps pour " apprendre" sa voiture. Au contraire d’Heinz-Harald Frentzen qui était rapide d’emblée, peu importe les conditions. Son passage chez Mercedes va finir de parfaire sa formation. Preuve que le talent ne fait pas tout et que le travail finit toujours par porter ses fruits. "La discipline dans l’entrainement, la rigueur dans l’analyse technique et la ténacité dans la course sont des facteurs essentiels en F1, pas uniquement le talent. Et cela je le dois en partie à Mercedes, explique aujourd’hui Michael Schumacher. "J’ai appris la course automobile en karting, mais j’ai tout autant appris chez Mercedes sur ce qu’étaient les besoins d’une équipe. Cette époque a vraiment été une formation déterminante pour moi."
Pour la saison 90, Schumacher est associé à Jochen Mass. Cette courte collaboration se révèle déjà fructueuse puisque le duo se classe deuxième à Dijon et au Nürburgring et l’emporte lors de la course de clôture à Mexico. L’Allemand ne se contente pas de rouler en sports prototypes, il remporte également le championnat d’Allemagne de F3 et participe à une épreuve de DTM. La réussite est donc de son côté. Mais cette époque est également celle des premières polémiques et des manœuvres litigieuses.
Au Grand Prix de Macao, Schumacher se bat avec Hakkinen qui vient de remporter la première manche. Le Finlandais peut se contenter de terminer deuxième derrière l’Allemand dans la seconde. Schumacher prend la tête suivi d’Hakkinen qui ne tente pas le diable. "J’ai décidé de rester dans le sillage de Michael tout en maintenant la pression," se souvient le futur double champion du monde. "Mais en fin de course, il a commis une erreur, peut-être à cause de la fatigue, ce qui m’a donné l’occasion de le déborder. A l’entrée d’un virage très rapide en cinquième, j’ai déboîté et je me suis porté à sa hauteur. Mais à ce moment, il m’a coupé la route et nos voitures se sont touchées. L’accident a été très violent : j’ai heurté le mur à gauche, puis à droite, avant que ma monoplace ne s’immobilise, complètement détruite. Mes espoirs de victoire s’étaient évanouis."
En 1990, toujours, Michael tasse Ellen Lohr qui lui disputait la première place sur le circuit de l’Avus Ring (près de Berlin). Il sera ensuite disqualifié d’une manche de F3 au Mans parce qu’il utilise sa voiture de réserve. D’autres controverses émailleront sa carrière par la suite.
Fort des bons résultats obtenus l’année précédente, Mercedes décide de poursuivre l’expérience du Junior Team pour la saison 91. Mais cette fois-ci, les "junior" disposeront d’une voiture pour eux seuls. Ayant lui aussi réalisé deux deuxièmes places, Karl Wendlinger devient le co-équipier de Michael Schumacher, Jochen Mass, de son côté, rejoint Jean-Louis Schlesser sur la première voiture.
Cette année-là, le Championnat du Monde des Voitures de Sport connait de profonds bouleversements techniques et réglementaires. Les courses passent de 480 à 430 kms, ressemblant de plus en plus à des courses de "sprint" comme en propose la Formule 1. Au niveau des moteurs, la priorité est donnée aux atmosphériques tandis que les turbo sont lestés. Malgré cela, Schlesser et Mass ne jugent pas la nouvelle Sauber C291 et son Flat 12 atmosphérique suffisamment fiable pour entamer la saison. Ils lui préfèrent la vieillissante mais fiable C11 turbo. Schumacher et Wendlinger se retrouvent donc seul à développer leur voiture durant tout le début de saison.
Les abandons sur casse mécanique se succèdent pour le duo Schumacher-Wendlinger. Seule une deuxième place à Silverstone vient tout de même récompenser leurs efforts. Michael Schumacher ne délaisse sa C291 qu’à l’occasion des 24 heures du Mans. Le pilote allemand ne cache pas son envie d’y réussir une belle performance. Seulement Le Mans constitue la seule vraie course d’endurance de l’année. Dans leur volonté de bien faire, Schumacher et Wendlinger vont commettre une erreur de jeunesse en attaquant trop fort. Alors qu’ils sont en tête depuis trois heures, Wendlinger tape le rail sous le pont Dunlop et doit s’arrêter pour changer aileron et capot. Reparti 6ème, Schumacher réalise alors des runs nocturnes de folie pour remonter à la deuxième position, s’adjugeant au passage le meilleur tour. Malheureusement la boite de vitesse ne supporte que peu de temps cette cadence et le trio Schumacher-Wendlinger-Kreutzpointer perd ses dernières chances à 5h du matin lors d’un arrêt d’une demi-heure pour changer les pignons de la boîte.
Malgré une 5ème place finale, la prestation de Michael Schumacher n’est pas passée inaperçue. Montrant une incroyable vélocité et un vrai goût de la mise au point, il domine de plus en plus régulièrement son équipier Wendlinger. Recruté en cours de saison par les équipes de Formule 1 Jordan et Benetton, Schumacher termine tout de même son programme en Voitures de Sport. Il conclut d’ailleurs la saison et la présence en Endurance de Mercedes par une victoire. Sur le tout nouveau circuit d’Autopolis au Japon, il devance enfin les Jaguar XJR-14 dessinées par Ross Brawn et les Peugeot 905 managées par Jean Todt.
Michael disputera aussi 2 manches du championnat DTM au volant d’une Mercedes 190E 2.5-16 Evo 2 mais sans grand succès (une 14ème place, une 25ème place et 2 abandons en 4 manches).
Demain, retrouvez le deuxième volet de ce dossier consacré à Michael Schumacher : Une arrivée fracassante en F1 !
Source : toilef1.com
Michael Schumacher est sans conteste l’un des plus grands pilotes qu’ait connu le sport automobile. L’un des plus grands mais aussi l’un des plus controversés.
Son règne est le plus prolifique (7 titres de champion du monde, 91 victoires, 68 poles…) mais c’est aussi celui qui a le plus de points noirs difficiles à éclaircir.
A l’instar d’Ayrton Senna, il ne laisse personne indifférent : soit on l’aime, soit on le déteste. Tout au long de la semaine, ToileF1.com vous propose de revenir sur la carrière d’une légende du sport automobile, en particulier, et du sport en général.
Partie I : Une ascension méthodique
Michael Schumacher est né le 3 janvier 1969 dans le village de Hürth-Hermülheim, près de Cologne. C’est a quatre ans, qu’il effectue ses premiers tours de roue sur la piste de karting de Kerpen. Mais à l’époque le sport automobile n’est pas au centre des préoccupations du jeune homme, qui préfère le football et le judo. Ce n’est que lorsqu’il comprend qu’il n’est pas assez bon pour envisager une carrière de footballeur professionnel qu’il considère sérieusement le sport automobile. Mais encore une fois, ce n’est pas le pilotage proprement dit qui attire l’attention du futur septuple champion du monde. Ce que Michael adore c’est passer du temps à régler sa machine. C’est d’ailleurs lui qui, plus tard, préparera le kart de son petit frère Ralf.
Sa passion pour la Formule 1 remonte à 1980. C’est à cette époque qu’il s’investit sérieusement dans le karting. "Je me rappelle avoir été épaté par un type vêtu d’une combinaison noire. Il était complètement dingue et pourtant si impressionnant dans sa façon de conduire. Je ne savais pas qui il était. Alors, le lendemain, j’ai regardé dans le journal. Son nom était Ayrton da Silva. "
En 1984, il remporte le championnat d’Allemagne junior en karting. L’année suivante, il participe au championnat du monde junior qu’il termine à la deuxième place. En 1987, il décroche le titre en championnat européen. Le palmarès de Michael est raisonnable, mais il est loin d’impressionner son monde comme l’explique Elmar Hoffman, officiel dans le championnat allemand : " Il n’a jamais été un brillant kartman. Il était bon, mais pas au point de l’imaginer un jour devenir pilote de F1. Aujourd’hui on sait que ce n’est pas incompatible !"
En 1988, Schumacher participe au championnat de Formule Ford 1600 Europe. Il termine à la deuxième position loin derrière un certain Mika Salo. "Il y a eu de belles bagarres cette année-là, " se souvient Salo. "C’était souvent du roues dans roues et tous les pilotes ne rêvaient que d’une chose : mettre leur poing dans ma gueule parce que j’étais trop brutal ! Sauf Michael, qui était toujours beau joueur et venait me serrer la main. "
A l’automne 88 la carrière du jeune Schumacher va prendre un tournant important. C’est à cette époque qu’il fait la connaissance de celui qui deviendra son manager : Willi Weber. Weber est alors le patron de l’écurie WTS de Formule 3. Il propose à Michael de faire un test au volant d’une de ses voitures. Test qui sera concluant. "Dés l’instant ou Michael est monté dans la voiture, j’ai su que je tenais un oiseau rare," se souvient Weber. "Il y avait dans sa manière de piloter quelque chose qui m’a plu. J’ai su alors que c’était lui que je voulais." Weber lui propose alors de financer sa prochaine saison en échange d’un contrat de management. C’est à partir de ce moment que la carrière de Schumacher va véritablement décoller.
En 1989 il participe au championnat allemand de F3 au sein de l’équipe WTS. Il termine la saison à la deuxième position ex aequo avec Heinz-Harald Frentzen. Cette année-là, c’est Karl Wendlinger qui coiffe la couronne.
L’année suivante, il est intégré au junior team de Mercedes en voiture de sport avec Frentzen et Wendlinger. Lors des premiers essais organisés sur le tracé du Paul Ricard, Schumacher ne s’avère pas, une nouvelle fois, être le plus impressionnant. Michael avait besoin de temps pour " apprendre" sa voiture. Au contraire d’Heinz-Harald Frentzen qui était rapide d’emblée, peu importe les conditions. Son passage chez Mercedes va finir de parfaire sa formation. Preuve que le talent ne fait pas tout et que le travail finit toujours par porter ses fruits. "La discipline dans l’entrainement, la rigueur dans l’analyse technique et la ténacité dans la course sont des facteurs essentiels en F1, pas uniquement le talent. Et cela je le dois en partie à Mercedes, explique aujourd’hui Michael Schumacher. "J’ai appris la course automobile en karting, mais j’ai tout autant appris chez Mercedes sur ce qu’étaient les besoins d’une équipe. Cette époque a vraiment été une formation déterminante pour moi."
Pour la saison 90, Schumacher est associé à Jochen Mass. Cette courte collaboration se révèle déjà fructueuse puisque le duo se classe deuxième à Dijon et au Nürburgring et l’emporte lors de la course de clôture à Mexico. L’Allemand ne se contente pas de rouler en sports prototypes, il remporte également le championnat d’Allemagne de F3 et participe à une épreuve de DTM. La réussite est donc de son côté. Mais cette époque est également celle des premières polémiques et des manœuvres litigieuses.
Au Grand Prix de Macao, Schumacher se bat avec Hakkinen qui vient de remporter la première manche. Le Finlandais peut se contenter de terminer deuxième derrière l’Allemand dans la seconde. Schumacher prend la tête suivi d’Hakkinen qui ne tente pas le diable. "J’ai décidé de rester dans le sillage de Michael tout en maintenant la pression," se souvient le futur double champion du monde. "Mais en fin de course, il a commis une erreur, peut-être à cause de la fatigue, ce qui m’a donné l’occasion de le déborder. A l’entrée d’un virage très rapide en cinquième, j’ai déboîté et je me suis porté à sa hauteur. Mais à ce moment, il m’a coupé la route et nos voitures se sont touchées. L’accident a été très violent : j’ai heurté le mur à gauche, puis à droite, avant que ma monoplace ne s’immobilise, complètement détruite. Mes espoirs de victoire s’étaient évanouis."
En 1990, toujours, Michael tasse Ellen Lohr qui lui disputait la première place sur le circuit de l’Avus Ring (près de Berlin). Il sera ensuite disqualifié d’une manche de F3 au Mans parce qu’il utilise sa voiture de réserve. D’autres controverses émailleront sa carrière par la suite.
Fort des bons résultats obtenus l’année précédente, Mercedes décide de poursuivre l’expérience du Junior Team pour la saison 91. Mais cette fois-ci, les "junior" disposeront d’une voiture pour eux seuls. Ayant lui aussi réalisé deux deuxièmes places, Karl Wendlinger devient le co-équipier de Michael Schumacher, Jochen Mass, de son côté, rejoint Jean-Louis Schlesser sur la première voiture.
Cette année-là, le Championnat du Monde des Voitures de Sport connait de profonds bouleversements techniques et réglementaires. Les courses passent de 480 à 430 kms, ressemblant de plus en plus à des courses de "sprint" comme en propose la Formule 1. Au niveau des moteurs, la priorité est donnée aux atmosphériques tandis que les turbo sont lestés. Malgré cela, Schlesser et Mass ne jugent pas la nouvelle Sauber C291 et son Flat 12 atmosphérique suffisamment fiable pour entamer la saison. Ils lui préfèrent la vieillissante mais fiable C11 turbo. Schumacher et Wendlinger se retrouvent donc seul à développer leur voiture durant tout le début de saison.
Les abandons sur casse mécanique se succèdent pour le duo Schumacher-Wendlinger. Seule une deuxième place à Silverstone vient tout de même récompenser leurs efforts. Michael Schumacher ne délaisse sa C291 qu’à l’occasion des 24 heures du Mans. Le pilote allemand ne cache pas son envie d’y réussir une belle performance. Seulement Le Mans constitue la seule vraie course d’endurance de l’année. Dans leur volonté de bien faire, Schumacher et Wendlinger vont commettre une erreur de jeunesse en attaquant trop fort. Alors qu’ils sont en tête depuis trois heures, Wendlinger tape le rail sous le pont Dunlop et doit s’arrêter pour changer aileron et capot. Reparti 6ème, Schumacher réalise alors des runs nocturnes de folie pour remonter à la deuxième position, s’adjugeant au passage le meilleur tour. Malheureusement la boite de vitesse ne supporte que peu de temps cette cadence et le trio Schumacher-Wendlinger-Kreutzpointer perd ses dernières chances à 5h du matin lors d’un arrêt d’une demi-heure pour changer les pignons de la boîte.
Malgré une 5ème place finale, la prestation de Michael Schumacher n’est pas passée inaperçue. Montrant une incroyable vélocité et un vrai goût de la mise au point, il domine de plus en plus régulièrement son équipier Wendlinger. Recruté en cours de saison par les équipes de Formule 1 Jordan et Benetton, Schumacher termine tout de même son programme en Voitures de Sport. Il conclut d’ailleurs la saison et la présence en Endurance de Mercedes par une victoire. Sur le tout nouveau circuit d’Autopolis au Japon, il devance enfin les Jaguar XJR-14 dessinées par Ross Brawn et les Peugeot 905 managées par Jean Todt.
Michael disputera aussi 2 manches du championnat DTM au volant d’une Mercedes 190E 2.5-16 Evo 2 mais sans grand succès (une 14ème place, une 25ème place et 2 abandons en 4 manches).
Demain, retrouvez le deuxième volet de ce dossier consacré à Michael Schumacher : Une arrivée fracassante en F1 !
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
dom465 a écrit:Bien que le nouveau Kyalami ne vale pas l'ancien !
je preferai l ancian !!!
bebep29200- Messages : 766
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Jackie Stewart : La meilleure ère de la F1 !
>> Sir Jackie Stewart a aimé suivre cette saison 2010, où le Champion du Monde est resté indécis jusqu’à la dernière course de la saison, alors que plusieurs prétendants étaient encore en lice.
- « Je pense que c’est la meilleure ère de la F1 », a-t-il indiqué sur "Autosport". « Red Bull avait une bonne voiture cette année mais il y avait encore quatre prétendants pour le titre à la dernière course de la saison, et il y en a eu cinq au cours de la saison. »
« Il y avait une Red Bull, une Ferrari, une McLaren, une Renault constamment à l’attaque, on ne peut pas demander meilleur que ça », a ajouté le triple Champion du Monde. « C’était une longue saison qui a duré jusqu’à la dernière course. C’était une bataille très serrée. »
Source : Autohebdo.fr
- « Je pense que c’est la meilleure ère de la F1 », a-t-il indiqué sur "Autosport". « Red Bull avait une bonne voiture cette année mais il y avait encore quatre prétendants pour le titre à la dernière course de la saison, et il y en a eu cinq au cours de la saison. »
« Il y avait une Red Bull, une Ferrari, une McLaren, une Renault constamment à l’attaque, on ne peut pas demander meilleur que ça », a ajouté le triple Champion du Monde. « C’était une longue saison qui a duré jusqu’à la dernière course. C’était une bataille très serrée. »
Source : Autohebdo.fr
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Re: Revue de presse : infos générales.
Dossier Schumacher, 2ième partie : Une arrivée fracassante en F1.
Fin d’année oblige, l’actualité de la Formule 1 est relativement pauvre. C’est pourquoi, tout au long de cette semaine, la rédaction de ToileF1.com vous propose un dossier retraçant la carrière de Michael Schumacher. Aujourd’hui, découvrez le deuxième volet de ce dossier.
Une arrivée fracassante en F1 !
Sportivement parlant, la saison 91 n’est pas des plus réussie. Jusqu’au 20 août 1991. Ce jour-là, Schumacher se rend sur le circuit de Silverstone pour y tester la Jordan 191 en vue de remplacer Bertrand Gachot, emprisonné en Angleterre pour avoir fait usage d’un spray lacrymogène dans une altercation avec un taximan. Le soir même, Trevor Foster (team manager de l’écurie) téléphone à Eddie Jordan pour lui faire part de ses impressions. Jordan accepte de faire rouler le jeune Allemand en Belgique s’il signe un contrat de trois ans avec son équipe. Mais Michael souhaite avoir un temps de réflexion avant de s’engager fermement avec Jordan. Les deux parties se mettent d’accord et Schumacher signe une lettre d’intention qui couvre sa participation à la manche belge ainsi que pour le reste de la saison 91 et pour les trois saisons suivante.
Michael débarque en quasi inconnu dans le paddock de Spa-Francorchamps. Mais il va très vite se faire un nom sur ce qui deviendra son jardin. Une septième place sur la grille de départ, un abandon dans les premiers mètres de la course à cause d’un embrayage défectueux : le jeune Michael Schumacher (22 ans) vient de débuter une véritable histoire d’amour avec la Formule 1. Il n’en faut pas plus pour le rusé Flavio Briatore, manager de l’équipe Benetton, qui saute sur l’occasion en essayant de s’attacher ses services dès la course suivante. A peine arrivé en F1, Michael Schumacher est déjà au centre d’une bataille juridique entre Jordan et Benetton. Duel qui tournera à l’avantage de l’équipe de Briatore qui place beaucoup d’espoirs dans ce jeune pilote.
L’Allemand ne va pas le décevoir : dès sa première course dans l’écurie, il termine cinquième à Monza et devance son coéquipier, le triple champion du monde Nelson Piquet médusé : "Je ne pouvais tout simplement pas le suivre." Il termine les deux manches suivantes à la sixième place. Le jeune prodige allemand semble s’adapter facilement à la catégorie reine mais il a encore énormément à apprendre... C’est ce qu’il va faire en 1992.
Nelson Piquet partit à la retraite, Schumacher fait équipe avec Martin Brundle. Cette année-là, il obtient son premier podium au Mexique, pour la deuxième manche de la saison. Il s’accroche également à deux reprises avec le roi de l’époque, Ayrton Senna.
C’est aussi cette année-là qu’il remporte sa première course, à Spa. Parti depuis la troisième position sur la grille, le pilote prend un bon départ et reste en embuscade derrière Mansell et Senna. Comme souvent à Spa, la pluie vient jouer les trouble-fête. Schumacher est le premier à rentrer aux stands pour monter des pneus pluie. Michael profite des conditions piégeuses pour prendre le meilleur sur ses adversaires. Alors que la piste s’assèche, il est, une nouvelle fois, le premier à changer de gommes alors que les autres pilotes conservent leurs pneumatiques pour piste humide. Ce choix stratégique permet au pilote allemand de remporter sa première victoire sur le circuit où il avait débuté un an plus tôt. Il s’agit là de la première victoire d’une longue série.
Schumacher termine à la troisième place du championnat du monde derrière les intouchables pilotes Williams mais devant les McLaren de Senna et Berger. La sixième position de Brundle permet à l’écurie Benetton de se hisser au troisième rang mondial au classement constructeur. Martin Brundle sera pourtant remplacé par Patresse (en provenance de chez Williams) pour la saison 93. Choix que Flavio Briatore regrettera par la suite.
1993 est une année assez similaire à 92, où il continue son apprentissage commettant plus d’erreur que les années précédentes. De plus la Benetton connait quelques soucis de fiabilité. Michael Schumacher termine 9 courses, à chaque fois sur le podium et remporte une nouvelle victoire à Estoril au Portugal au terme d’un superbe duel avec Alain Prost. Il termine 4ème du championnat derrière Prost (qui remporte un 4ème et dernier titre) Senna et Hill sur la seconde Williams.
Rendez-vous demain pour le troisième volet de ce dossier, intitulé : Les premiers titres.
Source : toilef1.com
Fin d’année oblige, l’actualité de la Formule 1 est relativement pauvre. C’est pourquoi, tout au long de cette semaine, la rédaction de ToileF1.com vous propose un dossier retraçant la carrière de Michael Schumacher. Aujourd’hui, découvrez le deuxième volet de ce dossier.
Une arrivée fracassante en F1 !
Sportivement parlant, la saison 91 n’est pas des plus réussie. Jusqu’au 20 août 1991. Ce jour-là, Schumacher se rend sur le circuit de Silverstone pour y tester la Jordan 191 en vue de remplacer Bertrand Gachot, emprisonné en Angleterre pour avoir fait usage d’un spray lacrymogène dans une altercation avec un taximan. Le soir même, Trevor Foster (team manager de l’écurie) téléphone à Eddie Jordan pour lui faire part de ses impressions. Jordan accepte de faire rouler le jeune Allemand en Belgique s’il signe un contrat de trois ans avec son équipe. Mais Michael souhaite avoir un temps de réflexion avant de s’engager fermement avec Jordan. Les deux parties se mettent d’accord et Schumacher signe une lettre d’intention qui couvre sa participation à la manche belge ainsi que pour le reste de la saison 91 et pour les trois saisons suivante.
Michael débarque en quasi inconnu dans le paddock de Spa-Francorchamps. Mais il va très vite se faire un nom sur ce qui deviendra son jardin. Une septième place sur la grille de départ, un abandon dans les premiers mètres de la course à cause d’un embrayage défectueux : le jeune Michael Schumacher (22 ans) vient de débuter une véritable histoire d’amour avec la Formule 1. Il n’en faut pas plus pour le rusé Flavio Briatore, manager de l’équipe Benetton, qui saute sur l’occasion en essayant de s’attacher ses services dès la course suivante. A peine arrivé en F1, Michael Schumacher est déjà au centre d’une bataille juridique entre Jordan et Benetton. Duel qui tournera à l’avantage de l’équipe de Briatore qui place beaucoup d’espoirs dans ce jeune pilote.
L’Allemand ne va pas le décevoir : dès sa première course dans l’écurie, il termine cinquième à Monza et devance son coéquipier, le triple champion du monde Nelson Piquet médusé : "Je ne pouvais tout simplement pas le suivre." Il termine les deux manches suivantes à la sixième place. Le jeune prodige allemand semble s’adapter facilement à la catégorie reine mais il a encore énormément à apprendre... C’est ce qu’il va faire en 1992.
Nelson Piquet partit à la retraite, Schumacher fait équipe avec Martin Brundle. Cette année-là, il obtient son premier podium au Mexique, pour la deuxième manche de la saison. Il s’accroche également à deux reprises avec le roi de l’époque, Ayrton Senna.
C’est aussi cette année-là qu’il remporte sa première course, à Spa. Parti depuis la troisième position sur la grille, le pilote prend un bon départ et reste en embuscade derrière Mansell et Senna. Comme souvent à Spa, la pluie vient jouer les trouble-fête. Schumacher est le premier à rentrer aux stands pour monter des pneus pluie. Michael profite des conditions piégeuses pour prendre le meilleur sur ses adversaires. Alors que la piste s’assèche, il est, une nouvelle fois, le premier à changer de gommes alors que les autres pilotes conservent leurs pneumatiques pour piste humide. Ce choix stratégique permet au pilote allemand de remporter sa première victoire sur le circuit où il avait débuté un an plus tôt. Il s’agit là de la première victoire d’une longue série.
Schumacher termine à la troisième place du championnat du monde derrière les intouchables pilotes Williams mais devant les McLaren de Senna et Berger. La sixième position de Brundle permet à l’écurie Benetton de se hisser au troisième rang mondial au classement constructeur. Martin Brundle sera pourtant remplacé par Patresse (en provenance de chez Williams) pour la saison 93. Choix que Flavio Briatore regrettera par la suite.
1993 est une année assez similaire à 92, où il continue son apprentissage commettant plus d’erreur que les années précédentes. De plus la Benetton connait quelques soucis de fiabilité. Michael Schumacher termine 9 courses, à chaque fois sur le podium et remporte une nouvelle victoire à Estoril au Portugal au terme d’un superbe duel avec Alain Prost. Il termine 4ème du championnat derrière Prost (qui remporte un 4ème et dernier titre) Senna et Hill sur la seconde Williams.
Rendez-vous demain pour le troisième volet de ce dossier, intitulé : Les premiers titres.
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
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Le KERS n'a pas sa place en F1, selon un ingénieur de HRT...
>> Un des ingénieurs de l’équipe HRT, Toni Cuquerella, pense que les technologies de récupération de l’énergie cinétique, KERS en anglais, n’ont pas vraiment leur place en Formule 1.
- HRT, tout comme Virgin, ne compte pas utiliser ce système en 2011.
> Cette technologie, introduite en 2009 et de retour l’an prochain, stocke l’énergie liée à la perte de la vitesse des voitures dans des batteries pour être réutilisée à l’aide d’un moteur électrique capable de fonctionner dans les deux sens : pour recharger la batterie lors d’un freinage ou pour apporter un surcroit de puissance à la voiture lors d’une accélération.
-"Le KERS n’est pas une technologie efficace," déclare Cuquerella, ancien ingénieur de BMW Sauber et qui a travaillé sur le KERS de l’équipe à cette époque. "C’est une technologie verte, à la mode, qui aide à vendre plus de voitures de route. Elle n’est pas efficace mais cela fait vendre et les constructeurs le veulent en tant qu’outil marketing et pour justifier leurs investissements en Formule 1."
> Il en a profité pour compléter les récents propos de son directeur d’écurie, Colin Kolles.
- "C’est vrai que nous avons été désavantagés en 2010 par l’inexpérience de nos pilotes. Nous n’avions pas de pilote expérimenté comme peut l’être Jarno Trulli. Mais il ne fait pas l’ombre d’un doute que notre voiture était également plutôt lente," concède-t-il.
Source : Nextgen-auto.com
- HRT, tout comme Virgin, ne compte pas utiliser ce système en 2011.
> Cette technologie, introduite en 2009 et de retour l’an prochain, stocke l’énergie liée à la perte de la vitesse des voitures dans des batteries pour être réutilisée à l’aide d’un moteur électrique capable de fonctionner dans les deux sens : pour recharger la batterie lors d’un freinage ou pour apporter un surcroit de puissance à la voiture lors d’une accélération.
-"Le KERS n’est pas une technologie efficace," déclare Cuquerella, ancien ingénieur de BMW Sauber et qui a travaillé sur le KERS de l’équipe à cette époque. "C’est une technologie verte, à la mode, qui aide à vendre plus de voitures de route. Elle n’est pas efficace mais cela fait vendre et les constructeurs le veulent en tant qu’outil marketing et pour justifier leurs investissements en Formule 1."
> Il en a profité pour compléter les récents propos de son directeur d’écurie, Colin Kolles.
- "C’est vrai que nous avons été désavantagés en 2010 par l’inexpérience de nos pilotes. Nous n’avions pas de pilote expérimenté comme peut l’être Jarno Trulli. Mais il ne fait pas l’ombre d’un doute que notre voiture était également plutôt lente," concède-t-il.
Source : Nextgen-auto.com
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