Revue de presse : infos générales.
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Bernie n'est pas contre les consignes d'équipe...
>> Bernie Ecclestone, représentant des détenteurs des droits commerciaux de la F1, estime que les consignes d’équipes sont à proscrire de la Formule 1… selon le contexte.
- Alors qu’elle en est restée à l’amende de 100 000 dollars adressée à l’encontre de Ferrari, la FIA estime qu’elle devra revoir son règlement concernant l’interdiction des consignes. « Cela prouve que le règlement doit être remis au goût du jour, explique Bernie.
- Si vous intervertissez vos pilotes à quelques tours de l’arrivée, ça jette le discrédit sur le sport. En revanche, si c’est fait plus tôt, je n’ai aucun problème avec les consignes d’équipe. »
Source : Autohebdo.fr
- Alors qu’elle en est restée à l’amende de 100 000 dollars adressée à l’encontre de Ferrari, la FIA estime qu’elle devra revoir son règlement concernant l’interdiction des consignes. « Cela prouve que le règlement doit être remis au goût du jour, explique Bernie.
- Si vous intervertissez vos pilotes à quelques tours de l’arrivée, ça jette le discrédit sur le sport. En revanche, si c’est fait plus tôt, je n’ai aucun problème avec les consignes d’équipe. »
Source : Autohebdo.fr
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Re: Revue de presse : infos générales.
Le message n'avait pas plu à Massa
Ferrari prétend que les messages radio à destination de Felipe Massa pendant le Grand Prix d'Allemagne servaient à motiver le Brésilien pour qu'il augmente le rythme.
Au 49e tour de la course à Hockenheim, Felipe Massa avait laissé la tête à son coéquipier Fernando Alonso après un message reçu de la part de l'ingénieur Rob Smedley. "Fernando est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer que tu as compris ce message ?
Massa avait au contraire baissé le rythme et Alonso l'avait dépassé. Mercredi, la Scuderia s'est justifiée en disant qu'il avait énervé par la nature du message. L'écurie italienne a échappé à une sanction sportive lors de son passage devant le Conseil Mondial du Sport Automobile à Paris
Carlos Gracia, président de la fédération espagnole de sport automobile, a révélé l'argument de Ferrari sur la radio espagnole Cadena SER. "Massa s'est vu signifier qu'il était plus lent qu'Alonso pour le motiver. Agacé par le message, il avait ralenti, ce qui avait mené à une suspicion de consignes d'équipe", a-t-il affirmé.
© ESPN EMEA Ltd.
Ca doit être ça qu'on appelle le comble de l'hypocrisie !!!
Ferrari prétend que les messages radio à destination de Felipe Massa pendant le Grand Prix d'Allemagne servaient à motiver le Brésilien pour qu'il augmente le rythme.
Au 49e tour de la course à Hockenheim, Felipe Massa avait laissé la tête à son coéquipier Fernando Alonso après un message reçu de la part de l'ingénieur Rob Smedley. "Fernando est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer que tu as compris ce message ?
Massa avait au contraire baissé le rythme et Alonso l'avait dépassé. Mercredi, la Scuderia s'est justifiée en disant qu'il avait énervé par la nature du message. L'écurie italienne a échappé à une sanction sportive lors de son passage devant le Conseil Mondial du Sport Automobile à Paris
Carlos Gracia, président de la fédération espagnole de sport automobile, a révélé l'argument de Ferrari sur la radio espagnole Cadena SER. "Massa s'est vu signifier qu'il était plus lent qu'Alonso pour le motiver. Agacé par le message, il avait ralenti, ce qui avait mené à une suspicion de consignes d'équipe", a-t-il affirmé.
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Ca doit être ça qu'on appelle le comble de l'hypocrisie !!!
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
dom465 a écrit:Le message n'avait pas plu à Massa
Ferrari prétend que les messages radio à destination de Felipe Massa pendant le Grand Prix d'Allemagne servaient à motiver le Brésilien pour qu'il augmente le rythme.
Au 49e tour de la course à Hockenheim, Felipe Massa avait laissé la tête à son coéquipier Fernando Alonso après un message reçu de la part de l'ingénieur Rob Smedley. "Fernando est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer que tu as compris ce message ?
Massa avait au contraire baissé le rythme et Alonso l'avait dépassé. Mercredi, la Scuderia s'est justifiée en disant qu'il avait énervé par la nature du message. L'écurie italienne a échappé à une sanction sportive lors de son passage devant le Conseil Mondial du Sport Automobile à Paris
Carlos Gracia, président de la fédération espagnole de sport automobile, a révélé l'argument de Ferrari sur la radio espagnole Cadena SER. "Massa s'est vu signifier qu'il était plus lent qu'Alonso pour le motiver. Agacé par le message, il avait ralenti, ce qui avait mené à une suspicion de consignes d'équipe", a-t-il affirmé.
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Ben là...c'est à se pisser dessus !!!
Re: Revue de presse : infos générales.
McLaren a écrit:dom465 a écrit:Le message n'avait pas plu à Massa
Ferrari prétend que les messages radio à destination de Felipe Massa pendant le Grand Prix d'Allemagne servaient à motiver le Brésilien pour qu'il augmente le rythme.
Au 49e tour de la course à Hockenheim, Felipe Massa avait laissé la tête à son coéquipier Fernando Alonso après un message reçu de la part de l'ingénieur Rob Smedley. "Fernando est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer que tu as compris ce message ?
Massa avait au contraire baissé le rythme et Alonso l'avait dépassé. Mercredi, la Scuderia s'est justifiée en disant qu'il avait énervé par la nature du message. L'écurie italienne a échappé à une sanction sportive lors de son passage devant le Conseil Mondial du Sport Automobile à Paris
Carlos Gracia, président de la fédération espagnole de sport automobile, a révélé l'argument de Ferrari sur la radio espagnole Cadena SER. "Massa s'est vu signifier qu'il était plus lent qu'Alonso pour le motiver. Agacé par le message, il avait ralenti, ce qui avait mené à une suspicion de consignes d'équipe", a-t-il affirmé.
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Ca doit être ça qu'on appelle le comble de l'hypocrisie !!!
Ben là...c'est à se pisser dessus !!!
On sait tous que c'etait une consigne mais moi je trouve sa excellent meme la FIA n'a pas gobé mais peut elle le contredire?Non
Non moi j'adore FORZA FERRARI
alessitalia- Messages : 2699
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Re: Revue de presse : infos générales.
Tu as raison, Aless, si l'on s"en tient à la lettre du règlement, il n'y a pas de consigne.
Ferrari, tout en la jouant grosse comme une maison, ne peut prêter le flanc à une punition officielle.
Leur version des faits, même si tout le monde sait qu'elle est fausse, est potentiellement crédible !
Ferrari, tout en la jouant grosse comme une maison, ne peut prêter le flanc à une punition officielle.
Leur version des faits, même si tout le monde sait qu'elle est fausse, est potentiellement crédible !
dom465- Messages : 12793
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Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Tiens tiens! A Spa, Alonso n'avait pas le même aileron que celui de Massa: On contourne les consignes?
TROIKA- Messages : 5922
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Localisation : La Hulpe
Re: Revue de presse : infos générales.
Source AH
Calendrier F1 2011
Dates Pays Ville
11/03 - 13/03 Bahreïn Sakhir
25/03 - 27/03 Australie Melbourne
08/04 - 10/04 Malaisie Sepang
15/04 - 17/04 Chine Shanghai
06/05 - 08/05 Turquie Istanbul
20/05 - 22/05 Espagne Barcelone
27/05 - 29/05 Monaco Monte-Carlo
10/06 - 12/06 Canada Montréal
24/06 - 26/06 Europe Valencia
08/07 - 10/07 Grande-Bretagne Silverstone
22/07 - 24/07 Allemagne Nürburgring
29/07 - 31/07 Hongrie Budapest
26/08 - 28/08 Belgique Spa-Francorchamps
09/09 - 11/09 Italie Monza
23/09 - 25/09 Singapour Singapour
07/10 - 09/10 Japon Suzuka
14/10 - 16/10 Corée Yeongam
28/10 - 30/10 Inde à définir
11/11 - 13/11 Abu Dhabi Abu Dhabi
25/11 - 27/11 Brésil Sao Paulo
Calendrier F1 2011
Dates Pays Ville
11/03 - 13/03 Bahreïn Sakhir
25/03 - 27/03 Australie Melbourne
08/04 - 10/04 Malaisie Sepang
15/04 - 17/04 Chine Shanghai
06/05 - 08/05 Turquie Istanbul
20/05 - 22/05 Espagne Barcelone
27/05 - 29/05 Monaco Monte-Carlo
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09/09 - 11/09 Italie Monza
23/09 - 25/09 Singapour Singapour
07/10 - 09/10 Japon Suzuka
14/10 - 16/10 Corée Yeongam
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Re: Revue de presse : infos générales.
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Les pilotes en faveur d’une révision de la réglementation des consignes de course
Comme le veut un agenda bien rodé, les pilotes du championnat du monde de Formule Un sont arrivés au compte-goutte dans le paddock, ce jeudi après-midi à Monza. On pouvait lire sur toutes les lèvres les sujets de conversation du moment, et notamment la décision par la FIA de ne pas sanctionner plus avant la Scuderia Ferrari et surtout de proposer une refonte de la réglementation sportive concernant les consignes de course.
Les pilotes sont quasiment unanimes pour applaudir des deux mais l’initiative de la Fédération Internationale de l’Automobile mais ils ne se prononcent pas sur ce que devrait être le contenu de la loi (pro ou anti consigne de course). « Ce n’est pas à nous, les pilotes, de décider. Notre opinion ne compte donc pas » avance Button qui n’avait pas hésité à donner son avis au sortir du GP d’Allemagne en laissant entendre qu’avoir à subir une consigne de course pour l’inciter à quitter la F1. « Mais la chose la plus important est d’avoir une clarification de la réglementation ce qui nous permettra de tous travailler selon les mêmes règlementations. C’est la clef. »
« Je suis content que la FIA se penche sur la réglementation pour la clarifier s’il y a un point qui n’est pas clair. Nous pourrions alors tous être plus clairs » s’est contenté de lâcher Alonso en souhaitant couper court aux conversations.
« A mon avis, c’est un sport où l’équipe compte autant qu’au football. Il est vrai que nous sommes 2 pilotes alors qu’il y a 11 joueurs au football mais au bout du compte, tout se décide par stratégie et par la collecte d’une foule de donnée » avance Jarno Trulli en affichant sa préférence, « La stratégie joue un rôle très important en F1 et savoir les respecter fait partie du business et de ce sport. A mon avis, je ne pense pas que la fédération devrait empêcher les écuries de donner des consignes. »
Même son de cloche du côté de Robert Kubica qui prône l’abolition de la réglementation tant incriminée ces dernières semaines. « Je pense que toutes les parties sont d’accord pour se débarrasser de cette loi. Elle existe mais en bien des occasions par le passé des écuries ont donné des consignes et personne ne l’a remarqué ; ou disons plutôt que c’était moins flagrant qu’à Hockenheim » estime Kubica en touchant le nœud du problème : le côté ostentatoire de l’affaire du Grand-Prix d’Allemagne.
SOURCE AUTOMOTO365
Les pilotes en faveur d’une révision de la réglementation des consignes de course
Comme le veut un agenda bien rodé, les pilotes du championnat du monde de Formule Un sont arrivés au compte-goutte dans le paddock, ce jeudi après-midi à Monza. On pouvait lire sur toutes les lèvres les sujets de conversation du moment, et notamment la décision par la FIA de ne pas sanctionner plus avant la Scuderia Ferrari et surtout de proposer une refonte de la réglementation sportive concernant les consignes de course.
Les pilotes sont quasiment unanimes pour applaudir des deux mais l’initiative de la Fédération Internationale de l’Automobile mais ils ne se prononcent pas sur ce que devrait être le contenu de la loi (pro ou anti consigne de course). « Ce n’est pas à nous, les pilotes, de décider. Notre opinion ne compte donc pas » avance Button qui n’avait pas hésité à donner son avis au sortir du GP d’Allemagne en laissant entendre qu’avoir à subir une consigne de course pour l’inciter à quitter la F1. « Mais la chose la plus important est d’avoir une clarification de la réglementation ce qui nous permettra de tous travailler selon les mêmes règlementations. C’est la clef. »
« Je suis content que la FIA se penche sur la réglementation pour la clarifier s’il y a un point qui n’est pas clair. Nous pourrions alors tous être plus clairs » s’est contenté de lâcher Alonso en souhaitant couper court aux conversations.
« A mon avis, c’est un sport où l’équipe compte autant qu’au football. Il est vrai que nous sommes 2 pilotes alors qu’il y a 11 joueurs au football mais au bout du compte, tout se décide par stratégie et par la collecte d’une foule de donnée » avance Jarno Trulli en affichant sa préférence, « La stratégie joue un rôle très important en F1 et savoir les respecter fait partie du business et de ce sport. A mon avis, je ne pense pas que la fédération devrait empêcher les écuries de donner des consignes. »
Même son de cloche du côté de Robert Kubica qui prône l’abolition de la réglementation tant incriminée ces dernières semaines. « Je pense que toutes les parties sont d’accord pour se débarrasser de cette loi. Elle existe mais en bien des occasions par le passé des écuries ont donné des consignes et personne ne l’a remarqué ; ou disons plutôt que c’était moins flagrant qu’à Hockenheim » estime Kubica en touchant le nœud du problème : le côté ostentatoire de l’affaire du Grand-Prix d’Allemagne.
SOURCE AUTOMOTO365
nairboul- Messages : 8951
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Re: Revue de presse : infos générales.
La raison qui a dicté son verdict à la FIA
Le Conseil Mondial du Sport Automobile de la FIA (Fédération Internationale de l’Automobile), réunie le 8 Septembre pour statuer sur le dossier des consignes de course de la Scuderia Ferrari au Grand-Prix d’Allemagne, est arrivé à la conclusion que l’écurie de Maranello avait bien fait appel à des consignes de course – le contraire aurait jeté la Formule 1 dans une situation difficile, la Scuderia ayant été sanctionnée d’une amende de $100.000 pour laquelle elle n’a pas fait appel.
Le Conseil Mondial souligne à juste raison que les exemples de ce qui aurait pu être interprété comme des ordres d’une écurie à ses pilotes sont légion dans la Formule 1 moderne. D’où un verdict que d’aucuns estiment cléments, que beaucoup considéraient inévitables. « Il y a donc eu des incartades dans l’application de la règle. De plus, les ordres indirects via des messages où les pilotes n’ont en aucune manière protesté sont difficiles à détecter. Le corps juridique de la FIA accepte le fait que ceci ait pu influencer l’approche de Ferrari et Ferrari a expliqué qu’elle avait le souci d’éviter une collision entre ses équipiers. »
Mais si la Scuderia Ferrari s’est défendue d’avoir donné une consigne de course en tant que telle, la FIA et notamment son représentant, Monsieur Jean-Pierre Martel, n'ont pas avalisé cette version. Monsieur Martel a par ailleurs insisté sur quatre points clefs de l’affaire et souligne qu’il y a clairement eu consigne de course, mais sous-entend que dans l'intérêt du championnat du monde, la FIA ne pouvait infliger une sanction aux pilotes.
Ne pas appliquer une double peine à Ferrari était une question de bon sens pour la FIA : Alonso aurait été écarté de la course au titre et le championnat du monde en aurait pâti mais aussi et surtout, l’issue du championnat du monde aurait pu rester inconnue après que le drapeau à damiers de la finale de la saison ait été abaissé…
Les 4 points soulevés par Monsieur Jean-Pierre Martel :
- En se basant sur les faits, il apparaît clairement que consigne de course il y a eu et que Felipe Massa a laissé passer Fernando Alonso au 49è tour. Il menait la course et aurait pu la remporter et les ordres ont interféré avec le résultat.
- Les équipes sont libres d’adopter des stratégies mais il y a plusieurs indications à suivre. Dans le cas présent les consignes de course sont prohibées et lorsqu’une pression est exercée sur un pilote, elle est équivalente à un ordre. Les indications incluent le combat au 21è tour et le fait d’avoir laissé passer Alonso au 49è, les communications radios ainsi que l’état d’esprit des pilotes sur le podium, leurs réponses lors de la conférence de presse d’après-course où il était clair que l’intérêt de l’équipe a prévalu sur celui, individuel, des pilotes et sur le fait que Ferrari n’a pas fait appel de la décision des commissaires.
- L’interdiction de donner des consignes de course remonte à 2002 et est spécifiée dans la réglementation sportive et aucune objection n’a été faite jusqu’à présent. Il a cependant été accepté que des problèmes puissent exister dans son interprétation et il serait judicieux d’en référer au groupe de travail sportif de la F1.
- Concernant les pénalités, les pilotes n’ont été soumis à aucune sanction et les ordres émanant de l’écurie sont le fait de l’écurie. Les pilotes ne devraient donc pas souffrir d’une sanction. En ce qui concerne l’écurie, une amende de $100.000 a été confirmé mais la question est : était-ce suffisant ? Si les points devaient être retirés aux pilotes la décision serait suspendue jusqu’à la fin de la saison 2010.
SOURCE AUTOMOTO365
nairboul- Messages : 8951
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Re: Revue de presse : infos générales.
C'est Monsieur Martel en Tête?
TROIKA- Messages : 5922
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Re: Revue de presse : infos générales.
Kovalainen entre Lotus et Renault
Heikki Kovalainen a signé pour la saison prochaine mais il n'a pas encore dit où.
Le Finlandais sera encore sur la grille de départ la saison prochaine, il l'a indiqué ce matin dans le journal finnois Torun Sanomat mais il a refusé de dire pour qui il conduirait. "Il vous faudra un peu de patience pour le savoir", a indiqué l'ancien pilote McLaren.
Le choix se joue selon toute vraisemblance entre son écurie actuelle : Lotus et Renault, une écurie pour laquelle Kovalainen a piloté par le passé. Il faut aussi inclure dans les négociations le fait que Renault est sur les rangs pour motoriser Lotus et que l'actuel pilote Renault, Vitaly Petrov est en discussion avec Lotus.
© ESPN EMEA Ltd.
Heikki Kovalainen a signé pour la saison prochaine mais il n'a pas encore dit où.
Le Finlandais sera encore sur la grille de départ la saison prochaine, il l'a indiqué ce matin dans le journal finnois Torun Sanomat mais il a refusé de dire pour qui il conduirait. "Il vous faudra un peu de patience pour le savoir", a indiqué l'ancien pilote McLaren.
Le choix se joue selon toute vraisemblance entre son écurie actuelle : Lotus et Renault, une écurie pour laquelle Kovalainen a piloté par le passé. Il faut aussi inclure dans les négociations le fait que Renault est sur les rangs pour motoriser Lotus et que l'actuel pilote Renault, Vitaly Petrov est en discussion avec Lotus.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Parr : ''Dix écuries, le maximum''
Il y a actuellement douze écuries présentes sur la grille de départ en Formule 1. Selon le président de Williams, Adam Parr, dix serait le nombre idéal.
Mercredi, le Conseil Mondial a refusé les candidatures de Jacques Villeneuve allié à Durango et d'Epsilon Euskadi, qui ambitionnaient d'être la 13e équipe sur la grille à partir de la saison 2011.
"Je ne pense que nous devrions en avoir treize. Douze doit être un maximum, même si je pense que le véritable maximum devrait être dix", a affirmé Adam Parr au journal texan American Statesman
Sur les douze écuries actuellement en Formule 1, certaines pourraient connaître de graves difficultés financières. "C'est fort possible que nous perdions deux équipes. C'est l'évolution de la F1, elles arrivent et elles repartent. Depuis 1970, nous en avons perdu, je crois, 55. Si les choses se déroulent de telle sorte que nous avons seulement dix écuries l'an prochaine, personnellement, je trouverais cela très bien", a-t-il ajouté.
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Il y a actuellement douze écuries présentes sur la grille de départ en Formule 1. Selon le président de Williams, Adam Parr, dix serait le nombre idéal.
Mercredi, le Conseil Mondial a refusé les candidatures de Jacques Villeneuve allié à Durango et d'Epsilon Euskadi, qui ambitionnaient d'être la 13e équipe sur la grille à partir de la saison 2011.
"Je ne pense que nous devrions en avoir treize. Douze doit être un maximum, même si je pense que le véritable maximum devrait être dix", a affirmé Adam Parr au journal texan American Statesman
Sur les douze écuries actuellement en Formule 1, certaines pourraient connaître de graves difficultés financières. "C'est fort possible que nous perdions deux équipes. C'est l'évolution de la F1, elles arrivent et elles repartent. Depuis 1970, nous en avons perdu, je crois, 55. Si les choses se déroulent de telle sorte que nous avons seulement dix écuries l'an prochaine, personnellement, je trouverais cela très bien", a-t-il ajouté.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Whitmarsh et le jugement de la FIA
Le patron de McLaren Martin Whitmarsh estime que la décision du Conseil mondial ne fait qu'amplifier la confusion qui règne sur les consignes d'équipe.
"Soit Ferrari à triché et doit être punie, soit elle est innocente et elle ne doit pas payer d'amende", a déclaré Whitmarsh sur la BBC. "On ne voit pas trop quelle est la logique derrière ce jugement mais cela n'aura aucun impact sur notre travail de ce week-end."
Le président de la FIA Jean Todt a évoqué un manque de preuves pour passer à la sanction sportive. Ce type de sanction n'a d'ailleurs jamais été appliqué pour de tels faits. "La complexité et l'incertitude", ont en outre poussé les écuries Sauber et Williams à écrire à la FIA pour soutenir Ferrari.
"Les consignes d'équipe étaient en F1 depuis l'origine. Elles existent au Mans où on change les pilotes si une voiture casse", rappelle pour sa part Nigel Mansell, champion du monde en 1992 et commissaire de course en F1. "Si c'est plus ouvert, tout le monde saura à quoi s'attendre et ce sera meilleur pour la F1."
Robert Kubica n'en pense pas moins : "Au moins cela permettrait aux équipes de ne pas faire des commentaires bizarres dans leur radio".
Pour Kubica, les consignes d'écurie ne sont pas une hérésie. Il a dit à El Pais : "Parfois on fait des choses que l'on n'aime pas. Beaucoup d'enfants n'aiment pas faire leurs devoirs mais ils les font."
Le pilote Sauber Pedro de la Rosa partage cette opinion : "Les consignes d'équipe ont toujours existé et elles continuent d'exister. Pour moi, il est important de dire la vérité parce qu'en ce moment nous décevons les gens".
© ESPN EMEA Ltd.
Le patron de McLaren Martin Whitmarsh estime que la décision du Conseil mondial ne fait qu'amplifier la confusion qui règne sur les consignes d'équipe.
"Soit Ferrari à triché et doit être punie, soit elle est innocente et elle ne doit pas payer d'amende", a déclaré Whitmarsh sur la BBC. "On ne voit pas trop quelle est la logique derrière ce jugement mais cela n'aura aucun impact sur notre travail de ce week-end."
Le président de la FIA Jean Todt a évoqué un manque de preuves pour passer à la sanction sportive. Ce type de sanction n'a d'ailleurs jamais été appliqué pour de tels faits. "La complexité et l'incertitude", ont en outre poussé les écuries Sauber et Williams à écrire à la FIA pour soutenir Ferrari.
"Les consignes d'équipe étaient en F1 depuis l'origine. Elles existent au Mans où on change les pilotes si une voiture casse", rappelle pour sa part Nigel Mansell, champion du monde en 1992 et commissaire de course en F1. "Si c'est plus ouvert, tout le monde saura à quoi s'attendre et ce sera meilleur pour la F1."
Robert Kubica n'en pense pas moins : "Au moins cela permettrait aux équipes de ne pas faire des commentaires bizarres dans leur radio".
Pour Kubica, les consignes d'écurie ne sont pas une hérésie. Il a dit à El Pais : "Parfois on fait des choses que l'on n'aime pas. Beaucoup d'enfants n'aiment pas faire leurs devoirs mais ils les font."
Le pilote Sauber Pedro de la Rosa partage cette opinion : "Les consignes d'équipe ont toujours existé et elles continuent d'exister. Pour moi, il est important de dire la vérité parce qu'en ce moment nous décevons les gens".
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Ces vibreurs ne le font pas vibrer
Michael Schumacher n'apprécie que modérément les vibreurs de Monza et le pilote Mercedes l'a fait savoir.
Pour éviter que les voitures décollent après un contact dans la première et la deuxième chicane - on se souvient que le commissaire Paolo Gilsimberti avait trouvé la mort, frappé par une roue à la suite d'un accrochage - la FIA a demandé à Monza de modifier la forme des vibreurs à ces endroits.
Plusieurs pilotes se sont plaints de la bande de béton qui a été déposée, c'est le cas de Michael Schumacher. "C'est dommage d'avoir changé. Notre voiture était bien pour escalader les vibreurs. Mais maintenant nous ne pouvons plus bénéficier de cet avantage."
Schumacher a aussi tenu à défendre son jeune compatriote, Sebastian ''Baby-Schumi'' Vettel après les attaques dont il a fait l'objet suite à ses deux accrochage à Spa. "Il a fait une erreur", a déclaré le septuple champion du monde. "Pourquoi l'attaquer de cette manière. Ce gars veut être champion du monde, il prend des risque et le jeu appelle faute. Il n'y a pas à s'offusquer de cela."
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Michael Schumacher n'apprécie que modérément les vibreurs de Monza et le pilote Mercedes l'a fait savoir.
Pour éviter que les voitures décollent après un contact dans la première et la deuxième chicane - on se souvient que le commissaire Paolo Gilsimberti avait trouvé la mort, frappé par une roue à la suite d'un accrochage - la FIA a demandé à Monza de modifier la forme des vibreurs à ces endroits.
Plusieurs pilotes se sont plaints de la bande de béton qui a été déposée, c'est le cas de Michael Schumacher. "C'est dommage d'avoir changé. Notre voiture était bien pour escalader les vibreurs. Mais maintenant nous ne pouvons plus bénéficier de cet avantage."
Schumacher a aussi tenu à défendre son jeune compatriote, Sebastian ''Baby-Schumi'' Vettel après les attaques dont il a fait l'objet suite à ses deux accrochage à Spa. "Il a fait une erreur", a déclaré le septuple champion du monde. "Pourquoi l'attaquer de cette manière. Ce gars veut être champion du monde, il prend des risque et le jeu appelle faute. Il n'y a pas à s'offusquer de cela."
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
L'heure du choix chez Red Bull
Tandis que Mark Webber a suggéré à son équipe qu'il soit n°1 pour la fin de la saison, son coéquipier Sebastian Vettel trouve cela "dangereux".
Écurie globalement la plus performante depuis le début de la saison, Red Bull pourrait laisser échapper le premier titre de son histoire faute de leader. Tandis que Webber, le pilote le mieux placé des deux, suggère que l'écurie lui donne la priorité, Vettel ne l'entend pas de cette oreille.
"Pour un pilote, cela n'a pas de sens. Il est impossible d'abandonner avant que ce soit mathématiquement cuit", a déclaré le jeune Allemand à l'Associated Press. "Pour l'équipe, cela n'aurait pas de sens de favoriser un pilote et de pénaliser l'autre parce que les deux pilotes doivent marquer le maximum de points dans la perspective du Championnat des Constructeurs. Avec deux pilotes très proches au Championnat, il est dangereux de choisir."
Ce combat semble toutefois être d'arrière-garde pour Vettel, même le conseiller de Red Bull Helmut Marko, qui est l'un de ses soutiens, a déclaré au Kleine Zeitung : "Après Monza on va faire le point et évaluer les chances de l'équipe".
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Tandis que Mark Webber a suggéré à son équipe qu'il soit n°1 pour la fin de la saison, son coéquipier Sebastian Vettel trouve cela "dangereux".
Écurie globalement la plus performante depuis le début de la saison, Red Bull pourrait laisser échapper le premier titre de son histoire faute de leader. Tandis que Webber, le pilote le mieux placé des deux, suggère que l'écurie lui donne la priorité, Vettel ne l'entend pas de cette oreille.
"Pour un pilote, cela n'a pas de sens. Il est impossible d'abandonner avant que ce soit mathématiquement cuit", a déclaré le jeune Allemand à l'Associated Press. "Pour l'équipe, cela n'aurait pas de sens de favoriser un pilote et de pénaliser l'autre parce que les deux pilotes doivent marquer le maximum de points dans la perspective du Championnat des Constructeurs. Avec deux pilotes très proches au Championnat, il est dangereux de choisir."
Ce combat semble toutefois être d'arrière-garde pour Vettel, même le conseiller de Red Bull Helmut Marko, qui est l'un de ses soutiens, a déclaré au Kleine Zeitung : "Après Monza on va faire le point et évaluer les chances de l'équipe".
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Tout est permis, juge Horner
Selon Christian Horner, le patron de l'écurie Red Bull, la FIA a ouvert la porte aux consignes d'équipe en ne pénalisant pas Ferrari au-delà des 100 000 $ imposés par les commissaires du Grand Prix d'Allemagne.
"Après ce que Ferrari a fait à Hockenheim, il n'y a eu aucune conséquence sur les résultats mis à part une pénalité financière", souligne Horner, tel que rapporté par Autosport. "Donc, théoriquement, si toute équipe se retrouve dans cette situation et souhaite inverser l'ordre de ses voitures, il existe maintenant un précédent."
"La pénalité pour ce qui est arrivé à Hockenheim a été de 100 000 $", ajoute-t-il. "Est-ce que cela signifie que nous pouvons faire la même chose au cours des dernières cinq ou six courses de l'année ?"
La situation est d'autant plus étrange que le Conseil mondial est d'avis que des consignes d'équipes ont effectivement eu lieu chez Ferrari lors du GP d'Allemagne, ce qui justifie l'existence de la pénalité financière, mais le manque de preuves directes prévient toute sanction additionnelle.
Et puisqu'un flou existait déjà sur le sujet, la FIA a plutôt choisi de revoir le règlement. D'après Horner, il s'agit là de la seule chose que cette audience devant le Conseil mondial du sport automobile ait permis de reconnaître : éliminer la zone grise et clarifier cette question une fois pour toutes est la meilleure solution.
"Il faut soit interdire les consignes d'équipe ou les autoriser de façon très transparente", déclare Horner. "Vous ne pouvez pas être à demi-enceinte. C'est un ou l'autre."
Si certaines conditions sont réunies, le patron de Red Bull serait prêt a favoriser un pilote au détriment de son coéquipier, mais seulement en fin de saison et pas avant d'avoir fait une évaluation "mathématique et pratique" de la situation.
"Si un pilote a 60 points d'avance alors qu'il ne reste que 75 points à prendre, alors ça devient évident."
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Selon Christian Horner, le patron de l'écurie Red Bull, la FIA a ouvert la porte aux consignes d'équipe en ne pénalisant pas Ferrari au-delà des 100 000 $ imposés par les commissaires du Grand Prix d'Allemagne.
"Après ce que Ferrari a fait à Hockenheim, il n'y a eu aucune conséquence sur les résultats mis à part une pénalité financière", souligne Horner, tel que rapporté par Autosport. "Donc, théoriquement, si toute équipe se retrouve dans cette situation et souhaite inverser l'ordre de ses voitures, il existe maintenant un précédent."
"La pénalité pour ce qui est arrivé à Hockenheim a été de 100 000 $", ajoute-t-il. "Est-ce que cela signifie que nous pouvons faire la même chose au cours des dernières cinq ou six courses de l'année ?"
La situation est d'autant plus étrange que le Conseil mondial est d'avis que des consignes d'équipes ont effectivement eu lieu chez Ferrari lors du GP d'Allemagne, ce qui justifie l'existence de la pénalité financière, mais le manque de preuves directes prévient toute sanction additionnelle.
Et puisqu'un flou existait déjà sur le sujet, la FIA a plutôt choisi de revoir le règlement. D'après Horner, il s'agit là de la seule chose que cette audience devant le Conseil mondial du sport automobile ait permis de reconnaître : éliminer la zone grise et clarifier cette question une fois pour toutes est la meilleure solution.
"Il faut soit interdire les consignes d'équipe ou les autoriser de façon très transparente", déclare Horner. "Vous ne pouvez pas être à demi-enceinte. C'est un ou l'autre."
Si certaines conditions sont réunies, le patron de Red Bull serait prêt a favoriser un pilote au détriment de son coéquipier, mais seulement en fin de saison et pas avant d'avoir fait une évaluation "mathématique et pratique" de la situation.
"Si un pilote a 60 points d'avance alors qu'il ne reste que 75 points à prendre, alors ça devient évident."
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Un contrat prêt pour D'Ambrosio chez Virgin !
Pour la première fois depuis 1993 et Thierry Boutsen, la Belgique est sur le point de réintégrer le championnat du monde de Formule 1 avec Jérôme d’Ambrosio.
Virgin Racing a fait une proposition ferme au pilote belge aujourd’hui pour devenir titulaire en 2011 s’il trouvait le budget nécessaire, estimé à 5 millions d’euros.
L’information a été confirmée par Eric Boullier, qui en plus d’être le team principal de l’équipe Renault dirige également Gravity Management, la société qui s’occupe de la carrière de Jérôme d’Ambrosio.
"Romain Grosjean a, certes, rejoint notre giron de pilotes, mais cela ne diminue en rien les chances de Jérôme d’accéder en F1. D’ailleurs, aujourd’hui, la seule proposition ferme que j’aie est pour d’Ambrosio. John Booth, le patron de Virgin, est quelqu’un de réaliste, comme moi. Le profil de Jérôme l’intéresse. D’autant plus depuis ce qu’il a démontré à Spa : un pilote rapide, travailleur, qui ne casse pas de bois," a déclaré Eric Boullier à Monza au journal belge La Dernière Heure.
"Grâce à des accords commerciaux que nous pourrions avoir à l’avenir avec Virgin, la proposition est très correcte. Je ne peux vous dévoiler le budget demandé, mais il est très petit. Beaucoup plus mince que ce que l’on entend généralement dans le paddock. Ce n’est bien sûr pas le contrat idéal, mais ce serait une chance pour Jérôme de débuter en F1 sans pression, d’apprendre le métier tranquillement, comme l’ont fait [Fernando] Alonso chez Minardi ou [Sebastian] Vettel chez Toro Rosso."
Jérôme d’Ambrosio pourrait même déjà rouler en Formule 1 avec Virgin cette saison le vendredi matin si les négociations avancent dans le bon sens. Mais avant cela, Gravity souhaite un soutien financier belge.
"J’ai rencontré vos ministres Reynders et Marcourt, MM. François Cornelis, le président de votre fédération, et Geoffroy Theunis à Francorchamps. Etienne Davignon est aussi au courant. Je leur ai expliqué qu’il s’agissait d’une chance réelle. On ne parle pas de Baguette ici. C’est du concret. Le contrat est sur la table. Il n’y a plus qu’à apporter l’argent et le signer. Gravity a déjà dépensé 7 ou 8 millions pour Jérôme sur ces trois dernières années. Nous voulons bien mettre les trois ou cinq cents derniers mille, mais c’est maintenant aux Belges de montrer qu’ils veulent revoir un des leurs sur les grilles de F1."
La Belgique n’a jamais été aussi proche de voir l’un de ses pilotes en Formule 1, mais des investisseurs belges se manifesteront-ils ?
Source : toilef1.com
Pour la première fois depuis 1993 et Thierry Boutsen, la Belgique est sur le point de réintégrer le championnat du monde de Formule 1 avec Jérôme d’Ambrosio.
Virgin Racing a fait une proposition ferme au pilote belge aujourd’hui pour devenir titulaire en 2011 s’il trouvait le budget nécessaire, estimé à 5 millions d’euros.
L’information a été confirmée par Eric Boullier, qui en plus d’être le team principal de l’équipe Renault dirige également Gravity Management, la société qui s’occupe de la carrière de Jérôme d’Ambrosio.
"Romain Grosjean a, certes, rejoint notre giron de pilotes, mais cela ne diminue en rien les chances de Jérôme d’accéder en F1. D’ailleurs, aujourd’hui, la seule proposition ferme que j’aie est pour d’Ambrosio. John Booth, le patron de Virgin, est quelqu’un de réaliste, comme moi. Le profil de Jérôme l’intéresse. D’autant plus depuis ce qu’il a démontré à Spa : un pilote rapide, travailleur, qui ne casse pas de bois," a déclaré Eric Boullier à Monza au journal belge La Dernière Heure.
"Grâce à des accords commerciaux que nous pourrions avoir à l’avenir avec Virgin, la proposition est très correcte. Je ne peux vous dévoiler le budget demandé, mais il est très petit. Beaucoup plus mince que ce que l’on entend généralement dans le paddock. Ce n’est bien sûr pas le contrat idéal, mais ce serait une chance pour Jérôme de débuter en F1 sans pression, d’apprendre le métier tranquillement, comme l’ont fait [Fernando] Alonso chez Minardi ou [Sebastian] Vettel chez Toro Rosso."
Jérôme d’Ambrosio pourrait même déjà rouler en Formule 1 avec Virgin cette saison le vendredi matin si les négociations avancent dans le bon sens. Mais avant cela, Gravity souhaite un soutien financier belge.
"J’ai rencontré vos ministres Reynders et Marcourt, MM. François Cornelis, le président de votre fédération, et Geoffroy Theunis à Francorchamps. Etienne Davignon est aussi au courant. Je leur ai expliqué qu’il s’agissait d’une chance réelle. On ne parle pas de Baguette ici. C’est du concret. Le contrat est sur la table. Il n’y a plus qu’à apporter l’argent et le signer. Gravity a déjà dépensé 7 ou 8 millions pour Jérôme sur ces trois dernières années. Nous voulons bien mettre les trois ou cinq cents derniers mille, mais c’est maintenant aux Belges de montrer qu’ils veulent revoir un des leurs sur les grilles de F1."
La Belgique n’a jamais été aussi proche de voir l’un de ses pilotes en Formule 1, mais des investisseurs belges se manifesteront-ils ?
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
La fin pour HRT ?
L’équipe espagnole HRT pourrait bien vivre ses dernières heures, la situation financière de l’écurie étant des plus chaotiques.
Il a été rapporté hier qu’un cabinet d’avocats poursuivait HRT en justice pour des factures non-payées. La situation serait bien plus inquiétante que ça, les moteurs Cosworth de l’équipe n’ont même pas été allumés une seule fois depuis ce jeudi à Monza.
Il se murmure dans le paddock que l’écurie espagnole n’aurait plus suffisamment d’argent pour payer ses factures, dont la fourniture de ses moteurs. La situation est d’autant plus inquiétante que les monoplaces de HRT sont à moitié complètes dans leurs stands durant cette première séance d’essais libres.
Des discussions pourraient avoir lieu en coulisse ce week-end pour essayer d’arranger la situation et permettre à l’équipe de disputer le Grand Prix d’Italie, sinon la grille de départ pourrait bien être réduite à 22 monoplaces.
Source : toilef1.com
L’équipe espagnole HRT pourrait bien vivre ses dernières heures, la situation financière de l’écurie étant des plus chaotiques.
Il a été rapporté hier qu’un cabinet d’avocats poursuivait HRT en justice pour des factures non-payées. La situation serait bien plus inquiétante que ça, les moteurs Cosworth de l’équipe n’ont même pas été allumés une seule fois depuis ce jeudi à Monza.
Il se murmure dans le paddock que l’écurie espagnole n’aurait plus suffisamment d’argent pour payer ses factures, dont la fourniture de ses moteurs. La situation est d’autant plus inquiétante que les monoplaces de HRT sont à moitié complètes dans leurs stands durant cette première séance d’essais libres.
Des discussions pourraient avoir lieu en coulisse ce week-end pour essayer d’arranger la situation et permettre à l’équipe de disputer le Grand Prix d’Italie, sinon la grille de départ pourrait bien être réduite à 22 monoplaces.
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
De toute façon je le savait et puis c'est peut etre mechant se que je vait dire mais bon debarras de toute façon il n'avait rien a faire en F1 et si il y avait la régle des 107% que je trouve moi indispensable on les auraient jamais vu sur la grille bref il ne me manqueront pas et ne manquera pas a la F1.
Moi la seul chose qui me desole c'est pour Bruno Senna pour qui la carriére est pour moi presque fini pour la F1 quand je pense qu'il aurait pu signer chez Brawn (mais barrichello c'est mit a genou) la saison derniere et comme je pense qu'il est peut etre pas moins bon que Button mais bon avec des si.
Moi la seul chose qui me desole c'est pour Bruno Senna pour qui la carriére est pour moi presque fini pour la F1 quand je pense qu'il aurait pu signer chez Brawn (mais barrichello c'est mit a genou) la saison derniere et comme je pense qu'il est peut etre pas moins bon que Button mais bon avec des si.
alessitalia- Messages : 2699
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Re: Revue de presse : infos générales.
Frank Williams a déclaré qu’il soutenait Ferrari lors de l’audience de la Scuderia qui avait été accusée d’avoir utilisé une consigne d’équipe en Allemagne.
Le propriétaire de l’écurie éponyme s’est expliqué à Monza sur l’envoi d’une lettre de soutien pour Ferrari à la FIA rappelant qu’une équipe visant les championnats devrait pouvoir faire ce qu’elle souhaite en course.
"Nous les avons soutenu, pas le manœuvre de Ferrari particulièrement, mais parce que le principe des consignes d’équipe devrait être permis. Nous avons écrit la lettre parce que nous sommes sincères, pas les amis de Ferrari. Nous avons juste pensé que la restriction des consignes d’équipes n’était pas nécessaire," a déclaré Frank Williams.
"C’est l’objet de discussions. Une pensée provisoire est que peut-être qu’elles pourraient juste être applicables dans la seconde moitié de la saison. Nous devons rappeler que les pilotes pensent eux-mêmes mais nous voulons les championnats du monde."
"Il y en a deux championnats chaque année, il ne faut pas oublier celui des constructeurs, et vous devez avoir deux voitures très hautement performantes partout où cela est possible. Il est plus rare d’avoir deux pilotes de performances égales dans la même équipe et nous avons payé un lourd prix pour cela avec Nigel Mansell et Nelson Piquet. Cela nous a couté cher."
Williams admet cependant qu’un retour des consignes d’équipe pourrait boulverser certains fans puritains, mais les championnats sont une histoire d’argent, de sommes d’argent importantes pour les équipes.
"Si vous souhaitez apaiser certains fans puritains, il devrait n’y avoir aucun ordre d’équipe en aucun cas que ce soit. Pour rajouter une autre couche à la discussion, si vous gagnez un championnat du monde, vous pouvez ouvrir la porte aux consignes car l’argent va couler et vous pouvez facilement rester aux affaires."
"Si vous n’avez pas gagné un championnat, vous gagnez des courses, vous négociez ardemment et vous restez aux affaires. Mais si vous n’avez pas de bons résultats, il sera difficile de survivre. Mais quand vous gagnez un championnat du monde, c’est beaucoup plus facile pour l’année suivante ou celle d’après. Gagner un championnat est dans l’intérêt de l’équipe, parce que Ferrari n’a pas à se soucier de l’argent, mais la plupart des équipes doivent le faire."
SOURCE TOILEF1.COM
nairboul- Messages : 8951
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Un GP à Rome en 2012 ou 2013...Réaction de Enrico Ferrari, Directeur du circuit de Monza...
>> L’annonce officielle hier de la tenue d’un futur Grand Prix à Rome a toujours un goût très amer du côté de Monza. La pilule est encore plus dure à avaler quand on sait que cette annonce a été faite dans le paddock du circuit situé dans les faubourgs de Milan.
- Bernie Ecclestone, le maire de Rome et l’organisateur ont tenu à rassurer en déclarant une nouvelle fois que le Grand Prix d’Italie resterait bien à Monza mais cela ne suffit pas à déstresser Enrico Ferrari, le directeur du circuit de Monza, qui pense que ce nouveau Grand Prix italien fera inéluctablement du tort à son épreuve.
> "On a beau nous rassurer mais les faits sont là : alors que c’était déjà difficile de trouver des sponsors pour notre course, avec ce Grand Prix à Rome ce sera impossible. Les grandes compagnies ont un budget, si aujourd’hui elles nous donnent 100, demain elles ne donneront plus que 50 et 50 iront à Rome. Ou pire encore," pense Enrico Ferrari.
Il fut un temps où Monza devait cohabiter avec Imola et tout se passait bien. "Ces temps sont révolus, les budgets ont explosé depuis. Prenez l’exemple de l’Espagne, Barcelone est en crise à cause de la course à Valence. Ils ont perdu 9 millions d’euros cette année. C’est toute l’Europe qui a ses relations tendues avec la Formule 1. En Allemagne aussi ils ont abandonné l’idée d’avoir deux courses par an et Spa-Francorchamps a fait encore 8000 spectateurs de moins que l’an passé," ajoute le directeur de Monza.
A l’entendre, deux courses dans le même pays ça ne peut plus marcher. Enrico Ferrari aura un premier élément de réponse dans deux ou trois ans puisque le premier Grand Prix de Rome se tiendra en 2012 ou 2013, selon l’avancée du projet.
A suivre....
Source : Nextgen-auto.com
- Bernie Ecclestone, le maire de Rome et l’organisateur ont tenu à rassurer en déclarant une nouvelle fois que le Grand Prix d’Italie resterait bien à Monza mais cela ne suffit pas à déstresser Enrico Ferrari, le directeur du circuit de Monza, qui pense que ce nouveau Grand Prix italien fera inéluctablement du tort à son épreuve.
> "On a beau nous rassurer mais les faits sont là : alors que c’était déjà difficile de trouver des sponsors pour notre course, avec ce Grand Prix à Rome ce sera impossible. Les grandes compagnies ont un budget, si aujourd’hui elles nous donnent 100, demain elles ne donneront plus que 50 et 50 iront à Rome. Ou pire encore," pense Enrico Ferrari.
Il fut un temps où Monza devait cohabiter avec Imola et tout se passait bien. "Ces temps sont révolus, les budgets ont explosé depuis. Prenez l’exemple de l’Espagne, Barcelone est en crise à cause de la course à Valence. Ils ont perdu 9 millions d’euros cette année. C’est toute l’Europe qui a ses relations tendues avec la Formule 1. En Allemagne aussi ils ont abandonné l’idée d’avoir deux courses par an et Spa-Francorchamps a fait encore 8000 spectateurs de moins que l’an passé," ajoute le directeur de Monza.
A l’entendre, deux courses dans le même pays ça ne peut plus marcher. Enrico Ferrari aura un premier élément de réponse dans deux ou trois ans puisque le premier Grand Prix de Rome se tiendra en 2012 ou 2013, selon l’avancée du projet.
A suivre....
Source : Nextgen-auto.com
_________________
Re: Revue de presse : infos générales.
SCOOP SPECIAL AUTO PASSIONSLe nouveau tee-shirt des briefing de la scuderia.
http://www.zazzle.com/fernando+alonso+gifts
SOURCE NAIRBOUL
http://www.zazzle.com/fernando+alonso+gifts
SOURCE NAIRBOUL
nairboul- Messages : 8951
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Localisation : champagné
Re: Revue de presse : infos générales.
nairboul a écrit:SCOOP SPECIAL AUTO PASSIONSLe nouveau tee-shirt des briefing de la scuderia.
http://www.zazzle.com/fernando+alonso+gifts
SOURCE NAIRBOUL
Il faut que l'on se cotise pour en offrir un à quelqu'un que je connais bien !!
Re: Revue de presse : infos générales.
McLaren a écrit:nairboul a écrit:SCOOP SPECIAL AUTO PASSIONSLe nouveau tee-shirt des briefing de la scuderia.
http://www.zazzle.com/fernando+alonso+gifts
SOURCE NAIRBOUL
Il faut que l'on se cotise pour en offrir un à quelqu'un que je connais bien !!
Je connait ces truc la j'avait un T shirt avec imitation scuderia mais avec l'ane mais comme au bout de 4 ou 5 lavage le truc c'est barré et du coup j'ai jeté.
Mais c'est marrant sa.
alessitalia- Messages : 2699
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Age : 32
Localisation : Les Pavillons sous bois 93
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