Revue de presse : infos générales.
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Re: Revue de presse : infos générales.
boubou a écrit:Fabienne a écrit:BRUNO935K3 a écrit:>> Le circuit de Spa-Francorchamps pourrait bien être le grand perdant de l’élargissement à tout va du calendrier de Formule 1.
A chaque fois ça me révolte de voir ça : privilégier les pays ayant un potentiel d'argent énorme pour M.E. au lieu de conserver des GP historiques, des circuits sublimes.... ça me dégoûte.
C'est un SCANDALE il est ou Bernie que je m'occupe de lui il est ou?
He oui, c'est bien ce que j'ai toujours craint. La Belgique est un petit pays qui n'intéresse pas Bernie. Francorchamps ou pas !
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Après tout peut être que c'est un coup de pression comme pour Monaco même si la dimension de Monaco est différente vu qu'il y a le coté Jet-Set et le circuit de ville par excellence. Mais je pense qu'il aura quand même beaucoup de mal à lâcher un tel circuit, au pire il sera en alternance mais ne sera jamais réellement supprimé.
Re: Revue de presse : infos générales.
C'est de la provoc comme le vieux a toujours su en faire afin de se faire remarquer. Il n'a plus toute sa tête Papy Zinzin.
Si vous voulez parler de Bernie, allez sur le sujet "Quand est-ce Bernie prendra sa retraite????". Ce post est fait pour ça.
Si vous voulez parler de Bernie, allez sur le sujet "Quand est-ce Bernie prendra sa retraite????". Ce post est fait pour ça.
Re: Revue de presse : infos générales.
Trulli encore au purgatoire
Je me souviens d'un avis en off -même pas méchant- m'ayant éclairé sur l'avenir de Trulli. "Jarno ? Il ne sera jamais champion du monde !" C'était en 2002, deux mois après l'arrivée du pilote Jordan chez Renault. Ainsi parlait Faure, le président de la branche F1… Choquant a priori. Sauf que Briatore avait l'habitude de "monitorer" ses recrues, sur une vingtaine de tours. Trulli était passé au révélateur de la télémétrie et Faure ne faisait que relayer le verdict de cette dissection. En somme, le Losange savait qui il avait engagé pour revenir en F1. Des podiums, une victoire peut-être... Mais pas au-delà.
Cette histoire résume un peu cette carrière de frustrations que j'ai cherché à sonder auprès du principal intéressé, un jour de trop grande pluie à Suzuka. J'ai toujours eu l'impression qu'il s'était trompé d'époque ou de moyens, noyé dans le marasme chez Prost (1997-99), passé chez Jordan entre deux périodes victorieuses (2000-01), invité à remettre Renault en ordre de marche (2002-04) ou emporté par le gâchis Toyota (2004-09)... "C'est clair, je ne suis pas toujours passé au bon moment dans mes différentes équipes, mais je ne vais pas embêter les gens avec ça", coupe-t-il. "Pour comprendre, il suffit de regarder ce que mes coéquipiers qui ont gagné des championnats ont fait lorsqu'ils étaient avec moi (Button, Alonso). En 2004, j'ai fait bien mieux que Fernando, avec une victoire et deux pole positions." Chez Toyota, il y avait de l'argent, du temps, de la tranquillité. Ça n'a pas suffi. "J'ai construit pendant cinq ans. On a obtenu des résultats importants mais on n'a jamais eu la capacité, la mentalité de faire une voiture pour gagner des courses. On a souvent eu une bonne auto, mais jamais la meilleure..." Question auto, sa meilleure sur une course fut la Renault de Monte-Carlo 2004, "mais sur une saison c'est la Toyota de la 1ère partie de 2005."
"J'ai surtout envie de travailler en fait"
Viré par Briatore courant 2004 parce qu'il ne cautionnait plus son management intéressé, il a surtout raté le coche avec Toy. "Je m'entendais très bien avec Renault. On discutait, on avançait, mais j'ai été obligé de partir. L'échec, c'est plutôt avec Toyota que je l'ai vécu. J'ai été très proche de gagner et ça restera comme une trace dans ma carrière. S'il y a une équipe où le courant passait c'est bien Toyota, avec 99% des gens. Il y avait juste Howett…", tempère-il en pouffant carrément, à propos du boss anglais. "Mais bon, je ne veux pas rentrer dans les détails car je ne serais pas sympa…" Bref, Briatore et Howett ne l'ont pas aidé : l'un choisissait avec qui il gagnait, l'autre perdait avec tout le monde…
A 36 ans, le Transalpin n'est pas aigri ni Calimero pour un sou. Ça tombe bien car il en a pris pour trois ans chez Lotus, qui a allumé la lumière l'an dernier à Hingham pour lancer une équipe Canada dry, réminiscence malaise du so british Team Lotus de Clark, Hill, Fittipladi, Andretti et Senna... Avec une bonne dose de foi et son pote "Pit bull" Gascoyne, technicien sacrément courte mèche : "Recommencer à zéro n'est pas un truc sympa, surtout qu'il y a peu je me battais pour gagner des courses. J'avais envie de faire ça, parce que Lotus est un nom important et que ma motivation n'a pas décliné. Je suis encore en forme ! Et j'ai encore envie de gagner ; surtout envie de travailler en fait, car il va falloir en abattre du travail !" Il l'a quand même joué fine en important la grappe d'ingénieurs Toyota qui bossait sur sa TF109. "C'est vrai, j'ai emmené des ingénieurs d'expérience mais des mécaniciens sont aussi venus d'eux même car ils n'avaient plus de boulot", corrige-t-il. Une petite longueur d'avance pas inutile puisque Kovalainen le chahute de plus en plus.
Roi de l'abandon précoce
Bon, on m'a toujours dit qu'il ne fallait pas attaquer un entretien -long de surcroît- par un sujet qui fâche. J'en arrive donc à l'épidémie de casses hydrauliques de cette saison, aux déboires de toute une carrière... -"Jarno, parlons de ton record en Formule 1 du plus grand nombre d'abandons au 1er tour… 14 en 14 saisons… Barrichello était en tête mais tu viens de le 'doubler'…" -"Euh, je ne savais pas… c'est bizarre… En même temps, toute ma carrière les gens proches de moi m'ont dit : 'Putain, t'as quand même pas de bol en course !' Même cette année, c'est presque toujours tombé sur moi !" Il a quand même laissé "Kova" improviser le barbecue à Singapour.
Il a eu cette réputation de dur avec la mécanique lorsque les Honda cassaient comme du cristal chez Jordan, mais ça n'explique pas tout. Il s'est aussi fait bousculer plus souvent qu'à son tour. J'en arrive à cette supposition : harponner un Trulli serait bien moins grave que cartonner un Alonso, un Hamilton… Une question de respect, donc. "Non, tu ne peux pas dire ça. Quand tu t'accroches, tu as beaucoup de chances de t'arrêter aussi…" OK, je remballe ma théorie pour embrayer sur le cas Fernandes, qui a abondé dans le sens de son comparse virginien Branson sur la futilité des drapeaux bleus. Franchement, c'est sérieux ? "Si je me mets dans la position où j'étais l'an passé, je pense que les drapeaux bleus sont importants. Indispensables. Quand on se fait doubler, c'est qu'on est plus lent ou qu'on a eu des problèmes, qu'on est de toute façon plus dans la course. Il faut laisser passer les leaders." La raison l'emporte, c'est heureux. De toute façon, Fernandes ne défendra plus très longtemps cette ligne car la Lotus de 2011 aura des vrais morceaux de Red Bull dedans, et peut-être même un V8 Renault. "On espère mais on verra…", souffle le coureur de fond, qui sait que le deal avec Viry-Châtillon se fera si la Haute cour d'Angleterre reconnait à Fernandes le droit d'exploiter le nom Team Lotus. C'est pas gagné.
Stéphane VRIGNAUD
Je me souviens d'un avis en off -même pas méchant- m'ayant éclairé sur l'avenir de Trulli. "Jarno ? Il ne sera jamais champion du monde !" C'était en 2002, deux mois après l'arrivée du pilote Jordan chez Renault. Ainsi parlait Faure, le président de la branche F1… Choquant a priori. Sauf que Briatore avait l'habitude de "monitorer" ses recrues, sur une vingtaine de tours. Trulli était passé au révélateur de la télémétrie et Faure ne faisait que relayer le verdict de cette dissection. En somme, le Losange savait qui il avait engagé pour revenir en F1. Des podiums, une victoire peut-être... Mais pas au-delà.
Cette histoire résume un peu cette carrière de frustrations que j'ai cherché à sonder auprès du principal intéressé, un jour de trop grande pluie à Suzuka. J'ai toujours eu l'impression qu'il s'était trompé d'époque ou de moyens, noyé dans le marasme chez Prost (1997-99), passé chez Jordan entre deux périodes victorieuses (2000-01), invité à remettre Renault en ordre de marche (2002-04) ou emporté par le gâchis Toyota (2004-09)... "C'est clair, je ne suis pas toujours passé au bon moment dans mes différentes équipes, mais je ne vais pas embêter les gens avec ça", coupe-t-il. "Pour comprendre, il suffit de regarder ce que mes coéquipiers qui ont gagné des championnats ont fait lorsqu'ils étaient avec moi (Button, Alonso). En 2004, j'ai fait bien mieux que Fernando, avec une victoire et deux pole positions." Chez Toyota, il y avait de l'argent, du temps, de la tranquillité. Ça n'a pas suffi. "J'ai construit pendant cinq ans. On a obtenu des résultats importants mais on n'a jamais eu la capacité, la mentalité de faire une voiture pour gagner des courses. On a souvent eu une bonne auto, mais jamais la meilleure..." Question auto, sa meilleure sur une course fut la Renault de Monte-Carlo 2004, "mais sur une saison c'est la Toyota de la 1ère partie de 2005."
"J'ai surtout envie de travailler en fait"
Viré par Briatore courant 2004 parce qu'il ne cautionnait plus son management intéressé, il a surtout raté le coche avec Toy. "Je m'entendais très bien avec Renault. On discutait, on avançait, mais j'ai été obligé de partir. L'échec, c'est plutôt avec Toyota que je l'ai vécu. J'ai été très proche de gagner et ça restera comme une trace dans ma carrière. S'il y a une équipe où le courant passait c'est bien Toyota, avec 99% des gens. Il y avait juste Howett…", tempère-il en pouffant carrément, à propos du boss anglais. "Mais bon, je ne veux pas rentrer dans les détails car je ne serais pas sympa…" Bref, Briatore et Howett ne l'ont pas aidé : l'un choisissait avec qui il gagnait, l'autre perdait avec tout le monde…
A 36 ans, le Transalpin n'est pas aigri ni Calimero pour un sou. Ça tombe bien car il en a pris pour trois ans chez Lotus, qui a allumé la lumière l'an dernier à Hingham pour lancer une équipe Canada dry, réminiscence malaise du so british Team Lotus de Clark, Hill, Fittipladi, Andretti et Senna... Avec une bonne dose de foi et son pote "Pit bull" Gascoyne, technicien sacrément courte mèche : "Recommencer à zéro n'est pas un truc sympa, surtout qu'il y a peu je me battais pour gagner des courses. J'avais envie de faire ça, parce que Lotus est un nom important et que ma motivation n'a pas décliné. Je suis encore en forme ! Et j'ai encore envie de gagner ; surtout envie de travailler en fait, car il va falloir en abattre du travail !" Il l'a quand même joué fine en important la grappe d'ingénieurs Toyota qui bossait sur sa TF109. "C'est vrai, j'ai emmené des ingénieurs d'expérience mais des mécaniciens sont aussi venus d'eux même car ils n'avaient plus de boulot", corrige-t-il. Une petite longueur d'avance pas inutile puisque Kovalainen le chahute de plus en plus.
Roi de l'abandon précoce
Bon, on m'a toujours dit qu'il ne fallait pas attaquer un entretien -long de surcroît- par un sujet qui fâche. J'en arrive donc à l'épidémie de casses hydrauliques de cette saison, aux déboires de toute une carrière... -"Jarno, parlons de ton record en Formule 1 du plus grand nombre d'abandons au 1er tour… 14 en 14 saisons… Barrichello était en tête mais tu viens de le 'doubler'…" -"Euh, je ne savais pas… c'est bizarre… En même temps, toute ma carrière les gens proches de moi m'ont dit : 'Putain, t'as quand même pas de bol en course !' Même cette année, c'est presque toujours tombé sur moi !" Il a quand même laissé "Kova" improviser le barbecue à Singapour.
Il a eu cette réputation de dur avec la mécanique lorsque les Honda cassaient comme du cristal chez Jordan, mais ça n'explique pas tout. Il s'est aussi fait bousculer plus souvent qu'à son tour. J'en arrive à cette supposition : harponner un Trulli serait bien moins grave que cartonner un Alonso, un Hamilton… Une question de respect, donc. "Non, tu ne peux pas dire ça. Quand tu t'accroches, tu as beaucoup de chances de t'arrêter aussi…" OK, je remballe ma théorie pour embrayer sur le cas Fernandes, qui a abondé dans le sens de son comparse virginien Branson sur la futilité des drapeaux bleus. Franchement, c'est sérieux ? "Si je me mets dans la position où j'étais l'an passé, je pense que les drapeaux bleus sont importants. Indispensables. Quand on se fait doubler, c'est qu'on est plus lent ou qu'on a eu des problèmes, qu'on est de toute façon plus dans la course. Il faut laisser passer les leaders." La raison l'emporte, c'est heureux. De toute façon, Fernandes ne défendra plus très longtemps cette ligne car la Lotus de 2011 aura des vrais morceaux de Red Bull dedans, et peut-être même un V8 Renault. "On espère mais on verra…", souffle le coureur de fond, qui sait que le deal avec Viry-Châtillon se fera si la Haute cour d'Angleterre reconnait à Fernandes le droit d'exploiter le nom Team Lotus. C'est pas gagné.
Stéphane VRIGNAUD
dom465- Messages : 12793
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Ecclestone pense à "éjecter" des Grands-Prix...
>> Bernie Ecclestone ne désire pas pour le moment passer à plus de 20 GP par saison.
- Les équipes auraient besoin de plus de fonds pour couvrir les déplacements et l’allongement de la saison. L’argentier de la F1, qui cherche à se tourner vers les pays émergents, vient d’ailleurs de signer un contrat avec la Russie pour un GP à partir de 2014.
Un GP d’Inde est également à l’ordre du jour.
>Bernie a donc fait savoir dans les colonnes du "Guardian" que plusieurs courses étaient en danger.
« Spa et Silverstone auraient été depuis longtemps supprimé sans le soutien du gouvernement. Le GP de Turquie pourrait être amené par ailleurs à disparaître. Je ne sais pas pourquoi, mais les tribunes restent désespérément vides. »
Source : Autohebdo.fr
- Les équipes auraient besoin de plus de fonds pour couvrir les déplacements et l’allongement de la saison. L’argentier de la F1, qui cherche à se tourner vers les pays émergents, vient d’ailleurs de signer un contrat avec la Russie pour un GP à partir de 2014.
Un GP d’Inde est également à l’ordre du jour.
>Bernie a donc fait savoir dans les colonnes du "Guardian" que plusieurs courses étaient en danger.
« Spa et Silverstone auraient été depuis longtemps supprimé sans le soutien du gouvernement. Le GP de Turquie pourrait être amené par ailleurs à disparaître. Je ne sais pas pourquoi, mais les tribunes restent désespérément vides. »
Source : Autohebdo.fr
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Re: Revue de presse : infos générales.
Punaise! Mais y va réussir a nous virer Spa et Silverstone ce vieux schnock ! Faut l'achever,lui!!!
vtec- Messages : 5423
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Re: Revue de presse : infos générales.
moi je commence a avoir des envie de meurtre d'un coup
Hadzufel- Messages : 9084
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Les jeunes pilotes à Abu Dhabi...
>> C’est au lendemain du dernier Grand Prix de la saison, à Abu Dhabi, que le petit monde de la F1 a prévu de faire rouler les jeunes pilotes durant deux journées avant que les pilotes titulaires les relayent pour tester pour la première fois les pneus Pirelli.
Revue d'effectif :
- Chez McLaren, c’est Gary Paffett qui roulera au moins une journée alors que l’autre journée pourrait être réservée à Oliver Turvey, un autre pilote britannique vu cette année en GP2.
- Chez Force India, c’est le pilote de réserve Paul di Resta qui roulera les deux journées. Ce dernier pourrait obtenir un poste de pilote titulaire au sein de cette équipe dès la saison prochaine.
- Chez Ferrari, c’est le Français Jules Bianchi qui sera en piste alors que Sauber profitera de ces deux journées pour faire rouler sa nouvelle recrue Sergio Perez et son pilote d’essai Esteban Gutierrez.
L’Australien Daniel Ricciardo roulera pour Red Bull et le Français Eric Vergne pour Toro Rosso.
- Chez Renault, c’est le Russe Mikhail Aleshin, le champion en titre des Renault World Series, qui sera en piste au moins une journée. L’autre journée devrait être offerte à un pilote managé par Gravity. Il s’agira peut-être du Chinois Ho-Pin Tung.
- L’équipe Williams a choisi Dean Stoneman, le nouveau champion de la F2, mais doit encore désigner un autre pilote pour la seconde journée.
- Le Belge Jérome d’Ambrosio et le Brésilien Liuz Razia se partageront le volant de la Virgin alors que chez Lotus, on n’a pas encore choisi ses candidats, mais l’équipe a toutefois confirmé sa présence lors de ces deux premières journées d’essais privés.
Quant à Mercedes et HRT, elles n’ont pas encore communiqué sur ces essais réservés aux jeunes pilotes.
Source : Nextgen-auto.com
Revue d'effectif :
- Chez McLaren, c’est Gary Paffett qui roulera au moins une journée alors que l’autre journée pourrait être réservée à Oliver Turvey, un autre pilote britannique vu cette année en GP2.
- Chez Force India, c’est le pilote de réserve Paul di Resta qui roulera les deux journées. Ce dernier pourrait obtenir un poste de pilote titulaire au sein de cette équipe dès la saison prochaine.
- Chez Ferrari, c’est le Français Jules Bianchi qui sera en piste alors que Sauber profitera de ces deux journées pour faire rouler sa nouvelle recrue Sergio Perez et son pilote d’essai Esteban Gutierrez.
L’Australien Daniel Ricciardo roulera pour Red Bull et le Français Eric Vergne pour Toro Rosso.
- Chez Renault, c’est le Russe Mikhail Aleshin, le champion en titre des Renault World Series, qui sera en piste au moins une journée. L’autre journée devrait être offerte à un pilote managé par Gravity. Il s’agira peut-être du Chinois Ho-Pin Tung.
- L’équipe Williams a choisi Dean Stoneman, le nouveau champion de la F2, mais doit encore désigner un autre pilote pour la seconde journée.
- Le Belge Jérome d’Ambrosio et le Brésilien Liuz Razia se partageront le volant de la Virgin alors que chez Lotus, on n’a pas encore choisi ses candidats, mais l’équipe a toutefois confirmé sa présence lors de ces deux premières journées d’essais privés.
Quant à Mercedes et HRT, elles n’ont pas encore communiqué sur ces essais réservés aux jeunes pilotes.
Source : Nextgen-auto.com
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Re: Revue de presse : infos générales.
Susie Stoddart veut un test
La pilote Susie Stoddart affirme qu'elle veut procéder à un véritable test avec une écurie de Formule 1.
L'Écossaise de 27 ans court actuellement dans la série allemande DTM au volant d'une Mercedes. Son copain est Christian 'Toto' Wolff, un des copropriétaires de l'écurie Williams ; il a récemment laissé entendre qu'il pourrait augmenter sa participation "à un niveau stratégique."
"Je rêve de Formule 1", déclarait Stoddart au journal autrichien SportWoche. "J'aimerais au moins avoir un premier test. C'est ce que je veux vraiment faire."
"Mais je ne veux pas qu'il s'agisse d'un coup publicitaire", a-t-elle souligné, faisant écho à ce que Danica Patrick a déjà dit. "Je veux leur montrer de quoi je suis capable."
Stoddart a piloté en Formule Renault et dans la série F3 britannique. Elle est actuellement 12e dans le classement DTM, devant les vétérans de la F1 Ralf Schumacher et David Coulthard.
Susie Stoddart n'a aucun lien familial avec Paul Stoddart, jadis le propriétaire de l'écurie italienne Minardi.
Lella Lombardi a marqué un demi-point en 1975 ; Giovanna Amati n'a pas réussi à se qualifier en 1992. Mais Bernie Ecclestone aimerait beaucoup voir une présence féminine en F1.
© ESPN EMEA Ltd.
La pilote Susie Stoddart affirme qu'elle veut procéder à un véritable test avec une écurie de Formule 1.
L'Écossaise de 27 ans court actuellement dans la série allemande DTM au volant d'une Mercedes. Son copain est Christian 'Toto' Wolff, un des copropriétaires de l'écurie Williams ; il a récemment laissé entendre qu'il pourrait augmenter sa participation "à un niveau stratégique."
"Je rêve de Formule 1", déclarait Stoddart au journal autrichien SportWoche. "J'aimerais au moins avoir un premier test. C'est ce que je veux vraiment faire."
"Mais je ne veux pas qu'il s'agisse d'un coup publicitaire", a-t-elle souligné, faisant écho à ce que Danica Patrick a déjà dit. "Je veux leur montrer de quoi je suis capable."
Stoddart a piloté en Formule Renault et dans la série F3 britannique. Elle est actuellement 12e dans le classement DTM, devant les vétérans de la F1 Ralf Schumacher et David Coulthard.
Susie Stoddart n'a aucun lien familial avec Paul Stoddart, jadis le propriétaire de l'écurie italienne Minardi.
Lella Lombardi a marqué un demi-point en 1975 ; Giovanna Amati n'a pas réussi à se qualifier en 1992. Mais Bernie Ecclestone aimerait beaucoup voir une présence féminine en F1.
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dom465- Messages : 12793
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BERGER parie sur l'égoïsme d'ALONSO...
>>Pour Gerhard Berger: "seul un pilote aussi égoïste que (Fernando) Alsonso peut être champion du monde cette année".
- Ancien pilote Ferrari et ancien patron de Sebastian Vettel chez Toro Rosso, Berger estime que le fait que Ferrari mise tout sur un seul pilote depuis le Grand Prix d'Allemagne fera la différence dans une saison où un nombre relativement important de pilotes peuvent prendre des gros points.
"Pour moi, il est le meilleur pilote actuel", ajoute l'Autrichien dans Sport Bild. "Il a de l'expérience mais il est encore jeune et rapide et il a toute son équipe derrière lui. Le seul qui peur rivaliser avec lui est Sebastian. Ferrari ne pouvait avoir de meilleur pilote qu'Alonso et Alonso ne pouvait avoir de meilleure écurie que Ferrari."
Berger va-t-il gagner son pari ? Premier élément de réponse en Corée ce week-end.
© ESPN EMEA Ltd.
- Ancien pilote Ferrari et ancien patron de Sebastian Vettel chez Toro Rosso, Berger estime que le fait que Ferrari mise tout sur un seul pilote depuis le Grand Prix d'Allemagne fera la différence dans une saison où un nombre relativement important de pilotes peuvent prendre des gros points.
"Pour moi, il est le meilleur pilote actuel", ajoute l'Autrichien dans Sport Bild. "Il a de l'expérience mais il est encore jeune et rapide et il a toute son équipe derrière lui. Le seul qui peur rivaliser avec lui est Sebastian. Ferrari ne pouvait avoir de meilleur pilote qu'Alonso et Alonso ne pouvait avoir de meilleure écurie que Ferrari."
Berger va-t-il gagner son pari ? Premier élément de réponse en Corée ce week-end.
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Re: Revue de presse : infos générales.
La Région wallone confiante en l'avenir de Spa.
Après les déclarations inquiétantes sur l’avenir de Spa-Francorchamps formulées par Bernie Ecclestone hier, la Région wallonne s’est montrée plus rassurante sur le futur du Grand Prix de Belgique.
Le grand argentier de la Formule 1 avait indiqué que le célèbre circuit des Ardennes risquait vraiment de perdre son Grand Prix après 2012, date à laquelle se termine le contrat actuel.
Avec l’élargissement – principalement en Asie – du calendrier de Formule 1 à tout va, c’est malheureusement une nouvelle fois les épreuves européennes qui vont trinquer. D’où l’importance de renouveler rapidement son contrat, ce que n’a pas encore fait Spa-Francorchamps.
Le ministre wallon de l’économie, Jean-Claude Marcourt, s’est cependant montré plus rassurant, indiquant que les discussions avaient toujours lieu pour prolonger la présence du Grand Prix de Belgique, l’une des épreuves historiques du calendrier, en Formule 1.
"La Formule 1 devient plus globalisée et certains pays ne renoncent à aucun sacrifice pour la rejoindre. Mais nous ne devrions pas dramatiser la situation ; les négociations sont toujours en cours," a-t-il indiqué, cité par l’agence de presse belge Belga.
Source : toilef1.com
Après les déclarations inquiétantes sur l’avenir de Spa-Francorchamps formulées par Bernie Ecclestone hier, la Région wallonne s’est montrée plus rassurante sur le futur du Grand Prix de Belgique.
Le grand argentier de la Formule 1 avait indiqué que le célèbre circuit des Ardennes risquait vraiment de perdre son Grand Prix après 2012, date à laquelle se termine le contrat actuel.
Avec l’élargissement – principalement en Asie – du calendrier de Formule 1 à tout va, c’est malheureusement une nouvelle fois les épreuves européennes qui vont trinquer. D’où l’importance de renouveler rapidement son contrat, ce que n’a pas encore fait Spa-Francorchamps.
Le ministre wallon de l’économie, Jean-Claude Marcourt, s’est cependant montré plus rassurant, indiquant que les discussions avaient toujours lieu pour prolonger la présence du Grand Prix de Belgique, l’une des épreuves historiques du calendrier, en Formule 1.
"La Formule 1 devient plus globalisée et certains pays ne renoncent à aucun sacrifice pour la rejoindre. Mais nous ne devrions pas dramatiser la situation ; les négociations sont toujours en cours," a-t-il indiqué, cité par l’agence de presse belge Belga.
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Van Der Garde privera-t'il d'Ambrosio de son rêve ?
Giedo van der Garde semble être l’adversaire principal de Jérôme d’Ambrosio pour le second baquet de titulaire de l’équipe Virgin l’année prochaine.
Alors que le pilote belge devrait épauler Timo Glock l’an prochain s’il parvient à réunir le budget nécessaire, le site néerlandais Formule1.nl a indiqué que Giedo van der Garde était également plongé dans de sérieuses discussions avec l’écurie britannique.
L’intérêt de Virgin pour le pilote de GP2 Series se justifierait par l’apport financier qu’il pourrait apporter. Son manager Jan Paul ten Hoopen est également le directeur commercial de la marque néerlandaise de vêtement McGregor, qui arrêtera son sponsoring avec Williams à la fin de la saison.
Les négociations semblent d’ailleurs bien avancées puisque le manager ainsi que le beau-père de Giedo van der Garde, Marcel Boekhoorn, auraient visité l’usine de l’équipe en début de semaine. Son beau-père était présent sur place car il est l’un des principaux actionnaires de McGregor. Cela laisse penser que la compagnie pourrait rester en Formule 1 en 2011 avec Virgin si l’écurie décide d’engager Giedo van der Garde au détriment de Jérôme d’Ambrosio.
Quand il lui a été demandé s’il allait faire ses débuts en Formule 1 avec Virgin l’année prochaine, le principal intéressé a d’ailleurs répondu : "C’est une possibilité. J’ai seulement entendu que nous discutions. Je n’ai pas d’idée si cela aboutira à un accord. C’est le travail de mon management. Les pilotes sont toujours les derniers à savoir. Je sais seulement qu’ils y travaillent et j’ai entendu qu’il y a eu quelques réunions. Je n’en sais pas plus."
Source : toilef1.com
Giedo van der Garde semble être l’adversaire principal de Jérôme d’Ambrosio pour le second baquet de titulaire de l’équipe Virgin l’année prochaine.
Alors que le pilote belge devrait épauler Timo Glock l’an prochain s’il parvient à réunir le budget nécessaire, le site néerlandais Formule1.nl a indiqué que Giedo van der Garde était également plongé dans de sérieuses discussions avec l’écurie britannique.
L’intérêt de Virgin pour le pilote de GP2 Series se justifierait par l’apport financier qu’il pourrait apporter. Son manager Jan Paul ten Hoopen est également le directeur commercial de la marque néerlandaise de vêtement McGregor, qui arrêtera son sponsoring avec Williams à la fin de la saison.
Les négociations semblent d’ailleurs bien avancées puisque le manager ainsi que le beau-père de Giedo van der Garde, Marcel Boekhoorn, auraient visité l’usine de l’équipe en début de semaine. Son beau-père était présent sur place car il est l’un des principaux actionnaires de McGregor. Cela laisse penser que la compagnie pourrait rester en Formule 1 en 2011 avec Virgin si l’écurie décide d’engager Giedo van der Garde au détriment de Jérôme d’Ambrosio.
Quand il lui a été demandé s’il allait faire ses débuts en Formule 1 avec Virgin l’année prochaine, le principal intéressé a d’ailleurs répondu : "C’est une possibilité. J’ai seulement entendu que nous discutions. Je n’ai pas d’idée si cela aboutira à un accord. C’est le travail de mon management. Les pilotes sont toujours les derniers à savoir. Je sais seulement qu’ils y travaillent et j’ai entendu qu’il y a eu quelques réunions. Je n’en sais pas plus."
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Ecclestone veut que Briatore travaille sur le "Show"...
>> Flavio Briatore va faire son grand retour en Formule 1 en 2013, et Bernie Ecclestone a donné un indice supplémentaire sur le rôle qu’il compte donner à l’Italien, banni de la F1 depuis l’an passé suite à l’affaire du crash organisé par Piquet et l’équipe Renault à Singapour en 2008.
- Briatore indiquait ces derniers jours qu’il voulait se concentrer sur un domaine qu’il apprécie, le business. Ecclestone cherche lui quelqu’un pour booster la Formule 1 côté marketing mais aussi côté show.
Rendre la Formule 1 encore plus intéressante ne fera que mieux la vendre, après tout l’un ne va pas sans l’autre. Briatore serait donc l’homme de la situation.
> "Ce qui s’est passé avec Flavio est horrible et il a mérité d’être puni, mais peut-être pas aussi sévèrement qu’il ne l’a été. Mais nous, avec lui, allons surmonter tout cela et travailler ensemble pour mettre sur place le meilleur show possible pour les fans de Formule 1 à travers le monde," confie Ecclestone dans le paddock du Grand Prix de Corée.
Source : Nextgen-auto.com
- Briatore indiquait ces derniers jours qu’il voulait se concentrer sur un domaine qu’il apprécie, le business. Ecclestone cherche lui quelqu’un pour booster la Formule 1 côté marketing mais aussi côté show.
Rendre la Formule 1 encore plus intéressante ne fera que mieux la vendre, après tout l’un ne va pas sans l’autre. Briatore serait donc l’homme de la situation.
> "Ce qui s’est passé avec Flavio est horrible et il a mérité d’être puni, mais peut-être pas aussi sévèrement qu’il ne l’a été. Mais nous, avec lui, allons surmonter tout cela et travailler ensemble pour mettre sur place le meilleur show possible pour les fans de Formule 1 à travers le monde," confie Ecclestone dans le paddock du Grand Prix de Corée.
Source : Nextgen-auto.com
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Button va se mettre au service d' Hamilton...
>> La fin de la course aura permis de nouveaux échanges de mots entre Red Bull et McLaren. Après le patron de McLaren qui dit que Red Bull ferait mieux de soutenir Webber pour s’assurer du titre, Christian Horner déclare que Button ferait bien de se mettre au service d’Hamilton.
- "La situation est différente chez nous. Alors que chez McLaren, il n’y a pas à réfléchir, Button n’a quasiment aucune chance : il reste 50 points à peine et il en a 42 de retard. Mais bon je ne suis pas le patron de McLaren, c’est leur problème, pas le mien," lance Horner.
> Mais pas besoin de conseils chez McLaren, Button se mettra bien au service de Lewis.
"On ne me le demandera pas mais je sais ce que j’ai à faire," déclare-t-il simplement.
Son patron, Martin Whitmarsh, confirme. "Pour nous, la stratégie est maintenant devenue très claire. Nous n’avons pas vraiment besoin de dire quelque chose à nos pilotes. Jenson offrira de lui-même son aide à Hamilton, volontairement, parce ce qu’il sait qu’il a été traité correctement par notre équipe tout au long de l’année. Et aussi parce qu’il sait qu’il ne pourrait maintenant décrocher le titre qu’avec l’aide d’un miracle."
Source : Nextgen-auto.com
- "La situation est différente chez nous. Alors que chez McLaren, il n’y a pas à réfléchir, Button n’a quasiment aucune chance : il reste 50 points à peine et il en a 42 de retard. Mais bon je ne suis pas le patron de McLaren, c’est leur problème, pas le mien," lance Horner.
> Mais pas besoin de conseils chez McLaren, Button se mettra bien au service de Lewis.
"On ne me le demandera pas mais je sais ce que j’ai à faire," déclare-t-il simplement.
Son patron, Martin Whitmarsh, confirme. "Pour nous, la stratégie est maintenant devenue très claire. Nous n’avons pas vraiment besoin de dire quelque chose à nos pilotes. Jenson offrira de lui-même son aide à Hamilton, volontairement, parce ce qu’il sait qu’il a été traité correctement par notre équipe tout au long de l’année. Et aussi parce qu’il sait qu’il ne pourrait maintenant décrocher le titre qu’avec l’aide d’un miracle."
Source : Nextgen-auto.com
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Re: Revue de presse : infos générales.
Toujours gentleman et (trop ?) correct, Jenson !
dom465- Messages : 12793
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Hamilton : " Honteux que tout le monde se soit plaint" ...
>> Lewis Hamilton n’est pas tendre envers une bonne partie des pilotes du plateau.
Pour lui, c’est tout simplement honteux que certains pilotes se soient plaints des conditions climatiques en Corée du Sud.
- Le départ du Grand Prix sud-coréen a été retardé d’une bonne heure ce dimanche matin. Tout d’abord lancée derrière la voiture de sécurité, la course a vite été arrêtée après quatre tours en raison de conditions climatiques trop difficiles qui rendaient impraticable la conduite sur le circuit de Yeongam. Le Grand Prix a repris après une pause d’une demi-heure, toujours sous le régime de la voiture de sécurité et ce pendant 13 tours encore.
> Cependant, même si la FIA a eu raison d’interrompre le Grand Prix, l’attitude des pilotes lors de la reprise n’a pas laissé Lewis Hamilton indifférent. Alors que la plupart de ses collègues se plaignaient des conditions difficiles derrière la voiture de sécurité, le Britannique était l’un des rares à vouloir que la safety car s’efface pour permettre à la course d’enfin débuter – et ce bien avant sa rentrée au terme du 17ème tour !
Et Lewis Hamilton, qui s’est adjugé la deuxième place derrière Fernando Alonso en Corée du Sud, n’est pas tendre envers les pilotes qui se sont plaints. Pour lui, leur attitude était tout simplement honteuse car la voiture de sécurité aurait dû rentrer bien plus tôt.
- "On a connu des courses sous la pluie à Fuji et il y a de nombreuses autres courses, rien que cette année, qui se sont déroulées dans de mauvaises conditions climatiques. La visibilité n’était pas si mauvaise ici. C’est honteux que tout le monde se plaigne. C’est ça la course moderne et moi ce que j’aime, c’est la course. Moi, je voulais y aller," a déclaré Lewis Hamilton à la télévision belge RTBF.
- "On a passé 17 tours derrière la voiture de sécurité. Ce n’est pas génial pour les spectateurs et ce n’est pas marrant pour nous non plus. Cela avait suffisamment séché pour que l’on puisse s’élancer. Finalement, on a pu démarrer et j’en suis heureux. Maintenant, je suis impatient de disputer les deux dernières courses. J’espère qu’on pourra compter sur des choses positives en provenance de l’usine. Les mecs y font du boulot fantastique. Un grand merci à eux."
Et Lewis Hamilton n’est pas le seul à penser que le maintien en piste de la voiture de sécurité par la FIA, pendant 17 tours, était on ne peut plus ridicule.
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la FIA s’adonne à une telle mascarade. Ne sont-ils pas sensés être les meilleurs pilotes de course au monde ?
Source : ToileF1.com
Pour lui, c’est tout simplement honteux que certains pilotes se soient plaints des conditions climatiques en Corée du Sud.
- Le départ du Grand Prix sud-coréen a été retardé d’une bonne heure ce dimanche matin. Tout d’abord lancée derrière la voiture de sécurité, la course a vite été arrêtée après quatre tours en raison de conditions climatiques trop difficiles qui rendaient impraticable la conduite sur le circuit de Yeongam. Le Grand Prix a repris après une pause d’une demi-heure, toujours sous le régime de la voiture de sécurité et ce pendant 13 tours encore.
> Cependant, même si la FIA a eu raison d’interrompre le Grand Prix, l’attitude des pilotes lors de la reprise n’a pas laissé Lewis Hamilton indifférent. Alors que la plupart de ses collègues se plaignaient des conditions difficiles derrière la voiture de sécurité, le Britannique était l’un des rares à vouloir que la safety car s’efface pour permettre à la course d’enfin débuter – et ce bien avant sa rentrée au terme du 17ème tour !
Et Lewis Hamilton, qui s’est adjugé la deuxième place derrière Fernando Alonso en Corée du Sud, n’est pas tendre envers les pilotes qui se sont plaints. Pour lui, leur attitude était tout simplement honteuse car la voiture de sécurité aurait dû rentrer bien plus tôt.
- "On a connu des courses sous la pluie à Fuji et il y a de nombreuses autres courses, rien que cette année, qui se sont déroulées dans de mauvaises conditions climatiques. La visibilité n’était pas si mauvaise ici. C’est honteux que tout le monde se plaigne. C’est ça la course moderne et moi ce que j’aime, c’est la course. Moi, je voulais y aller," a déclaré Lewis Hamilton à la télévision belge RTBF.
- "On a passé 17 tours derrière la voiture de sécurité. Ce n’est pas génial pour les spectateurs et ce n’est pas marrant pour nous non plus. Cela avait suffisamment séché pour que l’on puisse s’élancer. Finalement, on a pu démarrer et j’en suis heureux. Maintenant, je suis impatient de disputer les deux dernières courses. J’espère qu’on pourra compter sur des choses positives en provenance de l’usine. Les mecs y font du boulot fantastique. Un grand merci à eux."
Et Lewis Hamilton n’est pas le seul à penser que le maintien en piste de la voiture de sécurité par la FIA, pendant 17 tours, était on ne peut plus ridicule.
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la FIA s’adonne à une telle mascarade. Ne sont-ils pas sensés être les meilleurs pilotes de course au monde ?
Source : ToileF1.com
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Ecclestone clarifie ses propos au sujet de "SPA"...
>> Bernie Ecclestone a déploré que le journal britannique The Guardian ait déformé ses propos concernant l’avenir du Grand Prix de Belgique au calendrier de Formule 1.
Avec l’arrivée des Etats-Unis et de la Russie, le journaliste avait demandé au Britannique si Spa-Francorchamps risquait vraiment de perdre son Grand Prix, ce à quoi il avait répondu : "Absolument".
- La vérité est ( serait ? ) tout autre. Bernie Ecclestone a confié à la télévision belge RTBF que le journal avait déformé ses propos et qu’il souhaitait au contraire le maintien du toboggan des Ardennes au calendrier.
> Pour lui, Spa-Francorchamps aura toujours sa place au championnat si la Belgique le veut.
"Ce que je vais vous dire maintenant, enregistrez-le bien, car le Guardian a déformé mes propos. Je suis certain que dans les années à venir, on va perdre quelques courses en Europe. C’est presque sûr. Lesquelles ? Je n’en ai encore aucune idée," a déclaré Bernie Ecclestone à Yeongam.
"Mais de notre côté, nous voulons garder Spa. Il y a depuis longtemps des discussions à propos de la fin du Grand Prix de Spa-Francorchamps, mais si c’est le cas, c’est parce que la Belgique en aura voulu ainsi. Pas moi."
Source : ToileF1.com
Avec l’arrivée des Etats-Unis et de la Russie, le journaliste avait demandé au Britannique si Spa-Francorchamps risquait vraiment de perdre son Grand Prix, ce à quoi il avait répondu : "Absolument".
- La vérité est ( serait ? ) tout autre. Bernie Ecclestone a confié à la télévision belge RTBF que le journal avait déformé ses propos et qu’il souhaitait au contraire le maintien du toboggan des Ardennes au calendrier.
> Pour lui, Spa-Francorchamps aura toujours sa place au championnat si la Belgique le veut.
"Ce que je vais vous dire maintenant, enregistrez-le bien, car le Guardian a déformé mes propos. Je suis certain que dans les années à venir, on va perdre quelques courses en Europe. C’est presque sûr. Lesquelles ? Je n’en ai encore aucune idée," a déclaré Bernie Ecclestone à Yeongam.
"Mais de notre côté, nous voulons garder Spa. Il y a depuis longtemps des discussions à propos de la fin du Grand Prix de Spa-Francorchamps, mais si c’est le cas, c’est parce que la Belgique en aura voulu ainsi. Pas moi."
Source : ToileF1.com
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EPSILON EUSKADI n'a pas renoncé à la F1...
>> Joan Villadelprat n’a pas l’intention d’abandonner son rêve de faire monter son équipe, Epsilon Euskadi, en Formule 1. Comme Villeneuve/Durango, il a tenté cette année d’accéder à la 13ème place disponible en F1 pour la saison prochaine, après la faillite du projet USF1.
Mais la FIA a décidé que le projet d’Epsilon, comme celui de Villeneuve, n’était pas assez solide.
- "Nous n’avons pas encore jeté l’éponge. La chose la plus importante en Formule 1 c’est de trouver les budgets nécessaires pour vous permettre de vous développer sur le long terme. Nous avons déjà les infrastructures et le personnel," déclare l’Espagnol dans le journal Noticias de Gipuzkoa.
- "Nous poursuivons le travail avec des investisseurs et nous espérons bientôt prendre une décision finale. Si cette décision est positive, nous avons deux possibilités devant nous : postuler pour être la treizième équipe en 2012 ou essayer de racheter une équipe existante pour être présent dès 2011," confirme-t-il, rejoignant ainsi les projets de Villeneuve et Durango, qui travaillent également toujours sur la solution du rachat d’une équipe existante.
La solution la plus évidente parait être HRT F1, espagnole comme Epsilon et toujours en proie à des problèmes financiers qui ne permettent pas d’assurer de manière certaine sa présence en 2011. Mais Villadelprat indique que ce n’est pas à l’ordre du jour.
- "Nous ne sommes pas en contact avec eux. Mais nous sommes confiants, nous savons qu’il y a d’autres opportunités puisque plusieurs équipes sont dans des situations économiques très délicates. Si nous parvenons à boucler un budget nous permettant d’assurer les quatre premières années, nous pourrons envisager un rachat, sinon nous ne le ferons pas."
Parmi les équipes à vendre que pourrait viser Villadelprat, Toro Rosso semble être sur le marché pour quelques 30 à 40 millions d’euros. Bien entendu l’équipe italienne n’a jamais confirmé ou infirmé cette information, qui reste la décision de son unique propriétaire, Dietrich Mateschitz, le patron de Red Bull.
Source : Nextgen-auto.com
Mais la FIA a décidé que le projet d’Epsilon, comme celui de Villeneuve, n’était pas assez solide.
- "Nous n’avons pas encore jeté l’éponge. La chose la plus importante en Formule 1 c’est de trouver les budgets nécessaires pour vous permettre de vous développer sur le long terme. Nous avons déjà les infrastructures et le personnel," déclare l’Espagnol dans le journal Noticias de Gipuzkoa.
- "Nous poursuivons le travail avec des investisseurs et nous espérons bientôt prendre une décision finale. Si cette décision est positive, nous avons deux possibilités devant nous : postuler pour être la treizième équipe en 2012 ou essayer de racheter une équipe existante pour être présent dès 2011," confirme-t-il, rejoignant ainsi les projets de Villeneuve et Durango, qui travaillent également toujours sur la solution du rachat d’une équipe existante.
La solution la plus évidente parait être HRT F1, espagnole comme Epsilon et toujours en proie à des problèmes financiers qui ne permettent pas d’assurer de manière certaine sa présence en 2011. Mais Villadelprat indique que ce n’est pas à l’ordre du jour.
- "Nous ne sommes pas en contact avec eux. Mais nous sommes confiants, nous savons qu’il y a d’autres opportunités puisque plusieurs équipes sont dans des situations économiques très délicates. Si nous parvenons à boucler un budget nous permettant d’assurer les quatre premières années, nous pourrons envisager un rachat, sinon nous ne le ferons pas."
Parmi les équipes à vendre que pourrait viser Villadelprat, Toro Rosso semble être sur le marché pour quelques 30 à 40 millions d’euros. Bien entendu l’équipe italienne n’a jamais confirmé ou infirmé cette information, qui reste la décision de son unique propriétaire, Dietrich Mateschitz, le patron de Red Bull.
Source : Nextgen-auto.com
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WILLIAMS à la recherche de clients pour son train arrière
>> Contactée par notre agence de presse, l’équipe Williams n’a pas démenti les discussions avec Hispania Racing Team, révélées ce week-end lors du Grand Prix de Corée du Sud.
- HRT est en effet intéressée par les boîtes de vitesses de Williams, ainsi que le système hydraulique pour sa voiture de l’année prochaine. Il y a un mois, l’équipe Williams nous avait déjà laissé entendre qu’elle était prête à fournir d’autres écuries.
Aujourd’hui la situation n’a pas changé : les discussions sont en cours mais les contrats ne sont pas signés.
- "Rien n’a évolué pour le moment," nous a confié un porte parole de l’équipe aujourd’hui. "On a publiquement confirmé que nous sommes prêts à fournir certains éléments de notre train arrière à d’autres équipes, mais à l’heure actuelle nous n’avons conclu aucun contrat avec des clients potentiels. Bien sûr nous ferons une annonce, ou des annonces, si nous venions à signer de tels contrats."
> A Yeongam nous avons appris également que la solution Toyota Motorsport semble s’éloigner pour HRT F1, impossible de mettre pour le moment les garanties financières sur la table pour acheter les plans et les pièces de ce qui aurait dû être la TF110 si elle avait roulé cette année.
Le temps presse pour l’équipe espagnole si elle doit concevoir sa prochaine voiture toute seule. C’est en ce sens que l’achat du train arrière de Williams ainsi que son système hydraulique pourrait lui économiser beaucoup de temps de développement.
Source : Nextgen-auto.com
- HRT est en effet intéressée par les boîtes de vitesses de Williams, ainsi que le système hydraulique pour sa voiture de l’année prochaine. Il y a un mois, l’équipe Williams nous avait déjà laissé entendre qu’elle était prête à fournir d’autres écuries.
Aujourd’hui la situation n’a pas changé : les discussions sont en cours mais les contrats ne sont pas signés.
- "Rien n’a évolué pour le moment," nous a confié un porte parole de l’équipe aujourd’hui. "On a publiquement confirmé que nous sommes prêts à fournir certains éléments de notre train arrière à d’autres équipes, mais à l’heure actuelle nous n’avons conclu aucun contrat avec des clients potentiels. Bien sûr nous ferons une annonce, ou des annonces, si nous venions à signer de tels contrats."
> A Yeongam nous avons appris également que la solution Toyota Motorsport semble s’éloigner pour HRT F1, impossible de mettre pour le moment les garanties financières sur la table pour acheter les plans et les pièces de ce qui aurait dû être la TF110 si elle avait roulé cette année.
Le temps presse pour l’équipe espagnole si elle doit concevoir sa prochaine voiture toute seule. C’est en ce sens que l’achat du train arrière de Williams ainsi que son système hydraulique pourrait lui économiser beaucoup de temps de développement.
Source : Nextgen-auto.com
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Gerhard BERGER accuse Webber....
>> La Formule 1 ne serait pas tout à fait la Formule 1 sans ses petites polémiques d’après course.
- On pensait le Grand Prix de Corée épargné à ce sujet, mais Gerhard Berger vient de nous prouver le contraire :
il accuse aujourd’hui Mark Webber d’avoir voulu emmener un des rivaux pour le titre dans le décor lorsqu’il est parti à la faute et s’est écrasé dans le mur.
- Webber est en effet sorti de la route en passant sur un vibreur détrempé, partant dans le mur alors qu’il était en deuxième position du Grand Prix, derrière son équipier Vettel. Il a traversé à nouveau la piste et Rosberg en a fait les frais en écrasant sa Mercedes GP contre un des flancs de la Red Bull.
"Je ne comprends pas pourquoi Webber n’a pas sauté sur les freins. C’était une chose folle que de traverser la piste comme ça," déclarait Rosberg, énervé et déçu, après la course.
> Berger a une théorie : ce n’est pas Rosberg qui était visé mais Alonso ou Hamilton.
>>"Il a sorti Rosberg, ce n’était pas le bon pilote. Je pense que dans son esprit il aurait préféré que ça soit Alonso ou Hamilton. Je pense même que c’était délibéré, pour moi c’est très clair. Il se sort et il sait que c’est fini. Dans ce moment très précis, vous êtes frustré et des milliers de choses vous passent par la tête. C’est une évidence pour moi, vous pouvez voir qu’il n’a pas bloqué ses roues. Peut-être qu’il a eu un problème de freins mais je ne le pense pas."
Comme pour toute polémique de ce genre, nous ne connaitrons malheureusement jamais la vérité. D’autres croient que Webber pensait pouvoir continuer, et que le choc n’avait pas trop endommagé sa voiture. A chacun de se forger sa propre opinion...
Source : Nextgen-auto.com
- On pensait le Grand Prix de Corée épargné à ce sujet, mais Gerhard Berger vient de nous prouver le contraire :
il accuse aujourd’hui Mark Webber d’avoir voulu emmener un des rivaux pour le titre dans le décor lorsqu’il est parti à la faute et s’est écrasé dans le mur.
- Webber est en effet sorti de la route en passant sur un vibreur détrempé, partant dans le mur alors qu’il était en deuxième position du Grand Prix, derrière son équipier Vettel. Il a traversé à nouveau la piste et Rosberg en a fait les frais en écrasant sa Mercedes GP contre un des flancs de la Red Bull.
"Je ne comprends pas pourquoi Webber n’a pas sauté sur les freins. C’était une chose folle que de traverser la piste comme ça," déclarait Rosberg, énervé et déçu, après la course.
> Berger a une théorie : ce n’est pas Rosberg qui était visé mais Alonso ou Hamilton.
>>"Il a sorti Rosberg, ce n’était pas le bon pilote. Je pense que dans son esprit il aurait préféré que ça soit Alonso ou Hamilton. Je pense même que c’était délibéré, pour moi c’est très clair. Il se sort et il sait que c’est fini. Dans ce moment très précis, vous êtes frustré et des milliers de choses vous passent par la tête. C’est une évidence pour moi, vous pouvez voir qu’il n’a pas bloqué ses roues. Peut-être qu’il a eu un problème de freins mais je ne le pense pas."
Comme pour toute polémique de ce genre, nous ne connaitrons malheureusement jamais la vérité. D’autres croient que Webber pensait pouvoir continuer, et que le choc n’avait pas trop endommagé sa voiture. A chacun de se forger sa propre opinion...
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Re: Revue de presse : infos générales.
Mon opinion est toute faite... Berger et les journalistes sont des c...
épicétou.
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Re: Revue de presse : infos générales.
j'en ai marre des histoires de murs en f1...........................
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Re: Revue de presse : infos générales.
BRUNO935K3 a écrit:>> Lewis Hamilton n’est pas tendre envers une bonne partie des pilotes du plateau.
Pour lui, c’est tout simplement honteux que certains pilotes se soient plaints des conditions climatiques en Corée du Sud.
- Le départ du Grand Prix sud-coréen a été retardé d’une bonne heure ce dimanche matin. Tout d’abord lancée derrière la voiture de sécurité, la course a vite été arrêtée après quatre tours en raison de conditions climatiques trop difficiles qui rendaient impraticable la conduite sur le circuit de Yeongam. Le Grand Prix a repris après une pause d’une demi-heure, toujours sous le régime de la voiture de sécurité et ce pendant 13 tours encore.
> Cependant, même si la FIA a eu raison d’interrompre le Grand Prix, l’attitude des pilotes lors de la reprise n’a pas laissé Lewis Hamilton indifférent. Alors que la plupart de ses collègues se plaignaient des conditions difficiles derrière la voiture de sécurité, le Britannique était l’un des rares à vouloir que la safety car s’efface pour permettre à la course d’enfin débuter – et ce bien avant sa rentrée au terme du 17ème tour !
Et Lewis Hamilton, qui s’est adjugé la deuxième place derrière Fernando Alonso en Corée du Sud, n’est pas tendre envers les pilotes qui se sont plaints. Pour lui, leur attitude était tout simplement honteuse car la voiture de sécurité aurait dû rentrer bien plus tôt.
- "On a connu des courses sous la pluie à Fuji et il y a de nombreuses autres courses, rien que cette année, qui se sont déroulées dans de mauvaises conditions climatiques. La visibilité n’était pas si mauvaise ici. C’est honteux que tout le monde se plaigne. C’est ça la course moderne et moi ce que j’aime, c’est la course. Moi, je voulais y aller," a déclaré Lewis Hamilton à la télévision belge RTBF.
- "On a passé 17 tours derrière la voiture de sécurité. Ce n’est pas génial pour les spectateurs et ce n’est pas marrant pour nous non plus. Cela avait suffisamment séché pour que l’on puisse s’élancer. Finalement, on a pu démarrer et j’en suis heureux. Maintenant, je suis impatient de disputer les deux dernières courses. J’espère qu’on pourra compter sur des choses positives en provenance de l’usine. Les mecs y font du boulot fantastique. Un grand merci à eux."
Et Lewis Hamilton n’est pas le seul à penser que le maintien en piste de la voiture de sécurité par la FIA, pendant 17 tours, était on ne peut plus ridicule.
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la FIA s’adonne à une telle mascarade. Ne sont-ils pas sensés être les meilleurs pilotes de course au monde ?
Source : ToileF1.com
Comment ne pas aimer un pilote comme ça !
Re: Revue de presse : infos générales.
On veut des noms
nairboul- Messages : 8951
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