Revue de presse : infos générales.
+22
Critérium
emacaly
vtec
boubou
cedric MLG
SAUBER.F1
nairboul
coyote
stanito71
Hadzufel
Thomas Milton
alessitalia
Fabienne
McLaren
pipom
TROIKA
Admin
teknologik
Monsieur Burns
BRUNO935K3
Johan
dom465
26 participants
Page 29 sur 39
Page 29 sur 39 • 1 ... 16 ... 28, 29, 30 ... 34 ... 39
Re: Revue de presse : infos générales.
Hadzufel a écrit:+1dom465 a écrit:Faut dire que Ferrari, avec son circuit privé, est l'équipe qui, de très loin, faisait le plus d'essais privés.
Et c'est certainement celle qui a été la plus gênée cette année par le manque d'essais.
Et Schumacher aussi, bien sûr !
Vous vous allez avoir des problèmes, des gros problèmes !!!
Re: Revue de presse : infos générales.
Partage des revenus
Les équipes pensent à l'après-2012[/u][/b]
Lors d'une rencontre avec les médias à Maranello, le président de Ferrari a indiqué que les écuries de la F1 revendiquent toujours une plus grande part des revenus. Le spectre d'un championnat parallèle a de nouveau été invoqué.
L'an dernier, une véritable crise a éclaté entre la FOTA (l'association des équipes), FOM (Formula One Management, dirigée par Bernie Ecclestone) et la FIA. La majorité des équipes menaçaient alors de quitter la Formule 1 pour fonder leur propre série si elles n'obtenaient pas une plus grande part des revenus générés par la F1, ainsi qu'un droit de parole plus important dans les affaires de la catégorie reine.
De plus, la FOTA exigeait que le projet de plafond budgétaire que voulait imposer la FIA, alors présidée par Max Mosley, soit abandonné.
Un amendement aux Accords Concorde (le document qui lie la FOTA, la FIA et FOM) a finalement été signé au bout de quelques mois, prolongeant ainsi l'entente jusqu'en 2012. Mais les écuries ne sont pas entièrement satisfaites et les négociations en vue du prochain amendement sont déjà en cours.
"Nous sommes à la croisée des chemins", a déclaré Luca di Montezemolo jeudi. "Nous avons la Formule 1 dans nos cœurs et dans nos esprits mais nous ne voulons pas nous retrouver dans une prison de Formule 1."
Voilà une première flèche décochée. Selon le journal The Telegraph, le président de Ferrari envisage trois scénarios.
Le premier serait le plus simple : continuer avec les propriétaires actuels de la F1 (CVC Capital), à la condition que Bernie Ecclestone soit toujours à la tête de FOM. Il s'agirait alors de négocier une entente pour l'après-2012.
La seconde option verrait le modèle d'affaires actuel de la F1 maintenu, mais avec des propriétaires différents. Le dernier recours serait de mettre sur pied un championnat parallèle dont les écuries seraient propriétaires et en feraient elles-mêmes la promotion.
Mais di Montezemolo n'a pas caché sa préférence : continuer avec Ecclestone à la barre de la F1. Même si ce dernier n'apprécie pas l'existence de la FOTA.
"Pour moi, la présence de Bernie est une priorité car nous ne voulons pas que la Formule 1 soit dirigée par la Bourse", a expliqué l'Italien de 63 ans. "Nous avons besoin de gens ayant de la crédibilité, de la personnalité et de l'expérience."
"Mais nous pourrions toujours trouver un autre promoteur", a-t-il ajouté. "Au fond, cette business n'est pas si compliquée."
© ESPN EMEA Ltd.
Les équipes pensent à l'après-2012[/u][/b]
Lors d'une rencontre avec les médias à Maranello, le président de Ferrari a indiqué que les écuries de la F1 revendiquent toujours une plus grande part des revenus. Le spectre d'un championnat parallèle a de nouveau été invoqué.
L'an dernier, une véritable crise a éclaté entre la FOTA (l'association des équipes), FOM (Formula One Management, dirigée par Bernie Ecclestone) et la FIA. La majorité des équipes menaçaient alors de quitter la Formule 1 pour fonder leur propre série si elles n'obtenaient pas une plus grande part des revenus générés par la F1, ainsi qu'un droit de parole plus important dans les affaires de la catégorie reine.
De plus, la FOTA exigeait que le projet de plafond budgétaire que voulait imposer la FIA, alors présidée par Max Mosley, soit abandonné.
Un amendement aux Accords Concorde (le document qui lie la FOTA, la FIA et FOM) a finalement été signé au bout de quelques mois, prolongeant ainsi l'entente jusqu'en 2012. Mais les écuries ne sont pas entièrement satisfaites et les négociations en vue du prochain amendement sont déjà en cours.
"Nous sommes à la croisée des chemins", a déclaré Luca di Montezemolo jeudi. "Nous avons la Formule 1 dans nos cœurs et dans nos esprits mais nous ne voulons pas nous retrouver dans une prison de Formule 1."
Voilà une première flèche décochée. Selon le journal The Telegraph, le président de Ferrari envisage trois scénarios.
Le premier serait le plus simple : continuer avec les propriétaires actuels de la F1 (CVC Capital), à la condition que Bernie Ecclestone soit toujours à la tête de FOM. Il s'agirait alors de négocier une entente pour l'après-2012.
La seconde option verrait le modèle d'affaires actuel de la F1 maintenu, mais avec des propriétaires différents. Le dernier recours serait de mettre sur pied un championnat parallèle dont les écuries seraient propriétaires et en feraient elles-mêmes la promotion.
Mais di Montezemolo n'a pas caché sa préférence : continuer avec Ecclestone à la barre de la F1. Même si ce dernier n'apprécie pas l'existence de la FOTA.
"Pour moi, la présence de Bernie est une priorité car nous ne voulons pas que la Formule 1 soit dirigée par la Bourse", a expliqué l'Italien de 63 ans. "Nous avons besoin de gens ayant de la crédibilité, de la personnalité et de l'expérience."
"Mais nous pourrions toujours trouver un autre promoteur", a-t-il ajouté. "Au fond, cette business n'est pas si compliquée."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Vitaly Petrov annoncera ses plans ce mercredi 22 décembre.
>> Il ne faut plus attendre que cinq jours pour connaître le futur de Vitaly Petrov en Formule 1.
> Vitaly Petrov a confirmé aujourd’hui la tenue d’une conférence de presse mercredi prochain à Moscou pour non seulement évoquer 2011, mais également 2012.
- La possibilité la plus forte semble sa reconduction par Lotus Renault GP pour les deux années à venir, aux côtés de Robert Kubica.
> Cette dernière semaine, "Group Lotus", nouveau propriétaire de l’équipe aux côtés de Genii Capital, n’a d’ailleurs pas caché l’importance de conserver Vitaly Petrov pour percer sur le marché russe avec ses voitures sportives.
- Il reste cependant une seconde option :
la non reconduction de Vitaly Petrov par Lotus Renault GP. Dans les deux cas, le voile sera levé sur son futur mercredi prochain.
Source : ToileF1.com
> Vitaly Petrov a confirmé aujourd’hui la tenue d’une conférence de presse mercredi prochain à Moscou pour non seulement évoquer 2011, mais également 2012.
- La possibilité la plus forte semble sa reconduction par Lotus Renault GP pour les deux années à venir, aux côtés de Robert Kubica.
> Cette dernière semaine, "Group Lotus", nouveau propriétaire de l’équipe aux côtés de Genii Capital, n’a d’ailleurs pas caché l’importance de conserver Vitaly Petrov pour percer sur le marché russe avec ses voitures sportives.
- Il reste cependant une seconde option :
la non reconduction de Vitaly Petrov par Lotus Renault GP. Dans les deux cas, le voile sera levé sur son futur mercredi prochain.
Source : ToileF1.com
_________________
Championnat parallèle ; Montezemolo en reparle...
>> Luca di Montezemolo, président de Ferrari, n’a pas abandonné sa vieille idée d’organiser un championnat parallèle à la F1 afin de mieux contrôler les droits commerciaux qui sont aujourd’hui aux mains de la FOM de Bernie Ecclestone.
> La FOM redistribue une partie des droits commerciaux de la F1 aux équipes, mais une partie seulement. On dit ici et là que la moitié de l’argent resterait dans les caisses de la FOM...
-"Nous sommes à un croisement. Nous pourrions trouver un nouveau promoteur. Finalement, ce boulot n’est pas très compliqué," déclare Montezemolo.
> Les actuels Accords concorde, ceux qui lient les équipes de F1 à la FOM dirigée par Bernie Ecclestone, arrivent à leur terme à la fin de l’année 2012 et il faut donc commencer à penser à la suite.
- Parmi les scénarios possibles, Montezemolo pense à celui qui a été mis en place aux Etats-Unis en "NBA" avec les équipes qui sont elles-mêmes propriétaires de leur championnat de basket-ball.
Luca di Montezemolo pense aussi aux nouveaux petits moteurs turbo-compressés qui seront introduits dès 2013 et il a du mal à cacher sa contrariété.
- "Ferrari ne fera jamais des voitures de route avec un moteur à quatre cylindres. Ce que la FIA souhaite, c’est réduire les coûts, mais au lieu de ça, ils augmentent, car ils changent le règlement toutes les cinq minutes. C’est de F1 que nous parlons et ce championnat doit être le fer de lance du développement technologique," affirme Montezemolo.
> Luca di Montezemolo sera-t-il toujours à la tête de Ferrari d’ici 2013 alors que certains lui prêtent des ambitions politiques en Italie ?
- "J’ai une annonce importante à vous faire : je vais fonder mon propre parti politique. Plus sérieusement, j’ai parlé avec la famille Ferrari et je peux vous dire que mon avenir se trouve chez eux. Ce travail, c’est ma vie et cela ne changera pas."
Source : RaddioPaddock.com / Daniel THYS
> La FOM redistribue une partie des droits commerciaux de la F1 aux équipes, mais une partie seulement. On dit ici et là que la moitié de l’argent resterait dans les caisses de la FOM...
-"Nous sommes à un croisement. Nous pourrions trouver un nouveau promoteur. Finalement, ce boulot n’est pas très compliqué," déclare Montezemolo.
> Les actuels Accords concorde, ceux qui lient les équipes de F1 à la FOM dirigée par Bernie Ecclestone, arrivent à leur terme à la fin de l’année 2012 et il faut donc commencer à penser à la suite.
- Parmi les scénarios possibles, Montezemolo pense à celui qui a été mis en place aux Etats-Unis en "NBA" avec les équipes qui sont elles-mêmes propriétaires de leur championnat de basket-ball.
Luca di Montezemolo pense aussi aux nouveaux petits moteurs turbo-compressés qui seront introduits dès 2013 et il a du mal à cacher sa contrariété.
- "Ferrari ne fera jamais des voitures de route avec un moteur à quatre cylindres. Ce que la FIA souhaite, c’est réduire les coûts, mais au lieu de ça, ils augmentent, car ils changent le règlement toutes les cinq minutes. C’est de F1 que nous parlons et ce championnat doit être le fer de lance du développement technologique," affirme Montezemolo.
> Luca di Montezemolo sera-t-il toujours à la tête de Ferrari d’ici 2013 alors que certains lui prêtent des ambitions politiques en Italie ?
- "J’ai une annonce importante à vous faire : je vais fonder mon propre parti politique. Plus sérieusement, j’ai parlé avec la famille Ferrari et je peux vous dire que mon avenir se trouve chez eux. Ce travail, c’est ma vie et cela ne changera pas."
Source : RaddioPaddock.com / Daniel THYS
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Sir Stirling Moss tance Schumacher
Sir Stirling Moss pense que les nouvelles dispositions de la FIA en termes de conduite aggressive devraient désavantager Michael Schumacher.
Pour la saison 2011, la FIA va donner aux commissaires plus de liberté pour sévir envers les pilotes qui ''franchissent la ligne''. Le changement des règles est arrivé après le Grand Prix de Hongrie, quand Schumacher avait tassé Rubens Barrichello contre le mur des stands.
"Ils ont pris des dispositions, cela va diminuer les chances de Schumacher. Ce qu'il a fait en Hongrie était honteux. La Formule 1 est un sport très sûr aujourd'hui, mais si quelqu'un était sorti des stands à ce moment-là, cela aurait pu être dramatique".
Moss approuve l'autorisation des consignes d'équipe, Ferrari s'en étant sortie avec juste une amende de 100 000 dollars après le Grand Prix d'Allemagne. "Les consignes d'équipe ont toujours existé et existeront toujours."
L'année prochaine, le SREC fera son retour et les ailerons arrière ajustables feront leur entrée. Stirling Moss pense que les nouvelles réglementations offriront une saison passionnante.
"J'espère que la saison à venir sera encore meilleure que celle-ci, une des plus intéressantes que l'on ait vu depuis longtemps. Je suis ultra-favorable au SREC, je pense que chaque voiture (de série) en sera équipée dans 10 ou 15 ans", se réjouit-il.
© ESPN EMEA Ltd.
Sir Stirling Moss pense que les nouvelles dispositions de la FIA en termes de conduite aggressive devraient désavantager Michael Schumacher.
Pour la saison 2011, la FIA va donner aux commissaires plus de liberté pour sévir envers les pilotes qui ''franchissent la ligne''. Le changement des règles est arrivé après le Grand Prix de Hongrie, quand Schumacher avait tassé Rubens Barrichello contre le mur des stands.
"Ils ont pris des dispositions, cela va diminuer les chances de Schumacher. Ce qu'il a fait en Hongrie était honteux. La Formule 1 est un sport très sûr aujourd'hui, mais si quelqu'un était sorti des stands à ce moment-là, cela aurait pu être dramatique".
Moss approuve l'autorisation des consignes d'équipe, Ferrari s'en étant sortie avec juste une amende de 100 000 dollars après le Grand Prix d'Allemagne. "Les consignes d'équipe ont toujours existé et existeront toujours."
L'année prochaine, le SREC fera son retour et les ailerons arrière ajustables feront leur entrée. Stirling Moss pense que les nouvelles réglementations offriront une saison passionnante.
"J'espère que la saison à venir sera encore meilleure que celle-ci, une des plus intéressantes que l'on ait vu depuis longtemps. Je suis ultra-favorable au SREC, je pense que chaque voiture (de série) en sera équipée dans 10 ou 15 ans", se réjouit-il.
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Les Japonais bientôt de retour en F1 ?
>> Le constructeur français Renault se réjouit de l’arrivée de nouveaux moteurs turbo-compressés à l’horizon 2013, d’abord parce que ces moteurs représentent un nouveau défi technologique, mais aussi parce que certains constructeurs au Japon s’y intéressent.
-"L’introduction de nouveaux moteurs en 2013 va remettre les choses à plat," déclare Jean François Caubet, le directeur de Renault Sport. "Le dossier de la FIA parle de lui-même. Il y a des innovations techniques et la compétition sera très ouverte. Il y a des règles très précises pour les coûts, les matériaux, le nombre de moteurs par saison et le régime maximum. Toutefois, nous avons une grande liberté sur le plan de la technologie. Tout le monde partira d’une feuille blanche. Que le meilleur gagne !"
Caubet remarque que le groupe VW hésite à se lancer en F1, mais il affirme qu’au Japon d’autres constructeurs commencent à s’agiter.
-"Je suis surpris par l’intérêt que suscite ce nouveau moteur auprès des Japonais, mais peut-être que l’aspect économique de celui-ci a changé les choses pour eux. Les Européens sont en pointe. Les technologies sont nouvelles, mais je suppose qu’ils (les Japonais) ne peuvent pas se permettre d’être absents," ajoute-t-il avant de préciser que Honda est le constructeur qui semble le plus intéressé.
Source : Nextgen-auto.com
-"L’introduction de nouveaux moteurs en 2013 va remettre les choses à plat," déclare Jean François Caubet, le directeur de Renault Sport. "Le dossier de la FIA parle de lui-même. Il y a des innovations techniques et la compétition sera très ouverte. Il y a des règles très précises pour les coûts, les matériaux, le nombre de moteurs par saison et le régime maximum. Toutefois, nous avons une grande liberté sur le plan de la technologie. Tout le monde partira d’une feuille blanche. Que le meilleur gagne !"
Caubet remarque que le groupe VW hésite à se lancer en F1, mais il affirme qu’au Japon d’autres constructeurs commencent à s’agiter.
-"Je suis surpris par l’intérêt que suscite ce nouveau moteur auprès des Japonais, mais peut-être que l’aspect économique de celui-ci a changé les choses pour eux. Les Européens sont en pointe. Les technologies sont nouvelles, mais je suppose qu’ils (les Japonais) ne peuvent pas se permettre d’être absents," ajoute-t-il avant de préciser que Honda est le constructeur qui semble le plus intéressé.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
BRUNO935K3 a écrit:>> Il ne faut plus attendre que cinq jours pour connaître le futur de Vitaly Petrov en Formule 1.
> Vitaly Petrov a confirmé aujourd’hui la tenue d’une conférence de presse mercredi prochain à Moscou pour non seulement évoquer 2011, mais également 2012.
- La possibilité la plus forte semble sa reconduction par Lotus Renault GP pour les deux années à venir, aux côtés de Robert Kubica.
> Cette dernière semaine, "Group Lotus", nouveau propriétaire de l’équipe aux côtés de Genii Capital, n’a d’ailleurs pas caché l’importance de conserver Vitaly Petrov pour percer sur le marché russe avec ses voitures sportives.
- Il reste cependant une seconde option :
la non reconduction de Vitaly Petrov par Lotus Renault GP. Dans les deux cas, le voile sera levé sur son futur mercredi prochain.
Source : ToileF1.com
Il est peu probable qu'une conférence organisée à Moscou ne donne autre chose que la reconduction du contrat de Petrov.
stanito71- En transit
- Messages : 975
Date d'inscription : 20/02/2010
Localisation : Binche (Belgique)
Re: Revue de presse : infos générales.
Sebastian Vettel, notre n°1
Au cours de cette saison 2010 composée de 19 Grands Prix, six pilotes ont mené le Championnat. Quatre d'entre eux avaient toujours des chances d'être couronné lors de la dernière épreuve.
Cependant, un seul d'entre eux peut se retrouver au sommet de notre classement définitif. Pour le jury ESPNF1, qui compte des membres tels Jackie Stewart, Frank Williams et Gérard Lopez, le choix n'a pas été des plus faciles. Mais qui s'en plaindrait après une saison merveilleusement serrée ?
1. Sebastian Vettel
Puisqu'il a été couronné à Abou Dhabi, le choix de Vettel peut sembler évident. Mais il faut souligner que les performances de Vettel ont de quoi plaider en sa faveur : dix pole positions et cinq victoires en dix-neuf courses. Deux tiers du jury l'ont placé au top. Pour Stirling Moss, la "vitesse pure" de l'Allemand dit tout. Bien sûr, Vettel a commis quelques erreurs en cours de route (pensez à la collision entre lui et Jenson Button en Belgique, par exemple), mais il mérite son titre. Et il a gagné en maturité lors des dernières courses.
2. Fernando Alonso
Vice-champion 2010, Alonso est également le deuxième pilote du jury ESPNF1. Sa remontée au cours de la seconde moitié de la saison a été impressionnante. De plus, il a été le seul en mesure d'empêcher les pilotes Red Bull de s'envoler avec le titre. L'Espagnol a aussi commis des erreurs, tels un faux départ en Chine et une perte de contrôle en Belgique, sans oublier la controverse du GP d'Allemagne. Que vous soyez pour ou contre lui, il faut reconnaître qu'Alonso a fait le maximum pour remporter le titre. Seuls cinq membres du jury ne l'ont pas inclus dans leur top 3.
3. Robert Kubica
Tous les membres du jury ont été impressionnés par les performances de Kubica. En Australie, à Monaco, en Belgique et au Japon, que ce soit lors des qualifications ou la course, il a su exploiter tout le potentiel de sa Renault. Partout où un pilote pouvait tirer son épingle du jeu, Kubica avait la recette. 8e du classement des pilotes, il aurait été un rival de taille si sa voiture avait été plus compétitive. Gérard Lopez (qui a bien sûr donné la meilleure note à son pilote) a dit ceci : "La seule erreur dont je me souviens, c'est quand il a perdu le contrôle de sa voiture lors des qualifications au Brésil. C'est tout, et c'est pour 19 courses ! C'est assez phénoménal."
4. Lewis Hamilton
Le showman de la saison 2010. Hamilton est passé devant Mark Webber grâce au vote de son confrère Tonio Liuzzi (qui l'avait placé n°1). Il n'a jamais cessé de se battre comme s'il s'agissait de la dernière course. Après des qualifs problématiques en début de saison, Hamilton a trouvé son rythme. Sa victoire au Canada était superbe. Si ce n'avait été de ses abandons mécaniques en Espagne et en Hongrie (et de ses tentatives de dépassement trop optimistes en Italie et à Singapour), qui sait ce que sa 2e place à Abou Dhabi lui aurait donné ? "S'il avait été dans une Red Bull cette année, ça se serait passé autrement", a commenté Stirling Moss.
5. Mark Webber
L'Australien a été très populaire parmi le jury, bien que seul Daniel Bastien l'ait placé au sommet de sa liste. Des nerfs d'acier et une résistance hors pair à la guerre psychologique (qu'elle provienne de l'intérieur de son équipe ou pas) lui ont permis d'être dans le coup jusqu'à la toute fin. Convaincu que Vettel était favorisé au sein de Red Bull, il n'a pas baissé les bras et a préféré transformer sa frustration en résultats décisifs sur la piste, surtout à Monaco et en Grande-Bretagne. Mais le rythme lui a manqué à Abou Dhabi.
6. Nico Rosberg
Au début de la saison, être le coéquipier de Michael Schumacher dans une écurie dirigée par Ross Brawn semblait peu enviable. Mais Rosberg a été excellent, battant régulièrement le septuple champion et montant trois fois sur le podium. Lorsque la saison s'est terminée, il comptait presque deux fois plus de points que Schumacher. Sachant qu'un pilote est toujours comparé à son coéquipier, Rosberg est sorti gagnant. Si Mercedes fabrique une bonne voiture en 2011, il aura tout ce qu'il lui manque pour signer des victoires.
Meilleure recrue : Kamui Kobayashi
Statistiquement, les 32 points récoltés cette saison font de lui la meilleure recrue de 2010, mais c'est surtout son style de pilotage flamboyant qui a attiré l'attention de notre jury. Bien que le Japonais n'ait réussi à se qualifier dans le top 10 que quatre fois, Kobayashi arrivait souvent à convertir des stratégies peu conventionnelles en points. Il est passé maître dans l'art de découvrir de nouveaux endroits où doubler un adversaire. Pas surprenant que Sauber l'ait gardé à bord pour 2011. Vitaly Petrov et Nico Hülkenberg ont aussi remporté des votes, mais Kobayashi a été le grand favori.
Les membres du jury ESPNF1 sont : Sir Stirling Moss (quatre fois vice-champion et chroniqueur ESPNF1), Sir Jackie Stewart (triple champion), Sir Frank Williams (neuf titres des constructeurs), Gérard Lopez (actionnaire majoritaire de Renault F1), Tonio Liuzzi (pilote Force India et chroniqueur ESPNF1), Sam Bird (pilote GP2 et chroniqueur ESPNF1), Mark Sutton (photographe F1 et chroniqueur ESPNF1), Martin Williamson (directeur de la rédaction, ESPN), Alex Livie (rédacteur, ESPN), Laurence Edmondson (rédacteur-adjoint, ESPNF1), Fraser Masefield (collaborateur, ESPNF1), Daniel Bastien (collaborateur, ESPNF1.fr), Jonathan Hungin (chef de produit, ESPN), Deepak Gulati (gestionnaire de contenu, ESPN).
© ESPN EMEA Ltd.
Au cours de cette saison 2010 composée de 19 Grands Prix, six pilotes ont mené le Championnat. Quatre d'entre eux avaient toujours des chances d'être couronné lors de la dernière épreuve.
Cependant, un seul d'entre eux peut se retrouver au sommet de notre classement définitif. Pour le jury ESPNF1, qui compte des membres tels Jackie Stewart, Frank Williams et Gérard Lopez, le choix n'a pas été des plus faciles. Mais qui s'en plaindrait après une saison merveilleusement serrée ?
1. Sebastian Vettel
Puisqu'il a été couronné à Abou Dhabi, le choix de Vettel peut sembler évident. Mais il faut souligner que les performances de Vettel ont de quoi plaider en sa faveur : dix pole positions et cinq victoires en dix-neuf courses. Deux tiers du jury l'ont placé au top. Pour Stirling Moss, la "vitesse pure" de l'Allemand dit tout. Bien sûr, Vettel a commis quelques erreurs en cours de route (pensez à la collision entre lui et Jenson Button en Belgique, par exemple), mais il mérite son titre. Et il a gagné en maturité lors des dernières courses.
2. Fernando Alonso
Vice-champion 2010, Alonso est également le deuxième pilote du jury ESPNF1. Sa remontée au cours de la seconde moitié de la saison a été impressionnante. De plus, il a été le seul en mesure d'empêcher les pilotes Red Bull de s'envoler avec le titre. L'Espagnol a aussi commis des erreurs, tels un faux départ en Chine et une perte de contrôle en Belgique, sans oublier la controverse du GP d'Allemagne. Que vous soyez pour ou contre lui, il faut reconnaître qu'Alonso a fait le maximum pour remporter le titre. Seuls cinq membres du jury ne l'ont pas inclus dans leur top 3.
3. Robert Kubica
Tous les membres du jury ont été impressionnés par les performances de Kubica. En Australie, à Monaco, en Belgique et au Japon, que ce soit lors des qualifications ou la course, il a su exploiter tout le potentiel de sa Renault. Partout où un pilote pouvait tirer son épingle du jeu, Kubica avait la recette. 8e du classement des pilotes, il aurait été un rival de taille si sa voiture avait été plus compétitive. Gérard Lopez (qui a bien sûr donné la meilleure note à son pilote) a dit ceci : "La seule erreur dont je me souviens, c'est quand il a perdu le contrôle de sa voiture lors des qualifications au Brésil. C'est tout, et c'est pour 19 courses ! C'est assez phénoménal."
4. Lewis Hamilton
Le showman de la saison 2010. Hamilton est passé devant Mark Webber grâce au vote de son confrère Tonio Liuzzi (qui l'avait placé n°1). Il n'a jamais cessé de se battre comme s'il s'agissait de la dernière course. Après des qualifs problématiques en début de saison, Hamilton a trouvé son rythme. Sa victoire au Canada était superbe. Si ce n'avait été de ses abandons mécaniques en Espagne et en Hongrie (et de ses tentatives de dépassement trop optimistes en Italie et à Singapour), qui sait ce que sa 2e place à Abou Dhabi lui aurait donné ? "S'il avait été dans une Red Bull cette année, ça se serait passé autrement", a commenté Stirling Moss.
5. Mark Webber
L'Australien a été très populaire parmi le jury, bien que seul Daniel Bastien l'ait placé au sommet de sa liste. Des nerfs d'acier et une résistance hors pair à la guerre psychologique (qu'elle provienne de l'intérieur de son équipe ou pas) lui ont permis d'être dans le coup jusqu'à la toute fin. Convaincu que Vettel était favorisé au sein de Red Bull, il n'a pas baissé les bras et a préféré transformer sa frustration en résultats décisifs sur la piste, surtout à Monaco et en Grande-Bretagne. Mais le rythme lui a manqué à Abou Dhabi.
6. Nico Rosberg
Au début de la saison, être le coéquipier de Michael Schumacher dans une écurie dirigée par Ross Brawn semblait peu enviable. Mais Rosberg a été excellent, battant régulièrement le septuple champion et montant trois fois sur le podium. Lorsque la saison s'est terminée, il comptait presque deux fois plus de points que Schumacher. Sachant qu'un pilote est toujours comparé à son coéquipier, Rosberg est sorti gagnant. Si Mercedes fabrique une bonne voiture en 2011, il aura tout ce qu'il lui manque pour signer des victoires.
Meilleure recrue : Kamui Kobayashi
Statistiquement, les 32 points récoltés cette saison font de lui la meilleure recrue de 2010, mais c'est surtout son style de pilotage flamboyant qui a attiré l'attention de notre jury. Bien que le Japonais n'ait réussi à se qualifier dans le top 10 que quatre fois, Kobayashi arrivait souvent à convertir des stratégies peu conventionnelles en points. Il est passé maître dans l'art de découvrir de nouveaux endroits où doubler un adversaire. Pas surprenant que Sauber l'ait gardé à bord pour 2011. Vitaly Petrov et Nico Hülkenberg ont aussi remporté des votes, mais Kobayashi a été le grand favori.
Les membres du jury ESPNF1 sont : Sir Stirling Moss (quatre fois vice-champion et chroniqueur ESPNF1), Sir Jackie Stewart (triple champion), Sir Frank Williams (neuf titres des constructeurs), Gérard Lopez (actionnaire majoritaire de Renault F1), Tonio Liuzzi (pilote Force India et chroniqueur ESPNF1), Sam Bird (pilote GP2 et chroniqueur ESPNF1), Mark Sutton (photographe F1 et chroniqueur ESPNF1), Martin Williamson (directeur de la rédaction, ESPN), Alex Livie (rédacteur, ESPN), Laurence Edmondson (rédacteur-adjoint, ESPNF1), Fraser Masefield (collaborateur, ESPNF1), Daniel Bastien (collaborateur, ESPNF1.fr), Jonathan Hungin (chef de produit, ESPN), Deepak Gulati (gestionnaire de contenu, ESPN).
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
bravo dom'
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Yeah!
C'est officiel et c'est une exclusivité RTBF : Jérôme D'Ambrosio sera au départ du Grand Prix de Bahreïn le 13 mars prochain. Le jeune pilote belge, qui a marqué les esprits lors des "Rookies Days", a signé ce mardi 21 décembre 2010 son contrat chez Virgin. Il y aura donc la saison prochaine un Belge en F1, 17 ans après Philippe Adams !
La nouvelle sera officialisée lors d'une conférence de presse que l'écurie Virgin tient à partir de 11h.
Jérôme D'Ambrosio sera donc le coéquipier de l'Allemand Timo Glock au sein de l'écurie britannique. Le Brabançon de 24 ans remplacera dans le baquet de la deuxième Virgin le Brésilien Lucas Di Grassi.
Nos représentants les plus brillants au plus haut niveau furent Jacky Ickx (8 victoires, vice-champion du monde en 1969 et 1970) et Thierry Boutsen (3 victoires, 4e du championnat en 1988). Le nouveau pilote de Formule 1 sera présent au JT de 13h et de 19h30 sur la RTBF.
Retrouvez également Jérôme D'Ambrosio sur notre site pour un chat en sa compagnie vers 13h30.
Que du bonheur!
C'est officiel et c'est une exclusivité RTBF : Jérôme D'Ambrosio sera au départ du Grand Prix de Bahreïn le 13 mars prochain. Le jeune pilote belge, qui a marqué les esprits lors des "Rookies Days", a signé ce mardi 21 décembre 2010 son contrat chez Virgin. Il y aura donc la saison prochaine un Belge en F1, 17 ans après Philippe Adams !
La nouvelle sera officialisée lors d'une conférence de presse que l'écurie Virgin tient à partir de 11h.
Jérôme D'Ambrosio sera donc le coéquipier de l'Allemand Timo Glock au sein de l'écurie britannique. Le Brabançon de 24 ans remplacera dans le baquet de la deuxième Virgin le Brésilien Lucas Di Grassi.
Nos représentants les plus brillants au plus haut niveau furent Jacky Ickx (8 victoires, vice-champion du monde en 1969 et 1970) et Thierry Boutsen (3 victoires, 4e du championnat en 1988). Le nouveau pilote de Formule 1 sera présent au JT de 13h et de 19h30 sur la RTBF.
Retrouvez également Jérôme D'Ambrosio sur notre site pour un chat en sa compagnie vers 13h30.
Que du bonheur!
TROIKA- Messages : 5922
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 65
Localisation : La Hulpe
Re: Revue de presse : infos générales.
TROIKA a écrit:Yeah!
C'est officiel et c'est une exclusivité RTBF : Jérôme D'Ambrosio sera au départ du Grand Prix de Bahreïn le 13 mars prochain. Le jeune pilote belge, qui a marqué les esprits lors des "Rookies Days", a signé ce mardi 21 décembre 2010 son contrat chez Virgin. Il y aura donc la saison prochaine un Belge en F1, 17 ans après Philippe Adams !
La nouvelle sera officialisée lors d'une conférence de presse que l'écurie Virgin tient à partir de 11h.
Jérôme D'Ambrosio sera donc le coéquipier de l'Allemand Timo Glock au sein de l'écurie britannique. Le Brabançon de 24 ans remplacera dans le baquet de la deuxième Virgin le Brésilien Lucas Di Grassi.
Nos représentants les plus brillants au plus haut niveau furent Jacky Ickx (8 victoires, vice-champion du monde en 1969 et 1970) et Thierry Boutsen (3 victoires, 4e du championnat en 1988). Le nouveau pilote de Formule 1 sera présent au JT de 13h et de 19h30 sur la RTBF.
Retrouvez également Jérôme D'Ambrosio sur notre site pour un chat en sa compagnie vers 13h30.
Que du bonheur!
Youpie
Enfin un compatriote en F1.
Avec Lewis, voilà2 pilotes que je devrai supporter en 2011.
Super.
stanito71- En transit
- Messages : 975
Date d'inscription : 20/02/2010
Localisation : Binche (Belgique)
Re: Revue de presse : infos générales.
stanito71 a écrit:
Youpie
Enfin un compatriote en F1.
Avec Lewis, voilà2 pilotes que je devrai supporter en 2011.
Super.
Vrai qu'un pilote français, même chez Virgin, on s'en contenterait...
_________________
"Selon les statistiques, une personne sur cinq est déséquilibrée. S’il y a 4 personnes autour de toi et qu’elles te semblent normales, c’est pas bon... JCVD"
Le bonheur des uns fait le malheur des autres...
>> La nouvelle de la titularisation de Jérôme d’Ambrosio a fait un déçu ce matin en la personne de Giedo Van der Garde.
- Pourtant soutenu par l’entreprise familiale McGregor, il n’a pas été préféré au Belge pour succéder à Lucas di Grassi.
Si le Brésilien ne se faisait plus vraiment d’illusions sur la possibilité de conserver son baquet, faute de financements, il en allait tout autrement pour le Hollandais qui espérait aussi, comme d’Ambrosio, sauter le pas de la GP2 à la Formule 1.
-"Je suis évidemment déçu mais pour arriver en Formule 1 c’est un chemin souvent très long et difficile. Je n’abandonne pas mon idée de décrocher un baquet, je vais tout faire pour y arriver," déclare Van der Garde.
Il ajoute qu’il est en discussions avec une autre équipe de F1 (HRT selon nos sources) mais ses chances de décrocher un baquet de titulaire pour 2011 restent faibles.
> S’il ne parvient pas à monter en Formule 1, le Hollandais dispose d’une solution pour poursuivre en GP2 une année de plus.
> Le titre sera alors le seul objectif envisageable.
Source : Nextgen-auto.com
- Pourtant soutenu par l’entreprise familiale McGregor, il n’a pas été préféré au Belge pour succéder à Lucas di Grassi.
Si le Brésilien ne se faisait plus vraiment d’illusions sur la possibilité de conserver son baquet, faute de financements, il en allait tout autrement pour le Hollandais qui espérait aussi, comme d’Ambrosio, sauter le pas de la GP2 à la Formule 1.
-"Je suis évidemment déçu mais pour arriver en Formule 1 c’est un chemin souvent très long et difficile. Je n’abandonne pas mon idée de décrocher un baquet, je vais tout faire pour y arriver," déclare Van der Garde.
Il ajoute qu’il est en discussions avec une autre équipe de F1 (HRT selon nos sources) mais ses chances de décrocher un baquet de titulaire pour 2011 restent faibles.
> S’il ne parvient pas à monter en Formule 1, le Hollandais dispose d’une solution pour poursuivre en GP2 une année de plus.
> Le titre sera alors le seul objectif envisageable.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Je me rejouit du choix de Ambrosio pas parce qu'il est belge mais surtout parce que un choix sportif a gagné par rapport a un choix financier alors moi je dit bravo.
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
Age : 32
Localisation : Les Pavillons sous bois 93
F1 : Vers une aéro totalement revue en 2013...
>> La FIA et les équipes sont en train d'élaborer un nouveau règlement aérodynamique pour la saison 2013 selon la BBC, avec pour objectif de réduire les appuis.
- Les changements de 2009, avec principalement un aileron avant plus large et plus bas et un aileron arrière plus étroit et plus haut, avaient pour but de faciliter les dépassements, en permettant aux pilotes de pouvoir suivre un concurrent.
> L'objectif n'a pas été atteint, même si cela est en partie dû au double diffuseur, qui sera banni en 2011.
Pour améliorer le spectacle et réduire les vitesses, la FIA aurait donc prévu de changer à nouveau le règlement technique en 2013.
> Selon la BBC, plusieurs propositions ont été faites par Patrick Head, ingénieur historique de Williams, et Rory Byrne, ancien de Benetton et Ferrari.
- L'objectif serait de réduire énormément les appuis aérodynamiques avec des ailerons plus petit à l'avant et à l'arrière. Les équipes seraient en revanche autorisées à plus travailler sur le fond plat, pour que cette partie génère plus d'appuis que les ailerons.
Le groupe de travail technique de la FIA devrait se réunir en janvier pour débattre de ces propositions.
Source : Sportauto.fr
- Les changements de 2009, avec principalement un aileron avant plus large et plus bas et un aileron arrière plus étroit et plus haut, avaient pour but de faciliter les dépassements, en permettant aux pilotes de pouvoir suivre un concurrent.
> L'objectif n'a pas été atteint, même si cela est en partie dû au double diffuseur, qui sera banni en 2011.
Pour améliorer le spectacle et réduire les vitesses, la FIA aurait donc prévu de changer à nouveau le règlement technique en 2013.
> Selon la BBC, plusieurs propositions ont été faites par Patrick Head, ingénieur historique de Williams, et Rory Byrne, ancien de Benetton et Ferrari.
- L'objectif serait de réduire énormément les appuis aérodynamiques avec des ailerons plus petit à l'avant et à l'arrière. Les équipes seraient en revanche autorisées à plus travailler sur le fond plat, pour que cette partie génère plus d'appuis que les ailerons.
Le groupe de travail technique de la FIA devrait se réunir en janvier pour débattre de ces propositions.
Source : Sportauto.fr
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
donc plus de pelle a tarte en guise d'aileron avant??? ça c'est génial!!!!
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Plus de double diffuseur et l'aileron arrière règlable, on peut espérer que cela favorise vraiment les dépassements.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Prost s'interroge : les français aiment-ils encore la F1 ?
Le manque de représentation française dans le championnat du monde de Formule 1 suscite l’interrogation d’Alain Prost sur l’intérêt de la F1 auprès des Français.
La France sera encore moins présente en Formule 1 en 2011. Outre le fait de ne plus avoir de pilote ni de Grand Prix, l’Hexagone ne possèdera plus d’équipe puisque Renault s’est totalement retiré du championnat comme constructeur. Seuls les hommes de Viry-Châtillon continueront encore à porter les couleurs tricolores.
Alain Prost, quadruple champion du monde, s’interroge sur l’intérêt des Français pour la Formule 1 face à ce manque de représentation croissant.
"La réponse est clairement non puisque les audiences sont relativement faibles. Mais ce n’est pas anormal puisqu’il n’y a pas de pilote français compétitif. On sait très bien que c’est l’aspect humain, le pilote qui compte le plus. Pour repartir de l’avant, il faudrait donc commencer par le pilote avant que l’on ne mette en place quelques artifices à côté," a-t-il déclaré, cité par le magazine français AutoHebdo.
"Il faut le succès pour que les gens s’y intéressent. Il ne faut pas seulement un pilote, il faut aussi que ça marche. Ce n’est pas anormal, les gens ne sont pas idiots. Ils se portent toujours vers des sports dans lesquels on peut gagner, où il y a une concurrence avec d’autres nationalités."
Source : toilef1.com
Le manque de représentation française dans le championnat du monde de Formule 1 suscite l’interrogation d’Alain Prost sur l’intérêt de la F1 auprès des Français.
La France sera encore moins présente en Formule 1 en 2011. Outre le fait de ne plus avoir de pilote ni de Grand Prix, l’Hexagone ne possèdera plus d’équipe puisque Renault s’est totalement retiré du championnat comme constructeur. Seuls les hommes de Viry-Châtillon continueront encore à porter les couleurs tricolores.
Alain Prost, quadruple champion du monde, s’interroge sur l’intérêt des Français pour la Formule 1 face à ce manque de représentation croissant.
"La réponse est clairement non puisque les audiences sont relativement faibles. Mais ce n’est pas anormal puisqu’il n’y a pas de pilote français compétitif. On sait très bien que c’est l’aspect humain, le pilote qui compte le plus. Pour repartir de l’avant, il faudrait donc commencer par le pilote avant que l’on ne mette en place quelques artifices à côté," a-t-il déclaré, cité par le magazine français AutoHebdo.
"Il faut le succès pour que les gens s’y intéressent. Il ne faut pas seulement un pilote, il faut aussi que ça marche. Ce n’est pas anormal, les gens ne sont pas idiots. Ils se portent toujours vers des sports dans lesquels on peut gagner, où il y a une concurrence avec d’autres nationalités."
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Jérôme d'Ambrosio, illustration du succès de Gravity
Voici donc Jérôme d’Ambrosio promu pilote F1 pour la saison 2011 en tant que titulaire au sein de l’écurie Virgin Racing. Autant que le succès et l’aboutissement d’un parcours personnel du pilote Belge, et le début d’un gros challenge, c’est aussi un modèle et un outil de promotion de choix pour sa société de management Gravity Sport Management, structure d’accompagnement des jeunes pilotes diablement efficace.
L’académie Gravity est Luxembourgeoise, et compte un peu plus d’une douzaine de pilotes sous contrat. A connotation fortement francophone du côté de ses figures de proue, Gravity investit consciencieusement dans le parcours de ses protégés tout en développant un réseau solide et alerte. Le cas de l’équipe française DAMS en est la meilleure illustration. Depuis 2008, DAMS, Renault et Gravity ont tissé des liens qui dépassent le cadre de l’installation de pilotes années après années dans des baquets. En résultent des résultats fructueux lorsqu’il s’agit de faire monter les pilotes dans une discipline supérieure. Ce n’est ainsi pas un hasard si Ho-Pin Tung, Kamui Kobayashi, Jérôme d’Ambrosio et Romain Grosjean ont tous (re)propulsé leurs carrières en entrant dans le giron Gravity-DAMS-Renault. Tous font partie de la famille qui fait de ses propres succès sa recette pour attirer de nouveaux partenaires. Habituez-vous donc aux combinaisons vertes et blanches ornées du gros G de la structure supportée par des investisseurs privés. Ils sont désormais notamment en F1, GP2, F3, F2, Formule BMW, AutoGP, MotoGP 125cc et possiblement bientôt IndyCar avec Ho-Pin Tung. Et peut-être entendrez-vous bientôt parler de leur représentante féminine Natacha Gachnang : la Suissesse, en plus d’avoir un bon coup de volant, est aussi la cousine de Sébastien Buemi.
Mais que fait précisément Gravity ? Tout simplement, un accompagnement de A à Z de ses pilotes tant en piste qu’en dehors. Pilotage, communication, apprentissage de la gestion du stress, des voyages, des médias ; promotion de l’image et développement des réseaux et formules clés en main pour des volants à fort potentiel pour se mettre en valeur sur les circuits ; les jeunes professionnels du sport auto arrivent parfaitement préparés. Surtout, ils bénéficient d’un ascenseur au fonctionnement bien rodé en cas de succès et d’un accès facilité vers des volants supérieurs grâce au réseau patiemment bâti. Certains sont suivis dès l’âge auquel la plupart jouent encore aux Lego. L’illustration la plus frappante en est le jeune kartboy français Esteban Ocon, 12 ans, déjà sous la protection de Gravity, et managé comme un futur grand, qu’il est déjà au vu de ses performances en piste. Gravity propose également à ses pilotes d’apprendre à se vendre. Communication et accessibilité sont des recettes qui marchent. Les jeunes sont présentés comme membres d’une famille, ne parlent pas que de sport auto dans les communiqués les concernant, passent du temps à parler de leurs idoles ou de leur groupe de musique favori. Le pilote doit être humain et les superstars n’ont de raison d’être que si elles gagnent. Avant, l’humilité prévaut, et Gravity l’a compris.
D’humilité, Jérôme d’Ambrosio n’en manque pas. Chaleureux et presque timide, Jérôme est un jeune homme amical et intéressant. C’est chez DAMS, déjà, que je l’avais rencontré, en 2008, lorsqu’il courait en GP2. Il est facile de discuter avec lui, qui était déjà – à juste titre – l’espoir de la Belgique et la francophonie d’avoir un représentant en F1 sous peu. Premier Belge en F1 depuis Bas Leinders, testeur avec Minardi en 2004 (on le croise aujourd’hui en GT1), Jérôme ne prend pas le rôle plus au sérieux qu’il ne l’est. Il sera avant tout pilote de F1, et devra battre les autres, quelle que soit leur provenance. Est-ce qu’une fois passé en F1, il pourra toujours se libérer pour venir saluer ses amis journalistes en salle de presse comme il le faisait parfois ? Je me souviens de sa légère angoisse à Spa, en 2009, lorsque la RTBF l’avait attifé d’un micro-casque pour commenter les qualifications et la course. Il n’était pas sûr d’être très doué pour l’exercice et était venu s’enquérir auprès du duo RMC que je constituais avec Stéphane Samson de quelques petites combines pour être à l’aise durant ses interventions, qui se passèrent très bien au final. "Chacun son truc quand même," avait-il cependant conclu, un peu désarçonné mais visiblement amusé par l’expérience. Jérôme est également le genre de garçon qui vient vous proposer de manger avec lui sous un chapiteau pendant les weekends de course et à s’ouvrir sur des sujets n’ayant rien à voir avec le sport auto. A ce titre, il était bien entendu très agréable de partager un plat de pâtes avec lui et d’écouter ses anecdotes en tous genres. Mais la chose qui me frappait à chaque fois que je parlais avec Jérôme, c’était sa curiosité et son intérêt pour mon métier et d’autres aspects du paddock desquels un pilote de course se fiche habituellement totalement. Plus que lui, c’était finalement moi qui parlais. Jérôme aimait apprendre qui faisait quoi, et s’étonnait parfois des connections existantes entre personnes et/ou équipes dont il ne connaissait pas l’existence.
Peut-être fais-je fausse piste en allant jusqu’à dire qu’il admirait certaines choses dont il admettait bien volontiers qu’il n’était pas capable de faire. Ce qui, vous en conviendrez, est assez amusant lorsque l’on est l’un des 24 pilotes accédant aux baquets les plus convoités du monde et que l’on est observé par des millions de fans dans le monde entier ! Congrats, Jérôme, et que ce nouveau challenge te permette de montrer qu’un pilote sympa ne fait pas le compromis sur la niaque au volant !
Par Guillaume NAVARRO
Source : toilef1.com
Voici donc Jérôme d’Ambrosio promu pilote F1 pour la saison 2011 en tant que titulaire au sein de l’écurie Virgin Racing. Autant que le succès et l’aboutissement d’un parcours personnel du pilote Belge, et le début d’un gros challenge, c’est aussi un modèle et un outil de promotion de choix pour sa société de management Gravity Sport Management, structure d’accompagnement des jeunes pilotes diablement efficace.
L’académie Gravity est Luxembourgeoise, et compte un peu plus d’une douzaine de pilotes sous contrat. A connotation fortement francophone du côté de ses figures de proue, Gravity investit consciencieusement dans le parcours de ses protégés tout en développant un réseau solide et alerte. Le cas de l’équipe française DAMS en est la meilleure illustration. Depuis 2008, DAMS, Renault et Gravity ont tissé des liens qui dépassent le cadre de l’installation de pilotes années après années dans des baquets. En résultent des résultats fructueux lorsqu’il s’agit de faire monter les pilotes dans une discipline supérieure. Ce n’est ainsi pas un hasard si Ho-Pin Tung, Kamui Kobayashi, Jérôme d’Ambrosio et Romain Grosjean ont tous (re)propulsé leurs carrières en entrant dans le giron Gravity-DAMS-Renault. Tous font partie de la famille qui fait de ses propres succès sa recette pour attirer de nouveaux partenaires. Habituez-vous donc aux combinaisons vertes et blanches ornées du gros G de la structure supportée par des investisseurs privés. Ils sont désormais notamment en F1, GP2, F3, F2, Formule BMW, AutoGP, MotoGP 125cc et possiblement bientôt IndyCar avec Ho-Pin Tung. Et peut-être entendrez-vous bientôt parler de leur représentante féminine Natacha Gachnang : la Suissesse, en plus d’avoir un bon coup de volant, est aussi la cousine de Sébastien Buemi.
Mais que fait précisément Gravity ? Tout simplement, un accompagnement de A à Z de ses pilotes tant en piste qu’en dehors. Pilotage, communication, apprentissage de la gestion du stress, des voyages, des médias ; promotion de l’image et développement des réseaux et formules clés en main pour des volants à fort potentiel pour se mettre en valeur sur les circuits ; les jeunes professionnels du sport auto arrivent parfaitement préparés. Surtout, ils bénéficient d’un ascenseur au fonctionnement bien rodé en cas de succès et d’un accès facilité vers des volants supérieurs grâce au réseau patiemment bâti. Certains sont suivis dès l’âge auquel la plupart jouent encore aux Lego. L’illustration la plus frappante en est le jeune kartboy français Esteban Ocon, 12 ans, déjà sous la protection de Gravity, et managé comme un futur grand, qu’il est déjà au vu de ses performances en piste. Gravity propose également à ses pilotes d’apprendre à se vendre. Communication et accessibilité sont des recettes qui marchent. Les jeunes sont présentés comme membres d’une famille, ne parlent pas que de sport auto dans les communiqués les concernant, passent du temps à parler de leurs idoles ou de leur groupe de musique favori. Le pilote doit être humain et les superstars n’ont de raison d’être que si elles gagnent. Avant, l’humilité prévaut, et Gravity l’a compris.
D’humilité, Jérôme d’Ambrosio n’en manque pas. Chaleureux et presque timide, Jérôme est un jeune homme amical et intéressant. C’est chez DAMS, déjà, que je l’avais rencontré, en 2008, lorsqu’il courait en GP2. Il est facile de discuter avec lui, qui était déjà – à juste titre – l’espoir de la Belgique et la francophonie d’avoir un représentant en F1 sous peu. Premier Belge en F1 depuis Bas Leinders, testeur avec Minardi en 2004 (on le croise aujourd’hui en GT1), Jérôme ne prend pas le rôle plus au sérieux qu’il ne l’est. Il sera avant tout pilote de F1, et devra battre les autres, quelle que soit leur provenance. Est-ce qu’une fois passé en F1, il pourra toujours se libérer pour venir saluer ses amis journalistes en salle de presse comme il le faisait parfois ? Je me souviens de sa légère angoisse à Spa, en 2009, lorsque la RTBF l’avait attifé d’un micro-casque pour commenter les qualifications et la course. Il n’était pas sûr d’être très doué pour l’exercice et était venu s’enquérir auprès du duo RMC que je constituais avec Stéphane Samson de quelques petites combines pour être à l’aise durant ses interventions, qui se passèrent très bien au final. "Chacun son truc quand même," avait-il cependant conclu, un peu désarçonné mais visiblement amusé par l’expérience. Jérôme est également le genre de garçon qui vient vous proposer de manger avec lui sous un chapiteau pendant les weekends de course et à s’ouvrir sur des sujets n’ayant rien à voir avec le sport auto. A ce titre, il était bien entendu très agréable de partager un plat de pâtes avec lui et d’écouter ses anecdotes en tous genres. Mais la chose qui me frappait à chaque fois que je parlais avec Jérôme, c’était sa curiosité et son intérêt pour mon métier et d’autres aspects du paddock desquels un pilote de course se fiche habituellement totalement. Plus que lui, c’était finalement moi qui parlais. Jérôme aimait apprendre qui faisait quoi, et s’étonnait parfois des connections existantes entre personnes et/ou équipes dont il ne connaissait pas l’existence.
Peut-être fais-je fausse piste en allant jusqu’à dire qu’il admirait certaines choses dont il admettait bien volontiers qu’il n’était pas capable de faire. Ce qui, vous en conviendrez, est assez amusant lorsque l’on est l’un des 24 pilotes accédant aux baquets les plus convoités du monde et que l’on est observé par des millions de fans dans le monde entier ! Congrats, Jérôme, et que ce nouveau challenge te permette de montrer qu’un pilote sympa ne fait pas le compromis sur la niaque au volant !
Par Guillaume NAVARRO
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Les Romains ne veulent pas de la F1
Rome n’abandonne pas son envie d’organiser un Grand Prix dans ses rues. Mais les oppositions sont nombreuses, à commencer par celle des Romains eux-mêmes.
La possibilité d’un Grand Prix de F1 à Rome n’en finit pas de prendre du plomb dans l’aile. Pourtant, il y a un an, le maire de la ville avait signalé avoir signé un accord de principe avec Bernie Ecclestone pour une course dès 2012.
Ce mardi, la Gazzetta dello Sport dévoile les résultats d’un sondage à travers duquel les Romains montrent leur forte opposition à cette éventualité. Pour 85 % des personnes ayant donné leur avis, ce Grand Prix comporte plus d’inconvénients que d’avantages. Les Romains ont peur que la course ne dégrade la circulation en ville, et que le bruit soit insupportable.
« Les habitants de l’Eur (partie sud Rome, concernée par le projet) qui se manifestent ne sont qu’une minorité, a réagi Maurizio Flammini, promoteur de l’événement. Le référendum est fait pour donner la parole aux opposants à ce Grand Prix. »
Mais les oppositions sont multiples, puisque Stefano Domenicali, team manager de Ferrari, a récemment déclaré que la Scuderia ne souhaitait pas que deux Grands Prix de F1 soient organisés en Italie.
« Notre sport voit le nombre de pays accueillant un Grand Prix s’accroitre et nous y sommes favorables. Par conséquent, il va devenir impossible d’organiser deux courses dans le même pays. » Monza étant jusque là indéboulonnable au calendrier de la F1, il paraît difficile pour Rome de trouver sa place.
Jean-Côme Decroos
Source : autohebdo.fr
Rome n’abandonne pas son envie d’organiser un Grand Prix dans ses rues. Mais les oppositions sont nombreuses, à commencer par celle des Romains eux-mêmes.
La possibilité d’un Grand Prix de F1 à Rome n’en finit pas de prendre du plomb dans l’aile. Pourtant, il y a un an, le maire de la ville avait signalé avoir signé un accord de principe avec Bernie Ecclestone pour une course dès 2012.
Ce mardi, la Gazzetta dello Sport dévoile les résultats d’un sondage à travers duquel les Romains montrent leur forte opposition à cette éventualité. Pour 85 % des personnes ayant donné leur avis, ce Grand Prix comporte plus d’inconvénients que d’avantages. Les Romains ont peur que la course ne dégrade la circulation en ville, et que le bruit soit insupportable.
« Les habitants de l’Eur (partie sud Rome, concernée par le projet) qui se manifestent ne sont qu’une minorité, a réagi Maurizio Flammini, promoteur de l’événement. Le référendum est fait pour donner la parole aux opposants à ce Grand Prix. »
Mais les oppositions sont multiples, puisque Stefano Domenicali, team manager de Ferrari, a récemment déclaré que la Scuderia ne souhaitait pas que deux Grands Prix de F1 soient organisés en Italie.
« Notre sport voit le nombre de pays accueillant un Grand Prix s’accroitre et nous y sommes favorables. Par conséquent, il va devenir impossible d’organiser deux courses dans le même pays. » Monza étant jusque là indéboulonnable au calendrier de la F1, il paraît difficile pour Rome de trouver sa place.
Jean-Côme Decroos
Source : autohebdo.fr
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
dom465 a écrit:Jérôme d'Ambrosio, illustration du succès de Gravity
Voici donc Jérôme d’Ambrosio promu pilote F1 pour la saison 2011 en tant que titulaire au sein de l’écurie Virgin Racing. Autant que le succès et l’aboutissement d’un parcours personnel du pilote Belge, et le début d’un gros challenge, c’est aussi un modèle et un outil de promotion de choix pour sa société de management Gravity Sport Management, structure d’accompagnement des jeunes pilotes diablement efficace.
L’académie Gravity est Luxembourgeoise, et compte un peu plus d’une douzaine de pilotes sous contrat. A connotation fortement francophone du côté de ses figures de proue, Gravity investit consciencieusement dans le parcours de ses protégés tout en développant un réseau solide et alerte. Le cas de l’équipe française DAMS en est la meilleure illustration. Depuis 2008, DAMS, Renault et Gravity ont tissé des liens qui dépassent le cadre de l’installation de pilotes années après années dans des baquets. En résultent des résultats fructueux lorsqu’il s’agit de faire monter les pilotes dans une discipline supérieure. Ce n’est ainsi pas un hasard si Ho-Pin Tung, Kamui Kobayashi, Jérôme d’Ambrosio et Romain Grosjean ont tous (re)propulsé leurs carrières en entrant dans le giron Gravity-DAMS-Renault. Tous font partie de la famille qui fait de ses propres succès sa recette pour attirer de nouveaux partenaires. Habituez-vous donc aux combinaisons vertes et blanches ornées du gros G de la structure supportée par des investisseurs privés. Ils sont désormais notamment en F1, GP2, F3, F2, Formule BMW, AutoGP, MotoGP 125cc et possiblement bientôt IndyCar avec Ho-Pin Tung. Et peut-être entendrez-vous bientôt parler de leur représentante féminine Natacha Gachnang : la Suissesse, en plus d’avoir un bon coup de volant, est aussi la cousine de Sébastien Buemi.
Mais que fait précisément Gravity ? Tout simplement, un accompagnement de A à Z de ses pilotes tant en piste qu’en dehors. Pilotage, communication, apprentissage de la gestion du stress, des voyages, des médias ; promotion de l’image et développement des réseaux et formules clés en main pour des volants à fort potentiel pour se mettre en valeur sur les circuits ; les jeunes professionnels du sport auto arrivent parfaitement préparés. Surtout, ils bénéficient d’un ascenseur au fonctionnement bien rodé en cas de succès et d’un accès facilité vers des volants supérieurs grâce au réseau patiemment bâti. Certains sont suivis dès l’âge auquel la plupart jouent encore aux Lego. L’illustration la plus frappante en est le jeune kartboy français Esteban Ocon, 12 ans, déjà sous la protection de Gravity, et managé comme un futur grand, qu’il est déjà au vu de ses performances en piste. Gravity propose également à ses pilotes d’apprendre à se vendre. Communication et accessibilité sont des recettes qui marchent. Les jeunes sont présentés comme membres d’une famille, ne parlent pas que de sport auto dans les communiqués les concernant, passent du temps à parler de leurs idoles ou de leur groupe de musique favori. Le pilote doit être humain et les superstars n’ont de raison d’être que si elles gagnent. Avant, l’humilité prévaut, et Gravity l’a compris.
D’humilité, Jérôme d’Ambrosio n’en manque pas. Chaleureux et presque timide, Jérôme est un jeune homme amical et intéressant. C’est chez DAMS, déjà, que je l’avais rencontré, en 2008, lorsqu’il courait en GP2. Il est facile de discuter avec lui, qui était déjà – à juste titre – l’espoir de la Belgique et la francophonie d’avoir un représentant en F1 sous peu. Premier Belge en F1 depuis Bas Leinders, testeur avec Minardi en 2004 (on le croise aujourd’hui en GT1), Jérôme ne prend pas le rôle plus au sérieux qu’il ne l’est. Il sera avant tout pilote de F1, et devra battre les autres, quelle que soit leur provenance. Est-ce qu’une fois passé en F1, il pourra toujours se libérer pour venir saluer ses amis journalistes en salle de presse comme il le faisait parfois ? Je me souviens de sa légère angoisse à Spa, en 2009, lorsque la RTBF l’avait attifé d’un micro-casque pour commenter les qualifications et la course. Il n’était pas sûr d’être très doué pour l’exercice et était venu s’enquérir auprès du duo RMC que je constituais avec Stéphane Samson de quelques petites combines pour être à l’aise durant ses interventions, qui se passèrent très bien au final. "Chacun son truc quand même," avait-il cependant conclu, un peu désarçonné mais visiblement amusé par l’expérience. Jérôme est également le genre de garçon qui vient vous proposer de manger avec lui sous un chapiteau pendant les weekends de course et à s’ouvrir sur des sujets n’ayant rien à voir avec le sport auto. A ce titre, il était bien entendu très agréable de partager un plat de pâtes avec lui et d’écouter ses anecdotes en tous genres. Mais la chose qui me frappait à chaque fois que je parlais avec Jérôme, c’était sa curiosité et son intérêt pour mon métier et d’autres aspects du paddock desquels un pilote de course se fiche habituellement totalement. Plus que lui, c’était finalement moi qui parlais. Jérôme aimait apprendre qui faisait quoi, et s’étonnait parfois des connections existantes entre personnes et/ou équipes dont il ne connaissait pas l’existence.
Peut-être fais-je fausse piste en allant jusqu’à dire qu’il admirait certaines choses dont il admettait bien volontiers qu’il n’était pas capable de faire. Ce qui, vous en conviendrez, est assez amusant lorsque l’on est l’un des 24 pilotes accédant aux baquets les plus convoités du monde et que l’on est observé par des millions de fans dans le monde entier ! Congrats, Jérôme, et que ce nouveau challenge te permette de montrer qu’un pilote sympa ne fait pas le compromis sur la niaque au volant !
Par Guillaume NAVARRO
Source : toilef1.com
Il faut aussi noter que fin 2009, l'espoir N°1 pour la Belgique était Bertrand Baguette (Champion en WS 3.5).
Après des tests fructueux à Barcelone, Bertrand ne pourra décrocher un volant et choisira la voix de l'Indycar.
Jérôme d'Ambrosio de son côté a fait une saison moyenne en GP2 (malgré sa victoire en course 2 à Monaco ) mais ce qui a marqué les esprits s'est sa force de caractère à se remettre en question après sa mise à l'écart et son remplacement par Grosjean. Heureusement son retour s'est mieux passé malgré le niveau moyen d'une équipe DAMS qui n'est plus la référence en GP2 depuis longtemps.
Moi je me souviens aussi que Jérôme faisait jeu égal voir mieux que son équipier en 2009...un certain Kobayashi.
Espérons une Virgin meilleure que cette année et que D'Ambrosio puisse faire son nid en F1.
C'est dur d'y arriver, mais encore plus dur d'y rester.
stanito71- En transit
- Messages : 975
Date d'inscription : 20/02/2010
Localisation : Binche (Belgique)
Re: Revue de presse : infos générales.
La charge de Red Bull
Bien que le championnat des pilotes 2010 ait attiré beaucoup d'attention grâce aux cinq pilotes qui l'animaient, il ne faudrait pas oublier que le championnat des constructeurs a été tout aussi passionnant.
Trois écuries se sont partagées les victoires en 2010, chacune ayant ses forces et ses faiblesses, chacune ayant une approche différente. ESPNF1 a demandé à son jury d'experts (composé entre autres de Jackie Stewart, Stirling Moss, Tonio Liuzzi et Gérard Lopez) de choisir leur top 6 des équipes. Ils ont mûrement réfléchi à un grand nombre de critères, allant de la gestion de l'équipe à la conception de la monoplace. Voici les résultats.
1. Red Bull
À maintes reprises, une personne en particulier s'est méritée les éloges de notre jury : Adrian Newey, le concepteur de la Red Bull RB6. Sa monoplace est rien de moins qu'un audacieux chef-d'œuvre de design automobile. Avec Sebastian Vettel et Mark Webber aux commandes, elle a récolté neuf victoires mais aussi 15 pole positions (dont certaines comptaient plus d'une seconde d'avance sur ses rivales). La RB6 a été si rapide que toutes les équipes ou presque ont copié son concept de diffuseur soufflé par les gaz d'échappement. Pour tenter de réduire l'écart, quelques écuries ont remis en question la légalité de certaines de ses composantes.
L'écurie Red Bull a aussi été félicitée par notre jury pour avoir laissé ses pilotes se battre sur la piste, et ce malgré les risques inhérents. Gérard Lopez, l'actionnaire majoritaire de Renault F1, a été le seul à ne pas placer Red Bull au sommet de sa liste (il a préféré McLaren). Pourquoi ? Parce que Red Bull "avait la meilleure voiture et ils auraient dû décrocher les titres beaucoup plus tôt." D'une certaine façon, c'est presque un compliment.
2. McLaren
Pendant les deux premiers tiers de la saison, McLaren surpassait son potentiel. Grâce à son F-duct novateur, l'équipe a pu compenser le déficit aérodynamique qu'elle accusait face à Red Bull. D'excellentes stratégies ont vu Jenson Button signer deux victoires, tandis que la vitesse pure de Lewis Hamilton lui a permis de gagner au Canada et ailleurs. Par la suite, McLaren a eu des difficultés à développer sa version du diffuseur soufflé, ce qui lui a fait perdre du terrain. Hamilton a commis des erreurs alors que Button trouvait la MP4-25 de plus en plus difficile à piloter. Il est évident que l'équipe a fait un grand pas en avant depuis 2009, mais elle n'a pas encore remporté un titre des constructeurs au cours de ce siècle.
3. Ferrari
Bien que Kimi Räikkönen ait remporté le titre 2007 et que Felipe Massa ait failli le faire en 2008, la Scuderia Ferrari se cherchait depuis le départ de Michael Schumacher, fin 2006. On n'y trouvait plus la force qui a dominé la F1 au début de la décennie. L'arrivée de Fernando Alonso semble avoir comblé ce vide. Malheureusement pour Massa, son rôle d'acteur de soutien a clairement été défini au cours de l'été lors du GP d'Allemagne. C'était la chose à faire pour le bien de Ferrari, mais pas pour celui de la F1. Le fait de ne pas respecter un règlement connu de tous (même si contesté) a vu l'équipe perdre des votes parmi notre jury. Mais la remontée effectuée par l'équipe en fin de saison n'a pas manqué d'impressionner.
4. Renault
Comme les choses peuvent changer en une année. À la fin de 2009, l'avenir de l'équipe semblait plutôt terne : le scandale Crashgate, une voiture peu compétitive et un pilote vedette en partance pour Ferrari. En pleine crise économique, la société Renault cherchait une façon de diminuer son budget F1. Genii Capital, la compagnie d'investissement de Gérard Lopez, était la solution. L'entreprise luxembourgeoise a acheté 70% de l'équipe et en a refait l'image, tout en conservant le nom Renault F1. Une approche technique agressive a permis une progression constante, ce qui attiré les sponsors. L'élément-clé a été Robert Kubica, qui a su aller au-delà des limites de la R30 et monter trois fois sur le podium. Maintenant qu'elle est associée à Group Lotus, le futur de l'équipe est beaucoup plus positif qu'il ne l'était il y a un an.
5. Mercedes
Pour ses efforts, Mercedes se mérite la cinquième place de notre classement. Après avoir tout mis sur son titre 2009 (sous la bannière Brawn GP), l'équipe a négligé sa monoplace 2010. Il faut dire que l'avenir incertain de l'équipe y était aussi pour quelque chose. Lorsque Mercedes a pris le contrôle de Brawn GP au cours de l'hiver dernier, le développement de la W01 était déjà bien avancé et il était trop tard pur corriger certaines lacunes. Dès le début de la saison, il était évident que la Mercedes ne se battrait pas pour des victoires, et l'arrivée du septuple champion Michael Schumacher (quelque peu rouillé) n'y changerait rien. Cependant, Nico Rosberg a su se faire valoir en montant trois fois sur le podium. 2010 aura donc été une année de transition pour Mercedes. La magie de Ross Brawn pourrait opérer de nouveau en 2011.
6. Force India
L'équipe de Vijay Mallya se retrouve sur notre liste grâce à un seul vote : vous l'aurez deviné, celui de Tonio Liuzzi. Il est vrai que les efforts de Force India méritent d'être soulignés. La voiture 2009 a connu ses moments de gloire sur certains circuits ; le défi de 2010 était de faire en sorte que la VJM-03 soit bonne sur tous les tracés. Sachant que l'équipe a marqué des points 12 fois sur 19 courses, le premier objectif a certainement été atteint. Cependant, le département d'ingénierie a perdu deux de ses vedettes (James Key chez Sauber et Mark Smith chez Lotus). 2011 pourrait être plus difficile.
Meilleure nouvelle équipe : Lotus
Notre jury a unanimement choisi Lotus comme meilleure nouvelle écurie du championnat 2010. Grâce à la 12e place de Heikki Kovalainen au Japon, Lotus a raflé la 10e place du classement des constructeurs et s'est mérité un grand soutien public en invoquant le souvenir de l'équipe légendaire menée par Colin Chapman. 2011 sera un véritable test : avec un moteur Renault et une boîte de vitesse Red Bull, l'équipe de Tony Fernandes a l'intention de se battre dans le milieu du peloton. Avec Mike Gascoyne comme directeur technique, ce pari sera peut-être réalisable. Mais sous quel nom ? L'équipe mène actuellement un combat juridique puisque Group Lotus (partenaire dans Renault F1) conteste l'utilisation du nom Team Lotus.
Les membres du jury ESPNF1 sont : Sir Stirling Moss (quatre fois vice-champion et chroniqueur ESPNF1), Sir Jackie Stewart (triple champion), Sir Frank Williams (neuf titres des constructeurs), Gérard Lopez (actionnaire majoritaire de Renault F1), Tonio Liuzzi (pilote Force India et chroniqueur ESPNF1), Sam Bird (pilote GP2 et chroniqueur ESPNF1), Mark Sutton (photographe F1 et chroniqueur ESPNF1), Martin Williamson (directeur de la rédaction, ESPN), Alex Livie (rédacteur, ESPN), Laurence Edmondson (rédacteur-adjoint, ESPNF1), Fraser Masefield (collaborateur, ESPNF1), Daniel Bastien (collaborateur, ESPNF1.fr), Jonathan Hungin (chef de produit, ESPN), Deepak Gulati (gestionnaire de contenu, ESPN).
© ESPN EMEA Ltd.
Bien que le championnat des pilotes 2010 ait attiré beaucoup d'attention grâce aux cinq pilotes qui l'animaient, il ne faudrait pas oublier que le championnat des constructeurs a été tout aussi passionnant.
Trois écuries se sont partagées les victoires en 2010, chacune ayant ses forces et ses faiblesses, chacune ayant une approche différente. ESPNF1 a demandé à son jury d'experts (composé entre autres de Jackie Stewart, Stirling Moss, Tonio Liuzzi et Gérard Lopez) de choisir leur top 6 des équipes. Ils ont mûrement réfléchi à un grand nombre de critères, allant de la gestion de l'équipe à la conception de la monoplace. Voici les résultats.
1. Red Bull
À maintes reprises, une personne en particulier s'est méritée les éloges de notre jury : Adrian Newey, le concepteur de la Red Bull RB6. Sa monoplace est rien de moins qu'un audacieux chef-d'œuvre de design automobile. Avec Sebastian Vettel et Mark Webber aux commandes, elle a récolté neuf victoires mais aussi 15 pole positions (dont certaines comptaient plus d'une seconde d'avance sur ses rivales). La RB6 a été si rapide que toutes les équipes ou presque ont copié son concept de diffuseur soufflé par les gaz d'échappement. Pour tenter de réduire l'écart, quelques écuries ont remis en question la légalité de certaines de ses composantes.
L'écurie Red Bull a aussi été félicitée par notre jury pour avoir laissé ses pilotes se battre sur la piste, et ce malgré les risques inhérents. Gérard Lopez, l'actionnaire majoritaire de Renault F1, a été le seul à ne pas placer Red Bull au sommet de sa liste (il a préféré McLaren). Pourquoi ? Parce que Red Bull "avait la meilleure voiture et ils auraient dû décrocher les titres beaucoup plus tôt." D'une certaine façon, c'est presque un compliment.
2. McLaren
Pendant les deux premiers tiers de la saison, McLaren surpassait son potentiel. Grâce à son F-duct novateur, l'équipe a pu compenser le déficit aérodynamique qu'elle accusait face à Red Bull. D'excellentes stratégies ont vu Jenson Button signer deux victoires, tandis que la vitesse pure de Lewis Hamilton lui a permis de gagner au Canada et ailleurs. Par la suite, McLaren a eu des difficultés à développer sa version du diffuseur soufflé, ce qui lui a fait perdre du terrain. Hamilton a commis des erreurs alors que Button trouvait la MP4-25 de plus en plus difficile à piloter. Il est évident que l'équipe a fait un grand pas en avant depuis 2009, mais elle n'a pas encore remporté un titre des constructeurs au cours de ce siècle.
3. Ferrari
Bien que Kimi Räikkönen ait remporté le titre 2007 et que Felipe Massa ait failli le faire en 2008, la Scuderia Ferrari se cherchait depuis le départ de Michael Schumacher, fin 2006. On n'y trouvait plus la force qui a dominé la F1 au début de la décennie. L'arrivée de Fernando Alonso semble avoir comblé ce vide. Malheureusement pour Massa, son rôle d'acteur de soutien a clairement été défini au cours de l'été lors du GP d'Allemagne. C'était la chose à faire pour le bien de Ferrari, mais pas pour celui de la F1. Le fait de ne pas respecter un règlement connu de tous (même si contesté) a vu l'équipe perdre des votes parmi notre jury. Mais la remontée effectuée par l'équipe en fin de saison n'a pas manqué d'impressionner.
4. Renault
Comme les choses peuvent changer en une année. À la fin de 2009, l'avenir de l'équipe semblait plutôt terne : le scandale Crashgate, une voiture peu compétitive et un pilote vedette en partance pour Ferrari. En pleine crise économique, la société Renault cherchait une façon de diminuer son budget F1. Genii Capital, la compagnie d'investissement de Gérard Lopez, était la solution. L'entreprise luxembourgeoise a acheté 70% de l'équipe et en a refait l'image, tout en conservant le nom Renault F1. Une approche technique agressive a permis une progression constante, ce qui attiré les sponsors. L'élément-clé a été Robert Kubica, qui a su aller au-delà des limites de la R30 et monter trois fois sur le podium. Maintenant qu'elle est associée à Group Lotus, le futur de l'équipe est beaucoup plus positif qu'il ne l'était il y a un an.
5. Mercedes
Pour ses efforts, Mercedes se mérite la cinquième place de notre classement. Après avoir tout mis sur son titre 2009 (sous la bannière Brawn GP), l'équipe a négligé sa monoplace 2010. Il faut dire que l'avenir incertain de l'équipe y était aussi pour quelque chose. Lorsque Mercedes a pris le contrôle de Brawn GP au cours de l'hiver dernier, le développement de la W01 était déjà bien avancé et il était trop tard pur corriger certaines lacunes. Dès le début de la saison, il était évident que la Mercedes ne se battrait pas pour des victoires, et l'arrivée du septuple champion Michael Schumacher (quelque peu rouillé) n'y changerait rien. Cependant, Nico Rosberg a su se faire valoir en montant trois fois sur le podium. 2010 aura donc été une année de transition pour Mercedes. La magie de Ross Brawn pourrait opérer de nouveau en 2011.
6. Force India
L'équipe de Vijay Mallya se retrouve sur notre liste grâce à un seul vote : vous l'aurez deviné, celui de Tonio Liuzzi. Il est vrai que les efforts de Force India méritent d'être soulignés. La voiture 2009 a connu ses moments de gloire sur certains circuits ; le défi de 2010 était de faire en sorte que la VJM-03 soit bonne sur tous les tracés. Sachant que l'équipe a marqué des points 12 fois sur 19 courses, le premier objectif a certainement été atteint. Cependant, le département d'ingénierie a perdu deux de ses vedettes (James Key chez Sauber et Mark Smith chez Lotus). 2011 pourrait être plus difficile.
Meilleure nouvelle équipe : Lotus
Notre jury a unanimement choisi Lotus comme meilleure nouvelle écurie du championnat 2010. Grâce à la 12e place de Heikki Kovalainen au Japon, Lotus a raflé la 10e place du classement des constructeurs et s'est mérité un grand soutien public en invoquant le souvenir de l'équipe légendaire menée par Colin Chapman. 2011 sera un véritable test : avec un moteur Renault et une boîte de vitesse Red Bull, l'équipe de Tony Fernandes a l'intention de se battre dans le milieu du peloton. Avec Mike Gascoyne comme directeur technique, ce pari sera peut-être réalisable. Mais sous quel nom ? L'équipe mène actuellement un combat juridique puisque Group Lotus (partenaire dans Renault F1) conteste l'utilisation du nom Team Lotus.
Les membres du jury ESPNF1 sont : Sir Stirling Moss (quatre fois vice-champion et chroniqueur ESPNF1), Sir Jackie Stewart (triple champion), Sir Frank Williams (neuf titres des constructeurs), Gérard Lopez (actionnaire majoritaire de Renault F1), Tonio Liuzzi (pilote Force India et chroniqueur ESPNF1), Sam Bird (pilote GP2 et chroniqueur ESPNF1), Mark Sutton (photographe F1 et chroniqueur ESPNF1), Martin Williamson (directeur de la rédaction, ESPN), Alex Livie (rédacteur, ESPN), Laurence Edmondson (rédacteur-adjoint, ESPNF1), Fraser Masefield (collaborateur, ESPNF1), Daniel Bastien (collaborateur, ESPNF1.fr), Jonathan Hungin (chef de produit, ESPN), Deepak Gulati (gestionnaire de contenu, ESPN).
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Des pare-brise en F1 ?
>> La FIA a proposé aux équipes d'utiliser des pare-brise en plexiglas pour des raisons de sécurité, notamment après l'accident de Felipe Massa en 2009.
- Massa a été transporté à l'hôpital lors de l'avant-dernier Grand Prix de Hongrie après avoir été touché au casque pas une pièce échappée de la Brawn de Rubens Barrichello.
Le magazine italien Autosprint publie une image préfigurant un pare-brise destiné à protéger les pilotes. Non seulement des petits objets, mais aussi des gros comme les roues. L'une d'elles a provoqué la mort de Henry Surtees, le fils de John, en F2 il y a quelques mois.
- "Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de couvrir le cockpit complètement", a déclaré Massa. "Il y a peut-être d'autres choses à faire pour que les roues évitent de blesser le pilote."
> Après ces deux accidents, Bernie Ecclestone avait demandé au Pr Sid Watkins, ancien chirurgien de la F1 et aujourd'hui président de l'institut de la FIA pour la Sécurité dans les sports mécaniques de réfléchir à une solution.
On se souvient aussi de l'accident survenu peu après le départ du Grand Prix d'Abou Dhabi 2010 où Michael Schumacher avait vu passer le nez de la Force India de Tonio Liuzzi à quelques centimètres de sa tête.
Selon Autosprint, le dispositif proposé par le FIA pourrait stopper non seulement une roue, mais aussi une F1 de 640 kg.
La solution envisagée aurait aussi un impact sur l'appui aérodynamique global de la voiture.
© ESPN EMEA Ltd.
- Massa a été transporté à l'hôpital lors de l'avant-dernier Grand Prix de Hongrie après avoir été touché au casque pas une pièce échappée de la Brawn de Rubens Barrichello.
Le magazine italien Autosprint publie une image préfigurant un pare-brise destiné à protéger les pilotes. Non seulement des petits objets, mais aussi des gros comme les roues. L'une d'elles a provoqué la mort de Henry Surtees, le fils de John, en F2 il y a quelques mois.
- "Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de couvrir le cockpit complètement", a déclaré Massa. "Il y a peut-être d'autres choses à faire pour que les roues évitent de blesser le pilote."
> Après ces deux accidents, Bernie Ecclestone avait demandé au Pr Sid Watkins, ancien chirurgien de la F1 et aujourd'hui président de l'institut de la FIA pour la Sécurité dans les sports mécaniques de réfléchir à une solution.
On se souvient aussi de l'accident survenu peu après le départ du Grand Prix d'Abou Dhabi 2010 où Michael Schumacher avait vu passer le nez de la Force India de Tonio Liuzzi à quelques centimètres de sa tête.
Selon Autosprint, le dispositif proposé par le FIA pourrait stopper non seulement une roue, mais aussi une F1 de 640 kg.
La solution envisagée aurait aussi un impact sur l'appui aérodynamique global de la voiture.
© ESPN EMEA Ltd.
_________________
Ferrari veut voir Vettel en rouge...
>> Luca di Montezemolo rêve de confier une monoplace à Sebastian Vettel dans l'avenir.
- Le Président de Ferrari apprécie le champion du monde 2010.
Il n'y aura aucun transfert dans les top teams cet hiver, et probablement aucun dans un an. La plupart des pilotes sont liés à leurs équipes jusqu'en 2012.
> C'est notamment le cas des pilotes Ferrari, des pilotes McLaren et de Sebastian Vettel chez Red Bull.
- Le champion du monde 2010 devrait attirer les convoitises à la fin de son contrat. McLaren a déjà tenter de le recruter en 2008 et il y a quelques semaines, Martin Whitmarsh a réitéré son intérêt pour Vettel.
- L'équipe anglaise pourrait avoir une concurrente : Ferrari.
- « Sebastian est rapide, intelligent et jeune » a déclaré Luca di Montezemolo selon le Cologne Express « Tôt ou tard, il pilotera une voiture rouge. »
Il reste à savoir si Sebastian Vettel souhaitera quitter Red Bull, une marque à laquelle il est lié depuis son adolescence.
- « Michael Schumacher m'a parlé de sensations particulières en pilotant pour Ferrari ou Mercedes, » a déclaré Vettel au "Bild" en novembre.
« Ces marques sont le passé, le présent et très probablement le futur de la Formule 1. Tous les pilotes rêvent de rouler pour eux. Mais après, cela dépend de nombreux facteurs. Il faut que tout fonctionne bien. Le mythe ne fait pas tout. »
Source : Sportauto.fr
- Le Président de Ferrari apprécie le champion du monde 2010.
Il n'y aura aucun transfert dans les top teams cet hiver, et probablement aucun dans un an. La plupart des pilotes sont liés à leurs équipes jusqu'en 2012.
> C'est notamment le cas des pilotes Ferrari, des pilotes McLaren et de Sebastian Vettel chez Red Bull.
- Le champion du monde 2010 devrait attirer les convoitises à la fin de son contrat. McLaren a déjà tenter de le recruter en 2008 et il y a quelques semaines, Martin Whitmarsh a réitéré son intérêt pour Vettel.
- L'équipe anglaise pourrait avoir une concurrente : Ferrari.
- « Sebastian est rapide, intelligent et jeune » a déclaré Luca di Montezemolo selon le Cologne Express « Tôt ou tard, il pilotera une voiture rouge. »
Il reste à savoir si Sebastian Vettel souhaitera quitter Red Bull, une marque à laquelle il est lié depuis son adolescence.
- « Michael Schumacher m'a parlé de sensations particulières en pilotant pour Ferrari ou Mercedes, » a déclaré Vettel au "Bild" en novembre.
« Ces marques sont le passé, le présent et très probablement le futur de la Formule 1. Tous les pilotes rêvent de rouler pour eux. Mais après, cela dépend de nombreux facteurs. Il faut que tout fonctionne bien. Le mythe ne fait pas tout. »
Source : Sportauto.fr
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Il y aura peut-être aussi une belle place à prendre chez Red Bull fin 2011, le contrat de Webber se terminant.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Page 29 sur 39 • 1 ... 16 ... 28, 29, 30 ... 34 ... 39
Sujets similaires
» Revue de presse : infos générales V
» Stefan GP mise sur Villeneuve!
» Article de presse
» News WEC 2012
» RENAULT F1 TEAM
» Stefan GP mise sur Villeneuve!
» Article de presse
» News WEC 2012
» RENAULT F1 TEAM
Page 29 sur 39
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum