La Pescarolo 04-LM quasiment prête à entrer en piste

[BRUNO935K3]

>> Revoir le nom Pescarolo Sport a de quoi surprendre les fans du barbu le plus célèbre de France, d’autant plus qu’Henri n’a pas le moindre rapport avec l’initiative. Propriétaire de la marque Pescarolo depuis maintenant un an, Jocelyn Pedrono entre dans le vif du sujet en présentant la Pescarolo 04-LM destinée à courir en Pescarolo Racing Series.



« Après des mois de travail intense, nous sommes très fiers de présenter cette nouvelle Pescarolo 04-LM » explique Jocelyn Pedrono. « Grâce à notre partenariat avec l’équipementier de 1er niveau Faurecia , nous avons développé un châssis compétition qui répond aux contraintes élevées du sport auto de haut niveau aussi bien en termes de rigidité mécanique que de sécurité. Deux autres partenariats avec Hexion et Chomarat nous offrent les toutes dernières techniques de pointe dans la réalisation des matériaux composites. Cette combinaison nous permet de proposer un châssis réellement novateur et extrêmement performant. »

Vincent Capillaire et Christophe Tinseau sont tous les deux impliqués avec chacun un rôle de référent.

La Pescarolo 04-LM est éligible en VdeV Endurance Series dans la classe PFV ainsi qu’en 24 Heures Series.

« La Pescarolo 04-LM vient se positionner comme un nouvel échelon de la pyramide d’endurance, entre le CN et le LMP3 » indique Jean-Bernard Bouvet.
« Nous proposerons plusieurs offres autour de ce nouveau prototype (vente / location / arrive and drive) et notamment des programmes complets de perfectionnement. J’ai piloté à de multiples reprises la petite sœur de la Pescarolo 04-LM (Pescarolo 02 – Le Mans Driver) aussi bien en baptême qu’en stage de pilotage, sa fiabilité et sa facilité d’utilisation et de mise en œuvre technique sont des atouts majeurs. En ce qui concerne le championnat, les Pescarolo Racing Series s’effectueront par team de 2 ou 3 pilotes et sur 7 courses. Je travaille actuellement sur le programme sportif, et j’ai hâte de vous le dévoiler très bientôt ! »



Le prototype, équipé d’un moteur General Motors V8 LS3, développe 420 chevaux (réservoir de 80 litres). La Pescarolo 04-LM sera également disponible en version EXP (voiture ouverte ou fermée) pour les écoles de pilotage avec une cartographie évolutive de 200, 250, 300 ou 360 chevaux. Pour les plus expérimentés, une Pescarolo 05 sera dévoilée sous peu.

Pour ce projet, le constructeur s’est tourné vers des partenaires de renom tels que Faurecia (équipementier qui emploie 100 000 personnes), Hexion (résines de haute performance) et Chomarat (matériaux composites). L’initiative se veut entièrement française.


Source : endurance-info.com

[Johan]

C'est super que Pescarolo fasse son retour en sport auto !

[nairboul]

suite à l'information parue hier de la renaissance de Pescarolo sport, je tenais à préciser que je ne suis pas impliqué dans ce projet. L'escroc qui avait racheté mon écurie en 2008 détenait par la même occasion le nom , "Pescarolo Sport" Il l'a revendu sans m'en avertir, alors qu'il n'en avait pas le droit.Il est évident que voir renaitre ce nom à un niveau aussi bas ne peut que m'affliger.Pescarolo Sport s'est toujours battu dans la catégorie reine, le LMP1et à obtenu trois podium au classement général des 24 Heures.Second deux années de suite face à Audi et troixième face à Audi et peugeot de 2005 à 2007. Seules les stupides équivalences décidées par l'ACO, entre les moteurs diesel et essence m'ont fait disparaitre ainsi que toutes les écuries privées et les petits constructeurs présents à cette époque en LMP1.

Réponse de Mr Pescarolo sur Facebook.

[Johan]

Ah oui, ça change tout là.

[BRUNO935K3]

[Johan]

Henri Pescarolo tentera quand même une action en justice, je pense.

C'était la famille Py qui avait racheté son écurie en 2008, des amis de François Fillon. Si l'on peut me confirmer ou non.

[Admin]

suite à l'information parue hier de la renaissance de Pescarolo sport, je tenais à préciser que je ne suis pas impliqué dans ce projet. L'escroc qui avait racheté mon écurie en 2008 détenait par la même occasion le nom , "Pescarolo Sport" Il l'a revendu sans m'en avertir, alors qu'il n'en avait pas le droit.Il est évident que voir renaitre ce nom à un niveau aussi bas ne peut que m'affliger.Pescarolo Sport s'est toujours battu dans la catégorie reine, le LMP1et à obtenu trois podium au classement général des 24 Heures.Second deux années de suite face à Audi et troixième  face à Audi et peugeot de 2005 à 2007. Seules les stupides équivalences décidées par l'ACO, entre les moteurs diesel et essence m'ont fait disparaitre ainsi que toutes les écuries privées et les petits constructeurs  présents à cette époque en LMP1.

Réponse de Mr Pescarolo sur Facebook.

Je l'avais lu sur FB, et j'aime assez ce passage..
Plus facile de faire plaisir à un constructeur allemand.

[boubou]

J'apprécie Pesca mais bon commence à nous gonfler avec son équivalence même si il n'a pas tord mais nous le répéter tous les ans depuis 10 ans
Au fait quelle voiture il a engagé en 2009 ???

[BRUNO935K3]

J'apprécie Pesca mais bon commence à nous gonfler avec son équivalence même si il n'a pas tord mais nous le répéter tous les ans depuis 10 ans
Au fait quelle voiture il a engagé en 2009 ???

Je suis assez d'accord. Il rabâche toujours la même chose et c'est un chouïa lassant...

En 2009 :
http://www.les24heures.fr/2009/197-2009-histoire/454-2009-pescarolo-peugeot

[Johan]

Il n'est plus tout jeune Pesca !

Sinon, il semble avoir oublié qu'au Mans 2009, la Peugeot 908 de son écurie et la n°7 du team officiel s'étaient accroché en début de course dans les stands...

[BRUNO935K3]

>> Dimanche après-midi, à 15 heures, la 85e édition des 24 Heures du Mans aura sacré son vainqueur. Nul doute que, peu importe de qui il s'agira, cela aura été le fruit d'un beau et long combat, avec toute l'intensité et toute la dramaturgie que peut réserver le double tour d'horloge sarthois. Et après ? Certes le combat se poursuivra durant la deuxième partie de saison du WEC, mais l'avenir sera dans toutes les têtes.

Quel règlement en 2020 ?

Depuis de longs mois, les constructeurs participent à des groupes de travail avec l'ACO et la FIA pour définir les contours de la future réglementation du LMP1. Des constructeurs non engagés dans la catégorie ont également participé à ces discussions plus qu'avancées, qui rendent la traditionnelle conférence de presse de l'ACO, programmée vendredi matin, très attendue. Ce devrait être l'occasion d'avoir une vision plus précise de ce qui attend l'élite de l'Endurance à l'horizon 2020. D'ici-là, on rappellera que la réglementation a été gelée pour conserver la base des prototypes tels qu'on les connaît.

"On connaît déjà les grandes lignes du nouveau règlement. On est juste engagés à ne pas les divulguer", indique Pascal Vasselon, directeur technique de Toyota. En revanche, hors de question pour lui de s'épancher davantage sur la rumeur qui alimente le paddock des 24 Heures du Mans : l'éventualité d'un départ de Porsche en fin de saison, ou en fin d'année prochaine.
"Je n'ai pas d'informations directes dans ce sens-là", lâche-t-il quand il est interrogé sur l'éventualité d'un départ de Porsche en fin de saison, ou en fin d'année prochaine.

Pour ce qui est du programme Toyota, le directeur d'équipe Rob Leupen assurait dès le Prologue à Monza que le constructeur nippon était engagé en WEC jusqu'au terme de la saison 2019. Néanmoins, Pascal Vasselon avait nuancé en rappelant que le programme sportif de la marque fonctionnait sur la base d'une "remise en cause" annuelle par les dirigeants.

Porsche ne ferme pas la porte à la Formule E

Du côté du constructeur allemand, on assure être pleinement engagé en Endurance et le team principal Andreas Seidl ne commente pas le sujet autrement qu'en précisant qu'il n'a eu "aucune information" des dirigeants de Porsche faisant état d'un arrêt du programme à plus ou moins court terme. Des précisions sur l'avenir de la marque en LMP1 sont toutefois attendues dans les prochains mois. En attendant, il se dit en coulisses que dans les rangs de l'équipe allemande, nombreux sont ceux qui ne se risqueraient pas à parier sur la présence de Porsche en LMP1 en 2019.

Clairement, l'avenir du plus haut niveau du Mans est à la croisée des chemins, à l'heure où le LMP1 privé, représenté cette année par la seule équipe "ByKolles", est amené à se renforcer de plusieurs concurrents dès 2018. Une catégorie qui doit trouver sa place entre un échelon hybride dont on attend les précisions réglementaires, et un LMP2 qui a franchi un cap impressionnant cette saison, avec des chronos au Mans qui auraient placé les plus rapides en pole position de l'édition 2006 face aux Audi. S'il faut comparer ce qui reste comparable, certaines mises en perspective valent parfois plus que de longs discours.

>> Pour Porsche, le destin pourrait être similaire à celui de son cousin Audi. Également dans le giron Volkswagen, la marque s'intéresse de plus en plus près à la Formule E, où ses dirigeants ont notamment été invités récemment, à Monaco. La discipline de monoplaces 100% électriques manque peut-être encore trop de liberté technique aux yeux de Porsche, mais l'intérêt ne peut pas être nié.

Reste à savoir, dans le plus noir des scénarios, qui serait prêt à constituer la nouvelle garde du LMP1. On sait Peugeot plus ou moins tenté, mais aussi extrêmement exigeant sur les conditions d'accès pour relancer un programme – particulièrement sur le thème de la réduction des coûts. D'autres noms circulent, jusqu'à celui de Ford, dont la stratégie à moyen-long terme reste encore floue.
"L'avenir se présente bien, mais je ne suis pas prêt à faire une annonce sur ce qui nous attend peut-être", confiait récemment à Motorsport.com Dave Pericak, directeur de Ford Performance.


Source : motorsport.com

[BRUNO935K3]

>> La conférence de presse de l’ACO a permis de dévoiler les grandes lignes du futur règlement en 2020.
Six grands principes régiront ce règlement :

• Atteindre zéro émission et recharge rapide : une nouvelle technologie de route sera appliquée à la course : le Hybrid Plug-in. Les voitures auront une charge électrique rapide en même temps que le ravitaillement en carburant. Grâce à cela, elles devront :
- Couvrir le 1erkilomètre après chaque ravitaillement en mode électrique complet à un niveau de performance jusque-là inégalé en compétition
- Franchir la ligne d’arrivée en totale autonomie électrique (les modalités sont en cours de définition)

• Renforcer la sécurité : l’adaptation de la monocoque sera faite selon les modalités initialement prévues en 2018 :
- Imposition d’un volume libre autour du casque du pilote ;
- Imposition d’un espace d’habitabilité cockpit plus grand (1 500 mm) avec des pédales réglables.
- Volume de jambes légèrement modifié pour faciliter le changement de pilote ;
- Mousse de protection pour les jambes du pilote ;
- Tests de résistance de la monocoque et des structures d’absorption de crash avant et arrière plus sévères.
- Gabarits d’habitabilité et de visibilité améliorés.

• Garder deux systèmes de récupération d’énergie, toujours limités à 8MJ (même taille que ceux engagés actuellement).

• Mise en place d’une aérodynamique active, de type ailerons variables (à l’arrière et à l’avant) afin d’augmenter l’efficacité de la voiture et compenser les restrictions de développement aérodynamiques mises en place pour réduire les coûts.

• Intégration de biocarburants : augmenter l’intégration d’autres types de carburants plus évolués,en étroite collaboration avec la stratégie des fournisseurs.

• Introduction de nouvelles énergies : en parallèle, les travaux de recherche sur les nouvelles énergies de type hydrogène continuent, avec un objectif d’introduction ultérieure.


>> Sur le plan technique, le système hybride conservera deux modes et sera stabilisé à 8MJ. Le développement sera limité avec notamment l'introduction d'unités de développement pour empêcher un constructeur de pouvoir refaire une voiture complète chaque année. « Le règlement va définir des périmètres (le châssis, le moteur, le système hybride, la carrosserie) que le constructeur pourra développer entre deux saisons, mais en faisant des choix. Ainsi, plus un élément considéré comme important par le règlement sera développé à l’intersaison, moins le constructeur aura la possibilité d’en développer d’autres. »

Au niveau de l’aéro, la partie avant de la voiture et les passages de roues seront simplifiés. Le nombre d'heures en soufflerie sera également limité à 600 heures par an, contre 800 actuellement. Des limitations du nombre de composants du propulseur par an (batterie, moteur à combustion interne (ICE), système de récupération d’énergie ERS), permettant de passer de 5 à 4 unités après un ou deux ans, et une limitation des boîtes de vitesses à 2 ensembles sont programmées.

L’ACO promet un règlement stable pour 4 ans avec également une limitation du personnel à 50 personnes par course en WEC (contre 65 actuellement). Aucune limitation ne sera appliquée au Mans.

En ce qui concerne la sécurité, le volume intérieur des cockpits sera augmenté et l’angle du dos accentué en passant à 55 degrés. Le cockpit sera rehaussé de 80mm.

> Parmi les autres annonces, le président de l’ACO Pierre Fillon a indiqué qu’une ligue mondiale LMP3 serait créée avec une finale réalisée durant l’inter-saison.

L’ACO a conclu la conférence de presse en indiquant que le starter de la 85e édition des 24 Heures du Mans était Chase Carey, le directeur de la F1 de Liberty Media.

Source : autohebdo.fr / Jacques-Armand Dupuis

[BRUNO935K3]

>> Toyota Gazoo racing a battu Porsche aux qualifications des 6 Heures du Nürburgring (Allemagne).
La TS050 Hybrid n°7 de Kamui Kobayashi et José-Maria Lopez ont signé un temps moyen de 1’38’’118, offrant à l’ancien champion du WTCC sa première pole en WEC.



Les deux Porsche 919 Hybrid ont échoué à plus d’un dixième, la n°2 de Timo Bernhard et Brendon Hartley décrochant la deuxième position devant la n°1 de Lotterer-Jani. André Lotterer a réalisé le meilleur chrono de la séance avec un chrono de 1’37’’886. La Toyota n°8 de Davidson-Nakajima-Buemi se classe 4e. La CLM01-P1 de ByKolles Racing de Kraihamer-Webb-Bonanomi a terminé à plus de 9s.

>> L’Oreca 07 n°26 G-Drive Racing de Pierre Thiriet et ben Hanley a décroché la pole en LMP2 avec un temps moyen de 1’45’’001, mais la LMP2 devra respecter un stop & go de 3’30 suite à un contact de Roman Rusinov aux 24 Heures du Mans. La n°38 du Jackie Chan DC Racing emmenée par Oliver Jarvis et Thomas Laurent est la plus proche avec près de 2 dixièmes de retard. La n°31 Vaillante Rebellion de Canal-Senna est 3e de la catégorie devant la voiture soeur n°13 de Beche-Heinemeier Hansson.

>> Kévin Estre et Michael Christensen ont placé pour la première fois la nouvelle Porsche 911 RSR en pole de la catégorie GTE Pro du WEC aux 6 Heures du Nürburgring avec un chrono moyen de 1’54’’007. La n°92 a devancé de plus de 3 dixièmes l’Aston Martin de Nicki Thiim et Marco Sorensen.

La seconde Porsche de Frdéric Makowiecki et Richard Lietz a suivi à une demi-seconde devant la La Ford GT n°66 de Stefan Mücke et Olivier Pla et la Ferrari n°71 AF Corse de Toni Vilander et Davide Rigon. La seconde Ferrari de James Calado et Alessandro Pier Guidi n’est que 7e entre la Ford GT d’Harry Tincknell et Andy Priaulx et l’Aston Martin de Senna-Adam.

>> Aston Martin décroche sa 8e pole consécutive avec la Vantage n°98 de Dalla Lana-Lamy-Lauda créditée d’un temps de 1’56’’721.

Jacques-Armand Dupuis, au Nürburgring

[BRUNO935K3]

>> La rumeur entourant un possible départ du constructeur allemand grossit depuis plusieurs semaines, et a notamment beaucoup fait parler en marge des 24 Heures du Mans, le mois dernier. Dans ce contexte, le team principal de Porsche a confié dans le paddock du Nürburgring qu'il ne faudrait plus patienter longtemps pour en savoir plus.



"Nous prendrons une décision avant la fin du mois de juillet", a fait savoir Andreas Seidl. L'Allemand a toutefois refusé de s'épancher davantage sur ce sujet majeur, rappelant que la concentration était totalement tournée vers ce week-end de course à domicile pour la marque.

Théoriquement, Porsche est engagé en LMP1 jusqu'à la fin de la saison 2018. Après avoir fait son retour en 2014 dans la discipline, le constructeur allemand avait prolongé son implication initiale de trois ans en août 2015. Les spéculations entourant un départ ont gagné en intensité au mois de juin, notamment suite à la présence de dirigeants de Porsche dans le paddock de la Formule E lors des ePrix de Monaco et de Berlin. Outre un possible engagement dans la discipline électrique, Porsche pourrait également lorgner vers la Formule 1 à plus long terme, le règlement moteur de la catégorie reine étant amené à évoluer après 2020.

La concurrence du LMP1 s'est réduite à deux constructeurs cette année, Porsche et Toyota se retrouvant seuls suite au départ d'Audi en fin d'année dernière. Concernant le constructeur japonais, il est prévu sur le papier qu'il soit présent jusqu'à fin 2019. Du côté des dirigeants nippons, on se refuse à commenter quelle pourrait être l'incidence d'un départ de Porsche sur les plans de la marque.

"Pour le moment, dans la situation que nous connaissons, notre management s'est engagé pour l'année prochaine", a indiqué le directeur technique de Toyota, Pascal Vasselon, avant d'admettre qu'un retrait de Porsche "serait un problème".

"Nous repenserons notre stratégie quand les conditions changeront : je ne peux pas développer davantage sur quelque chose qui n'est pas matérialisé", a-t-il ajouté. "Je ne sais pas quelle serait notre position, mais il est certain que nous avons besoin de concurrents."

Toyota espère voir arriver de nouveaux constructeurs en LMP1 à l'horizon 2020, date à laquelle le nouveau règlement technique, présenté au Mans le mois dernier, entrera vigueur.

Source : motorsports.com / Propos recueillis par Gary Watkins

[Johan]

Porsche cherche à faire pression à la FIA et à l'ACO dans le but qu'ils revoient le règlement des LMP1. C'est vrai que la technologie hybrid est trop pointue et couteuse. On l'a bien vu cette année au Mans où les LMP2 étaient plus fiables.

[Johan]

Vidéo du Larbre Compétition aux 24H du Mans.

[boubou]

Le WEC 2018 sans Porsche et probablement sans Toyota

[Admin]

Le WEC 2018 sans Porsche et probablement sans Toyota  

 Fin des lmp1 ?







Ou retour de Peugeot ?

[Johan]

Si Porsche et Toyota se retirent du WEC, l'écurie de Colin Kolles aura peut-être une chance de remporter le titre et Le Mans l'année prochaine.

Blagues à part, c'est vrai que les coûts ont littéralement crevé le plafond, il parait même que c'est plus cher qu'en F1. Au début, tout le monde était content, ca ne dérangeait personne parce que le championnat était plus passionnant que la Formule 1 mais maintenant... on s'aperçoit que ça marchait trop bien.
A mon avis, le problème est que cette technologie hybrid qui coûte trop cher à développer pour les constructeurs en plus de ne pas être fiable. On l'a bien vu aux dernières 24H du Mans.

Du coup, en 2018, on ne verra quasiment que des LMP2 en tête d'affiche. C'est triste pour un championnat qui se voyait plus en avant-garde que la F1. C'est un retour en arrière évident. Comme disait Jean-Luc Roy, les bons "vieux" moteurs essence fonctionnent bien mieux.

Les organisateurs voulaient améliorer le règlement pour 2020 alors que franchement, c'est trop tard. Il valait mieux qu'ils le fassent dès maintenant pour 2018.

[boubou]

Le WEC 2018 sans Porsche et probablement sans Toyota  

 Fin des lmp1 ?







Ou retour de Peugeot ?

Peugeot ne reviendra pas s'ils sont tout seul
Fin des LMP1 Hy , ça y ressemble mais des LMP1 privé y en aura

[BRUNO935K3]

Ok, retour des 24h00 des "privés"...

[BRUNO935K3]

>> Porsche serait en passe de communiquer autour de son retrait du WEC dans la catégorie LMP1 à l’issue de cette saison 2017. Le constructeur de Stuttgart pourrait confirmer cette nouvelle dans les prochaines 24 heures, une réunion s’étant tenu à Stuttgart cette semaine pour entériner ce choix.

Après avoir remporté trois victoires consécutives aux 24 Heures du Mans avec la 919 Hybrid, Porsche suivrait donc son cousin Audi un an après en quittant la catégorie reine du WEC. Selon nos informations obtenues dans le paddock des 6 Heures du Nürburgring mi-juillet, un duel à deux - face à Toyota en l’occurrence - ne semble plus justifier l’importance des sommes engagées en WEC, d’autant plus que le règlement technique 2020 dévoilé au Mans n’a pas semblé réconforter les dirigeants de Porsche sur ce point.

Le constructeur de Stuttgart se tournerait vers un engagement en Formule e, probablement à partir de 2019, qui cadrerait avec les futurs projets de la marque, à savoir le lancement en 2020 d’une voiture de série 100% électrique. Elle y retrouverait Audi, mais aussi ses concurrents Premium que sont Mercedes et BMW qui ont eux aussi validé leurs arrivées officielles.

Enfin, les spéculations quant à une arrivée prochaine en Formule 1, en qualité de motoriste de Red Bull et de McLaren, se renforcent. Nous en saurons plus dans les prochaines heures ou prochains jours.

Source : autohebo.fr

[nairboul]

Un cycle ce termine, pour remplacer l ' hybride il y a ... l ' hybride  la plupart des groupes automobiles savent faire. Moi président  voici le plateau que j ' aimerais voir : Ferrari : LaFerrari/McLaren P1/Porsche 918/Honda  NSX/BMW i8... ,un poids ramené à 900 kgs ,des voitures identifiable pas que par les spécialistes, mais bon... de toute manière Porsche fait le bon choix a mon avis.

[nairboul]

[BRUNO935K3]

>> Le Toyota Gazoo Racing perd son unique adversaire suite au retrait de Porsche. Akio Toyoda, patron de Toyota, s’est exprimé sur ce retrait :

« C’est très regrettable d’apprendre que Porsche se retire de la catégorie LM P1 du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA. Lors des 24 Heures du Mans l’année passée, nous étions honorés que Porsche considère Toyota comme un sérieux rival. C’était une grande bataille alors que nous luttions l’un contre l’autre pour la victoire. Pour ce qui est de cette année, nous avons relevé le défi pour surpasser Porsche. Tout cela nous a poussé à travailler encore plus fort et à faire de notre mieux pour mettre en place de nouvelles technologies et compétences. J’ai eu l’occasion cette année de parler avec le Dr Porsche. Il m’a confié, que comme nous, sa société est engagée en sport automobile pour améliorer ses voitures de production.

« Je suis triste et déçu que nous ne soyons plus capables de mettre nos technologies l’une contre l’autre l’année prochaine. Cependant, la lutte n’est pas terminée. Nous continuerons à nous battre de toutes nos forces sur les cinq autres manches cette année. Actuellement, je me demande lequel des deux félicitera l’autre. »

Le constructeur doit encore annoncer son programme 2018 même si le plan était bien de poursuivre la saison prochaine.
> Même sans la présence de deux constructeurs en LM P1, le label mondial n’est pas en péril avec trois couronnes en jeu : Pilotes (LM P1,LM P2), Constructeurs GT, Pilotes GT.

L’une des questions qui reste sans réponse est de savoir qui se battra pour la victoire aux 24 Heures du Mans 2018…


Source : endurance-info.com

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