SCHUMACHER impatient de rouler de nuit...

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>> Le week-end prochain se tiendra le Grand Prix de Singapour qui se déroule de nuit, une première pour Michael Schumacher qui avait déjà raccroché son casque avant la première édition de cette manche atypique du calendrier.

- Le septuple champion du monde s’est dit impatient d’effectuer ses premiers tours de roues sur ce tracé qu’il ne connaît pas dans des conditions inédites pour lui.

"J’ai toujours aimé apprendre à connaître de nouveaux circuits. Singapour sera sans aucun doute une aventure passionnante," a déclaré Schumacher.

"J’ai trois bonnes raisons d’attendre ce week-end, c’est un nouveau circuit pour moi, c’est une course en ville et ce sera la première fois que je roule de nuit."

"Conduire sur une nouvelle piste n’a jamais été trop compliqué pour moi et j’apprends généralement très vite et je trouve rapidement le bon rythme. En tant qu’équipe, nous voulons réaliser un bon résultat et nous donnerons le maximum pour y parvenir."


Source : ToileF1.com

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>> Bruno Senna ne sait toujours pas de quoi son avenir sera fait. Si le Brésilien espère garder son baquet chez Hispania, il a déjà commencé à regarder ailleurs, au cas où.

- "On a commencé à discuter avec pas mal de personnes dans le paddock afin d’être sûr d’être au courant des opportunités dans les autres équipes, s’il y a des places qui venaient à se rendre disponibles," explique Senna à nos confrères anglais d’Autosport.

"Ma priorité est donc maintenant de faire de mon mieux et prouver que je peux être compétitif dans n’importe quelle voiture. On fait notre travail, dans la voiture et en dehors et les chances d’être encore là l’année prochaine ne sont pas si mauvaises. Je suis presque certain de rester dans le cockpit de la HRT jusqu’à Abu Dhabi. Ensuite ma première option pour 2011 sera de rester dans l’équipe. Il n’y a rien de certain car nous n’avons pas commencé les vraies négociations à ce sujet," ajoute le Brésilien.

> Senna est autant dans l’incertitude que son équipe pour 2011, mais il garde espoir que HRT sera là en 2011, et plus performante.
"De ce que je peux voir, l’équipe pense vraiment au futur. Ils préparent la voiture de l’année prochaine en utilisant comme base la voiture actuelle. Ils travaillent dur pour 2011, cette année a été difficile et toute l’équipe l’a pourtant traversé. C’est de bon augure pour la suite."


Source : Nextgen-auto.com

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>> La rumeur qui envoie l'ancien patron des teams Benetton et Renault, Flavio Biatore, chez Ferrari prend de la consistance après que l'Italien a été vu à plusieurs reprises au siège de la Scuderia, à Maranello, ces dernières semaines.

- Briatore avait rendu visite à Ferrari en juillet, moins d'un an après sa radiation à vie de la F1 dans l'affaire du Crashgate. Une sentence qui a depuis été invalidée par un tribunal civil.

Cette semaine, le journal "Die Welt" a révélé que Briatore, présent dans le stand Ferrari à Monza, continuait à visiter régulièrement Maranello.

> Briatore est actuellement sous le coup d'une suspension en F1 jusqu'en 2013 mais il serait en train de faire pression sur la FIA pour voir sa sanction réduite. Elle ne l'empêche pas, en tout cas de gérer ses intérêts ni, semble-t-il, de se trouver dans un paddock de F1.

- Questionné sur sa présence par la presse à Monza, il a répondu : "J'ai une réunion avec Bernie (Ecclestone) et je rentre ensuite à Londres. C'est fantastique d'être de retour. De voir des amis et d'être en Italie. Ferrari est en pole et tout le monde est heureux".

> Sur son futur, toutefois, Briatore est resté évasif : "Je me sens bien en ce moment et je suis heureux de la situation telle qu'elle est . On va voir ce qu'il advient dans le futur. La semaine prochaine, je ne serai pas à Singapour. Je suis bien chez moi".


© ESPN EMEA Ltd.

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Hamilton, opération rachat

Lewis Hamilton (McLaren) déclare avoir "fait un trait" sur Monza et appris de son erreur dans le premier tour. Il a désormais hâte de découvrir la MP4 modifiée typée circuit lent ; tout comme Jenson Button.
Lewis Hamilton avait résumé son échec lombard en expliquant "qu'une erreur peut coûter le titre". Mais ça, il ne le saura qu'à l'heure des comptes. Aujourd'hui, il assure s'être remis de sa faute de précipitation dans la Ferrari de Felipe Massa, au 1er tour du Grand Prix d'Italie. "J'ai fait un trait sur Monza. J'ai appris de cette expérience et, bien qu'elle soit extrêmement décevante, on a parfois besoin de ce genre de choses pour aiguiser son esprit et élever son niveau et sa motivation à un moment extrêmement crucial de la saison", affirme-t-il vendredi, à une semaine pile du début des essais de la 15e manche du Mondial.

"Gagner à Singapour l'an dernier a été l'une des mes victoires les plus satisfaisantes de ma carrière en Formule 1. Toute l'équipe avait poussé dès le début du week-end en vue de ce résultat, nous avions surmonté un tas de problèmes, et nous n'avions jamais lâché tant que ça n'avait pas été dans la poche. Couper la ligne d'arrivée a été une sensation fabuleuse", se souvient-il.

S'il cherchait à faire des coups l'an dernier au volant d'une voiture mal née qui avait bien évolué en fin de saison, il a cette année souvent pu viser la victoire, à part sur des circuits particulier. "Difficile de dire précisément à quel point nous serons compétitifs à Singapour. Si Monza ressemble plus à une piste comme le Canada (ndlr : où il a gagné), Singapour est bien plus proche de Monaco ou de la Hongrie, où nous avons eu du mal face à nos rivaux", note-t-il. "Mais les ingénieurs sont positifs sur nos nouvelles pièces, j'ai donc hâte de vérifier les changements en piste. Nous aborderons ce week-end avec une confiance après des tests positifs et des développements à la soufflerie. La course devrait nous dire clairement où nous nous situons à cinq manches de la fin du championnat, mais je veux assurément marquer autant de points que possible dans ce grand prix."

Pour McLaren, le développement de la MP4 ne sera peut-être pas le seul facteur de progrès car Red Bull a du renoncer à l'aileron avant flexible qui avait fait des ravages en Hongrie. "C'est la première piste lente que nous visitons depuis la Hongrie. C'est aussi la première piste à forts appuis sur laquelle nous nous rendons depuis que la FIA a durci ses règles en matière de carrosserie flexible, on va donc avoir une idée plus claire des vitesses respectives des équipes de pointe après deux épreuves moins représentatives en Belgique et en Italie. C'est une course que tout le monde attend énormément", résume Martin Whitmarsh, directeur d'équipe.

Jenson Button, N.4 mondial, abonde dans ce sens. "Le Grand Prix de Singapour va nous donner une idée claire de la tournure du championnat", confirme le champion du monde en titre. "La dernière fois que nous sommes allés sur une piste lente à forts appuis, c'était en Hongrie ; notre voiture n'avait pas été particulièrement compétitive. Mais beaucoup de choses ont changé depuis Budapest, pas seulement de sérieuses révisions apportées aux règles de flexibilité des éléments de carrosserie mais aussi à cause du travail des ingénieurs du MTC (l'usine de Woking) pour s'assurer que notre voiture soit mieux sur les circuits plus lents." Réponse vendredi 23 septembre, à partir de 12h00.

Eurosport - Stéphane VRIGNAUD

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Cosworth veut gagner à nouveau.

La saison 2010 marque le retour du motoriste Cosworth dans la catégorie reine du sport automobile. Le constructeur de Northampton équipe quatre écuries cette année avec Williams, Lotus, Virgin et HRT.

Depuis le début de la saison, Cosworth n’a cessé de progresser, surtout grâce à son partenariat avec l’écurie Williams et, même si la saison prochaine Lotus quittera le navire pour être plus que probablement motorisée par le V8 Renault, Cosworth ne manque pas d’ambitions pour l’avenir.

"Nous avons été approchés par les équipes qui souhaitaient entrer en F1 la saison prochaine, mais aussi par des équipes existantes (NDLR : Red Bull a été citée récemment)," rapporte Mark Gallagher, directeur général de Cosworth.

Mais ce qui enthousiasme particulièrement Gallagher, c’est la nouvelle réglementation prévue pour 2013, avec un probable retour aux turbos de 4 cylindres de 1,6 litre, dotés d’environ 650 chevaux.

"Nous avons beaucoup d’ambition pour élargir l’offre de Cosworth en 2013. Nous voulons équiper des équipes à tous les niveaux de la grille, nous voulons gagner à nouveau."

Et Williams pourrait bien jouer un rôle important dans ce retour du constructeur au premier plan, mais pas seulement : "Nous voulons être avec des équipes capables de gagner le championnat du monde. C’est pourquoi la relation avec Williams, et d’autres, sera très importante pour nous."

Le début de saison n’a pas été de tout repos pour Cosworth, mais d’importants progrès ont été réalisés tout au long du championnat, comme le souligne Tim Routsis, directeur général du groupe.

"Je suis fier du travail effectué par tout le monde, mais nous entrons maintenant dans une phase où nous comprenons vraiment le moteur. Je crois qu’aussi bien Williams que nous-mêmes vous dirons que nos relations ont parfois été tendues mais cela était essentiellement dû à une certaine frustration. Aucun de nous n’est là pour faire de la figuration et je pense que notre relation a bien évolué," a confié Routsis.

L’avenir de Cosworth en Formule 1 semble donc prometteur, même si le motoriste n’équipera plus que trois écuries la saison prochaine.

"Nous fournissons un moteur qui est à la fois compétitif et fiable. Nous offrons également une offre attractive financièrement, il ne faut pas être un génie pour comprendre que les équipes sont intéressées."

De plus, le directeur général de Cosworth affirme que la présence du motoriste n’implique pas d’équiper un certain nombre d’écuries.

"C’est une question que nous nous sommes posée avant de revenir. Les nouvelles équipes représentent toujours un risque. C’est pourquoi nous avons structuré nos offres indépendamment les unes des autres. Nous n’aurions aucun problème à fournir une seule écurie."

Source : toilef1.com

[dom465]

Jordan voit Schumi partir

Eddie Jordan, l'homme qui a le premier donné sa chance à Michael Schumacher, ne le voit pas continuer longtemps en F1, après son retour.

"Je le sens sans illusion et pensant à une deuxième retraite", a déclaré Jordan, en tant que consultant de la télévision britannique BBC. "Il y a trop de signes maintenant qui me donnent le sentiment qu'il est en train de reconsidérer son contrat de trois ans."

"Il y a beaucoup trop d'allées et venues de dirigeants dans le motorhome Mercedes. Il y a également le faire que les prétentions de Mercedes pour la saison prochaine ne sont pas aussi élevées qu'elles l'étaient cette saison", continue l'ancien patron d'écurie.

De plus, Jordan croit savoir que l'incident avec Barrichello en Hongrie a beaucoup marqué Schumacher. "Il n'avait pas réalise que les règles du comportement des pilotes avaient changé à ce point. Mon hypothèse est que Michael en est arrivé à la conclusion que, malgré son talent, il n'arrivera pas à gagner à nouveau."

Ross Brawn, qui est depuis peu un homme très riche, a lui réaffirmé, une nouvelle fois, qu'il n'y aurait pas de changement dans l'équipe en 2011.

© ESPN EMEA Ltd.

[dom465]

Sutil veut battre Williams et Schumi

Adrian Sutil, avant le Grand Prix de Singapour, a deux objectifs pour son écurie : garder Williams à distance au classement des constructeurs et reprendre Michael Schumacher au classement des pilotes.
Adrian Sutil (Force India), alors que la saison amorce sa dernière ligne droite, est confiant. Même si un journaliste de la BBC affirme qu’il peut être un possible remplaçant de Michael Schumacher en cas de départ du Champion du Monde de l’écurie Mercedes, le pilote Force India vise d’abord la place de son aîné au classement 2010 des pilotes avant de viser son baquet dans l’une des Flèches d’Argent.

« Mon but, personnellement, est de rattraper Michael Schumacher à nouveau », confie-t-il à une semaine du Grand Prix de Singapour. « Il m’a passé d’un point à Monza », ajoute le jeune Allemand. « Le but est également que l’équipe reste devant Williams », alors que le team de Grove a infligé un 7-0 à Force India lors du Grand Prix d’Italie, revenant à onze points du team de Silverstone au classement des constructeurs.

A Singapour, Adrian Sutil espère briller. S’il n’a pas de garantie de performance, l’Allemand est confiant. « C’est un circuit difficile, sur lequel vous avez besoin de beaucoup d’adhérence. L’an dernier, on n’y était pas très bien mais nous avons un package différent cette année. La voiture est bonne sur les circuits à niveau moyen d’appuis aéro, comme on a pu le voir à Spa. Et comme Monaco n’a pas été trop mal pour nous, nous pouvons être compétitifs à Singapour. L’objectif est de marquer des points. »

Jean-Côme Decroos

Source : autohebdo.fr

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Lotus dans l'actu !

Ah, les joies du net ! Ce matin la toile s’est emballée avec des rumeurs d’une association Lotus-Toyota en F1 la saison prochaine. Maintenant que l’écurie de Tony Fernandes a réglé le dédit pour casser son contrat avec Cosworth, ce genre d’info peut paraître plausible au non-initié, ou aux pseudo-journalistes oeuvrant dans des sites plus ou moins bidons. La vérité est pourtant ailleurs : Lotus va être dans l’actualité le 30 septembre prochain, lors du Mondial de l’automobile à Paris, où un nouveau modèle sera dévoilé (avec motorisation Toyota), ainsi qu’à Singapour la même semaine, où la renaissance du “Team Lotus” sera officialisée en marge du Grand Prix.
Mais d’association Lotus-Toyota en Formule 1, il n’en est pas question ! Comme quoi l’amalgame est vite fait dans notre nouveau monde de communication électronique… Les Lotus rouleront Renault en F1 l’année prochaine, qu’on se le dise, et les monoplaces vert et jaune seront alignées sous l’ancienne appellation “Team Lotus” (au lieu de “Lotus Racing” cette saison) après le rachat du nom par Tony Fernandes. En principe, les deux pilotes seront reconduits et il est question d’un rapprochement de l’usine du Norfolk avec la demeure historique de la firme de Colin Chapman, Ketteringham Hall à Ethel (actuellement le siège de Lotus Cars et du Classic Team Lotus animé par Clive Chapman, le fils du créateur, qui restaure et aligne les anciennes Lotus de course dans les compétitions historiques). Nous vous préparons d’ailleurs un dossier spécial Team Lotus pour le prochain numéro de F1i Magazine.

Le fait que Mike Gascoyne, le directeur technique, ait travaillé pour Toyota et qu’il a recruté du staff l’hiver dernier à Cologne lorsque le constructeur japonais jeta l’éponge explique pourquoi d’aucuns ont imaginé ce rapprochement. Mais en réalité le châssis Toyota n’est pas nécessaire à Lotus, dont la fringante F110 s’est avérée la meilleure des nouvelles monoplaces cette saison, et le moteur V8 japonais n’est pas exploitable en version client pour des questions de coût. Le “nouveau” Team Lotus disposera bien d’un ensemble moteur/transmission/KERS en provenance de Renault Sport l’an prochain.

Quant au Lotus Group, qui appartient au constructeur malais Proton, il est dirigé par Dany Bahar, l’ancien gourou du sponsoring chez Red Bull et du marketing chez Ferrari. Ce jeune cadre dynamique et ambitieux possède une véritable vision pour le développement de Lotus dans le monde, en Asie et aux Etats-Unis notamment, sans pour autant s’appuyer sur une écurie de F1 qui porte le même nom, certes, mais sans autre lien économique ou stratégique. Le département motorsport de Lotus Group, sous la houlette de Claudio Berro (un autre ancien de Ferrari), est et sera actif en IndyCar avec le team KV Racing (qui engage Takuma Sato) et en GT, en développant la nouvelle Evora pour les catégories GT4 et sans doute GT2 ou GT LM en 2011. Une présence en LMP2 au Mans est également sur les tablettes.

P. Van Vliet

Source : F1imagazine

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>> Zoran Stefanovic, patron de l’équipe Stefan GP qui visait à accéder à la Formule 1, estime que la FIA a été beaucoup trop longue dans son processus de sélection de la treizième équipe de Formule 1, alors que la F1 restera finalement à douze écuries en 2011.

- « La manifestation d’intérêt pour la place vacante s’est faite en mars, la décision devant intervenir "en juillet 2010", explique l’homme d’affaires serbe à "F1 Pulse".

> Nous avons finalement attendu jusqu’à septembre mais celà aurait été trop tard pour s’investir et réaliser une voiture pour l’année prochaine.
- C’est la raison pour laquelle nous nous sommes retirés de la course et qu’il ne restait que deux teams en compétition, et ce sont ces deux dossiers qui ont été jugés insatisfaisants par la FIA. »

Source : Autohebdo.fr

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>> Adrian Newey est très occupé en cette fin de championnat : pas question de laisser tomber la Red Bull RB6, qui doit encore évoluer pour mener la lutte pour les deux titres mondiaux jusqu’au bout. Mais il faut aussi penser à 2011 et Newey avoue passer déjà la grande majorité de son temps sur le projet RB7.

- "Nous avons encore quelques améliorations à venir pour la RB6 de cette année mais je suis personnellement déjà concentré à 70% de mon temps sur la nouvelle voiture de 2011. Il y aura pas mal d’idées novatrices sur la RB7," prévient déjà le directeur technique de l’équipe autrichienne.

> Des idées novatrices... de quoi voir surgir de nouvelles polémiques ? Il est souvent reproché à Newey de pousser le règlement dans des zones encore grises, où l’interprétation peut encore se faire. "Cela fait partie du jeu et c’est comme ça depuis le début de ma carrière. Ces reproches, je les vois comme un compliment, c’est la meilleure preuve que ma voiture est rapide."

- Newey se laisse aussi du temps pour faire exploser ses idées. Ainsi il a créé le prototype X1, une sorte de Formule 1 idéale à ses yeux et qui s’affranchit de tout règlement. Cette voiture serait capable de battre le record du tour de Suzuka de 20 secondes... virtuellement, avec Vettel au volant !

En effet, la dernière création de Newey n’existe pas dans la réalité et ne sera visible que dans le futur jeu Gran Turismo 5 qui sortira début novembre.
Le X1 est le fruit d’une collaboration entre Red Bull et Sony Playstation. "On a tous rêvé un jour de pouvoir pousser les limites, là où seuls les performances de la voiture et l’expérience du pilote prime sur les règlements."


Source : Nextgen-auto.com

[dom465]

Les conseils de Gerard à Bernie

Le copropriétaire majoritaire du team Renault Gerard Lopez regrette que la F1 ne soit pas plus près des fans et n'ait pas encore pris le virage de l'Internet.

"La F1 a besoin de mieux se vendre. C'est un sport global", a déclaré Lopez à Autosport. "Elle a aussi probablement besoin de mieux se monétiser. La promotion, c'est dépenser de l'argent pour sa notoriété et la monétisation, c'est gagner de l'argent. Aujourd'hui, la F1 doit offrir de nouvelles choses et Bernie Ecclestone sera attentif à cela, c'est une certitude."

"L'avenir de ce sport passe par l'ajout de médias à son offre et aussi l'adaptation à une nouvelle géographie. Pour faire plus d'audience sur ces nouveaux territoires, il n'y a pas de secret, il faut des pilotes issus de ces régions."

De nouveaux pilotes, comme peut-être Vitaly Petrov (Russie) ou Robert Kubica (Pologne), ses coureurs chez Renault, mais aussi des pilotes au comportement différent.

"Chez Renault, nous poussons nos pilotes à se balader sans garde du corps, hors du paddock. On pense que c'est une bonne chose. Personne ne va les manger ou les détrousser. Au pire on les touchera. Ce n'est pas la fin du monde. Sur-protéger les pilotes, c'est la première mesure qui vous coupe de vos fans. Les pilotes aiment le contact, sauf si vous leur dites que cela n'apporte rien."

"Beaucoup de gens dans le paddock croient que ces 200x50m sont le centre du monde, ce n'est pas vrai. On gagnerait beaucoup à être plus détendus sur certaines choses. Prenez les pilotes de GP2 qui passent en F1. Ils sont heureux d'être reconnus, de leur popularité. Les mêmes personnes deux ou trois ans plus tard sont dans le schéma mental qui leur fait dire que ce n'est pas bien. Allez les gars ! Vous êtes en piste deux heures, vous avez deux heures de briefing, vous pouvez passer un peu plus de temps avec les fans, non ?"

Lopez craint aussi que la F1 périclite à la manière de l'industrie musicale, faute de ne pas avoir su s'adapter aux nouvelles technologies. "Bernie a attendu que le marché devienne mature et personne ne peut critiquer la F1 en termes de sécurité des contenus. C'est très bien protégé. Maintenant, il est temps d'agir. La F1 n'a pas besoin d'être plus connue. Elle doit mieux monétiser hors télévision", estime Lopez.

Oui, mais comment ? Lopez, qui s'est lancé depuis longtemps dans le capital risque et dans les nouvelles technologies, a son idée : "Prenons l'exemple des courses qui ont fait l'Histoire de la F1. Les gens seraient prêts à payer pour cela. J'aimerais bien revoir l'accrochage Prost-Senna à Suzuka. Je paierais volontiers un forfait mensuel pour cela."

"On sait que toutes les courses ont été digitalisées. Il y a énormément de contenus historiques que l'on peut monétiser. Il y a aussi le domaine des paris. Pour de l'argent ou juste pour le plaisir (...). Il y a aussi les jeux vidéos. Je pense que notre rôle d'équipe est aussi de faire des propositions sur toutes ces choses qui concernent le futur de la F1."

© ESPN EMEA Ltd.

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Heidfeld : Sauber, en attendant mieux

Eh oui, vous avez bien compté : avec Heidfeld ça nous fera sept Allemands sur la grille ce week-end. A en frôler l'overdose ! Cependant, cette sur-représentation sera bien plus justifiée que celles des Français ou des Italiens au tournant des années 80-90. Sans réserve, il faut saluer le retour de "Quick Nick", seul fait du talent du garçon et du bon sens de papy Sauber…

Bon, je vais être un peu désagréable mais la F1 est bien impitoyable. Nous voilà débarrassés (du moins j'espère) de De la Rosa. La greffe chez les Suisses -moyennant maigres finances - du vétéran besogneux de McLaren n'a pas pris et l'échec établit une fois de plus que l'expérience est la consolation des médiocres. Les vétérans-sans grade ont du mal à survivre et l'histoire du Barcelonais débarqué sans ménagement n'a pas plus convaincu que les recyclages de Würz chez Williams et Badoer chez Ferrari. Tout ceci est d'une implacable logique. On nous parle de « seconde chance » en ce moment, mais elle est inutile pour des individus notoirement frappés de saturation. Et dans cette droite ligne où il est question de déclin, j'ai bien l'impression que la FIA a rendu un énorme service à Villeneuve, qui risquait fort de faire un attelage pathétique avec Durango… C'est vrai, DLR a fait des choses honorables chez Sauber, mais loin de ce qu'on nous avait "vendu". En qualif, il a tapé Kobayashi 8 fois sur 14 mais il n'avait pas les mêmes aptitudes que le jeune Japonais en course.

J'en reviens à Heidfeld. Alors, pourquoi se réjouir de ce second come-back à Hinwil ? Pas pour ses cinq piges mutualistes mais plutôt pour le côté "clé en main" de sa candidature chez Renault. Parce que là, ça collerait parfaitement… Boullier a dit vouloir un "second pilote solide" aux côtés de Kubica. Vous aurez noté les termes "second" et "solide"... "Second" parce que le patron français a déjà un N.1 pour viser le titre Pilotes, et que dans son esprit il lui faut un pilote complémentaire, une sorte de métronome appliqué à usage du championnat Constructeurs... Dans ce registre, NH détient un record parfait : il a vu 33 drapeaux à damier du GP de Chine 2007 à celui d'Italie 2009. Il et a même été classé 41 fois de suite du GP de France 2007 à celui d'Italie 2009. Pour ceux qui ne comprendraient pas pourquoi il est enfermé dans un rôle de second, je rappellerais que le germanique à la démarche chaplinesque a aussi couru 167 GP sans un gagner un... Un côté beautiful looser que seul le médiocre et inénarrable De Cesaris lui conteste fermement dans les statistiques, avec 208 tentatives. On a les records qu'on peut.

Autrement, on entend que Heidfeld se la jouait perso chez Béhème, dans le dos de Kubica. Le Polonais s'en serait même ému auprès de Renault. Serait-ce un obstacle ? Non, car ce genre d'état d'âme n'entre pas en ligne de compte. En vérité, Heidfeld a été appuyé chez Williams-BMW puis BMW Sauber pour avoir gagné la confiance de Theissen, très tôt, sur un coup de génie. C'est là où pour moi l'hypothèse Heidfeld est crédible. L'hiver 2004/05, Williams l'avait mis en concurrence avec Pizzonia pour le second baquet de la FW27. Cependant, il ne parvenait pas à faire la différence en piste par rapport au N.3 brésilien, le préféré de Frank Williams, qui connaissait parfaitement la machine de Grove. Jusqu'à ce que Theissen ne propose de fouiller la cartographie moteur… Sur un coup de mapping, Heidfeld avait débloqué 15 chevaux dans le V10. A l'époque, un motoriste qui travaillait bien boostait sa cavalerie de 30-35 chevaux par an. L'exploit lui avait donné un énorme crédit qu'il n'a pas entamé depuis. Et aujourd'hui encore, sa réputation de pilote intéressé par la technique a une bonne longueur d'avance sur le sérieux Sutil. Sans parler de Räikkönen.

Stéphane VRIGNAUD

Source : eurosport.fr

[dom465]

Kubica : "On se bat avec la voiture"

Le circuit de Singapour est l'un des plus compliqués de la saison mais Robert Kubica (Renault) s'en accommode très bien. Le Polonais fera les efforts nécessaires pour réussir un résultat, comme à Monaco, mais se méfie des Williams, qui avancent.
Singapour est réputé être un des Grands Prix les plus difficiles de la saison. De quelle manière préparez-vous cette épreuve ?


Singapour est une des courses les plus difficiles de la saison, c’est exact. La piste est très bosselée et on se bat constamment avec la voiture. On se trouve continuellement dans des virages et le seul endroit où on peut souffler un peu, c’est sur la ligne d’arrivée et de départ. Aussi, il y a l’emploi du temps inhabituel qui implique qu’on travaille tard dans la nuit : on se couche tard et on se lève l’après-midi. On ne ressent pas vraiment la différence par rapport à un autre week-end de course mais, tous les ans, cela parait un peu étrange lorsqu’on revient à un emploi du temps normal.

Vous aimez les circuits urbains où les rails sont proches de la piste. Avez-vous hâte d’aborder Singapour ?

Oui. Il y a beaucoup de bosses, de vibreurs, et à certains endroits, il faut se donner une marge d’erreur car les murs sont très proches – surtout dans le dernier secteur. J’apprécie toujours y piloter et, même si la course est très longue et éprouvante, c’est une bonne piste.

En terme de mise au point, sur quoi vous concentrez-vous ?


La piste est bosselée et il y a de nombreux virages rapides. Donc, même si l’aérodynamique reste très importante, la voiture doit avoir un bon grip mécanique. Son comportement doit être parfait : la voiture doit être facile à piloter et mettre le pilote assez en confiance pour pouvoir attaquer les vibreurs si on veut extraire le maximum du package. L’autre facteur important est le niveau d’adhérence qui augmente beaucoup plus vite et beaucoup plus sensiblement que sur un circuit permanent. Il faut donc anticiper l’évolution de la piste et l’impact que celle-ci aura sur l’équilibre de la voiture.

Vous avez connu un excellent week-end à Monaco, un autre circuit en ville. Pouvez-vous répéter cette performance à Singapour ?

Je pense qu’il faut faire attention et ne pas se reposer sur des acquis. Il est vrai que Singapour est le circuit le plus proche de Monaco dans le calendrier mais la course en Principauté s’est tenue il y a plus de quatre mois. J’aimerai que la voiture soit aussi compétitive et facile à piloter qu’à Monte Carlo car cela me permettrait d’attaquer tout de suite et il serait plus facile pour mes ingénieurs d’extraire le maximum de performance de la voiture. Cependant, les choses changent vite en Formule 1 et cela ne sera peut-être pas le cas. Mon approche sera la même que d’habitude : notre ambition sera de nous battre dans le top du peloton tout en surveillant Williams, qui a fait un grand pas en avant récemment. Cependant, j’espère réaliser une bonne performance.



Renault F1 Team

[dom465]

L'avis de Jacky Eeckelaert, de HRT.

Jacky Eeckelaert, coordinateur technique chez HRT, a accordé une interview exclusive à ToileF1.com dans laquelle il revient sur la première saison de l’équipe espagnole en Formule 1.

Il y fait un premier bilan de l’année disputée, des lacunes de la monoplace actuelle, ainsi que de leurs objectifs pour cette fin de championnat avec une dixième place chez les constructeurs qui reste envisageable.

L’ingénieur belge revient également sur les discussions avec Toyota et les rumeurs liant HRT à Epsilon Euskadi, ainsi que sur la nouvelle réglementation moteur prévue pour 2013 et les espoirs d’avoir un pilote belge en Formule 1.


Comment trouvez-vous la saison de HRT jusqu’à présent ? Après des problèmes de fiabilité récurrents en début de championnat, les choses semblent aller mieux maintenant.

"En effet, comme les voitures n’ont pas fait un seul tour de circuit avant le premier Grand Prix de la saison à Bahreïn, on a dû résoudre tous les problèmes de fiabilité pendant les week-ends de Grand Prix. Cela a causé plusieurs nuits blanches pendant les cinq premières courses. Depuis lors, les voitures ont atteint un niveau de fiabilité ‘normal’. L’équipe est également bien rodée maintenant."

Au début de la saison, Geoff Willis avait déclaré que votre monoplace ne correspondait pas aux standards de la Formule 1. Quel est le plus gros point faible de cette voiture ?

"Le châssis manque beaucoup d’appuis aérodynamiques, car le projet a démarré trop tard et le budget de développement est très restreint."

Quel est justement l’apport de Geoff Willis dans l’équipe ?

"Geoff apporte son expérience au niveau de la conception d’une monoplace de Formule 1. Comme la collaboration avec Dallara s’est terminée après la livraison des voitures, il fallait mettre au point un bureau d’études et un réseau de sous-traitants pour produire les nouvelles pièces."

En quoi Bruno Senna a-t-il progressé depuis le début de la saison et que doit-il encore faire pour être meilleur ?

"Vu l’absence totale d’essais avant le premier Grand Prix, Bruno a progressé en cours de saison pour extraire le maximum de la voiture. Il est arrivé maintenant à un très bon niveau, mais en travaillant on apprend et on s’améliore toujours."

Pensez-vous que la 10ème place du championnat est envisageable pour HRT en cette fin de saison ?

"Pour l’instant, on est 11ème au championnat derrière Lotus. Il nous faut une 12ème place à l’arrivée d’un Grand Prix pour dépasser Lotus au classement des constructeurs. En performance pure, on ne peut pas les battre pour l’instant, mais en fiabilité on s’est montré les meilleurs, donc j’y crois."

Quelle est la situation pour 2011 ? On a beaucoup parlé d’un possible accord avec Toyota ou d’une "fusion" avec Epsilon Euskadi.

"Question délicate à répondre. Il est vrai qu’il y a eu des contacts avec Toyota, mais je ne pense pas que cela va se concrétiser pour 2011. D’une fusion avec Epsilon Euskadi, je ne suis pas au courant du tout."

Pour 2013, la Formule 1 va connaître un nouveau bouleversement au niveau de son règlement technique. On parle beaucoup d’un 4 cylindres et du possible retour de l’effet de sol. Ferrari de son côté souhaiterait un V6. Quels seraient les avantages et inconvénients des deux propositions ? Et laquelle vous semble la plus bénéfique pour la Formule 1 ?

"Le 4 cylindres en ligne, configuration que l’on trouve sur la majorité des voitures de série, est moins adapté que la configuration en ‘V’ pour une Formule 1. La raison principale est que le moteur est porteur, donc il fait partie du châssis, dans une Formule 1."

"La configuration en ’V’ est plus rigide en torsion et en flexion dans le plan horizontal que le 4 cylindres en ligne. Pour ce dernier, il faudrait certainement prévoir des structures additionnelles pour rigidifier au niveau du haut et du bas du moteur, comme c’est le cas en F3."

N’est-ce pas contraire à l’esprit de compétition de la Formule 1 de vouloir encore augmenter la longévité des moteurs ? On parle d’une possible limitation à cinq voire quatre moteurs par pilote par saison à compter de 2013, ce qui inquiète beaucoup Ferrari d’ailleurs.

"Cela va certainement à l’encontre de la performance pure et ultime. Par contre, j’ai connu l’époque où l’on utilisait une dizaine de moteurs, en ce compris les moteurs utilisés lors des qualifications et en essais libres, par week-end de Grand Prix. Cela était seulement possible avec les budgets quasiment illimités des constructeurs automobiles."

"C’était l’autre extrémité… mais les temps ont changé, les budgets ont diminué, il faut donc faire avec. Par contre, quatre ou cinq moteurs par saison me paraît vraiment très peu si l’on veut extraire 650 chevaux d’un 1.600 cc. Le développement de fiabilité extrême pourrait faire augmenter le budget moteur de nouveau. Il y a certainement un bon compromis à trouver."

Finalement, pensez-vous qu’il est – de manière réaliste – envisageable de voir un pilote belge en Formule 1 à l’avenir ? Jérôme d’Ambrosio est à deux doigts de décrocher un volant de titulaire chez Virgin en 2011, alors que Bertrand Baguette fait plutôt un excellent travail en IndyCar compte tenu de la voiture dont il dispose.

"Ce n’est pas du tout impossible, mais ce n’est pas non plus évident. Jérôme fait une bonne fin de saison en GP2, ce qui est important car la mémoire des gens est ‘courte’ en Formule 1. En plus, il a la confiance de Gérard Lopez, propriétaire majoritaire de l’équipe Renault, qui a les moyens de le faire entrer en Formule 1."

"Aussi bien Jérôme que Bertrand sont assez rapides pour se faire une place en Formule 1, mais l’opportunité doit se présenter. Bertrand commence également à faire des résultats plutôt ‘très bons’ vu les moyens de son écurie. Par contre, cette série américaine est moins suivie par la Formule 1 que le GP2 pour des raisons évidentes."

Source : toilef1.com

[nairboul]

Webber n’est pas contre les consignes d’équipe

Sous certaines conditions...

lundi 20 septembre 2010 - 19h09, par Daniel Thys

Mark Webber n’est pas franchement opposé à ce que les équipes donnent des consignes à leurs pilotes, car cela a toujours existé en F1. Toutefois, le pilote australien estime qu’il y a des choses qu’on peut faire et d’autres qui sont plus discutables.

Mark Webber n’est donc pas contrarié par l’inversion des positions entre les deux Ferrari lors du Grand Prix d’Allemagne. "Non pas vraiment. Je pense que nous avions besoin que les règles soient clarifiées pour le futur, mais ce qui est arrivé en Allemagne est déjà arrivé des centaines de fois."

"On ne peut pas dire que Fernando ne mériterait pas ce titre mondial s’il le remportait avec moins que les sept points qu’il a eus en plus grâce à son dépassement sur Massa. Si on s’arrête à ce genre de détails, alors il y a un tas d’autres choses à examiner aussi," poursuit Webber.

"Ce n’est pas comme si Massa avait 50 secondes d’avance et qu’on l’avait obligé de ralentir pour lui offrir la victoire. Fernando avait toujours une possibilité de gagner cette course en dépassant Felipe, même si c’était peu probable. Il aurait pu mettre les deux Ferrari dehors en faisant ça et il se serait fait massacrer."

"Oui ces dix points pourraient être cruciaux, mais c’est la décision que Ferrari a décidé de prendre. Dans 10 ans, les gens se souviendront de la victoire de Fernando et pas de la décision de Ferrari. Il y a toujours eu plus ou moins des consignes en F1. Les équipes ont toujours influencé les résultats de leurs pilotes. C’est arrivé rarement dans certaines équipes et plus souvent dans d’autres," ajoute le pilote Red Bull.

"Nous l’avons vu par le passé chez Renault avec Alonso et Fisichella, chez Ferrari avec Raikkonen et Massa et McLaren avec Kimi et Montoya. Selon moi, ce qu’on ne doit pas autoriser, c’est une manoeuvre comme celle d’Eddie Irvine qui avait ralenti ses adversaires pour que Michael Schumacher puisse faire un arrêt supplémentaire au stand. Quoi qu’il en soit, il ne devrait jamais y avoir de consignes lors des toutes premières courses de la saison, car le public ne serait pas content avec ça," conclut-il.
SOURCE N A MOTORSPORT

[alessitalia]

Webber n’est pas contre les consignes d’équipe

Sous certaines conditions...

lundi 20 septembre 2010 - 19h09, par Daniel Thys

Mark Webber n’est pas franchement opposé à ce que les équipes donnent des consignes à leurs pilotes, car cela a toujours existé en F1. Toutefois, le pilote australien estime qu’il y a des choses qu’on peut faire et d’autres qui sont plus discutables.

Mark Webber n’est donc pas contrarié par l’inversion des positions entre les deux Ferrari lors du Grand Prix d’Allemagne. "Non pas vraiment. Je pense que nous avions besoin que les règles soient clarifiées pour le futur, mais ce qui est arrivé en Allemagne est déjà arrivé des centaines de fois."

"On ne peut pas dire que Fernando ne mériterait pas ce titre mondial s’il le remportait avec moins que les sept points qu’il a eus en plus grâce à son dépassement sur Massa. Si on s’arrête à ce genre de détails, alors il y a un tas d’autres choses à examiner aussi," poursuit Webber.

"Ce n’est pas comme si Massa avait 50 secondes d’avance et qu’on l’avait obligé de ralentir pour lui offrir la victoire. Fernando avait toujours une possibilité de gagner cette course en dépassant Felipe, même si c’était peu probable. Il aurait pu mettre les deux Ferrari dehors en faisant ça et il se serait fait massacrer."

"Oui ces dix points pourraient être cruciaux, mais c’est la décision que Ferrari a décidé de prendre. Dans 10 ans, les gens se souviendront de la victoire de Fernando et pas de la décision de Ferrari. Il y a toujours eu plus ou moins des consignes en F1. Les équipes ont toujours influencé les résultats de leurs pilotes. C’est arrivé rarement dans certaines équipes et plus souvent dans d’autres," ajoute le pilote Red Bull.

"Nous l’avons vu par le passé chez Renault avec Alonso et Fisichella, chez Ferrari avec Raikkonen et Massa et McLaren avec Kimi et Montoya. Selon moi, ce qu’on ne doit pas autoriser, c’est une manoeuvre comme celle d’Eddie Irvine qui avait ralenti ses adversaires pour que Michael Schumacher puisse faire un arrêt supplémentaire au stand. Quoi qu’il en soit, il ne devrait jamais y avoir de consignes lors des toutes premières courses de la saison, car le public ne serait pas content avec ça," conclut-il.
SOURCE N A MOTORSPORT

+1 avec Webber sur ce coup la

[dom465]

Une F10 revue pour combattre Red Bull

Fernando Alonso espère se hisser au niveau de Red Bull, à l'occasion du Grand Prix de Singapour, grâce aux dernières évolutions mises en place par la Scuderia.

"Nous avons maintenant une voiture qui devrait être à l'aise sur tous les types de pistes", a déclaré Alonso à Auto Motor und Sport. "On sait que Red Bull sera très fort sur les deux prochains circuits mais ont doit gagner en constance, ce sera la clé pour le titre."

Après des démonstrations à Monaco et en Hongrie, Red Bull est favorite à Marina Bay, un tracé tout aussi sinueux. Le patron de la Scuderia craint que, comme en Belgique, les nouveautés prévues pour ce premier Grand Prix de la tournée asiatique ne fontionnent pas à plein assez rapidement.

"Nous devons éviter ce qui nous est arrivé en Belgique", a déclaré le dirigeant italien. "On n'a pas eu assez de temps pour tester nos nouvelles évolutions et elles ne nous ont pas donné satisfaction. Il est impossible de prédire ce qu'il va se passer. Il y a trop de variables en jeu."

Domenicali a par ailleurs confirmé que les nouveautés de la F10 sont "aérodynamiques" et se situent "à l'arrière de la voiture". Ce qui pourrait signifier sans grand risque de se tromper que la F10 aura un nouveau diffuseur.

© ESPN EMEA Ltd.

[BRUNO935K3]

>> Il reste cinq courses à disputer et avec huit moteurs autorisés pour chaque pilote dans la saison, il est temps de faire le point sur l’usage qui en a été fait par les équipes. Chaque moteur utilisé en plus du quota donne droit à une pénalité de 10 places sur la grille de départ à la première occasion où le nouveau moteur est utilisé.

Dans les équipes de pointe, concernées par la lutte pour le titre, tout va bien pour Mark Webber, qui dispose encore de deux moteurs frais pour la fin de la saison. Son équiper et les deux pilotes McLaren un seul et chez Ferrari : plus aucun !
- Il faudra de toute façon pour chacun de ses pilotes, à part peut-être pour Webber, réutiliser des moteurs installés précedemment pour finir la saison, ce qui est heureusement permis par le règlement.

McLaren Mercedes
Jenson Button : 7 moteurs
Lewis Hamilton : 7 moteurs

Red Bull Renault
Sebastian Vettel : 7 moteurs
Mark Webber : 6 moteurs

Ferrari
Felipe Massa : 8 moteurs
Fernando Alonso : 8 moteurs

Pour les autres équipes qui ne jouent pas le titre la situation est plus ou moins "normale" avec 6 ou 7 moteurs utilisés par chaque pilote sauf De la Rosa qui en a utilisé 9, victime de nombreux déboires de son V8 Ferrari en début de saison. Ce n’est plus un souci aujourd’hui pour l’Espagnol mais ça en sera un pour Heidfeld qui le remplace puisque l’allocation de moteurs suit les changements éventuels de pilote.

Mercedes GP
Michael Schumacher : 7 moteurs
Nico Rosberg : 7 moteurs

Williams Cosworth
Rubens Barrichello : 6 moteurs
Nico Hulkenberg : 7 moteurs

Renault F1
Robert Kubica : 6 moteurs
Vitaly Pertrov : 6 moteurs

Force India Mercedes
Adrian Sutil : 7 moteurs
Vitantonio Liuzzi : 7 moteurs

Toro Rosso Ferrari
Sebastien Buemi : 7 moteurs
Jaime Alguersuari : 7 moteurs

Lotus Cosworth
Jarno Trulli : 7 moteurs
Heikki Kovalainen : 7 moteurs

HRT F1 Cosworth
Sakon Yamamoto : 7 moteurs
Bruno Senna : 7 moteurs

Sauber Ferrari
Nick Heidfeld : 9 moteurs
Kamui Kobayashi : 7 moteurs

Virgin Racing Cosworth
Timo Glock : 7 moteurs
Lucas Di Grassi : 7 moteurs


Source : Nextgen-auto.com

[BRUNO935K3]

>> Le calendrier de Formule 1 ne comptera pas plus de vingt Grands Prix par saison, Bernie Ecclestone s’étant fixé cette limite à ne pas dépasser.

Avec l’entrée de l’Inde, le championnat de Formule 1 comportera un record de vingt manches l’an prochain – une de plus que cette saison.

- Et avec l’arrivée des Etats-Unis en 2012, ainsi que la probable venue de la Russie, de la Bulgarie et de Rome, les équipes sont inquiètes de devoir disputer plus de vingt Grands Prix par saison, ce qui ne serait pas supportable pour leurs employés.

"Nous voulons avoir ces courses supplémentaires car c’est bien pour la Formule 1, mais on atteint un stade critique concernant ce que les gens sont capables de faire," avait récemment déclaré Ross Brawn, team principal de Mercedes GP.

> Bernie Ecclestone a cependant indiqué qu’il ne dépassera pas la limite de vingt courses par saison, convenue avec les écuries, ce qui signifie qu’au moins une manche actuelle – plus que probablement européenne – devra disparaître pour permettre l’adhésion des Etats-Unis dès 2012.

"Nous devrions vraiment être à 16 pour être honnête. Vingt est assez, c’est la limite. J’ai pu élargir (le calendrier) à 20 mais je ne voudrais pas l’augmenter. Il y aura du grabuge sinon," a précisé Bernie Ecclestone dans une interview avec le journal indien Times of India.


Source : ToileF1.com

[alessitalia]

En voyant ce point sur les moteurs cpmment cela se passe pour Heidfeld il part de 0(enfin de 1) je croit et si c'est sa est ce que sa pourrait avoir etait un des critére pour virer de la rosa meme si ce n'etait pas de sa faute pour eviter d'avoir 10 places sur la grille pratiquement tout le temps jusqu'a la fin.

[dom465]

En voyant ce point sur les moteurs cpmment cela se passe pour Heidfeld il part de 0(enfin de 1) je croit et si c'est sa est ce que sa pourrait avoir etait un des critére pour virer de la rosa meme si ce n'etait pas de sa faute pour eviter d'avoir 10 places sur la grille pratiquement tout le temps jusqu'a la fin.

Non, non. Il repart avec le quota de De La Rosa. Donc avec 9 moteurs déjà utilisés.

[alessitalia]

En voyant ce point sur les moteurs cpmment cela se passe pour Heidfeld il part de 0(enfin de 1) je croit et si c'est sa est ce que sa pourrait avoir etait un des critére pour virer de la rosa meme si ce n'etait pas de sa faute pour eviter d'avoir 10 places sur la grille pratiquement tout le temps jusqu'a la fin.

Non, non. Il repart avec le quota de De La Rosa. Donc avec 9 moteurs déjà utilisés.

OK merci du renseignement donc rien a voir dans l'eviction de De la Rosa .

[dom465]

Possible échange Kubica-Massa ?

Bien que les deux pilotes aient signé des prolongations de contrat respectives chez Ferrari et Renault, Felipe Massa et Robert Kubica sont toujours, selon les médias espagnols, susceptibles d'échanger leurs places en 2012.

Le journal suisse Motorsport Aktuell n'est pas loin de penser la même chose, signalant seulement que Massa pourrait, au lieu de partir chez Renault, retouver Sauber, l'écurie pour laquelle il pilota en 2002 et de 2004 à 2005.

"Bien sûr, je lis toutes les rumeurs", a déclaré Kubica dans une interview. "Mais au bout du compte, ce que nous voulons tous, c'est gagner, et pour cela il vaut mieux avoir la meilleure voiture possible. Je suis actuellement chez Renault et je me concentrer sur la tâche d'essayer de faire progresser l'équipe. En 2011, on veut se battre pour le titre. On verra ce qu'il advient ensuite."

"En karting, Formule Renault et F3, j'ai toujours été dans des équipes italiennes", ajoute le Polonais. "J'ai habité pendant plus d'un an près de Monza. Ferrari est une équipe unique. Tout pilote aimerait conduite une Ferrari."

© ESPN EMEA Ltd.

[dom465]

Moteurs, avantage Webber

Avec seulement six moteurs ayant tourné sur son châssis, Mark Webber se présente à Singapour ce week-end en ayant utilisé moins de blocs que ses adversaires. Fernando Alonso et Felipe Massa ont tous fait tourner leurs huit V8. S'ils veulent du neuf, il leur faudra reculer de dix places sur la grille.

"Nous avons préféré utiliser un nouveau moteur pour Monza et gérer l'usure des autres pour les cinq dernières courses", a déclaré le patron des Rouges Stefan Domenicali, récemment, à la La Gazzetta dello Sport. Pari gagnant puisqu'Alonso a remporté sa troisième course de la saison en Lombardie et que Massa a terminé à la troisième place.

Il faut bien préciser que le fait que Ferrari a monté sur ses voitures les huit moteurs qui lui étaient alloués ne signifie pas qu'elle sera pénalisée si un moteur casse. Elle peut sans pénalité le remplacer par un autre bloc propulseur usagé. La pénalité ne s'applique que si un neuvième moteur est utilisé.

Du côté de Mclaren, Lewis Hamilton et Jenson Button ont chacun déjà utilisé sept moteurs. "Les pilotes McLaren représentent une menace parce qu'il seront plus fiables avec ce moteur en réserve", explique Webber. "Or on se sait pas quelle sera la situation à la fin de l'année."

Les pilotes Mercedes, Force India, Toro Rosso, HRT, Virgin et Lotus, de même que Nico Hülkenberg (Williams), Kamui Kobayashi (Sauber) et Sebastian Vettel (Red Bull) en sont aussi à sept.

Les pilotes Renault, Rubens Barrichello (Williams) en sont à six.

En Belgique, Pedro De la Rosa avait eu recours à un neuvième moteur et avait été pénalisé de dix places sur la grille. Son remplaçant Nick Heidfeld hérite de cette situation. Pour tout moteur neuf utilise sur la n°22, l'Allemand reculera de dix places sur la grille.

© ESPN EMEA Ltd.

[dom465]

Stefanovic convoiterait HRT

Toujours désireux d'accéder à la F1 dans les plus brefs délais, il est possible que Zoran Stefanovic soit en train de forger un autre projet en ce sens.

Par l'entremise de son projet Stefan GP, l'entrepreneur serbe a premièrement tenté de se garantir une inscription au championnat 2010 en signant un partenariat technique avec Toyota. Quand US F1 a lancé la serviette peu de temps avant le début de la saison, Stefanovic s'est dit prêt à courir, mais la FIA a refusé. Auparavant, Stefanovic avait tenté de fusionner son projet avec US F1, sans succès.

Quand la FIA a démarré un nouveau processus de sélection visant à choisir une 13e équipe, et ce en prévision du championnat 2011, Stefan GP a déposé sa candidature. Cependant, aucune équipe n'a été sélectionnée. Stefanovic affirme qu'il avait déjà retiré son projet de la course : la FIA prenait trop de temps à se décider, le temps aurait manqué.

Une quatrième tentative serait maintenant en cours. D'après un article publié sur le site italien 422race.com, Stefanovic serait membre d'un regroupement serbo-tchèque intéressé à acheter l'écurie HRT.

Un rapprochement existe déjà entre HRT et Toyota en vue d'une collaboration technique en 2011. Puisque Stefanovic et Toyota ont fait des affaires auparavant, il est possible que les liens entre les trois parties soient réalistes. Stefanovic a toutefois refusé de commenter.

La machine à rumeurs a également fait état de négociations entre Toyota et Lotus, mais cette histoire serait bonne pour le recyclage. "Toyota et Lotus ? Oubliez ça. Nous parlons toujours à HRT", a fait savoir une source chez Toyota.

Incidemment, l'écurie Lotus a annoncé qu'elle aura des choses importantes à dévoiler ce week-end en marge du Grand Prix de Singapour. Un partenariat technique avec Renault, incluant le moteur, la transmission et la boîte de vitesses, est attendu.

© ESPN EMEA Ltd.

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