Revue de presse : infos générales.
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Re: Revue de presse : infos générales.
Button doit faire encore mieux
Jenson Button a fort à faire au milieu du groupe de tête, afin de remonter au classement. © DPPI / Gilles Levent
Le pilote McLaren sait qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps pour reprendre son retard sur la tête du Championnat. Le Champion du Monde en titre a 22 points de retard sur le leader Mark Webber.
Jenson Button devra obtenir un meilleur résultat ce week-end à Singapour que celui qu’il a signé l’année dernière, où le Britannique avait coupé la ligne en 5e position. Sa deuxième place décrochée à Monza ne suffit pas à faire oublier l’accrochage de Sebastian Vettel à Spa-Francorchamps, ruinant la course du pilote McLaren.
Le co-équipier de Lewis Hamilton sait qu’il ne doit pas manquer le rendez-vous de ce week-end pour conserver ses chances de titre. « Le Grand Prix de Singapour sera un week-end très intéressant car je pense qu’il offrira une idée claire de la destinée du Championnat du Monde », a commenté Jenson Button. « La Hongrie, disputée début août, était la dernière course avec une vitesse peu élevée et de forts appuis. Notre voiture n’y était pas particulièrement compétitive, et nous n’avions peut-être pas une vue exacte des performances des top-teams car nous n’avions fait que deux circuits à haute vitesse. »
Les Red Bull Renault seront sans doute de nouveau avantagées sur un circuit lent. Mais le niveau des Ferrari et des Mclaren est incertain. « Singapour sera intéressant pour nous tous. Nous ne savons pas quel sera le rythme de Ferrari et de Red Bull, mais nous allons enfin voir ce que vont donner tous les efforts faits depuis deux mois pour augmenter le rythme sur des circuits réclamant de forts appuis. »
L’ancien pilote Brawn GP est néanmoins satisfait de retrouver le Grand Prix de Singapour, qui reste la course disputée de nuit. « Personnellement, je pense que Singapour s’est rapidement établi comme une des meilleures courses du calendrier, et je suis déjà impatient d’être aligné sur la grille de départ. » Dans la meilleure position possible, de préférence…
Jacques Dupuis
Source : autohebdo.fr
Jenson Button a fort à faire au milieu du groupe de tête, afin de remonter au classement. © DPPI / Gilles Levent
Le pilote McLaren sait qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps pour reprendre son retard sur la tête du Championnat. Le Champion du Monde en titre a 22 points de retard sur le leader Mark Webber.
Jenson Button devra obtenir un meilleur résultat ce week-end à Singapour que celui qu’il a signé l’année dernière, où le Britannique avait coupé la ligne en 5e position. Sa deuxième place décrochée à Monza ne suffit pas à faire oublier l’accrochage de Sebastian Vettel à Spa-Francorchamps, ruinant la course du pilote McLaren.
Le co-équipier de Lewis Hamilton sait qu’il ne doit pas manquer le rendez-vous de ce week-end pour conserver ses chances de titre. « Le Grand Prix de Singapour sera un week-end très intéressant car je pense qu’il offrira une idée claire de la destinée du Championnat du Monde », a commenté Jenson Button. « La Hongrie, disputée début août, était la dernière course avec une vitesse peu élevée et de forts appuis. Notre voiture n’y était pas particulièrement compétitive, et nous n’avions peut-être pas une vue exacte des performances des top-teams car nous n’avions fait que deux circuits à haute vitesse. »
Les Red Bull Renault seront sans doute de nouveau avantagées sur un circuit lent. Mais le niveau des Ferrari et des Mclaren est incertain. « Singapour sera intéressant pour nous tous. Nous ne savons pas quel sera le rythme de Ferrari et de Red Bull, mais nous allons enfin voir ce que vont donner tous les efforts faits depuis deux mois pour augmenter le rythme sur des circuits réclamant de forts appuis. »
L’ancien pilote Brawn GP est néanmoins satisfait de retrouver le Grand Prix de Singapour, qui reste la course disputée de nuit. « Personnellement, je pense que Singapour s’est rapidement établi comme une des meilleures courses du calendrier, et je suis déjà impatient d’être aligné sur la grille de départ. » Dans la meilleure position possible, de préférence…
Jacques Dupuis
Source : autohebdo.fr
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
La Formule 1 n'aime pas les jeunes !
D’un côté Rubens Barrichello et ses plus de 300 Grands Prix. De l’autre, des Senna, Petrov, Yamamoto et, jadis, Romain Grosjean, jetés dans le bain des Grands Prix sans avoir pu effectuer beaucoup de tests. Depuis l’année passée, les écuries ne peuvent plus effectuer qu’un nombre limité de jours de test. Du coup, elles préfèrent logiquement faire rouler les pilotes titulaires. Jaime Alguersuari, qui a fait ses débuts en F1 l’an passé sans aucun kilomètre d’essais, estime que les pilotes ont besoin de plus de temps : “Ça prend du temps d’apprendre la F1. Chaque fois qu’on conduit, c’est plus simple, mais avec les règles actuelles, ce n’est vraiment pas évident. Lewis Hamilton a beaucoup roulé avant de courir, pas nous… Les écuries ne veulent pas faire de tests avec des débutants qui n’ont aucune expérience, parce que leur temps d’essais est compté. Ce qu’a fait Red Bull avec moi était très risqué.” Vitaly Petrov a bien roulé, mais ses tests ont eu lieu en hiver, principalement sous la pluie… Son prédécesseur chez Renault, Romain Grosjean, a été plongé dans le grand bain sans beaucoup de kilométrage. Du coup, sans doute mal préparé, et après sept courses sans points, il n’a pas été retenu cette année et a dû s’exiler dans des catégories inférieures. Le Français a été victime de cette habitude relativement nouvelle, puisqu’un autre pilote du programme Renault Drivers Development, Heikki Kovalainen, a lui bénéficié du plus grand roulage avant un premier Grand Prix, comme le montre le tableau ci-dessous :
Une situation absurde, due, dit-on, à la volonté des écuries de réduire les coûts. Si certains teams, comme McLaren, estiment qu’il faudrait sans doute assouplir les règles, les plus petites formations souhaitent son maintien pour des raisons économiques. Mais s’agit-il réellement d’une question de gros sous ? Et les petites écuries sont-elles vraiment à blâmer ? Car deux petites structures – Force India et maintenant Virgin – travaillent justement à la promotion des jeunes talents : le Britannique Paul di Resta roule le vendredi en lieu et place des titulaires et le Belge Jérôme d’Ambrosio fera de même au volant de la Virgin pour quatre des derniers Grands Prix de la saison, où il remplacera Luca Di Grassi, afin de montrer son potentiel pour une éventuelle place de titulaire en 2011. De façon plus anecdotique, car pour s’attirer une visibilité spécifique en Malaisie, Lotus a confié le volant d’une de ses monoplaces au Malais Fairuz Fauzy dans quelques séances matinales du vendredi.
Alors que des “rookie days” sont organisés en novembre à Abou Dhabi (où le Belge roulera pour Virgin et pour Renault), deux jours après le Grand Prix, on ne peut que saluer cette initiative, à laquelle devraient contribuer les écuries de pointe…
Source : F1imagazine
D’un côté Rubens Barrichello et ses plus de 300 Grands Prix. De l’autre, des Senna, Petrov, Yamamoto et, jadis, Romain Grosjean, jetés dans le bain des Grands Prix sans avoir pu effectuer beaucoup de tests. Depuis l’année passée, les écuries ne peuvent plus effectuer qu’un nombre limité de jours de test. Du coup, elles préfèrent logiquement faire rouler les pilotes titulaires. Jaime Alguersuari, qui a fait ses débuts en F1 l’an passé sans aucun kilomètre d’essais, estime que les pilotes ont besoin de plus de temps : “Ça prend du temps d’apprendre la F1. Chaque fois qu’on conduit, c’est plus simple, mais avec les règles actuelles, ce n’est vraiment pas évident. Lewis Hamilton a beaucoup roulé avant de courir, pas nous… Les écuries ne veulent pas faire de tests avec des débutants qui n’ont aucune expérience, parce que leur temps d’essais est compté. Ce qu’a fait Red Bull avec moi était très risqué.” Vitaly Petrov a bien roulé, mais ses tests ont eu lieu en hiver, principalement sous la pluie… Son prédécesseur chez Renault, Romain Grosjean, a été plongé dans le grand bain sans beaucoup de kilométrage. Du coup, sans doute mal préparé, et après sept courses sans points, il n’a pas été retenu cette année et a dû s’exiler dans des catégories inférieures. Le Français a été victime de cette habitude relativement nouvelle, puisqu’un autre pilote du programme Renault Drivers Development, Heikki Kovalainen, a lui bénéficié du plus grand roulage avant un premier Grand Prix, comme le montre le tableau ci-dessous :
Une situation absurde, due, dit-on, à la volonté des écuries de réduire les coûts. Si certains teams, comme McLaren, estiment qu’il faudrait sans doute assouplir les règles, les plus petites formations souhaitent son maintien pour des raisons économiques. Mais s’agit-il réellement d’une question de gros sous ? Et les petites écuries sont-elles vraiment à blâmer ? Car deux petites structures – Force India et maintenant Virgin – travaillent justement à la promotion des jeunes talents : le Britannique Paul di Resta roule le vendredi en lieu et place des titulaires et le Belge Jérôme d’Ambrosio fera de même au volant de la Virgin pour quatre des derniers Grands Prix de la saison, où il remplacera Luca Di Grassi, afin de montrer son potentiel pour une éventuelle place de titulaire en 2011. De façon plus anecdotique, car pour s’attirer une visibilité spécifique en Malaisie, Lotus a confié le volant d’une de ses monoplaces au Malais Fairuz Fauzy dans quelques séances matinales du vendredi.
Alors que des “rookie days” sont organisés en novembre à Abou Dhabi (où le Belge roulera pour Virgin et pour Renault), deux jours après le Grand Prix, on ne peut que saluer cette initiative, à laquelle devraient contribuer les écuries de pointe…
Source : F1imagazine
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
F1 - Epsilon Euskadi, le mensonge comme stratégie industrielle ?
En plus d’avoir créé l’illusion d’une présence ou d’une intention pour la saison 2011, il semblerait bien que le programme Epsilon Euskadi ne soit en réalité qu’un écran de fumée ayant dupé tous les médias du monde de la Formule 1...
Selon le site 422Race.com, la structure Epsilon Euskadi n’a jamais disposé du budget nécessaire pour être présent dans le Championnat du Monde de Formule 1. Finalement... La campagne de communication, autour de ce projet, n’a uniquement servi qu’à satisfaire les besoins de cette société de course. Certains, vont même plus loin en révélant diverses informations.
Selon une source proche de l’écurie basque, la fameuse voiture testée en soufflerie, était en faite... Le résultat d’une mise en concurrence entre des jeunes étudiants ingénieurs. En outre, la base du modèle (utilisé en soufflerie) était une ancienne monoplace "World Series by Renault", légèrement modifiée. Loin du standard F1 !
Il n’est donc pas étonnant que ce projet d’équipe n’ait pas obtenu l’aval de la Fédération Internationale de l’Automobile durant ce mois de septembre.
Source : Fanatic F1
En plus d’avoir créé l’illusion d’une présence ou d’une intention pour la saison 2011, il semblerait bien que le programme Epsilon Euskadi ne soit en réalité qu’un écran de fumée ayant dupé tous les médias du monde de la Formule 1...
Selon le site 422Race.com, la structure Epsilon Euskadi n’a jamais disposé du budget nécessaire pour être présent dans le Championnat du Monde de Formule 1. Finalement... La campagne de communication, autour de ce projet, n’a uniquement servi qu’à satisfaire les besoins de cette société de course. Certains, vont même plus loin en révélant diverses informations.
Selon une source proche de l’écurie basque, la fameuse voiture testée en soufflerie, était en faite... Le résultat d’une mise en concurrence entre des jeunes étudiants ingénieurs. En outre, la base du modèle (utilisé en soufflerie) était une ancienne monoplace "World Series by Renault", légèrement modifiée. Loin du standard F1 !
Il n’est donc pas étonnant que ce projet d’équipe n’ait pas obtenu l’aval de la Fédération Internationale de l’Automobile durant ce mois de septembre.
Source : Fanatic F1
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Williams à la recherche de constance
Depuis le Grand Prix de Grande-Bretagne à Silverstone, l'écurie Williams fonctionne sur courant alternatif : deux arrivées dans les points, deux résultats vierges. Si cette curieuse tendance venait à se prolonger, c'est un zéro pointé qui attendrait l'équipe britannique à Singapour après sa belle performance signée à Monza.
Le challenge qui attend Rubens Barrichello et Nico Hülkenberg est donc double. Récolter deux top dix mais faire - enfin - preuve de constance. Une condition sine qua non pour venir à bout de Force India au classement des constructeurs.
« Singapour est une destination magnifique et c'est complètement différent des autres courses du calendrier. » explique Rubens. « La piste est typique d'un tracé urbain et est est composée de virages variés. Il peut s'avérer difficile de trouver le set-up optimal mais ça ne la rend que plus intéressante et c'est l'une des raisons pour lesquelles je l'apprécie autant. Il y a quelques opportunités de dépassement, comme dans le virage n°4 et en fin de tour. Les gens optent également pour des stratégies différentes et ça vous permet d'espérer gagner des places. »
« Nous avons un peu souffert avec les projecteurs la première année, mais les organisateurs ont corrigé ça. Piloter de nuit est similaire à regarder une télévision en standard, pas en haute définition : il y a simplement un peu moins de précision. En résumé, la piste de Singapour est un superbe endroit pour piloter, il y a toujours beaucoup d'action durant la course et c'est une belle épreuve pour la F1. C'est spécial. »
Après sa prouesse de Monza, où il a résisté de manière héroïque à Mark Webber avant de se classer 7e, Nico Hülkenberg va pouvoir montrer que ses récentes performances n'étaient pas dues à sa connaissance des tracés européens mais bien à sa montée en puissance. Le pilote Williams reste sur quatre Q3 d'affilée.
« Nous avons décroché un bon résultat à Monza. » souligne l'Allemand. « Je me sens de plus en plus à l'aise en F1 et dans notre monoplace et c'est ce qui m'aide à exploiter le maximum de mes week-ends de course. J'obtiens plus de la FW32 qu'en début de saison et j'espère convertir cela en arrivées dans les points supplémentaires pour l'équipe. »
« Singapour a l'air d'être un circuit cool. Ce sera ma première fois là-bas, mais j'ai passé du temps en simulateur pour au moins découvrir le tracé et j'aime bien les circuits urbains. J'ai participé à une course en nocturne en GP2 Asia en 2009 donc piloter de nuit n'est pas une nouveauté pour moi et cela rend le week-end un peu plus spécial. En ce qui concerne le pilotage, je ne pense pas que cela sera différent ; la clé est simplement de s'adapter au rythme ; aller au lit au milieu de la nuit puis se réveiller à la mi-journée ! Tout est complètement décalé de notre rythme habituel mais je suis certain que cela va être très excitant. Tout le monde parle en bien de cette course, beaucoup de gens disent que c'est le moment fort de la saison donc j'ai simplement envie d'y aller et de le découvrir par moi-même ! »
Source : GPupdate.net
Depuis le Grand Prix de Grande-Bretagne à Silverstone, l'écurie Williams fonctionne sur courant alternatif : deux arrivées dans les points, deux résultats vierges. Si cette curieuse tendance venait à se prolonger, c'est un zéro pointé qui attendrait l'équipe britannique à Singapour après sa belle performance signée à Monza.
Le challenge qui attend Rubens Barrichello et Nico Hülkenberg est donc double. Récolter deux top dix mais faire - enfin - preuve de constance. Une condition sine qua non pour venir à bout de Force India au classement des constructeurs.
« Singapour est une destination magnifique et c'est complètement différent des autres courses du calendrier. » explique Rubens. « La piste est typique d'un tracé urbain et est est composée de virages variés. Il peut s'avérer difficile de trouver le set-up optimal mais ça ne la rend que plus intéressante et c'est l'une des raisons pour lesquelles je l'apprécie autant. Il y a quelques opportunités de dépassement, comme dans le virage n°4 et en fin de tour. Les gens optent également pour des stratégies différentes et ça vous permet d'espérer gagner des places. »
« Nous avons un peu souffert avec les projecteurs la première année, mais les organisateurs ont corrigé ça. Piloter de nuit est similaire à regarder une télévision en standard, pas en haute définition : il y a simplement un peu moins de précision. En résumé, la piste de Singapour est un superbe endroit pour piloter, il y a toujours beaucoup d'action durant la course et c'est une belle épreuve pour la F1. C'est spécial. »
Après sa prouesse de Monza, où il a résisté de manière héroïque à Mark Webber avant de se classer 7e, Nico Hülkenberg va pouvoir montrer que ses récentes performances n'étaient pas dues à sa connaissance des tracés européens mais bien à sa montée en puissance. Le pilote Williams reste sur quatre Q3 d'affilée.
« Nous avons décroché un bon résultat à Monza. » souligne l'Allemand. « Je me sens de plus en plus à l'aise en F1 et dans notre monoplace et c'est ce qui m'aide à exploiter le maximum de mes week-ends de course. J'obtiens plus de la FW32 qu'en début de saison et j'espère convertir cela en arrivées dans les points supplémentaires pour l'équipe. »
« Singapour a l'air d'être un circuit cool. Ce sera ma première fois là-bas, mais j'ai passé du temps en simulateur pour au moins découvrir le tracé et j'aime bien les circuits urbains. J'ai participé à une course en nocturne en GP2 Asia en 2009 donc piloter de nuit n'est pas une nouveauté pour moi et cela rend le week-end un peu plus spécial. En ce qui concerne le pilotage, je ne pense pas que cela sera différent ; la clé est simplement de s'adapter au rythme ; aller au lit au milieu de la nuit puis se réveiller à la mi-journée ! Tout est complètement décalé de notre rythme habituel mais je suis certain que cela va être très excitant. Tout le monde parle en bien de cette course, beaucoup de gens disent que c'est le moment fort de la saison donc j'ai simplement envie d'y aller et de le découvrir par moi-même ! »
Source : GPupdate.net
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
[/quote]Déjà mis juste plus haut, Bruno !
Bruno935K3 : Ayé, je l'ai effacé !
Bruno935K3 : Ayé, je l'ai effacé !
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
==>> F1 - Des médailles en 2011 ?
Posté le 23 septembre 2010 dans la catégorie : Actualités
Le retour des médailles ? Souvenez vous, l’an dernier Bernie Ecclestone avait souhaité imposer cette idée pour le championnat 2010 en vain (voir pour rappel de l’histoire ici et là pour en savoir plus). L’argentier de la Formule 1 envisage de donner une nouvelle impulsion et relance son idée de médaille à la place du système de points actuellement en vigueur.
« Si vous regardez le système de points, il n’y a absolument aucune différence. Si nous avions l’ancien système, ce serait exactement la même position que maintenant. Ce qui est étrange. » lance en prélude Bernie Ecclestone à Autosport.com
Selon ses plans, le championnat du monde serait attribué au pilote ayant inscrit le plus de victoire durant la saison. Si les pilotes sont à égalité, les secondes et troisièmes auront une valeur d’arbitre.
« Peut-être qu’ils (la FIA et la FOTA) vont se réveiller et penser à mon système de médaille aujourd’hui. Mark aurait désormais 4 médailles et les autres trois, de sorte que le championnat pourrait aller jusqu’au bout. »
En effet, selon les calculs, Mark Webber disposerait de 4 médailles d’or, Lewis Hamilton et Fernando Alonso, trois et le duo Jenson Button, Sébastian Vettel, deux seulement.
Mettant la pression sur la FOTA et la FIA, Ecclestone est confiant sur son idée pour l’an prochain et estime qu’elle sera discutée dans les prochaines semaines.
=> http://www.tomorrownewsf1.com/
Posté le 23 septembre 2010 dans la catégorie : Actualités
Le retour des médailles ? Souvenez vous, l’an dernier Bernie Ecclestone avait souhaité imposer cette idée pour le championnat 2010 en vain (voir pour rappel de l’histoire ici et là pour en savoir plus). L’argentier de la Formule 1 envisage de donner une nouvelle impulsion et relance son idée de médaille à la place du système de points actuellement en vigueur.
« Si vous regardez le système de points, il n’y a absolument aucune différence. Si nous avions l’ancien système, ce serait exactement la même position que maintenant. Ce qui est étrange. » lance en prélude Bernie Ecclestone à Autosport.com
Selon ses plans, le championnat du monde serait attribué au pilote ayant inscrit le plus de victoire durant la saison. Si les pilotes sont à égalité, les secondes et troisièmes auront une valeur d’arbitre.
« Peut-être qu’ils (la FIA et la FOTA) vont se réveiller et penser à mon système de médaille aujourd’hui. Mark aurait désormais 4 médailles et les autres trois, de sorte que le championnat pourrait aller jusqu’au bout. »
En effet, selon les calculs, Mark Webber disposerait de 4 médailles d’or, Lewis Hamilton et Fernando Alonso, trois et le duo Jenson Button, Sébastian Vettel, deux seulement.
Mettant la pression sur la FOTA et la FIA, Ecclestone est confiant sur son idée pour l’an prochain et estime qu’elle sera discutée dans les prochaines semaines.
=> http://www.tomorrownewsf1.com/
SAUBER.F1- Messages : 1037
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Re: Revue de presse : infos générales.
SAUBER.F1 a écrit:==>> F1 - Des médailles en 2011 ?
Le retour des médailles ? Souvenez vous, l’an dernier Bernie Ecclestone avait souhaité imposer cette idée pour le championnat 2010 en vain (voir pour rappel de l’histoire ici et là pour en savoir plus). => http://www.tomorrownewsf1.com/
Quand il a une idée dans la tête, il ne l'a pas ailleurs celui-là Fatiguant, vraiment fatiguant ce mec
_________________
"La course, la compétition, coulent dans mes veines. C'est une partie de moi et je l'ai assouvie toute ma vie. Pour moi, ça passe avant tout." Ayrton Senna.
Re: Revue de presse : infos générales.
Fabienne a écrit:SAUBER.F1 a écrit:==>> F1 - Des médailles en 2011 ?
Le retour des médailles ? Souvenez vous, l’an dernier Bernie Ecclestone avait souhaité imposer cette idée pour le championnat 2010 en vain (voir pour rappel de l’histoire ici et là pour en savoir plus). => http://www.tomorrownewsf1.com/
Quand il a une idée dans la tête, il ne l'a pas ailleurs celui-là Fatiguant, vraiment fatiguant ce mec
Ce sont les provocs de papy Zinzin!
Re: Revue de presse : infos générales.
N'importe quel système donne Webber leader du championnat, qu'est ce qui vient nous saouler encore avec ses médailles ?
Re: Revue de presse : infos générales.
Toro Rosso, une écurie à vendre?
Toro Rosso, petite sœur de l’écurie Red Bull, coûte cher, trop cher. Même si on fait encore comme si de rien n’était au sein de l’écurie, pas sûr que l’on retrouve ces voitures sous cette couleur l’année prochaine.
Partager : Le propriétaire de l’écurie italienne cherche à s’en séparer. Jacques Villeneuve pourrait faire partie des repreneurs.
Alors que Sébastien Buemi devrait poursuivre sa carrière au sein de l’écurie Toro Rosso pour une troisième saison, en 2011, la rumeur, dans le paddock de Singapour, ne fait qu’enfler: l’écurie Toro Rosso serait à vendre.
C’est à la fin de la saison 2005 que l’Autrichien Dietrich Mateschitz a acheté l’écurie Minardi pour en changer le nom et permettre à ses jeunes pilotes de se former à la F1 avant de passer dans son équipe-phare, Red Bull.
Une idée qui coûte cher: le budget de l’écurie Toro Rosso, chaque année, revient à plus de 120 millions de francs à l’Autrichien. Si le but ne consiste réellement qu’à former ses deux pilotes, Sébastien Buemi et Jaime Alguersuari, il serait sans doute moins cher d’acheter deux baquets dans une autre écurie.
C’est peut-être ce raisonnement qui pousse le patron à mettre Toro Rosso en vente. Si la nouvelle n’est pas encore officielle, elle confirme les difficultés rencontrées par de nombreuses autres équipes (lire l’encadré). Au sein de la formation italienne, en tout cas, on fait mine de ne pas être au courant…
Gros bénéfice en perspective
Pour Dietrich Mateschitz, la vente de Toro Rosso pourrait se solder par un joli bénéfice: achetée 40 millions de dollars, l’écurie italienne en vaut trois fois plus aujourd’hui – même si son propriétaire y a beaucoup investi, en construisant notamment de nouveaux bâtiments.
Plusieurs acheteurs pourraient être sur les rangs, l’achat d’une écurie comme Toro Rosso étant la manière la plus simple et la plus efficace de se lancer en F1. Parmi les candidats à la reprise, on compte ainsi Jacques Villeneuve. Associé à l’équipe italienne Durango, et soutenu par des financiers secrets, il avait le projet de créer une nouvelle écurie cet été jusqu’à ce que la fédération rejette son projet.
Buemi comme atout de vente
Pour Sébastien Buemi, la vente de l’équipe ne devrait pas avoir trop d’influence, sa présence l’an prochain constituant l’un des atouts de Toro Rosso.
C’est le nom de son coéquipier qui pourrait changer en fonction de l’acheteur. On prête ainsi à Jacques Villeneuve la volonté de revenir lui-même au volant s’il possède sa propre équipe. Un tandem Buemi – Villeneuve en 2011? C’est encore de la musique d’avenir, mais ce serait un joli duel entre un Aiglon et un résident de Villars-sur-Ollon…
www.lematin.ch
Toro Rosso, petite sœur de l’écurie Red Bull, coûte cher, trop cher. Même si on fait encore comme si de rien n’était au sein de l’écurie, pas sûr que l’on retrouve ces voitures sous cette couleur l’année prochaine.
Partager : Le propriétaire de l’écurie italienne cherche à s’en séparer. Jacques Villeneuve pourrait faire partie des repreneurs.
Alors que Sébastien Buemi devrait poursuivre sa carrière au sein de l’écurie Toro Rosso pour une troisième saison, en 2011, la rumeur, dans le paddock de Singapour, ne fait qu’enfler: l’écurie Toro Rosso serait à vendre.
C’est à la fin de la saison 2005 que l’Autrichien Dietrich Mateschitz a acheté l’écurie Minardi pour en changer le nom et permettre à ses jeunes pilotes de se former à la F1 avant de passer dans son équipe-phare, Red Bull.
Une idée qui coûte cher: le budget de l’écurie Toro Rosso, chaque année, revient à plus de 120 millions de francs à l’Autrichien. Si le but ne consiste réellement qu’à former ses deux pilotes, Sébastien Buemi et Jaime Alguersuari, il serait sans doute moins cher d’acheter deux baquets dans une autre écurie.
C’est peut-être ce raisonnement qui pousse le patron à mettre Toro Rosso en vente. Si la nouvelle n’est pas encore officielle, elle confirme les difficultés rencontrées par de nombreuses autres équipes (lire l’encadré). Au sein de la formation italienne, en tout cas, on fait mine de ne pas être au courant…
Gros bénéfice en perspective
Pour Dietrich Mateschitz, la vente de Toro Rosso pourrait se solder par un joli bénéfice: achetée 40 millions de dollars, l’écurie italienne en vaut trois fois plus aujourd’hui – même si son propriétaire y a beaucoup investi, en construisant notamment de nouveaux bâtiments.
Plusieurs acheteurs pourraient être sur les rangs, l’achat d’une écurie comme Toro Rosso étant la manière la plus simple et la plus efficace de se lancer en F1. Parmi les candidats à la reprise, on compte ainsi Jacques Villeneuve. Associé à l’équipe italienne Durango, et soutenu par des financiers secrets, il avait le projet de créer une nouvelle écurie cet été jusqu’à ce que la fédération rejette son projet.
Buemi comme atout de vente
Pour Sébastien Buemi, la vente de l’équipe ne devrait pas avoir trop d’influence, sa présence l’an prochain constituant l’un des atouts de Toro Rosso.
C’est le nom de son coéquipier qui pourrait changer en fonction de l’acheteur. On prête ainsi à Jacques Villeneuve la volonté de revenir lui-même au volant s’il possède sa propre équipe. Un tandem Buemi – Villeneuve en 2011? C’est encore de la musique d’avenir, mais ce serait un joli duel entre un Aiglon et un résident de Villars-sur-Ollon…
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Re: Revue de presse : infos générales.
Et voici une ptite photo des Safety-car & Medical-Car By Allianz...
Il parait que les constats en cas d'accident en course seront fournis gratuitement, waouuu !! mdr..
Uploaded with ImageShack.us
Il parait que les constats en cas d'accident en course seront fournis gratuitement, waouuu !! mdr..
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SAUBER.F1- Messages : 1037
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Re: Revue de presse : infos générales.
La blague qui ne fait pas rire Alonso
Fernando Alonso n'a pas vraiment souri quand Sebastian Vettel a évoqué le scandale du Crashgate qui avait été déclanché après la victoire de l'Espagnol à Singapour en 2008.
Alonso a réussi sa deuxième pole position de la saison dans la Cité-État, samedi, devançant Sebastian Vettel. Mais un ange est passé lorsque Vettel, en conférence de presse, a évoqué la victoire de son adversaire il y a deux ans, sachant qu'elle avait été le point de départ de l'affaire du Crashgate.
"Fernando était parti de la 15e place et cela ne l'avait pas empêché de gagner", a lancé l'Allemand. Tout le monde partait dans un grand éclat de rire, sauf... Alonso.
"Son visage est devenu de la couleur de sa Ferrari", précise ce matin David Tremayne dans "The Independent". L'affaire n'est pas oubliée.
© ESPN EMEA Ltd.
Fernando Alonso n'a pas vraiment souri quand Sebastian Vettel a évoqué le scandale du Crashgate qui avait été déclanché après la victoire de l'Espagnol à Singapour en 2008.
Alonso a réussi sa deuxième pole position de la saison dans la Cité-État, samedi, devançant Sebastian Vettel. Mais un ange est passé lorsque Vettel, en conférence de presse, a évoqué la victoire de son adversaire il y a deux ans, sachant qu'elle avait été le point de départ de l'affaire du Crashgate.
"Fernando était parti de la 15e place et cela ne l'avait pas empêché de gagner", a lancé l'Allemand. Tout le monde partait dans un grand éclat de rire, sauf... Alonso.
"Son visage est devenu de la couleur de sa Ferrari", précise ce matin David Tremayne dans "The Independent". L'affaire n'est pas oubliée.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Red Bull, toujours pas de leader ?
À quatre courses de la fin, Red Bull ne semble toujours vouloir favoriser Mark Webber par rapport à Sebastian Wettel.
"Nous avons deux voitures qui peuvent gagner le Championnat et nous allons continuer à les soutenir toutes les deux de la même manière", a déclaré Christian Horner, le patron de l'écurie.
Webber aimerait pourtant pouvoir compter sur son coéquipier. Il a déclaré dans la presse autrichienne : "Pour moi, c'est une opportunités unique. Elle ne se représentera plus. Alors j'ai envie de lui dire 'Hey Séb, tu auras l'occasion d'en gagner d'autres dans les dix prochaines années'".
Webber a tenu aussi à se rapprocher du conseiller spécial de Red Bull, Helmut Marko : "Il y a eu des rumeurs selon lesquelles il préfèrerait Vettel mais je suis sûr qu'il serait aussi heureux que je gagne".
Webber a également tenu à rendre hommage à Red Bull pour tordre le cou aux rumeurs de désaccord entre les deux parties. "Ce que Red Bull a fait quand je me suis cassé la jambe a été impressionnant. Je ne l'oublierai jamais. J'espère que l'on pourra faire des choses encore ensemble." Webber est sous contrat jusqu'en 2011.
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À quatre courses de la fin, Red Bull ne semble toujours vouloir favoriser Mark Webber par rapport à Sebastian Wettel.
"Nous avons deux voitures qui peuvent gagner le Championnat et nous allons continuer à les soutenir toutes les deux de la même manière", a déclaré Christian Horner, le patron de l'écurie.
Webber aimerait pourtant pouvoir compter sur son coéquipier. Il a déclaré dans la presse autrichienne : "Pour moi, c'est une opportunités unique. Elle ne se représentera plus. Alors j'ai envie de lui dire 'Hey Séb, tu auras l'occasion d'en gagner d'autres dans les dix prochaines années'".
Webber a tenu aussi à se rapprocher du conseiller spécial de Red Bull, Helmut Marko : "Il y a eu des rumeurs selon lesquelles il préfèrerait Vettel mais je suis sûr qu'il serait aussi heureux que je gagne".
Webber a également tenu à rendre hommage à Red Bull pour tordre le cou aux rumeurs de désaccord entre les deux parties. "Ce que Red Bull a fait quand je me suis cassé la jambe a été impressionnant. Je ne l'oublierai jamais. J'espère que l'on pourra faire des choses encore ensemble." Webber est sous contrat jusqu'en 2011.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Mercedes, un bloc selon Haug
Norbert Haug a une fois encore rappelé qu'il n'y avait aucun désaccord à l'intérieur du clan Mercedes.
Il y a deux semaines, à Monza, des rumeurs circulaient sur la possibilité d'une séparation entre Brawn et Mercedes. "Nous avons une totale confiance en Brawn", a cru bon de déclarer Norbert Haug, le vice-président de Mercedes Motorsport, au journal finlandais Torun Sanomat.
"Le travail pour le futur avance bien", a ajouté l'Allemand. "Il est nomal que les rumeur aillent et viennent. J'ai entendu des rumeurs sur Michael (Schumacher), Ross et moi. Ma réponse, c'est non. Il n'y a pas de dissenssion dans nos relations."
Haug a également insisté sur le fait que Mercedes-Benz et Daimler ne molliront pas dans leur soutien même si "l'industrie automobile a traversé une crise et certains constructeurs sont partis. Mercedes s'est engagé à long terme. On ne gagne pas encore mais ça va venir."
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Norbert Haug a une fois encore rappelé qu'il n'y avait aucun désaccord à l'intérieur du clan Mercedes.
Il y a deux semaines, à Monza, des rumeurs circulaient sur la possibilité d'une séparation entre Brawn et Mercedes. "Nous avons une totale confiance en Brawn", a cru bon de déclarer Norbert Haug, le vice-président de Mercedes Motorsport, au journal finlandais Torun Sanomat.
"Le travail pour le futur avance bien", a ajouté l'Allemand. "Il est nomal que les rumeur aillent et viennent. J'ai entendu des rumeurs sur Michael (Schumacher), Ross et moi. Ma réponse, c'est non. Il n'y a pas de dissenssion dans nos relations."
Haug a également insisté sur le fait que Mercedes-Benz et Daimler ne molliront pas dans leur soutien même si "l'industrie automobile a traversé une crise et certains constructeurs sont partis. Mercedes s'est engagé à long terme. On ne gagne pas encore mais ça va venir."
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Todt : "C'est très motivant"
Invité de F1 à la Une sur TF1, le président de la FIA Jean Todt a évoqué tous les sujets du moment : la bataille pour le titre en F1, les difficultés de Schumacher, le possible retour de Kimi Räikkönen en F1 ou sa lutte pour la sécurité routière qu'il juge "capitale".
Jean Todt, est-ce que le Grand Prix de Singapour qui se déroule en ville est plus excitant qu'un autre ?
J.T. : Plus excitant, non, différent, oui parce qu'il se déroule de nuit. Mais avec tout se qui a été mis en place pour éclairer le tracé, je ne pense pas que ça change grand chose pour les pilotes. C'est un circuit en ville comme l'est le tracé de Monaco. Ça fait deux circuits très spécifiques pendant la saison.
A cinq Grand Prix de la fin de la saison, cinq pilotes se tiennent en 24 points, est-ce que ça vous fait vibrer ?
J.T. : Je suis évidemment la bagarre avec un grand intérêt, avec passion même. Ça nous permet également de voir que le nouveau système de distribution des points est très convenant, approprié. C'est formidable. Il faut se rappeler qu'au premier Grand Prix à Bahreïn, tout le monde pensait que ça allait être ennuyeux. Finalement non. Les pilotes démontrent tout le contraire. Nous avons un championnat passionnant, ouvert. Je suis un petit peu triste pour Felipe Massa qui n'a pas pu défendre toutes ses chances. Mais on a cinq pilotes et trois équipes qui peuvent encore être titrés.
Pensez-vous que Michael Schumacher a eu raison de revenir à sa carrière de pilote ?
J.T. : C'est son choix. Je pense que c'est formidable à 40 ans de pouvoir être maitre de son destin. Il a eu envie. La course lui manquait et il avait besoin de cette adrénaline. Pour la Formule 1, c'est très bien car tout le monde en parle. Cela étant, on aimerait le voir devant son équipier mais il n'a pas une voiture formidable.
Est-ce que ça vous surprend de le voir presque systématiquement derrière Nico Rosberg, son équipier ?
J.T. : Non. Ça fait trois ans qu'il n'avait pas piloté une voiture de course. Il est régulièrement à deux ou trois dixièmes de son équipier. C'est relativement peu. L'année prochaine, s'il a une meilleure voiture et une motivation supplémentaire, alors il pourra de nouveau se battre pour la victoire. En tout cas, je lui souhaite.
Qui est pour vous le mieux armé pour décrocher le titre mondial en fin de saison et qui possède la voiture la plus performante du plateau ?
J.T. : Sur les trois derniers Grand Prix, la Ferrari a été la voiture la plus performante avec Alonso. Si la tendance se poursuit, je pense qu'il a une grande chance pour la fin du championnat. Mais c'est un peu prématuré pour tirer des conclusions.
Comment jugez-vous ce qui se passe au sein de l'écurie Red Bull ?
J.T. : Mark Webber a étonné cette saison. On pensait qu'il allait être dominé par Sebastian Vettel mais il a fait preuve de constance et de régularité. Ils ont également fait plus d'erreurs que leurs concurrents directs notamment McLaren qui possède une voiture moins performante mais qui a décroché des résultats plus constants. Si Button n'avait pas été accroché par Vettel à Spa, il serait encore mieux placé au championnat. Tout est encore ouvert et Red Bull a encore une chance. Ils avaient la meilleure voiture mais je ne sais pas s'ils l'ont encore. Peut-être que la Ferrari est devenue meilleure.
Avez-vous le temps de rester focaliser sur la Formule 1 qui a été votre activité principale pendant de nombreuses années ?
J.T. : Je répartis mon temps de manière différente évidemment. Nous avons des équipes qui travaillent plus spécifiquement sur la Formule 1, sur le rallye, sur le tourisme ainsi que sur la partie mobilité dont on ne parle pas beaucoup mais qui est capitale à mes yeux. Nous sommes par exemple engagés dans une bataille terrible pour la sécurité routière dans le monde.
Que pouvons-nous faire pour améliorer cette sécurité dans les pays occidentaux ?
J.T. : Tout dépend des pays. Il y a des progrès remarquables qui ont été effectués notamment en France, en Europe, en Amérique du nord et en Australie où le taux d'accident a été divisé par deux. Au contraire dans les pays en développement, le nombre d'accident a été multiplié par deux. On se pose la question pour savoir ce qu'il faut faire dans ces pays-là : éducation, infrastructure, réseaux routiers, discipline... Nous essayons d'impliquer également les grands constructeurs sur l'application de nouvelles technologies comme les contrôles de stabilité qui ont permis de sauver 16% de vie humaine dans le monde. La baisse de la mortalité sur les routes est une lutte formidable. C'est très motivant.
La période des transferts approche et l'on parle du retour de Kimi Räikkönen en Formule 1. Est-ce que vous y croyez ?
J.T. : C'est trop tôt pour le dire. Kimi avait envie de se rafraichir parce que la F1 c'est très lourd. L'ambiance est souvent difficile. En rallye, il a trouvé une bouffée d'oxygène. Il s'est aussi rendu compte que c'était très difficile mais il est évident qu'il doit conserver une certaine nostalgie de la F1.
Eurosport
Invité de F1 à la Une sur TF1, le président de la FIA Jean Todt a évoqué tous les sujets du moment : la bataille pour le titre en F1, les difficultés de Schumacher, le possible retour de Kimi Räikkönen en F1 ou sa lutte pour la sécurité routière qu'il juge "capitale".
Jean Todt, est-ce que le Grand Prix de Singapour qui se déroule en ville est plus excitant qu'un autre ?
J.T. : Plus excitant, non, différent, oui parce qu'il se déroule de nuit. Mais avec tout se qui a été mis en place pour éclairer le tracé, je ne pense pas que ça change grand chose pour les pilotes. C'est un circuit en ville comme l'est le tracé de Monaco. Ça fait deux circuits très spécifiques pendant la saison.
A cinq Grand Prix de la fin de la saison, cinq pilotes se tiennent en 24 points, est-ce que ça vous fait vibrer ?
J.T. : Je suis évidemment la bagarre avec un grand intérêt, avec passion même. Ça nous permet également de voir que le nouveau système de distribution des points est très convenant, approprié. C'est formidable. Il faut se rappeler qu'au premier Grand Prix à Bahreïn, tout le monde pensait que ça allait être ennuyeux. Finalement non. Les pilotes démontrent tout le contraire. Nous avons un championnat passionnant, ouvert. Je suis un petit peu triste pour Felipe Massa qui n'a pas pu défendre toutes ses chances. Mais on a cinq pilotes et trois équipes qui peuvent encore être titrés.
Pensez-vous que Michael Schumacher a eu raison de revenir à sa carrière de pilote ?
J.T. : C'est son choix. Je pense que c'est formidable à 40 ans de pouvoir être maitre de son destin. Il a eu envie. La course lui manquait et il avait besoin de cette adrénaline. Pour la Formule 1, c'est très bien car tout le monde en parle. Cela étant, on aimerait le voir devant son équipier mais il n'a pas une voiture formidable.
Est-ce que ça vous surprend de le voir presque systématiquement derrière Nico Rosberg, son équipier ?
J.T. : Non. Ça fait trois ans qu'il n'avait pas piloté une voiture de course. Il est régulièrement à deux ou trois dixièmes de son équipier. C'est relativement peu. L'année prochaine, s'il a une meilleure voiture et une motivation supplémentaire, alors il pourra de nouveau se battre pour la victoire. En tout cas, je lui souhaite.
Qui est pour vous le mieux armé pour décrocher le titre mondial en fin de saison et qui possède la voiture la plus performante du plateau ?
J.T. : Sur les trois derniers Grand Prix, la Ferrari a été la voiture la plus performante avec Alonso. Si la tendance se poursuit, je pense qu'il a une grande chance pour la fin du championnat. Mais c'est un peu prématuré pour tirer des conclusions.
Comment jugez-vous ce qui se passe au sein de l'écurie Red Bull ?
J.T. : Mark Webber a étonné cette saison. On pensait qu'il allait être dominé par Sebastian Vettel mais il a fait preuve de constance et de régularité. Ils ont également fait plus d'erreurs que leurs concurrents directs notamment McLaren qui possède une voiture moins performante mais qui a décroché des résultats plus constants. Si Button n'avait pas été accroché par Vettel à Spa, il serait encore mieux placé au championnat. Tout est encore ouvert et Red Bull a encore une chance. Ils avaient la meilleure voiture mais je ne sais pas s'ils l'ont encore. Peut-être que la Ferrari est devenue meilleure.
Avez-vous le temps de rester focaliser sur la Formule 1 qui a été votre activité principale pendant de nombreuses années ?
J.T. : Je répartis mon temps de manière différente évidemment. Nous avons des équipes qui travaillent plus spécifiquement sur la Formule 1, sur le rallye, sur le tourisme ainsi que sur la partie mobilité dont on ne parle pas beaucoup mais qui est capitale à mes yeux. Nous sommes par exemple engagés dans une bataille terrible pour la sécurité routière dans le monde.
Que pouvons-nous faire pour améliorer cette sécurité dans les pays occidentaux ?
J.T. : Tout dépend des pays. Il y a des progrès remarquables qui ont été effectués notamment en France, en Europe, en Amérique du nord et en Australie où le taux d'accident a été divisé par deux. Au contraire dans les pays en développement, le nombre d'accident a été multiplié par deux. On se pose la question pour savoir ce qu'il faut faire dans ces pays-là : éducation, infrastructure, réseaux routiers, discipline... Nous essayons d'impliquer également les grands constructeurs sur l'application de nouvelles technologies comme les contrôles de stabilité qui ont permis de sauver 16% de vie humaine dans le monde. La baisse de la mortalité sur les routes est une lutte formidable. C'est très motivant.
La période des transferts approche et l'on parle du retour de Kimi Räikkönen en Formule 1. Est-ce que vous y croyez ?
J.T. : C'est trop tôt pour le dire. Kimi avait envie de se rafraichir parce que la F1 c'est très lourd. L'ambiance est souvent difficile. En rallye, il a trouvé une bouffée d'oxygène. Il s'est aussi rendu compte que c'était très difficile mais il est évident qu'il doit conserver une certaine nostalgie de la F1.
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dom465- Messages : 12793
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La FOTA réfléchit aux coûts...
>> En marge du GP de Singapour, les équipes se sont rencontrées pour discuter de l’avenir des coûts en F1 sur les prochaines saisons.
- Selon Éric Boullier, le débat a été concluant et fructueux. « Cela ne devait être qu’une simple discussion au départ, mais quelque chose a été signé à l’arrivée », a confié le directeur de l’équipe Renault F1 à Autosport.
> L’accord se porterait sur la période 2012 – 2017.
- Martin Whitmarsh, le président de la FOTA, s’est félicité de l’avancée des discussions :
« Nous avons réalisé de fantastiques progrès !
Les zones d’ombre ont été éclaircies, alors que nous craignions au départ que certaines équipes contournent l’accord actuel. Il est prévu que les grosses écuries puissent dépenser davantage, l’accord en vigueur ayant été signé dans un contexte de crise économique, et que la situation actuelle est en voie d’amélioration. »
Source : Autohebdo.fr
- Selon Éric Boullier, le débat a été concluant et fructueux. « Cela ne devait être qu’une simple discussion au départ, mais quelque chose a été signé à l’arrivée », a confié le directeur de l’équipe Renault F1 à Autosport.
> L’accord se porterait sur la période 2012 – 2017.
- Martin Whitmarsh, le président de la FOTA, s’est félicité de l’avancée des discussions :
« Nous avons réalisé de fantastiques progrès !
Les zones d’ombre ont été éclaircies, alors que nous craignions au départ que certaines équipes contournent l’accord actuel. Il est prévu que les grosses écuries puissent dépenser davantage, l’accord en vigueur ayant été signé dans un contexte de crise économique, et que la situation actuelle est en voie d’amélioration. »
Source : Autohebdo.fr
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Jean-Pierre CHAPEL est mort...
>> Le journaliste Jean-Pierre Chapel est mort ce lundi 27 septembre 2010 à l’âge de 75 ans.
- Jean-Pierre Chapel avait créé, avec Jacques Bonnecarrère disparu en 2008, l’émission Automoto sur TF1 en 1975.
Il a marqué l’histoire de la télévision française en commentant en direct les premiers pas de l’homme sur la Lune en 1969.
Source : AutoHebdo.fr
- Jean-Pierre Chapel avait créé, avec Jacques Bonnecarrère disparu en 2008, l’émission Automoto sur TF1 en 1975.
Il a marqué l’histoire de la télévision française en commentant en direct les premiers pas de l’homme sur la Lune en 1969.
Source : AutoHebdo.fr
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Porsche envisage son retour en Formule 1
>> Lors du Mondial de l’Automobile de Paris, le patron de Porsche, Matthias Mueller, a fait une annonce choc en indiquant que Porsche envisageait son retour en Formule 1. L’échéance c’est 2013, lorsque la nouvelle règlementation moteur sera en place.
- "Aujourd’hui nous sommes engagés en Endurance avec deux marques du groupe VAG, Audi et Porsche. Nous n’avons plus envie de courir l’un contre l’autre, cela n’a pas de sens et ce n’est pas vraiment drôle. Nous devons donc discuter pour savoir quelle marque restera en Endurance et quelle sera celle qui ira en Formule 1. Il va falloir discuter entre nous, discuter le pour et le contre," déclare Mueller.
> Le docteur Wolfgang Ullrich, responsable d’Audi Motorsport, a déjà déclaré qu’Audi et la F1 n’ont pas deux images qui vont ensemble, contrairement à Porsche.
- Mueller a discrètement suggéré que c’est bien Porsche qui serait choisie pour aller en Formule 1 si Volkswagen, la maison mère, donnait son accord, ce qui ne semble plus guère faire de doutes.
> Audi resterait en Endurance, Volkswagen en Rallye Raid et arriverait peut-être en WRC et Porsche retournerait en F1, une discipline que le constructeur allemand a quitté en 1991, alors motoriste de l’écurie Footwork. Un beau programme pour VAG s’il se concrétise !
Source : Nextgen-auto.com
Ce serait trop génial non ?
- "Aujourd’hui nous sommes engagés en Endurance avec deux marques du groupe VAG, Audi et Porsche. Nous n’avons plus envie de courir l’un contre l’autre, cela n’a pas de sens et ce n’est pas vraiment drôle. Nous devons donc discuter pour savoir quelle marque restera en Endurance et quelle sera celle qui ira en Formule 1. Il va falloir discuter entre nous, discuter le pour et le contre," déclare Mueller.
> Le docteur Wolfgang Ullrich, responsable d’Audi Motorsport, a déjà déclaré qu’Audi et la F1 n’ont pas deux images qui vont ensemble, contrairement à Porsche.
- Mueller a discrètement suggéré que c’est bien Porsche qui serait choisie pour aller en Formule 1 si Volkswagen, la maison mère, donnait son accord, ce qui ne semble plus guère faire de doutes.
> Audi resterait en Endurance, Volkswagen en Rallye Raid et arriverait peut-être en WRC et Porsche retournerait en F1, une discipline que le constructeur allemand a quitté en 1991, alors motoriste de l’écurie Footwork. Un beau programme pour VAG s’il se concrétise !
Source : Nextgen-auto.com
Ce serait trop génial non ?
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Re: Revue de presse : infos générales.
bien d'accord avec toi!!!!
se serait même un sacré coup marqueting pour porsche et la Formule 1!
et puis, je les vois bien se castagner dur avec merco!
avantage a porsche pour moi
se serait même un sacré coup marqueting pour porsche et la Formule 1!
et puis, je les vois bien se castagner dur avec merco!
avantage a porsche pour moi
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Pour moi aussi !Hadzufel a écrit:bien d'accord avec toi!!!!
se serait même un sacré coup marqueting pour porsche et la Formule 1!
et puis, je les vois bien se castagner dur avec merco!
avantage à Porsche pour moi
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Re: Revue de presse : infos générales.
il aurait été inutile de te poser la question mon cher!
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
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Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Alonso, l'homme du "money time"
Vaillant vainqueur du Grand Prix de Singapour en partant de la pole position, Fernando Alonso fond sur la tête du Championnat à quatre courses de la fin et il se dit de plus en plus saignant à mesure qu'approche le dénouement.
Il reste quatre courses, peut-être trois si le GP de Corée est annulé, avant de connaître le nom du champion du monde 2010 et il faut remonter loin pour trouver une bataille aussi âpre. Ils sont encore cinq à pouvoir s'imposer alors que le paddock se retrouver pour la 16e des 19 manche de la saison à partir du 8 octobre à Suzuka (Japon).
Au sein de ce quintette, le plus impressionnant est bien Alonso. Après avoir remporté sa première course sur la Ferrari, à Bahreïn, l'Espagnol s'était rangé dans l'ombre du duel entre McLaren et Red Bull et le voilà qui a resurgi à la faveur de la fin d'été et de l'automne. Allemagne (victoire controversée), Italie (triomphe à domicile) et Singapour (deux ans après la course du Crashgate), voilà que l'Asturien a remporté trois des cinq dernières courses, terminant qui plus est deuxième en Hongrie.
En deux mois, il a dépassé Lewis Hamilton, qui comptait 47 points d'avance sur lui et il s'est placé dans le sillage du leader du Championnat Mark Webber. Quel contraste avec le début de l'exercice 2010 et ses deux maigres podiums en neuf courses après l'ouverture bahreïnie !
"J'ai l'impression que le Championnat vient de commencer"
"Nous sommes cinq à nous battre pour le titre. Chacun à environ 20% de chances d'être sacré, Mark peut-être un peu plus", a analysé le double champion du monde (2005 et 2006). "Je suis à mon meilleur niveau. Il est bon que cela arrive maintenant. Les années précédentes, il m'est parfois arrivé d'être stressé, fatigué, en septembre. Mais là, j'ai l'impression que le Championnat vient de commencer."
Remporter le Championnat quatre ans après son dernier triomphe serait assurément un exploit pour l'Espagnol, qui n'a pas été ménagé par les critiques depuis qu'il a pris le paddock à contre-pied un jour de décembre 2006 en annonçant sa signature chez McLaren. À Woking en 2007, puis lors de deux années en demi-teinte sur une Renault par vraiment taillée pour la gagne, Alonso a flirté avec le purgatoire pour le champion qu'il est.
Cela aurait pu être pire : heureusement pour lui, il a été tenu à l'écart de l'affaire du Crashgate et son talent n'a pas été oublié par Ferrari qui en a clairement fait son leader dès l'Allemagne, et sans doute même avant. Après la victoire à Singapour, le président de la Scuderia Luca Di Montezemolo n'a d'ailleurs pas manqué de féliciter son pilote, toujours capable de réaliser des sans-faute époustouflants.
"Nous sommes sur la bonne route", a déclaré le dirigeant italien. "Mais le plus dur reste à venir. Chaque point va être aussi lourd à décrocher que le roc." Ça tombe bien, Alonso, en cette fin de saison, c'est du très solide.
© ESPN EMEA Ltd.
Vaillant vainqueur du Grand Prix de Singapour en partant de la pole position, Fernando Alonso fond sur la tête du Championnat à quatre courses de la fin et il se dit de plus en plus saignant à mesure qu'approche le dénouement.
Il reste quatre courses, peut-être trois si le GP de Corée est annulé, avant de connaître le nom du champion du monde 2010 et il faut remonter loin pour trouver une bataille aussi âpre. Ils sont encore cinq à pouvoir s'imposer alors que le paddock se retrouver pour la 16e des 19 manche de la saison à partir du 8 octobre à Suzuka (Japon).
Au sein de ce quintette, le plus impressionnant est bien Alonso. Après avoir remporté sa première course sur la Ferrari, à Bahreïn, l'Espagnol s'était rangé dans l'ombre du duel entre McLaren et Red Bull et le voilà qui a resurgi à la faveur de la fin d'été et de l'automne. Allemagne (victoire controversée), Italie (triomphe à domicile) et Singapour (deux ans après la course du Crashgate), voilà que l'Asturien a remporté trois des cinq dernières courses, terminant qui plus est deuxième en Hongrie.
En deux mois, il a dépassé Lewis Hamilton, qui comptait 47 points d'avance sur lui et il s'est placé dans le sillage du leader du Championnat Mark Webber. Quel contraste avec le début de l'exercice 2010 et ses deux maigres podiums en neuf courses après l'ouverture bahreïnie !
"J'ai l'impression que le Championnat vient de commencer"
"Nous sommes cinq à nous battre pour le titre. Chacun à environ 20% de chances d'être sacré, Mark peut-être un peu plus", a analysé le double champion du monde (2005 et 2006). "Je suis à mon meilleur niveau. Il est bon que cela arrive maintenant. Les années précédentes, il m'est parfois arrivé d'être stressé, fatigué, en septembre. Mais là, j'ai l'impression que le Championnat vient de commencer."
Remporter le Championnat quatre ans après son dernier triomphe serait assurément un exploit pour l'Espagnol, qui n'a pas été ménagé par les critiques depuis qu'il a pris le paddock à contre-pied un jour de décembre 2006 en annonçant sa signature chez McLaren. À Woking en 2007, puis lors de deux années en demi-teinte sur une Renault par vraiment taillée pour la gagne, Alonso a flirté avec le purgatoire pour le champion qu'il est.
Cela aurait pu être pire : heureusement pour lui, il a été tenu à l'écart de l'affaire du Crashgate et son talent n'a pas été oublié par Ferrari qui en a clairement fait son leader dès l'Allemagne, et sans doute même avant. Après la victoire à Singapour, le président de la Scuderia Luca Di Montezemolo n'a d'ailleurs pas manqué de féliciter son pilote, toujours capable de réaliser des sans-faute époustouflants.
"Nous sommes sur la bonne route", a déclaré le dirigeant italien. "Mais le plus dur reste à venir. Chaque point va être aussi lourd à décrocher que le roc." Ça tombe bien, Alonso, en cette fin de saison, c'est du très solide.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Réponse aux rumeurs
Notre chroniqueur ESPNF1 Tonio Liuzzi résume son Grand Prix de Singapour et réagit aux rumeurs qui le voient remplacé par Paul di Resta chez Force India la saison prochaine.
Ce fut un week-end à deux tons pour nous. Nous sommes partis d'un état d'esprit confiant le vendredi à une déception le dimanche. Nous nous attendions à un séjour difficile à Singapour puisque le circuit ne convient pas à notre voiture, mais au bout du compte, la malchance explique nos résultats.
Le vendredi, tout allait bien et nous étions heureux avec l'équilibre de la voiture. Nous avons modifié certaines choses au cours de la nuit et nous étions confiants pour samedi. Q1 était pas mal du tout, et nous pensions nous rapprocher de Q3 ou peut-être y participer. Mais un gros problème de freins est apparu de nulle part pendant Q2. Chaque fois que j'appuyais sur les freins, la voiture tirait à gauche. La télémétrie a montré que j'avais subi plus d'un G en forces latérales lorsque j'ai tenté de ralentir la voiture à l'entrée d'un virage.
Alors, 16e sur la grille de départ, ce n'était certainement pas où nous devions nous trouver. Les freins ont ruiné nos qualifications. L'équipe n'arrivait pas à déterminer la cause alors tous les systèmes ont été changés avant la course. Le problème, c'est que nous n'avons eu que le tour de chauffe avant la course pour vérifier si tout fonctionnait.
Ça ne pouvait arriver à pire endroit car le circuit de Singapour est très dur sur les freins ; leur température était élevée et montait en flèche. Une course plus longue aurait été très difficile, mais nous n'avons pas eu l'occasion de nous en soucier.
Le départ s'est bien passé. Au virage 7 j'ai tenté de doubler Nick Heidfeld, mais mon coéquipier Adrian Sutil a retardé son freinage et est arrivé à nos côtés. Les deux autres ont quitté la trajectoire, mais pas moi. Nous étions trois de large sur la ligne droite, mais Adrian a poussé Nick vers moi à l'approche du virage suivant. Je me suis retrouvé serré contre le mur, et pour éviter de toucher le béton, j'ai dû laisser Nick me frapper et c'est ce qui a probablement plié la suspension arrière.
J'ai pu continuer un peu, mais la suspension s'est complètement cassée au début du 2e tour. C'était alors très difficile de contrôler la voiture. J'étais inquiet de partir en tête-à-queue sur la ligne droite des stands et ainsi créer une situation très dangereuse pour le reste du peloton. J'ai garé la voiture sur le côté gauche, après le virage 10. D'après moi c'était l'endroit le plus sûr pour cette portion de la piste, mais la voiture de sécurité a été appelée malgré tout. De toute façon, ma course était terminée, c'était fini.
Au cours du week-end, les rumeurs faisaient état d'un volant pour Paul di Resta chez Force India l'an prochain. Personnellement, je ne sais pas s'il a une place ici ou ce que dit son contrat. Mais cela impliquerait le départ d'Adrian, car j'ai un contrat. La vérité, c'est que je n'ai rien entendu de tel au sein de l'équipe ; rien n'a changé. Alors j'en déduis que les choses rapportées par la télé et les journaux ne sont que des rumeurs.
L'équipe sait très bien que mes résultats ne sont pas de ma faute. Vijay Mallya (propriétaire de l'équipe) m'a donné toute sa confiance. D'autres informations seront dévoilées dans quelques semaines, mais entretemps la spéculation ne m'inquiète pas. C'est normal d'entendre des choses à ce temps-ci de l'année, surtout quand il y a des recrues soutenues par des personnes qui veulent les voir en F1. Il y aura de plus en plus de rumeurs. Je ne m'en fais pas. Je veux seulement faire le meilleur boulot possible pour l'équipe et confirmer la sixième place de Force India dans le championnat.
Mais pour faire ça, il faudra battre Williams qui ne sont que quatre points derrière. La prochaine course, à Suzuka, sera une grande opportunité pour augmenter l'écart. Mais il faut reconnaître que Williams a fait du bon travail au cours des derniers mois et ils ne nous rendront pas la tâche facile. Il faut aussi se rappeler que nous avons été malchanceux avec la voiture, ce qui nous a coûté des points que nous méritions.
Quant au Grand Prix du Japon, je connais bien Suzuka et il s'agit d'un des derniers circuits vieille école du championnat, comme Spa et Monza. C'est très exigeant ; il faut être à son meilleur. J'aime vraiment les virages très rapides et techniques, surtout la première séquence où il faut être très précis.
Ce circuit conviendra mieux à notre voiture que celui de Singapour, alors il y a là une grande opportunité à saisir pour devancer Williams. Ensuite, ce sera la Corée, qui demeure un facteur inconnu pour tout le monde, suivi par le Brésil et Abou Dhabi où notre voiture ne sera pas à son meilleur. Alors la course de Suzuka sera très importante pour nous.
Quant au top 5 des pilotes dans la course au titre, nous aurons droit à une belle bataille au cours des deux prochains mois. Mon favori est Mark Webber. Même si la Ferrari devrait être forte à Suzuka, je crois que Red Bull a toujours l'avantage grâce à sa voiture. Et Webber ne commet pas d'erreurs ces temps-ci, il optimise partout. Bien sûr, je n'ai aucune idée du planning des équipes au niveau des améliorations qu'elles apporteront à leurs voitures, mais mon vote va à Webber.
Notre chroniqueur Tonio Liuzzi est un pilote Force India | www.liuzzi.com
© ESPN EMEA Ltd.
Notre chroniqueur ESPNF1 Tonio Liuzzi résume son Grand Prix de Singapour et réagit aux rumeurs qui le voient remplacé par Paul di Resta chez Force India la saison prochaine.
Ce fut un week-end à deux tons pour nous. Nous sommes partis d'un état d'esprit confiant le vendredi à une déception le dimanche. Nous nous attendions à un séjour difficile à Singapour puisque le circuit ne convient pas à notre voiture, mais au bout du compte, la malchance explique nos résultats.
Le vendredi, tout allait bien et nous étions heureux avec l'équilibre de la voiture. Nous avons modifié certaines choses au cours de la nuit et nous étions confiants pour samedi. Q1 était pas mal du tout, et nous pensions nous rapprocher de Q3 ou peut-être y participer. Mais un gros problème de freins est apparu de nulle part pendant Q2. Chaque fois que j'appuyais sur les freins, la voiture tirait à gauche. La télémétrie a montré que j'avais subi plus d'un G en forces latérales lorsque j'ai tenté de ralentir la voiture à l'entrée d'un virage.
Alors, 16e sur la grille de départ, ce n'était certainement pas où nous devions nous trouver. Les freins ont ruiné nos qualifications. L'équipe n'arrivait pas à déterminer la cause alors tous les systèmes ont été changés avant la course. Le problème, c'est que nous n'avons eu que le tour de chauffe avant la course pour vérifier si tout fonctionnait.
Ça ne pouvait arriver à pire endroit car le circuit de Singapour est très dur sur les freins ; leur température était élevée et montait en flèche. Une course plus longue aurait été très difficile, mais nous n'avons pas eu l'occasion de nous en soucier.
Le départ s'est bien passé. Au virage 7 j'ai tenté de doubler Nick Heidfeld, mais mon coéquipier Adrian Sutil a retardé son freinage et est arrivé à nos côtés. Les deux autres ont quitté la trajectoire, mais pas moi. Nous étions trois de large sur la ligne droite, mais Adrian a poussé Nick vers moi à l'approche du virage suivant. Je me suis retrouvé serré contre le mur, et pour éviter de toucher le béton, j'ai dû laisser Nick me frapper et c'est ce qui a probablement plié la suspension arrière.
J'ai pu continuer un peu, mais la suspension s'est complètement cassée au début du 2e tour. C'était alors très difficile de contrôler la voiture. J'étais inquiet de partir en tête-à-queue sur la ligne droite des stands et ainsi créer une situation très dangereuse pour le reste du peloton. J'ai garé la voiture sur le côté gauche, après le virage 10. D'après moi c'était l'endroit le plus sûr pour cette portion de la piste, mais la voiture de sécurité a été appelée malgré tout. De toute façon, ma course était terminée, c'était fini.
Au cours du week-end, les rumeurs faisaient état d'un volant pour Paul di Resta chez Force India l'an prochain. Personnellement, je ne sais pas s'il a une place ici ou ce que dit son contrat. Mais cela impliquerait le départ d'Adrian, car j'ai un contrat. La vérité, c'est que je n'ai rien entendu de tel au sein de l'équipe ; rien n'a changé. Alors j'en déduis que les choses rapportées par la télé et les journaux ne sont que des rumeurs.
L'équipe sait très bien que mes résultats ne sont pas de ma faute. Vijay Mallya (propriétaire de l'équipe) m'a donné toute sa confiance. D'autres informations seront dévoilées dans quelques semaines, mais entretemps la spéculation ne m'inquiète pas. C'est normal d'entendre des choses à ce temps-ci de l'année, surtout quand il y a des recrues soutenues par des personnes qui veulent les voir en F1. Il y aura de plus en plus de rumeurs. Je ne m'en fais pas. Je veux seulement faire le meilleur boulot possible pour l'équipe et confirmer la sixième place de Force India dans le championnat.
Mais pour faire ça, il faudra battre Williams qui ne sont que quatre points derrière. La prochaine course, à Suzuka, sera une grande opportunité pour augmenter l'écart. Mais il faut reconnaître que Williams a fait du bon travail au cours des derniers mois et ils ne nous rendront pas la tâche facile. Il faut aussi se rappeler que nous avons été malchanceux avec la voiture, ce qui nous a coûté des points que nous méritions.
Quant au Grand Prix du Japon, je connais bien Suzuka et il s'agit d'un des derniers circuits vieille école du championnat, comme Spa et Monza. C'est très exigeant ; il faut être à son meilleur. J'aime vraiment les virages très rapides et techniques, surtout la première séquence où il faut être très précis.
Ce circuit conviendra mieux à notre voiture que celui de Singapour, alors il y a là une grande opportunité à saisir pour devancer Williams. Ensuite, ce sera la Corée, qui demeure un facteur inconnu pour tout le monde, suivi par le Brésil et Abou Dhabi où notre voiture ne sera pas à son meilleur. Alors la course de Suzuka sera très importante pour nous.
Quant au top 5 des pilotes dans la course au titre, nous aurons droit à une belle bataille au cours des deux prochains mois. Mon favori est Mark Webber. Même si la Ferrari devrait être forte à Suzuka, je crois que Red Bull a toujours l'avantage grâce à sa voiture. Et Webber ne commet pas d'erreurs ces temps-ci, il optimise partout. Bien sûr, je n'ai aucune idée du planning des équipes au niveau des améliorations qu'elles apporteront à leurs voitures, mais mon vote va à Webber.
Notre chroniqueur Tonio Liuzzi est un pilote Force India | www.liuzzi.com
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LOTUS et COSWORTH ont officialisé leur "rupture"...
>> Cosworth et Lotus ont aujourd’hui signé les termes de leur accord de rupture de contrat anticipé, annoncé après le Grand Prix d’Italie le 12 septembre dernier. Lotus devra payer un dédit financier pour ne pas avoir respecté son contrat de 3 ans, d’une valeur globale initiale de 18 millions d’euros.
- La somme versée par Lotus à Cosworth restera confidentielle mais est estimée aux alentours de 10 millions d’euros. Le contrat entre les deux parties prendra fin officiellement le 30 novembre à minuit.
> Lotus et Cosworth précisent dans leur communiqué que la rupture ne se fait pas à cause d’un manque de fiabilité ou de performance du moteur. Lotus ne va en effet plus tarder à annoncer un accord global avec Renault lui permettant de disposer du moteur français mais aussi de la boite de vitesse. La boite, fournie par X-trac, est un élément qui a occasionné de nombreuses pannes chez Lotus cette année.
- Selon nos informations, l’accord avec Renault engloberait aussi le KERS, ce que ne peut fournir Cosworth : en achetant l’intégralité de la chaine de propulsion à Renault, Lotus sera donc assurée de disposer des mêmes armes que Renault F1 de ce côté.
Source : Nextgen-auto.com
- La somme versée par Lotus à Cosworth restera confidentielle mais est estimée aux alentours de 10 millions d’euros. Le contrat entre les deux parties prendra fin officiellement le 30 novembre à minuit.
> Lotus et Cosworth précisent dans leur communiqué que la rupture ne se fait pas à cause d’un manque de fiabilité ou de performance du moteur. Lotus ne va en effet plus tarder à annoncer un accord global avec Renault lui permettant de disposer du moteur français mais aussi de la boite de vitesse. La boite, fournie par X-trac, est un élément qui a occasionné de nombreuses pannes chez Lotus cette année.
- Selon nos informations, l’accord avec Renault engloberait aussi le KERS, ce que ne peut fournir Cosworth : en achetant l’intégralité de la chaine de propulsion à Renault, Lotus sera donc assurée de disposer des mêmes armes que Renault F1 de ce côté.
Source : Nextgen-auto.com
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