Revue de presse : infos générales.
+22
Critérium
emacaly
vtec
boubou
cedric MLG
SAUBER.F1
nairboul
coyote
stanito71
Hadzufel
Thomas Milton
alessitalia
Fabienne
McLaren
pipom
TROIKA
Admin
teknologik
Monsieur Burns
BRUNO935K3
Johan
dom465
26 participants
Page 18 sur 39
Page 18 sur 39 • 1 ... 10 ... 17, 18, 19 ... 28 ... 39
Re: Revue de presse : infos générales.
merci dom,
j'aime vraiment cette analyse de Prost et le p'tit préambule !
j'aime vraiment cette analyse de Prost et le p'tit préambule !
Re: Revue de presse : infos générales.
Pareil !
Très intéressant point de vue qu'a obtenu Stéphane Vrignaud
Article très bien ficelé et résumant bien ce qui c'est passé à l'époque
Très intéressant point de vue qu'a obtenu Stéphane Vrignaud
Article très bien ficelé et résumant bien ce qui c'est passé à l'époque
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Panasonic proche d'un retour ?
Panasonic pourrait effectuer son retour en F1 pour soutenir Kamui Kobayashi.
Après huit ans passés dans la F1, le géant de l'électronique, basé à Osaka, a mis un terme à son engagement en même temps que Toyota, bien que son contrat aille jusqu'en 2012. L'intérêt pour la F1 est donc toujours là.
Des représentants de Panasonic auraient rencontré Sauber et Kobayashi après le Grand Prix du Japon de dimanche, au cours duquel le pilote a particulièrement brillé.
Kobayashi a été formé en F3 et en GP2 avec le soutien de Panasonic.
Monisha Kaltenborn, qui remplaçait Peter Sauber à Suzuka, a déclaré qu'elle espérait que les performances de Kobayashi au Japon inciteraient des marques à devenir sponsors. Le pilote de 24 ans a déclaré qu'il était conscient de l'impact qu'il pourrait avoir sur la F1 dans son pays.
"Je vais promouvoir ce sport", a déclaré Kobayashi. "Je cherche des sponsors mais le climat économique reste difficile."
© ESPN EMEA Ltd.
Panasonic pourrait effectuer son retour en F1 pour soutenir Kamui Kobayashi.
Après huit ans passés dans la F1, le géant de l'électronique, basé à Osaka, a mis un terme à son engagement en même temps que Toyota, bien que son contrat aille jusqu'en 2012. L'intérêt pour la F1 est donc toujours là.
Des représentants de Panasonic auraient rencontré Sauber et Kobayashi après le Grand Prix du Japon de dimanche, au cours duquel le pilote a particulièrement brillé.
Kobayashi a été formé en F3 et en GP2 avec le soutien de Panasonic.
Monisha Kaltenborn, qui remplaçait Peter Sauber à Suzuka, a déclaré qu'elle espérait que les performances de Kobayashi au Japon inciteraient des marques à devenir sponsors. Le pilote de 24 ans a déclaré qu'il était conscient de l'impact qu'il pourrait avoir sur la F1 dans son pays.
"Je vais promouvoir ce sport", a déclaré Kobayashi. "Je cherche des sponsors mais le climat économique reste difficile."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Il faut sauver le soldat Massa
Alonso s'en sort bien avec sa 3e place japonaise. "Sur un circuit taillé pour Red Bull, nous avons fait un podium, en perdant seulement trois points sur le leader du championnat." Voilà qui est bien résumé. Le N.2 mondial, qui reste au contact de Webber, s'estime heureux et il a raison car la F10 a appris la vérité de la RB6 sur un circuit de châssis qui reste malheureusement une exception dans le calendrier envahi par le conformisme de Tilke. Suzuka a fait ressortir LA machine d'exception de l'année et la Ferrari n'est pas celle-ci. Certains le croyaient et se sont rendus à l'évidence : la peu innovante "rossa" ne sera pas la voiture emblématique de 2010 et le verdict du Mondial Constructeurs en atteste déjà.
Avec son coup de volant redevenu sûr, Alonso fait donc de la résistance au championnat Pilotes. Seul, là est son problème. Mais il peut s'en prendre un peu à lui car il a réclamé un traitement exclusif, créé un vide autour de lui qui n'est plus une providence. Plus précisément, j'ai peur que Ferrari ait "cassé" Massa à force d'ordres et de subordination. N'importe quel pilote ne pourrait se sentir bien longtemps dans un tel mode de fonctionnement. Pendant qu'Horner revendique le "luxe" d'avoir des problèmes de riches et d'égos à canaliser, Montezemolo voudrait bien avoir deux voitures que je qualifierais d'"utiles". Mais là encore, le sémillant président a sa part de responsabilité. Il a de quoi réfléchir à son management, entre chaud et froid, carotte et bâton... Il s'était agacé que le Pauliste n'aide plus Alonso depuis quatre courses et le fameux épisode d'Hockenheim. Forcément, il y a pris goût. Mais le compteur est monté à cinq à Suzuka, dans un gâchis dominical édifiant, révélateur. Le gentil Brésilien avait prévenu que les deux types de pneus Bridgestone étaient faits de mélanges de gommes trop durs pour son style de conduite souple. Econduit en Q2, il devait être carrément "pendu" pour faire un strike sur Liuzzi aux apparences de remake de l'attentat de Senna sur Prost en 1990, la préméditation évidemment en moins car le Pauliste voulait bien faire. Une précipitation flagrante, une erreur de jugement de l'acabit de Petrov, obligé lui aussi de se refaire après une qualif décevante...
Ça aurait valu une bonne engueulade mais, ô surprise, Montezemolo l'a soutenu en estimant qu'il "n'avait pas été chanceux." J'aimerais avoir son appréciation sur ce qui a été infligé à ce pauvre Liuzzi. "Je ne sais pas s'il y avait quelque chose cassé sur sa voiture (ndlr : la réponse est non) mais il m'a arrivé dessus comme une balle. Je ne pense pas qu'il avait le contrôle de sa voiture à cet instant." Une vraie boulette donc voire un pétage de plomb, mais pas la malchance invoquée par Montezemolo ou la "malédiction" dont l'auteur des faits s'est lui-même estimé frappé. De mauvaise foi, le Sud-Américain avait accusé le trafic en qualif. Là, il en a rajouté une couche, expliquant s'être "retrouvé dans l'herbe et sur une bordure". Comme si c'était une fatalité. Et pas un mot désolé pour Liuzzi dans le communiqué officiel.
Montezemolo a manifestement senti que ses injonctions étaient improductives, qu'il demandait trop à son pilote N.2 au point que celui-ci en perdre ses moyens et ses bonnes manières de communicant. "Je suis sûr qu'il va réagir et être la surprise des trois derniers Grands Prix", a-t-il lancé. Ça ressemble à de l'auto persuasion.
Stéphane VRIGNAUD
Alonso s'en sort bien avec sa 3e place japonaise. "Sur un circuit taillé pour Red Bull, nous avons fait un podium, en perdant seulement trois points sur le leader du championnat." Voilà qui est bien résumé. Le N.2 mondial, qui reste au contact de Webber, s'estime heureux et il a raison car la F10 a appris la vérité de la RB6 sur un circuit de châssis qui reste malheureusement une exception dans le calendrier envahi par le conformisme de Tilke. Suzuka a fait ressortir LA machine d'exception de l'année et la Ferrari n'est pas celle-ci. Certains le croyaient et se sont rendus à l'évidence : la peu innovante "rossa" ne sera pas la voiture emblématique de 2010 et le verdict du Mondial Constructeurs en atteste déjà.
Avec son coup de volant redevenu sûr, Alonso fait donc de la résistance au championnat Pilotes. Seul, là est son problème. Mais il peut s'en prendre un peu à lui car il a réclamé un traitement exclusif, créé un vide autour de lui qui n'est plus une providence. Plus précisément, j'ai peur que Ferrari ait "cassé" Massa à force d'ordres et de subordination. N'importe quel pilote ne pourrait se sentir bien longtemps dans un tel mode de fonctionnement. Pendant qu'Horner revendique le "luxe" d'avoir des problèmes de riches et d'égos à canaliser, Montezemolo voudrait bien avoir deux voitures que je qualifierais d'"utiles". Mais là encore, le sémillant président a sa part de responsabilité. Il a de quoi réfléchir à son management, entre chaud et froid, carotte et bâton... Il s'était agacé que le Pauliste n'aide plus Alonso depuis quatre courses et le fameux épisode d'Hockenheim. Forcément, il y a pris goût. Mais le compteur est monté à cinq à Suzuka, dans un gâchis dominical édifiant, révélateur. Le gentil Brésilien avait prévenu que les deux types de pneus Bridgestone étaient faits de mélanges de gommes trop durs pour son style de conduite souple. Econduit en Q2, il devait être carrément "pendu" pour faire un strike sur Liuzzi aux apparences de remake de l'attentat de Senna sur Prost en 1990, la préméditation évidemment en moins car le Pauliste voulait bien faire. Une précipitation flagrante, une erreur de jugement de l'acabit de Petrov, obligé lui aussi de se refaire après une qualif décevante...
Ça aurait valu une bonne engueulade mais, ô surprise, Montezemolo l'a soutenu en estimant qu'il "n'avait pas été chanceux." J'aimerais avoir son appréciation sur ce qui a été infligé à ce pauvre Liuzzi. "Je ne sais pas s'il y avait quelque chose cassé sur sa voiture (ndlr : la réponse est non) mais il m'a arrivé dessus comme une balle. Je ne pense pas qu'il avait le contrôle de sa voiture à cet instant." Une vraie boulette donc voire un pétage de plomb, mais pas la malchance invoquée par Montezemolo ou la "malédiction" dont l'auteur des faits s'est lui-même estimé frappé. De mauvaise foi, le Sud-Américain avait accusé le trafic en qualif. Là, il en a rajouté une couche, expliquant s'être "retrouvé dans l'herbe et sur une bordure". Comme si c'était une fatalité. Et pas un mot désolé pour Liuzzi dans le communiqué officiel.
Montezemolo a manifestement senti que ses injonctions étaient improductives, qu'il demandait trop à son pilote N.2 au point que celui-ci en perdre ses moyens et ses bonnes manières de communicant. "Je suis sûr qu'il va réagir et être la surprise des trois derniers Grands Prix", a-t-il lancé. Ça ressemble à de l'auto persuasion.
Stéphane VRIGNAUD
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
GP de Russie...signature en fin de semaine ?
>>La venue de la F1 en Russie pourrait se préciser jeudi alors que le Premier ministre Vladimir Poutine sera en visite dans la station balnéaire de la mer Noire de Sotchi.
- "L'accord n'a pas encore été signé, mais lorsqu'une personne investie des pouvoirs appropriés en Russie apposera sa signature, le lendemain je mettrai la mienne", a déclaré Bernie Ecclestone, le président de FOM, récemment dans une interview dans la presse russe.
> Poutine a entendu le message semble-t-il. Il doit, au nom de la Russie, approuver le projet de construction d'un circuit de course automobile dans la ville qui devrait accueillir la même année les Jeux Olympiques d'hiver.
- Le journal "Kommersant" estime à 40 millions de dollars annuels le coût de l'organisation d'une course de F1 et à 200 millions de dollars le coût du circuit de Sotchi, qui est déjà en pleine mutation pour les Jeux Olympiques.
© ESPN EMEA Ltd.
- "L'accord n'a pas encore été signé, mais lorsqu'une personne investie des pouvoirs appropriés en Russie apposera sa signature, le lendemain je mettrai la mienne", a déclaré Bernie Ecclestone, le président de FOM, récemment dans une interview dans la presse russe.
> Poutine a entendu le message semble-t-il. Il doit, au nom de la Russie, approuver le projet de construction d'un circuit de course automobile dans la ville qui devrait accueillir la même année les Jeux Olympiques d'hiver.
- Le journal "Kommersant" estime à 40 millions de dollars annuels le coût de l'organisation d'une course de F1 et à 200 millions de dollars le coût du circuit de Sotchi, qui est déjà en pleine mutation pour les Jeux Olympiques.
© ESPN EMEA Ltd.
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
un gp en russie? ....marrant mais sans plus!
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Bob BELL ; après Renault...Force India ?
>> Bob Bell, remplacé par Eric Boullier en qualité de directeur général de Renault F1, pourrait rapidement rebondir dans une autre écurie.
- Selon "Auto Motor und Sport", l’Anglais pourrait rejoindre Force India, dont l’écurie est basée à Silverstone, même si un retour chez McLaren, team avec lequel il a déjà fait équipe, est également envisagé.
Source : Autohebdo.fr
- Selon "Auto Motor und Sport", l’Anglais pourrait rejoindre Force India, dont l’écurie est basée à Silverstone, même si un retour chez McLaren, team avec lequel il a déjà fait équipe, est également envisagé.
Source : Autohebdo.fr
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Renault, le bonheur est dans le prêt
L'écurie Renault était en très mauvaise posture, au début de la saison. Elle a depuis opéré un redressement spectaculaire et, en quelques mois, l'équipe qui est passée sous le giron de Genii Capital, se retrouve pour 2011 en position de lutter pour la couronne mondiale. Voici comment.
Le Renault F1 Team a été durement secoué par l'affaire du Crashgate. Cette dernière a provoqué une fuite des sponsors : Mutua Madrilena, Pepe Jeans et ING (qui apportait à l'équipe chaque année 65M$). En tout, 82 M$ annuels de perdus. L'équipe a terminé la saison 2009 à la 8e place, son pire résultat depuis le rachat de Benetton en 2000.
Cet hiver, Renault a donc vendu 75% de l'écurie à l'homme d'affaires luxembourgeois Gerard Lopez, qui fut investisseur dans des aventures comme Skype. Le Losange a tenu - peut-être sous l'insistance de le FOM - à conserver le nom de l'équipe, la fourniture des moteur et 25% du capital. La mésaventure de Honda, qui a armé Brawn pour les titres 2009 avant de se retirer sans en tirer une once de gloire, était sans doute aussi dans les têtes.
Au début de l'année 2010, Renault est donc dans une situation financière et sportive plus que délicate et elle ne peut compter sur le constructeur à qui la crise vient de dérober 4,2 milliards de dollars. Le tournant de l'aventure prend la forme d'un prêt de 27 M$ de la part de la marque Renault, qui peut s'assimiler à une hypothèque du Renault F1 Team comprenant le terrain situé dans l'Oxfordshire et les actifs de l'usine. Le tout était estimé à 51,5 M$ fin 2008. Les fonds ont été transférés en février.
Cependant, tout ne s'est pas déroulé sans accroc. "Au plan commercial, tout va bien, nous sommes dans les clous", a déclaré Lopez en septembre. "Mais au plan des investissements, nous sommes au-dessus de ce que nous voulions faire. Nous sommes au niveau des plus grosses écuries. Nous avons gardé 500 personnes et nous en avons engagé en plus. On savait que la voiture était mal née et on a fait beaucoup d'efforts pour la développer. Il y a eu des nouveautés presque à chaque course et les investissements que nous avons consentis étaient différents de ceux que nous avons eu à faire." Comment Renault a pu s'en relever ?
Il y a eu aussi, en juillet, cette demande adressée à Bernie Ecclestone pour une avance sur les retombées des droits télé. Bernie n'a évidemment pas cédé. "Je n'ai jamais donné l'argent", a-t-il dit. "Et ils s'en sont sortis. Donc tout est OK." Ecclestone indiquait alors qu'un autre prêt avait réglé les problèmes. Le 15 septembre, Renault remboursait le premier prêt et en contractait un autre dix-neuf jours plus tard auprès de la banque lituanienne AB Snoras. Les modalités de ce deuxième prêt ne sont pas connues avec précision mais il semble qu'il soit lui aussi garanti par les actifs du Renault F1 Team.
Renault a donc joué littéralement sa peau. Deux fois. La suite de l'histoire est plutôt heureuse. Les bons résultats en piste garantissent le retour de sponsors. Le pilote polonais Robert Kubica et le Russe Vitaly Petrov ont fait du bon travail en piste, chacun à leur niveau d'expérience. De plus, leurs nationalités ont rendu l'équipe très populaire en Europe de l'Est, comme on a pu le voir dans le Roadshow en Pologne en juillet. C'est sans doute ce haut niveau de reconnaissance qui a décidé Snoras, sponsor depuis août.
Snoras a plus d'un million de clients mais reste un établissement de deuxième zone comparé par exemple à Santander qui est sponsor de Ferrari. Mais ce que cherchait Lopez, c'était à faire en sorte de ne pas avoir à mettre au pot. Rembourser un prêt est une charge supplémentaire mais cela ne semble pas un problème pour lui. Il a créé un programme d'affaires qui met en relation l'équipe avec de potentiels sponsors et maximise leur retour sur investissement en les faisant venir sur les courses pour les faire rencontrer des personnalités.
"On met en contact l'une de nos sociétés avec des sponsors potentiels. L'une de nos sociétés va fournir une technologie à l'un de ces sponsors potentiels et, en échange, ce sponsor potentiel devient un sponsor réel", explique Lopez, qui souligne bien qu'il n'entend pas tirer un profit de l'équipe et ajoute : "On vise l'équilibre pour l'équipe et qu'elle nous serve de plate-forme pour nos autres activités. On ne cherche pas à la rendre rentable."
Une idée novatrice qui, grâce à Snoras et Renault, est en voie de réalisation. Les succès de Renault sur la piste raviront aussi Renault, le constructeur, dont la part dans l'écurie prend de la valeur. Au contraire de Honda ou BMW, qui ont totalement lâché leurs équipes, Renault tire toujours quelque chose de la F1.
© ESPN EMEA Ltd.
L'écurie Renault était en très mauvaise posture, au début de la saison. Elle a depuis opéré un redressement spectaculaire et, en quelques mois, l'équipe qui est passée sous le giron de Genii Capital, se retrouve pour 2011 en position de lutter pour la couronne mondiale. Voici comment.
Le Renault F1 Team a été durement secoué par l'affaire du Crashgate. Cette dernière a provoqué une fuite des sponsors : Mutua Madrilena, Pepe Jeans et ING (qui apportait à l'équipe chaque année 65M$). En tout, 82 M$ annuels de perdus. L'équipe a terminé la saison 2009 à la 8e place, son pire résultat depuis le rachat de Benetton en 2000.
Cet hiver, Renault a donc vendu 75% de l'écurie à l'homme d'affaires luxembourgeois Gerard Lopez, qui fut investisseur dans des aventures comme Skype. Le Losange a tenu - peut-être sous l'insistance de le FOM - à conserver le nom de l'équipe, la fourniture des moteur et 25% du capital. La mésaventure de Honda, qui a armé Brawn pour les titres 2009 avant de se retirer sans en tirer une once de gloire, était sans doute aussi dans les têtes.
Au début de l'année 2010, Renault est donc dans une situation financière et sportive plus que délicate et elle ne peut compter sur le constructeur à qui la crise vient de dérober 4,2 milliards de dollars. Le tournant de l'aventure prend la forme d'un prêt de 27 M$ de la part de la marque Renault, qui peut s'assimiler à une hypothèque du Renault F1 Team comprenant le terrain situé dans l'Oxfordshire et les actifs de l'usine. Le tout était estimé à 51,5 M$ fin 2008. Les fonds ont été transférés en février.
Cependant, tout ne s'est pas déroulé sans accroc. "Au plan commercial, tout va bien, nous sommes dans les clous", a déclaré Lopez en septembre. "Mais au plan des investissements, nous sommes au-dessus de ce que nous voulions faire. Nous sommes au niveau des plus grosses écuries. Nous avons gardé 500 personnes et nous en avons engagé en plus. On savait que la voiture était mal née et on a fait beaucoup d'efforts pour la développer. Il y a eu des nouveautés presque à chaque course et les investissements que nous avons consentis étaient différents de ceux que nous avons eu à faire." Comment Renault a pu s'en relever ?
Il y a eu aussi, en juillet, cette demande adressée à Bernie Ecclestone pour une avance sur les retombées des droits télé. Bernie n'a évidemment pas cédé. "Je n'ai jamais donné l'argent", a-t-il dit. "Et ils s'en sont sortis. Donc tout est OK." Ecclestone indiquait alors qu'un autre prêt avait réglé les problèmes. Le 15 septembre, Renault remboursait le premier prêt et en contractait un autre dix-neuf jours plus tard auprès de la banque lituanienne AB Snoras. Les modalités de ce deuxième prêt ne sont pas connues avec précision mais il semble qu'il soit lui aussi garanti par les actifs du Renault F1 Team.
Renault a donc joué littéralement sa peau. Deux fois. La suite de l'histoire est plutôt heureuse. Les bons résultats en piste garantissent le retour de sponsors. Le pilote polonais Robert Kubica et le Russe Vitaly Petrov ont fait du bon travail en piste, chacun à leur niveau d'expérience. De plus, leurs nationalités ont rendu l'équipe très populaire en Europe de l'Est, comme on a pu le voir dans le Roadshow en Pologne en juillet. C'est sans doute ce haut niveau de reconnaissance qui a décidé Snoras, sponsor depuis août.
Snoras a plus d'un million de clients mais reste un établissement de deuxième zone comparé par exemple à Santander qui est sponsor de Ferrari. Mais ce que cherchait Lopez, c'était à faire en sorte de ne pas avoir à mettre au pot. Rembourser un prêt est une charge supplémentaire mais cela ne semble pas un problème pour lui. Il a créé un programme d'affaires qui met en relation l'équipe avec de potentiels sponsors et maximise leur retour sur investissement en les faisant venir sur les courses pour les faire rencontrer des personnalités.
"On met en contact l'une de nos sociétés avec des sponsors potentiels. L'une de nos sociétés va fournir une technologie à l'un de ces sponsors potentiels et, en échange, ce sponsor potentiel devient un sponsor réel", explique Lopez, qui souligne bien qu'il n'entend pas tirer un profit de l'équipe et ajoute : "On vise l'équilibre pour l'équipe et qu'elle nous serve de plate-forme pour nos autres activités. On ne cherche pas à la rendre rentable."
Une idée novatrice qui, grâce à Snoras et Renault, est en voie de réalisation. Les succès de Renault sur la piste raviront aussi Renault, le constructeur, dont la part dans l'écurie prend de la valeur. Au contraire de Honda ou BMW, qui ont totalement lâché leurs équipes, Renault tire toujours quelque chose de la F1.
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Les week-ends à l'étude
L'idée de condenser les week-ends de F1 sur deux jours au lieu de trois continue de faire son chemin parmi les équipes.
Après que toutes les séances du samedi ont été annulées en raison de fortes pluies au Japon, certains évoquent l'idée de raccourcir les week-ends de Grand Prix. "Je pense que cela s'est bien déroulé au Japon", a déclaré le patron du team Red Bull Christian Horner. "Et nous étions dans des conditions difficiles mais on pourrait peut-être examiner une condensation du vendredi. Peut-être que l'on pourrait faire les vérifications le vendredi. Personnellement, je préfère les qualifications le samedi."
"Mais je pense que l'on n'exploite pas très bien le vendredi. Avoir les équipes sur place le mercredi ne fait pas forcément sens. Alors peut-être que ce serait pas mal de faire les vérifications le vendredi et pourquoi pas de faire courir des jeunes", a continué Horner.
La directrice générale de Sauber Monisha Kaltenborn ajoute : "Les team managers ont parlé entre eux et les week-ends de Grand Prix sur deux jours ne semblent pas réalistes. Nous ne voulons pas avoir plus de 20 courses par an, cela serait trop lourd à supporter par un personnel qui est de moins en moins nombreux par mesure de réduction des coûts. Mais nous avons besoin de rendre les week-ends de course plus attractifs."
© ESPN EMEA Ltd.
L'idée de condenser les week-ends de F1 sur deux jours au lieu de trois continue de faire son chemin parmi les équipes.
Après que toutes les séances du samedi ont été annulées en raison de fortes pluies au Japon, certains évoquent l'idée de raccourcir les week-ends de Grand Prix. "Je pense que cela s'est bien déroulé au Japon", a déclaré le patron du team Red Bull Christian Horner. "Et nous étions dans des conditions difficiles mais on pourrait peut-être examiner une condensation du vendredi. Peut-être que l'on pourrait faire les vérifications le vendredi. Personnellement, je préfère les qualifications le samedi."
"Mais je pense que l'on n'exploite pas très bien le vendredi. Avoir les équipes sur place le mercredi ne fait pas forcément sens. Alors peut-être que ce serait pas mal de faire les vérifications le vendredi et pourquoi pas de faire courir des jeunes", a continué Horner.
La directrice générale de Sauber Monisha Kaltenborn ajoute : "Les team managers ont parlé entre eux et les week-ends de Grand Prix sur deux jours ne semblent pas réalistes. Nous ne voulons pas avoir plus de 20 courses par an, cela serait trop lourd à supporter par un personnel qui est de moins en moins nombreux par mesure de réduction des coûts. Mais nous avons besoin de rendre les week-ends de course plus attractifs."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Accord pour un GP à Sotchi
Le Premier ministre russe Vladimir Poutine, et le patron de la F1 Bernie Ecclestone ont signé jeudi à Sotchi un accord pour l'organisation à partir de 2014 d'un Grand Prix. Ce sera la première fois que la F1 courra en Russie.
L'accord porterait sur une durée de cinq ans. "Nous avons trouvé un accord avec le propriétaire n°1 de la F1 pour la tenue d'un Grand Prix de Russie de 2014 à 2020."
Le journal Kommersant estime à 40 millions de dollars annuels le coût de l'organisation d'une course de F1 et à 200 millions de dollars le coût du circuit de Sotchi, qui est déjà en pleine mutation pour les Jeux Olympiques.
© ESPN EMEA Ltd.
Le Premier ministre russe Vladimir Poutine, et le patron de la F1 Bernie Ecclestone ont signé jeudi à Sotchi un accord pour l'organisation à partir de 2014 d'un Grand Prix. Ce sera la première fois que la F1 courra en Russie.
L'accord porterait sur une durée de cinq ans. "Nous avons trouvé un accord avec le propriétaire n°1 de la F1 pour la tenue d'un Grand Prix de Russie de 2014 à 2020."
Le journal Kommersant estime à 40 millions de dollars annuels le coût de l'organisation d'une course de F1 et à 200 millions de dollars le coût du circuit de Sotchi, qui est déjà en pleine mutation pour les Jeux Olympiques.
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Alonso : "Ça devient décisif"
3e du Grand Prix du Japon, Fernando Alonso (Ferrari) possède 14 points de retard sur le leader Mark Webber (Red Bull). A trois GP de l'épilogue de la saison, l'Espagnol estime que les cinq premiers du classement Pilotes peuvent encore être titrés mais aucun n'a le droit à l'erreur.
La pression du Grand Prix du Japon retombée, Fernando Alonso (Ferrari) profite d'un peu de temps libre pour se relaxer à Tokyo. Dans une ville appréciée par de nombreux pilotes, l'Espagnol ressasse le déroulement de la course japonaise qu'il a terminée sur le podium, derrière les deux Red Bull de Sebastian Vettel et Mark Webber. Avant de prendre la direction de Yeongam, théâtre du prochain Grand Prix de Corée, Alonso est revenu sur le déroulé de la course.
"Le résultat du GP du Japon reste positif, même à froid, positive le double Champion du monde sur le site officiel de Ferrari. Nous sommes dans une phase de la saison où un week-end négatif peut coûter cher. A l'issue d'une course difficile, c'est très important de repartir de Suzuka avec une 3e place. Nous espérions que la situation serait différente mais il ne faut pas oublier que c'est un circuit qui semble avoir été dessiné pour les Red Bull. Dès vendredi, nous savions que ce serait difficile. Même si nous le savions, nous éprouvons quelques regrets de ne pas avoir pu se battre pour la victoire."
"Une bataille pour le titre à cinq"
Mais l'actuel numéro 2 au classement Pilotes, ex-æquo avec Sebastien Vettel, ne se formalise pas plus que ça. A moins de deux semaines du prochain rendez-vous dans la péninsule coréenne, "Nando" est déjà focalisé sur la suite. "Nous devons nous concentrer sur le prochain week-end. Nous savons que nous devrons élever notre niveau de performance : une autre 5e place en qualifications ne nous aiderait pas", estime-t-il.
Sur un tracé inconnu pour l'ensemble du paddock - à l'exception de Red Bull qui y a effectué une démonstration - partir devant sera donc crucial pour espérer terminer le plus haut possible et refaire une partie de ses 14 unités de retard. "Nous devrons attaquer pour réduire l'écart avec Webber. Si on perdait encore du terrain, ça compliquerait sérieusement la situation, poursuit-il. Le Grand Prix de Corée sera décisif pour certains. De mon côté, je compterais sur mon équipier Felipe Massa. Je sais qu'il va tout faire pour revenir après deux résultats négatifs. Il possède toutes les capacités pour remonter sur le podium."
Une bonne qualification, une attaque à tout-va et l'aide d'un équipier, voici la recette du natif d'Oviedo pour revenir sur l'homme de tête même s'il n'oublie pas les autres pilotes. "Je continue à penser que la bataille pour le titre reste ouverte aux cinq premiers pilotes. A de nombreuses reprises cette année, nous avons assisté au retour de pilotes qui semblaient en dehors de la course au titre. Ça peut encore se produire. Aujourd'hui, seul Webber peut peut-être se permettre un mauvais résultat. Pour tous les autres, cela signifierait certainement l'abandon de toute chance, particulièrement ceux qui sont un peu en retrait." Voilà qui a le mérite d'être clair !
Eurosport - Hadrien HIAULT
3e du Grand Prix du Japon, Fernando Alonso (Ferrari) possède 14 points de retard sur le leader Mark Webber (Red Bull). A trois GP de l'épilogue de la saison, l'Espagnol estime que les cinq premiers du classement Pilotes peuvent encore être titrés mais aucun n'a le droit à l'erreur.
La pression du Grand Prix du Japon retombée, Fernando Alonso (Ferrari) profite d'un peu de temps libre pour se relaxer à Tokyo. Dans une ville appréciée par de nombreux pilotes, l'Espagnol ressasse le déroulement de la course japonaise qu'il a terminée sur le podium, derrière les deux Red Bull de Sebastian Vettel et Mark Webber. Avant de prendre la direction de Yeongam, théâtre du prochain Grand Prix de Corée, Alonso est revenu sur le déroulé de la course.
"Le résultat du GP du Japon reste positif, même à froid, positive le double Champion du monde sur le site officiel de Ferrari. Nous sommes dans une phase de la saison où un week-end négatif peut coûter cher. A l'issue d'une course difficile, c'est très important de repartir de Suzuka avec une 3e place. Nous espérions que la situation serait différente mais il ne faut pas oublier que c'est un circuit qui semble avoir été dessiné pour les Red Bull. Dès vendredi, nous savions que ce serait difficile. Même si nous le savions, nous éprouvons quelques regrets de ne pas avoir pu se battre pour la victoire."
"Une bataille pour le titre à cinq"
Mais l'actuel numéro 2 au classement Pilotes, ex-æquo avec Sebastien Vettel, ne se formalise pas plus que ça. A moins de deux semaines du prochain rendez-vous dans la péninsule coréenne, "Nando" est déjà focalisé sur la suite. "Nous devons nous concentrer sur le prochain week-end. Nous savons que nous devrons élever notre niveau de performance : une autre 5e place en qualifications ne nous aiderait pas", estime-t-il.
Sur un tracé inconnu pour l'ensemble du paddock - à l'exception de Red Bull qui y a effectué une démonstration - partir devant sera donc crucial pour espérer terminer le plus haut possible et refaire une partie de ses 14 unités de retard. "Nous devrons attaquer pour réduire l'écart avec Webber. Si on perdait encore du terrain, ça compliquerait sérieusement la situation, poursuit-il. Le Grand Prix de Corée sera décisif pour certains. De mon côté, je compterais sur mon équipier Felipe Massa. Je sais qu'il va tout faire pour revenir après deux résultats négatifs. Il possède toutes les capacités pour remonter sur le podium."
Une bonne qualification, une attaque à tout-va et l'aide d'un équipier, voici la recette du natif d'Oviedo pour revenir sur l'homme de tête même s'il n'oublie pas les autres pilotes. "Je continue à penser que la bataille pour le titre reste ouverte aux cinq premiers pilotes. A de nombreuses reprises cette année, nous avons assisté au retour de pilotes qui semblaient en dehors de la course au titre. Ça peut encore se produire. Aujourd'hui, seul Webber peut peut-être se permettre un mauvais résultat. Pour tous les autres, cela signifierait certainement l'abandon de toute chance, particulièrement ceux qui sont un peu en retrait." Voilà qui a le mérite d'être clair !
Eurosport - Hadrien HIAULT
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Abou Dhabi fera le plein...
>> Comme ce fut le cas l'année dernière, les 50 000 places des tribunes du circuit de Yas Marina devraient toutes trouver preneur pour le Grand Prix d'Abou Dhabi, dernière manche du Championnat.
Selon les organisateurs de la course, environ 90% des places seraient vendues pour l'épreuve qui doit se dérouler mi-Novembre et qui pourrait bien sacrer le champion 2010, au vu du faible écart qui sépare les cinq premiers.
On notera qu'il est très courant que les organisateurs annoncent de tels chiffres. Puisqu'il permettent de susciter l'empressement des indécis.
"Avec les concerts et tous les autres événements, c'est très populaire", remarque l'un des organisateurs, Stephen Umfreville.
Source : espnF1.com
Selon les organisateurs de la course, environ 90% des places seraient vendues pour l'épreuve qui doit se dérouler mi-Novembre et qui pourrait bien sacrer le champion 2010, au vu du faible écart qui sépare les cinq premiers.
On notera qu'il est très courant que les organisateurs annoncent de tels chiffres. Puisqu'il permettent de susciter l'empressement des indécis.
"Avec les concerts et tous les autres événements, c'est très populaire", remarque l'un des organisateurs, Stephen Umfreville.
Source : espnF1.com
_________________
Silverstone tient bon son planning...
>> Le travail à Silverstone se poursuit sans soucis, selon les patrons du circuit. Les nouveaux stands sont en cours de construction, à l’opposé de la ligne droite de départ actuelle.
- Tout doit être recréé (podium, centre media, garages, zones VIP, paddock) de manière plus moderne pour cette nouvelle ligne de départ qui sera utilisée à partir de 2011.
> "Nous nous en tenons au calendrier, de manière stricte. Nous avons prévu de terminer en mai 2011. Ces nouveaux développements à Silverstone permettront d’avoir des infrastructures de classe mondiale," déclare le directeur du circuit, Richard Phillips.
"Les nouveaux garages, le paddock et le centre de conférence montreront à nouveau Silverstone comme l’une des premières destinations pour le sport automobile, ainsi que notre statut parmi les leaders," ajoute-t-il.
Source : Nextgen-auto.com
- Tout doit être recréé (podium, centre media, garages, zones VIP, paddock) de manière plus moderne pour cette nouvelle ligne de départ qui sera utilisée à partir de 2011.
> "Nous nous en tenons au calendrier, de manière stricte. Nous avons prévu de terminer en mai 2011. Ces nouveaux développements à Silverstone permettront d’avoir des infrastructures de classe mondiale," déclare le directeur du circuit, Richard Phillips.
"Les nouveaux garages, le paddock et le centre de conférence montreront à nouveau Silverstone comme l’une des premières destinations pour le sport automobile, ainsi que notre statut parmi les leaders," ajoute-t-il.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
le nouveau paddocks?
il ne serait pas avant le "nouveau" secteur inauguré cette année?
il ne serait pas avant le "nouveau" secteur inauguré cette année?
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Hadzufel a écrit:le nouveau paddocks?
il ne serait pas avant le "nouveau" secteur inauguré cette année?
_________________
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Revue de presse : infos générales.
Non. Entre Arena et Brooksland.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Audi / Porsche : Lutte intestine pour aller en F1 en 2013...
>> Qui de Porsche ou d’Audi ira en Formule 1 en 2013 ?
La question n’est plus vraiment de savoir si le groupe VAG enverra l’une de ses marques dans la catégorie reine mais laquelle.
- Audi est conviée depuis plusieurs mois aux discussions qui se trament en coulisses concernant la règlementation 2013 des futurs moteurs de Formule 1.
> Une information confirmée par Mark Gallagher, le directeur de la branche F1 de Cosworth et qui prend également part à ces réunions. "Nous savons depuis longtemps leur intérêt, avant que cela n’ait été rendu public récemment. Audi est impliquée dans les négociations. Tout le monde au sein du groupe de travail prend en compte leurs inquiétudes, tout comme celle des autres."
> Une source de "Nextgen-Auto.com", proche de VAG, nous a confirmé qu’une lutte intestine est bien à l’ordre du jour avant le conseil d’administration du mois prochain qui doit évoquer (décider ?) l’engagement de VAG en Formule 1.
- Audi en tant que simple motoriste ou Porsche en tant qu’équipe complète, il faudra trancher.
> Précisons que les rancœurs sont encore fortes chez Porsche, qui en voulant racheter le groupe VAG s’est retrouvé à court de liquidités et finalement absorbé par ce qu’elle convoitait.
- Le directeur de Porsche, qui clamait au Mondial de l’Auto il y a quelques jours que Porsche serait prêt à s’engager en F1, pourrait finalement trouver son meilleur allié chez... Audi, en la personne du Docteur Ullrich, responsable de Audi Motorsport qui ne voit pas la Formule 1 d’un bon œil.
> Il avait d’ailleurs déclaré il y a quelques semaines que la F1 ne collait pas à l’image d’Audi mais plutôt à celle de Porsche, alors que lui reste un ardent défenseur de l’Endurance.
- Reste à savoir quelle voie le conseil d’administration choisira. Les prochaines semaines seront décisives mais la décision restera toutefois suspendues à la confirmation que la F1 changera bien de règlementation moteur en 2013.
Prolonger de deux ans les V8 actuels reste une solution d’actualité et discutée, qui écarterait d’autant de temps le groupe VAG de son entrée dans la catégorie reine.
Source : Nextgen-auto.com
La question n’est plus vraiment de savoir si le groupe VAG enverra l’une de ses marques dans la catégorie reine mais laquelle.
- Audi est conviée depuis plusieurs mois aux discussions qui se trament en coulisses concernant la règlementation 2013 des futurs moteurs de Formule 1.
> Une information confirmée par Mark Gallagher, le directeur de la branche F1 de Cosworth et qui prend également part à ces réunions. "Nous savons depuis longtemps leur intérêt, avant que cela n’ait été rendu public récemment. Audi est impliquée dans les négociations. Tout le monde au sein du groupe de travail prend en compte leurs inquiétudes, tout comme celle des autres."
> Une source de "Nextgen-Auto.com", proche de VAG, nous a confirmé qu’une lutte intestine est bien à l’ordre du jour avant le conseil d’administration du mois prochain qui doit évoquer (décider ?) l’engagement de VAG en Formule 1.
- Audi en tant que simple motoriste ou Porsche en tant qu’équipe complète, il faudra trancher.
> Précisons que les rancœurs sont encore fortes chez Porsche, qui en voulant racheter le groupe VAG s’est retrouvé à court de liquidités et finalement absorbé par ce qu’elle convoitait.
- Le directeur de Porsche, qui clamait au Mondial de l’Auto il y a quelques jours que Porsche serait prêt à s’engager en F1, pourrait finalement trouver son meilleur allié chez... Audi, en la personne du Docteur Ullrich, responsable de Audi Motorsport qui ne voit pas la Formule 1 d’un bon œil.
> Il avait d’ailleurs déclaré il y a quelques semaines que la F1 ne collait pas à l’image d’Audi mais plutôt à celle de Porsche, alors que lui reste un ardent défenseur de l’Endurance.
- Reste à savoir quelle voie le conseil d’administration choisira. Les prochaines semaines seront décisives mais la décision restera toutefois suspendues à la confirmation que la F1 changera bien de règlementation moteur en 2013.
Prolonger de deux ans les V8 actuels reste une solution d’actualité et discutée, qui écarterait d’autant de temps le groupe VAG de son entrée dans la catégorie reine.
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
Pour Bernie, arrêter c'est mourrir
Alors qu'il atteindra les 80 ans le 28 octobre - il y aura un dossier spécial sur ESPN F1 - Bernie Ecclestone a affirmé dimanche qu'il n'avait aucune intention de lever le pied.
En voilà un que l'agitation en France à propos de la réforme des retraites doit laisser relativement indifférent. Bernie Ecclestone, le président de Formula One Management, va bientôt fêter ses 80 ans et le Britannique semble plus actif qua jamais, n'ayant aucune intention de faire valoir ses droits à se retirer.
"Si je cesse de travailler, je ne peux plus résoudre de problème et pour moi, ce serait un peu le début de la mort", a déclaré Ecclestone au jounal Bild am Sonntag. "Donc je travaille et j'aime travailler." Même si celui qui possède l'une des plus grosses fortunes de Grande-Bretagne, n'a pas vraiment besoin d'assurer sa subsistance.
Jeudi, il était en Russie pour signer un contrat pour un Grand Prix à Sotchi à partir de 2014. "Je veux travailler et bien travailler parce que j'aime cela. Et quand on aime cela, l'argent vient avec, comme une conséquence", dit-il.
Ecclestone, milliardaire malgré lui ? Après une courte carrière pilote, il a pourtant très vite été attiré par le commerce, revendant d'abord des pièces détachées auto et moto, puis prenant la tête de l'association des équipes de F1 avant de verrouiller les droits médias d'une discipline qu'il fera patiemment grandir.
Aujourd'hui, Ecclestone, qui vit avec Fabiana Flosi, une Brésilienne de 34 ans spécialiste de marketing sportif, martelle son crédo : "Pour obtenir quelque chose dans la vie, il faut donner de soi. J'ai beaucoup donné de moi-même. C'est peut-être pour cela qu'au final j'ai beaucoup reçu".
© ESPN EMEA Ltd.
Et comme il est taillé pour devenir centenaire, ça nous promet encore bien du plaisir !!!
Alors qu'il atteindra les 80 ans le 28 octobre - il y aura un dossier spécial sur ESPN F1 - Bernie Ecclestone a affirmé dimanche qu'il n'avait aucune intention de lever le pied.
En voilà un que l'agitation en France à propos de la réforme des retraites doit laisser relativement indifférent. Bernie Ecclestone, le président de Formula One Management, va bientôt fêter ses 80 ans et le Britannique semble plus actif qua jamais, n'ayant aucune intention de faire valoir ses droits à se retirer.
"Si je cesse de travailler, je ne peux plus résoudre de problème et pour moi, ce serait un peu le début de la mort", a déclaré Ecclestone au jounal Bild am Sonntag. "Donc je travaille et j'aime travailler." Même si celui qui possède l'une des plus grosses fortunes de Grande-Bretagne, n'a pas vraiment besoin d'assurer sa subsistance.
Jeudi, il était en Russie pour signer un contrat pour un Grand Prix à Sotchi à partir de 2014. "Je veux travailler et bien travailler parce que j'aime cela. Et quand on aime cela, l'argent vient avec, comme une conséquence", dit-il.
Ecclestone, milliardaire malgré lui ? Après une courte carrière pilote, il a pourtant très vite été attiré par le commerce, revendant d'abord des pièces détachées auto et moto, puis prenant la tête de l'association des équipes de F1 avant de verrouiller les droits médias d'une discipline qu'il fera patiemment grandir.
Aujourd'hui, Ecclestone, qui vit avec Fabiana Flosi, une Brésilienne de 34 ans spécialiste de marketing sportif, martelle son crédo : "Pour obtenir quelque chose dans la vie, il faut donner de soi. J'ai beaucoup donné de moi-même. C'est peut-être pour cela qu'au final j'ai beaucoup reçu".
© ESPN EMEA Ltd.
Et comme il est taillé pour devenir centenaire, ça nous promet encore bien du plaisir !!!
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Ecclestone voudrait un Grand-Prix par ville Olympique...
>> En marge de la signature de l'accord pour un Grand Prix de F1 en Russie à partir de 2014, Bernie Ecclestone a affirmé que chaque ville olympique pourrait, sinon devrait, accueillir un Grand Prix.
Le rêve olympique châtouille toujours l'inoxydable Bernie Ecclestone. Les médailles ne semblent pas plaire au paddock, qu'importe, voici les grands Prix dans les villes olympiques.
- "Dans toutes les villes olympiques où je suis allé ou presque, il y a des installations qui, après le Jeux, ne sont presque plus utilisées", a remarqué le président de la FOM. "Je pense qu'il est très important que ces choses soient bien réfléchies sur le long terme. Et cela a été le cas pour Sotchi."
> Le circuit qui sera érigé dans la ville des JO de 2014 passera dans le parc olympique. "Je souhaite pouvoir faire des accords avec toutes les villes olympiques pour pouvoir utiliser ces installations pour la F1", a fait savoir Ecclestone.
Les derniers Jeux Olympiques ont eu lieu à Vancouver (Canada, 2010), Pékin (Chine, 2008), Turin (Italie, 2006), Athènes (Grèce,n 2004), Salt Lake City (USA, 2002), Sidney (Australie, 2000), Nagano (Japon, 1998), Atlanta (USA, 1996) et Lillehammer (Norvège, 1994), de quoi refaire un beau calendrier de F1.
© ESPN EMEA Ltd.
Le rêve olympique châtouille toujours l'inoxydable Bernie Ecclestone. Les médailles ne semblent pas plaire au paddock, qu'importe, voici les grands Prix dans les villes olympiques.
- "Dans toutes les villes olympiques où je suis allé ou presque, il y a des installations qui, après le Jeux, ne sont presque plus utilisées", a remarqué le président de la FOM. "Je pense qu'il est très important que ces choses soient bien réfléchies sur le long terme. Et cela a été le cas pour Sotchi."
> Le circuit qui sera érigé dans la ville des JO de 2014 passera dans le parc olympique. "Je souhaite pouvoir faire des accords avec toutes les villes olympiques pour pouvoir utiliser ces installations pour la F1", a fait savoir Ecclestone.
Les derniers Jeux Olympiques ont eu lieu à Vancouver (Canada, 2010), Pékin (Chine, 2008), Turin (Italie, 2006), Athènes (Grèce,n 2004), Salt Lake City (USA, 2002), Sidney (Australie, 2000), Nagano (Japon, 1998), Atlanta (USA, 1996) et Lillehammer (Norvège, 1994), de quoi refaire un beau calendrier de F1.
© ESPN EMEA Ltd.
_________________
L'avenir de SPA Francorchamps est menacé...
>> Le circuit de Spa-Francorchamps pourrait bien être le grand perdant de l’élargissement à tout va du calendrier de Formule 1.
Le contrat pour l’organisation du Grand Prix de Belgique s’achève en 2012 et sa prolongation aurait déjà dû être discutée cette année. Les discussions ont cependant été reportées à l’année prochaine.
-
Après une édition 2010 une nouvelle fois dans le rouge, l’avenir de l’épreuve belge reste encore incertain et les dernières déclarations de Bernie Ecclestone ne sont guère rassurantes. Interrogé par le journal britannique The Guardian pour savoir si Spa-Francorchamps risquait vraiment de perdre son Grand Prix, Bernie Ecclestone a répondu sans détour : "Absolument."
- "S’il n’était pas soutenu par le gouvernement, il ne serait probablement plus là car ils ne pourraient pas se le permettre. Cela vaut de même avec le Grand Prix de Grande-Bretagne."
Bernie Ecclestone n’a pas tort. La présence du Grand Prix de Belgique est principalement due à l’apport financier massif de la Région Wallonne, forcée d’intervenir chaque saison pour combler le déficit de l’épreuve. Cette année, elle a injecté 5,4 millions d’euros dans la société Spa Grand Prix pour que la course ait bien lieu.
- Un autre élément inquiétant pour l’avenir de Spa-Francorchamps est l’élargissement constant du calendrier de Formule 1. Avec l’arrivée de l’Inde en 2011, le championnat sera complet avec un total de 20 Grands Prix. Deux courses devront donc disparaître pour permettre le retour des Etats-Unis en 2012 et l’entrée de la Russie en 2014. Deux épreuves qui seront plus que probablement européennes, d’où l’importance de reconduire au plus vite son contrat.
> A l’heure actuelle, les Grands Prix les plus menacés sont ceux de Turquie et de Hongrie. Une liste à laquelle il faut à présent ajouter la Belgique à en croire Bernie Ecclestone. Au grand dam des supporters de Formule 1. Il est vrai que le spectacle offert par les circuits sans âme dessinés par Hermann Tilke, comme Bahreïn ou Valence, équivaut à celui offert par les tracés historiques du calendrier, tels que Spa-Francorchamps, Monza ou encore Silverstone...
Source : ToileF1.com
Le contrat pour l’organisation du Grand Prix de Belgique s’achève en 2012 et sa prolongation aurait déjà dû être discutée cette année. Les discussions ont cependant été reportées à l’année prochaine.
-
Après une édition 2010 une nouvelle fois dans le rouge, l’avenir de l’épreuve belge reste encore incertain et les dernières déclarations de Bernie Ecclestone ne sont guère rassurantes. Interrogé par le journal britannique The Guardian pour savoir si Spa-Francorchamps risquait vraiment de perdre son Grand Prix, Bernie Ecclestone a répondu sans détour : "Absolument."
- "S’il n’était pas soutenu par le gouvernement, il ne serait probablement plus là car ils ne pourraient pas se le permettre. Cela vaut de même avec le Grand Prix de Grande-Bretagne."
Bernie Ecclestone n’a pas tort. La présence du Grand Prix de Belgique est principalement due à l’apport financier massif de la Région Wallonne, forcée d’intervenir chaque saison pour combler le déficit de l’épreuve. Cette année, elle a injecté 5,4 millions d’euros dans la société Spa Grand Prix pour que la course ait bien lieu.
- Un autre élément inquiétant pour l’avenir de Spa-Francorchamps est l’élargissement constant du calendrier de Formule 1. Avec l’arrivée de l’Inde en 2011, le championnat sera complet avec un total de 20 Grands Prix. Deux courses devront donc disparaître pour permettre le retour des Etats-Unis en 2012 et l’entrée de la Russie en 2014. Deux épreuves qui seront plus que probablement européennes, d’où l’importance de reconduire au plus vite son contrat.
> A l’heure actuelle, les Grands Prix les plus menacés sont ceux de Turquie et de Hongrie. Une liste à laquelle il faut à présent ajouter la Belgique à en croire Bernie Ecclestone. Au grand dam des supporters de Formule 1. Il est vrai que le spectacle offert par les circuits sans âme dessinés par Hermann Tilke, comme Bahreïn ou Valence, équivaut à celui offert par les tracés historiques du calendrier, tels que Spa-Francorchamps, Monza ou encore Silverstone...
Source : ToileF1.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
BRUNO935K3 a écrit:>> Le circuit de Spa-Francorchamps pourrait bien être le grand perdant de l’élargissement à tout va du calendrier de Formule 1.
A chaque fois ça me révolte de voir ça : privilégier les pays ayant un potentiel d'argent énorme pour M.E. au lieu de conserver des GP historiques, des circuits sublimes.... ça me dégoûte.
_________________
"La course, la compétition, coulent dans mes veines. C'est une partie de moi et je l'ai assouvie toute ma vie. Pour moi, ça passe avant tout." Ayrton Senna.
Re: Revue de presse : infos générales.
Fabienne a écrit:BRUNO935K3 a écrit:>> Le circuit de Spa-Francorchamps pourrait bien être le grand perdant de l’élargissement à tout va du calendrier de Formule 1.
A chaque fois ça me révolte de voir ça : privilégier les pays ayant un potentiel d'argent énorme pour M.E. au lieu de conserver des GP historiques, des circuits sublimes.... ça me dégoûte.
C'est un SCANDALE il est ou Bernie que je m'occupe de lui il est ou?
boubou- Messages : 16350
Date d'inscription : 15/05/2010
Age : 48
Localisation : Seine et Marne (77) mais natif du Mans (72)
MOSLEY à l'assaut de TODT ?
>> Le site italien "422race" clame aujourd’hui que Max Mosley, à travers les nombreux soutiens qui lui restent au sein de la FIA, se préparerait à attaquer le pouvoir en place, assumé par Jean Todt depuis une année bientôt.
- Au menu, un changement de règles de gouvernance qui serait proposé à l’assemblée générale de la FIA qui doit se réunir le 5 novembre prochain.
Max Mosley et Bernie Ecclestone seraient particulièrement mécontents de la façon dont Jean Todt gère les dossiers concernant le sport automobile et notamment la Formule 1.
> Aujourd’hui, Ecclestone a déclaré ouvertement qu’il regrettait le départ de Mosley de la tête de la FIA.
"Max était tellement bon qu’il aurait même été un excellent premier ministre. Il aurait été idéeal dans ce rôle, il sait comment gérer les choses. Peut-être que les gens ont pensé qu’il était trop intelligent !"
Mosley serait même prêt à se représenter lors des futures élections. Mais au début de l’après-midi, des sources proches de Mosley démentent déjà cette information, qui est donc à prendre avec les précautions d’usage...
Source : Nextgen-auto.com
- Au menu, un changement de règles de gouvernance qui serait proposé à l’assemblée générale de la FIA qui doit se réunir le 5 novembre prochain.
Max Mosley et Bernie Ecclestone seraient particulièrement mécontents de la façon dont Jean Todt gère les dossiers concernant le sport automobile et notamment la Formule 1.
> Aujourd’hui, Ecclestone a déclaré ouvertement qu’il regrettait le départ de Mosley de la tête de la FIA.
"Max était tellement bon qu’il aurait même été un excellent premier ministre. Il aurait été idéeal dans ce rôle, il sait comment gérer les choses. Peut-être que les gens ont pensé qu’il était trop intelligent !"
Mosley serait même prêt à se représenter lors des futures élections. Mais au début de l’après-midi, des sources proches de Mosley démentent déjà cette information, qui est donc à prendre avec les précautions d’usage...
Source : Nextgen-auto.com
_________________
MATESCHITZ : " VETTEL est plus rapide que WEBBER"...
>> Le patron de la boisson énergétique Red Bull, Dietrich Mateschitz, reste partagé entre ses deux pilotes dans l’optique du championnat du monde.
A trois courses de la fin de la saison, il estime que Sebastian Vettel est plus rapide que Mark Webber, pourtant en tête du championnat. Cependant, il admet que l’avance du pilote australien sur son équipier (14 points) pourrait être suffisante pour lui permettre de décrocher le titre.
- "Sebastian semble avoir un léger avantage en ce qui concerne la vitesse. Nous verrons si l’avantage de Mark est suffisant pour remporter le titre. Il n’y aura aucune consigne d’équipe de notre côté. Le pilote qui commettra le moins d’erreurs et qui sera le plus rapide devrait gagner ou gagnera," a déclaré Dietrich Mateschitz à l’agence de presse allemande DPA.
> Il a également réaffirmé que Red Bull n’avait pas de préférence entre Mark Webber et Sebastian Vettel pour le titre des pilotes.
"Si nous remportons le titre des pilotes, nous serions contents pour chacun de nos pilotes car tous deux le méritent. Il est important que les deux sachent qu’ils ont besoin de l’autre pour devenir champion du monde, et qu’ils courent également pour l’équipe et le championnat des constructeurs."
Source : ToileF1.com
AÏE AÏE AÏE......non seulement j'ai beaucoup de mal à le croire quand il dit que Red Bull n'a pas de préférence, mais en plus, il va peut-être falloir modifier nos pronostics au Challenge Auto Passions !!
A trois courses de la fin de la saison, il estime que Sebastian Vettel est plus rapide que Mark Webber, pourtant en tête du championnat. Cependant, il admet que l’avance du pilote australien sur son équipier (14 points) pourrait être suffisante pour lui permettre de décrocher le titre.
- "Sebastian semble avoir un léger avantage en ce qui concerne la vitesse. Nous verrons si l’avantage de Mark est suffisant pour remporter le titre. Il n’y aura aucune consigne d’équipe de notre côté. Le pilote qui commettra le moins d’erreurs et qui sera le plus rapide devrait gagner ou gagnera," a déclaré Dietrich Mateschitz à l’agence de presse allemande DPA.
> Il a également réaffirmé que Red Bull n’avait pas de préférence entre Mark Webber et Sebastian Vettel pour le titre des pilotes.
"Si nous remportons le titre des pilotes, nous serions contents pour chacun de nos pilotes car tous deux le méritent. Il est important que les deux sachent qu’ils ont besoin de l’autre pour devenir champion du monde, et qu’ils courent également pour l’équipe et le championnat des constructeurs."
Source : ToileF1.com
AÏE AÏE AÏE......non seulement j'ai beaucoup de mal à le croire quand il dit que Red Bull n'a pas de préférence, mais en plus, il va peut-être falloir modifier nos pronostics au Challenge Auto Passions !!
_________________
Page 18 sur 39 • 1 ... 10 ... 17, 18, 19 ... 28 ... 39
Sujets similaires
» Revue de presse : infos générales V
» Stefan GP mise sur Villeneuve!
» Article de presse
» News WEC 2012
» RENAULT F1 TEAM
» Stefan GP mise sur Villeneuve!
» Article de presse
» News WEC 2012
» RENAULT F1 TEAM
Page 18 sur 39
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum