Revue de presse : infos générales.
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Re: Revue de presse : infos générales.
Giancarlo Minardi pense qu'Alonso sera champion du monde
Giancarlo Minardi, l'ancien patron de l'écurie de Formule 1 Minardi, pense que Fernando Alonso - qui a débuté au sein de la Scuderia Minardi en 2001 - sera sacré champion du monde de Formule 1 cette saison pour sa première année au sein de la Scuderia Ferrari.
"En tant que fan, je parierais sur Fernando (Alonso). La lutte va être très serrée pour le titre, mais les soucis de management chez Red Bull pourraient être décisifs," a confié Giancarlo Minardi à la Gazzetta dello Sport.
"Fernando apporte une valeur ajoutée, c'est un pilote qui peut imposer son style à sa monoplace, et il se donne toujours à 100% et le reste doit venir du développement de la monoplace," a ajouté Minardi.
Giancarlo Minardi a également fait débuter Mark Webber, l'actuel leader du championnat du monde et il pense que l'australien est "un grand pilote" qui est "largement sous-évalué". Mais il pense que les erreurs dans le management des deux pilotes au sein de l'écurie Red Bull pourraient profiter à Alonso.
Source : Le mag de la F1
Giancarlo Minardi, l'ancien patron de l'écurie de Formule 1 Minardi, pense que Fernando Alonso - qui a débuté au sein de la Scuderia Minardi en 2001 - sera sacré champion du monde de Formule 1 cette saison pour sa première année au sein de la Scuderia Ferrari.
"En tant que fan, je parierais sur Fernando (Alonso). La lutte va être très serrée pour le titre, mais les soucis de management chez Red Bull pourraient être décisifs," a confié Giancarlo Minardi à la Gazzetta dello Sport.
"Fernando apporte une valeur ajoutée, c'est un pilote qui peut imposer son style à sa monoplace, et il se donne toujours à 100% et le reste doit venir du développement de la monoplace," a ajouté Minardi.
Giancarlo Minardi a également fait débuter Mark Webber, l'actuel leader du championnat du monde et il pense que l'australien est "un grand pilote" qui est "largement sous-évalué". Mais il pense que les erreurs dans le management des deux pilotes au sein de l'écurie Red Bull pourraient profiter à Alonso.
Source : Le mag de la F1
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Mercedes avoue ne maîtriser ni F-duct ni diffuseur soufflé
En convainquant le directoire de Mercedes-Benz de s’offrir son écurie de course et de se désengager peu à peu de McLaren, le département Sport du constructeur de Stuttgart ne pensait pas être la 1ère des quatre écuries de pointe présumées à lâcher prise au championnat. Après 12 Grand-Prix, la formation double championne du monde en titre présente un palmarès aussi insignifiant que celui de la saison passée était tonitruant : aucune victoire (contre 7 en 2009), 3 podiums et un septuple champion du monde dont la maîtrise des évènements est en capilotade.
Mercedes ne se cache pas derrière son petit doigt. Son bilan est sans concession mais il est hors de question de se considérer inférieure aux écuries phares du plateau 2010. « Comme souvent, nous ne sommes pas à la place où nous aimerions être mais d’un certain côté c’est fréquemment l’essence même du jeu en Formule Un. Je suis en F1 depuis un bon moment, Ross [Brawn] depuis encore plus longtemps mais la plupart du temps cherche à progresser et à courir derrière les autres » explique Norbert Haug, vice-président de Mercedes Motorsport, titré avec McLaren à trois reprises (1998/99, 2008) en 17 ans depuis le retour de la firme à l’étoile dans le pinacle du sport automobile, en 1994, 40 ans après ses derniers succès.
« Mais cette équipe a l’expertise, elle a gagné le championnat l’année dernière et je suis convaincu que nous avons besoin de temps et que nous pouvons réellement progresser. Notre voiture n’est pas mauvaise mais les choses ne s’assemblent pas à 100%, parfois c’est mieux, parfois on n’atteint pas nos objectifs. Mais nous avons les ingrédients du succès, nous devons nous concentrer et rester solidaires. Si vous ne respecter pas ces règles, vous appartenez rapidement au passé ! »
Dans son arène d’Hockenheim, Mercedes a pris une gifle en naviguant dans les profondeurs du top 10, derrière Renault et donc à la traîne des constructeurs impliqués en F1. A la pointe de la technologie il y a 12 mois avec son diffuseur double qui narguait les gros bras habituels et Red Bull Racing, l’écurie de Brackley est aujourd’hui à la traîne. A Hockenheim, le diffuseur soufflé de la W01 était le nœud du problème. Il induisait une surchauffe de l’environnement de la voiture et lui faisait perdre une fraction de sa performance intrinsèque. « Nous avons abandonné ce fond plat et il a été redessiné à temps pour Spa » avoue Haug en reconnaissant que son équipe ne maîtrise pas les deux sujets techniques fondamentaux de la saison 2010 : le diffuseur soufflé, mais aussi le F-duct. « Nous n’avons pas encore totalement résolu nos problèmes. Nous avons fait quelques progrès ici et là mais les deux technologies à maîtriser ne le sont pas encore totalement. »
Le F-duct aura fait un passage éclair en Formule Un et sera prohibé en 2011. Ce sera un casse-tête de moins pour Mercedes GP qui n’aura pas la possibilité de décevoir les instances dirigeantes de Mercedes-Benz une deuxième année consécutive.
Source : automoto365
En convainquant le directoire de Mercedes-Benz de s’offrir son écurie de course et de se désengager peu à peu de McLaren, le département Sport du constructeur de Stuttgart ne pensait pas être la 1ère des quatre écuries de pointe présumées à lâcher prise au championnat. Après 12 Grand-Prix, la formation double championne du monde en titre présente un palmarès aussi insignifiant que celui de la saison passée était tonitruant : aucune victoire (contre 7 en 2009), 3 podiums et un septuple champion du monde dont la maîtrise des évènements est en capilotade.
Mercedes ne se cache pas derrière son petit doigt. Son bilan est sans concession mais il est hors de question de se considérer inférieure aux écuries phares du plateau 2010. « Comme souvent, nous ne sommes pas à la place où nous aimerions être mais d’un certain côté c’est fréquemment l’essence même du jeu en Formule Un. Je suis en F1 depuis un bon moment, Ross [Brawn] depuis encore plus longtemps mais la plupart du temps cherche à progresser et à courir derrière les autres » explique Norbert Haug, vice-président de Mercedes Motorsport, titré avec McLaren à trois reprises (1998/99, 2008) en 17 ans depuis le retour de la firme à l’étoile dans le pinacle du sport automobile, en 1994, 40 ans après ses derniers succès.
« Mais cette équipe a l’expertise, elle a gagné le championnat l’année dernière et je suis convaincu que nous avons besoin de temps et que nous pouvons réellement progresser. Notre voiture n’est pas mauvaise mais les choses ne s’assemblent pas à 100%, parfois c’est mieux, parfois on n’atteint pas nos objectifs. Mais nous avons les ingrédients du succès, nous devons nous concentrer et rester solidaires. Si vous ne respecter pas ces règles, vous appartenez rapidement au passé ! »
Dans son arène d’Hockenheim, Mercedes a pris une gifle en naviguant dans les profondeurs du top 10, derrière Renault et donc à la traîne des constructeurs impliqués en F1. A la pointe de la technologie il y a 12 mois avec son diffuseur double qui narguait les gros bras habituels et Red Bull Racing, l’écurie de Brackley est aujourd’hui à la traîne. A Hockenheim, le diffuseur soufflé de la W01 était le nœud du problème. Il induisait une surchauffe de l’environnement de la voiture et lui faisait perdre une fraction de sa performance intrinsèque. « Nous avons abandonné ce fond plat et il a été redessiné à temps pour Spa » avoue Haug en reconnaissant que son équipe ne maîtrise pas les deux sujets techniques fondamentaux de la saison 2010 : le diffuseur soufflé, mais aussi le F-duct. « Nous n’avons pas encore totalement résolu nos problèmes. Nous avons fait quelques progrès ici et là mais les deux technologies à maîtriser ne le sont pas encore totalement. »
Le F-duct aura fait un passage éclair en Formule Un et sera prohibé en 2011. Ce sera un casse-tête de moins pour Mercedes GP qui n’aura pas la possibilité de décevoir les instances dirigeantes de Mercedes-Benz une deuxième année consécutive.
Source : automoto365
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Re: Revue de presse : infos générales.
La RB6 non-conforme ? Red Bull… shit, affirme Webber !
La polémique née de la flexibilité manifeste de l’aileron avant des Red Bull Racing et des Ferrari – maintes fois prouvée par les caméras embarquées ainsi que par les gros plans autorisées par les loupes des producteurs des retransmissions des Grand-Prix – bat son plein. L’enjeu du débat ? L’issue des deux championnats du monde Conducteurs et Constructeurs ! Pourtant, les deux écuries qui écrasent la concurrence depuis deux Grand-Prix n’ont pas enfreint la loi comme l’ont démontré les tests de flexibilité menés par la Fédération Internationale de l’Automobile au soir du Grand-Prix d’Allemagne (cf ci-dessous l’article de la réglementation technique).
Profitant d’une réglementation qui devrait être dépoussiérée pour être en phase avec les tests drastiques pratiqués sur l’aileron arrière, Red Bull Racing et Ferrari se sont engouffrés dans une brèche que la FIA s’est promis de colmater dans les prochaines semaines. En attendant, les ambassadeurs et les détracteurs de l’aileron arrière flexible s’affrontent à coup de joutes verbales. Le plaidoyer de Mark Webber est haut en couleur et a le mérite d’être clair à défaut de faire honneur à la langue de Shakespeare…
« Nos hommes se sont cassés les couilles pour concevoir une voiture qui est dans l’esprit de la réglementation et à chaque fois qu’elle a subi un test FIA, elle l’a passé » s’emporte le leader du championnat au micro de Sky, « Lorsque les gens n’aiment pas ce qu’ils voient sur leur chronomètre, ils doivent essayer de justifier leur position » affirme Mark Webber, « Lorsqu’ils ressentent la pression d’être performants et qu’ils sont laminés, voilà comment les choses se passent… »
« McLaren a inventé le F-duct qui est une idée sensationnelle. Nous avons remué ciel et terre pour trouver le moyen de l’incorporer et ça ne va pas sans mal au niveau des ressources, mais c’est la F1 » argumente l’Australien en tentant un parallèle osé entre un système (F-duct) qui n’était pas répertorié dans la réglementation technique en début de saison, et un autre (aileron flexible) qui écorne l’esprit de la loi sans toutefois transgresser la réglementation. « On ne devrait jamais pénalisé les choses qui sont ingénieuses et les gens qui font du bon travail et pourtant c’est parfois le cas. Il y a toujours une nouveauté à trouver. »
Article 3.17 de la Réglementation Technique :
Flexibilité de la carrosserie
La carrosserie ne pourra se déformer de plus de 10 mm verticalement lorsqu'une charge de 500N sera appliquée verticalement sur elle à 800 mm en avant de l'axe des roues avant et à 795 mm de l'axe de la voiture. La charge sera appliquée vers le bas en utilisant une tige de 50 mm de diamètre et un adaptateur de 300 mm de long et de 150 mm de large.
Source : automoto365
La polémique née de la flexibilité manifeste de l’aileron avant des Red Bull Racing et des Ferrari – maintes fois prouvée par les caméras embarquées ainsi que par les gros plans autorisées par les loupes des producteurs des retransmissions des Grand-Prix – bat son plein. L’enjeu du débat ? L’issue des deux championnats du monde Conducteurs et Constructeurs ! Pourtant, les deux écuries qui écrasent la concurrence depuis deux Grand-Prix n’ont pas enfreint la loi comme l’ont démontré les tests de flexibilité menés par la Fédération Internationale de l’Automobile au soir du Grand-Prix d’Allemagne (cf ci-dessous l’article de la réglementation technique).
Profitant d’une réglementation qui devrait être dépoussiérée pour être en phase avec les tests drastiques pratiqués sur l’aileron arrière, Red Bull Racing et Ferrari se sont engouffrés dans une brèche que la FIA s’est promis de colmater dans les prochaines semaines. En attendant, les ambassadeurs et les détracteurs de l’aileron arrière flexible s’affrontent à coup de joutes verbales. Le plaidoyer de Mark Webber est haut en couleur et a le mérite d’être clair à défaut de faire honneur à la langue de Shakespeare…
« Nos hommes se sont cassés les couilles pour concevoir une voiture qui est dans l’esprit de la réglementation et à chaque fois qu’elle a subi un test FIA, elle l’a passé » s’emporte le leader du championnat au micro de Sky, « Lorsque les gens n’aiment pas ce qu’ils voient sur leur chronomètre, ils doivent essayer de justifier leur position » affirme Mark Webber, « Lorsqu’ils ressentent la pression d’être performants et qu’ils sont laminés, voilà comment les choses se passent… »
« McLaren a inventé le F-duct qui est une idée sensationnelle. Nous avons remué ciel et terre pour trouver le moyen de l’incorporer et ça ne va pas sans mal au niveau des ressources, mais c’est la F1 » argumente l’Australien en tentant un parallèle osé entre un système (F-duct) qui n’était pas répertorié dans la réglementation technique en début de saison, et un autre (aileron flexible) qui écorne l’esprit de la loi sans toutefois transgresser la réglementation. « On ne devrait jamais pénalisé les choses qui sont ingénieuses et les gens qui font du bon travail et pourtant c’est parfois le cas. Il y a toujours une nouveauté à trouver. »
Article 3.17 de la Réglementation Technique :
Flexibilité de la carrosserie
La carrosserie ne pourra se déformer de plus de 10 mm verticalement lorsqu'une charge de 500N sera appliquée verticalement sur elle à 800 mm en avant de l'axe des roues avant et à 795 mm de l'axe de la voiture. La charge sera appliquée vers le bas en utilisant une tige de 50 mm de diamètre et un adaptateur de 300 mm de long et de 150 mm de large.
Source : automoto365
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Re: Revue de presse : infos générales.
Adrian Sutil cherche une équipe plus performante
Le nom d’Adrian Sutil circule depuis quelques temps comme un possible remplaçant de Vitaly Petrov chez Renault, et le pilote allemand veut aller de l’avant et cherche une équipe lui permettant de gagner des courses.
Adrian Sutil reste sur le marché des transferts… Actuellement classé dixième au championnat des pilotes, ayant eu comme meilleur résultat cette année une cinquième place en Malaisie, Adrian Sutil espère des jours meilleurs, et cherche une équipe lui permettant d’avancer dans sa carrière.
« Je suis heureux chez Force India, mais je veux aller de l’avant. Les meilleures équipes sont à peu près pleines, de sorte qu’il est difficile de trouver une meilleure place qu’ici. Marquer des points régulièrement était mon objectif cette saison mais l’année prochaine, je veux avancer, ici ou ailleurs, » affirme Adrian Sutil.
« C’est une décision difficile à prendre. Si vous signez avec une équipe pour trois ans mais que vous n’êtes pas convaincu que l’équipe est meilleure, alors vous ne devriez pas le faire. »
Force India avait amené en Hongrie, plein d’espoir, un diffuseur soufflé par des échappements bas, qu’elle a pu tester pendant les essais libres, avant de le retirer en course.
« La dernière évolution a été très concluante, mais pas prête pour une course. Le diffuseur et les triangles de suspension montent à des températures très élevées. Le risque aurait été trop élevé, mais il fonctionnait bien et nous espérons l’utiliser à Spa, » assure le pilote allemand.
Adrian Sutil s’attend tout de même à des Grands Prix plus difficiles pour le reste de la saison comparés à ceux de 2009, ne prévoyant pas de réitérer l’exploit de Giancarlo Fisechella qui avait fini second lors du Grand Prix de Belgique 2009.
Il devra se battre pour permettre à son équipe Force India de rester devant Williams au championnat du monde des constructeurs.
« Notre avantage ne sera pas comme l’année dernière, lorsque nous avions une vitesse en ligne droite incroyable et une voiture efficace. Mais nous sommes encore bons et des points devrait être possible à Spa et Monza, » dit Adrian Sutil.
Source : StandF1.com
Ceci va un peu à l'encontre de son interview dans AH de la semaine passée !
Le nom d’Adrian Sutil circule depuis quelques temps comme un possible remplaçant de Vitaly Petrov chez Renault, et le pilote allemand veut aller de l’avant et cherche une équipe lui permettant de gagner des courses.
Adrian Sutil reste sur le marché des transferts… Actuellement classé dixième au championnat des pilotes, ayant eu comme meilleur résultat cette année une cinquième place en Malaisie, Adrian Sutil espère des jours meilleurs, et cherche une équipe lui permettant d’avancer dans sa carrière.
« Je suis heureux chez Force India, mais je veux aller de l’avant. Les meilleures équipes sont à peu près pleines, de sorte qu’il est difficile de trouver une meilleure place qu’ici. Marquer des points régulièrement était mon objectif cette saison mais l’année prochaine, je veux avancer, ici ou ailleurs, » affirme Adrian Sutil.
« C’est une décision difficile à prendre. Si vous signez avec une équipe pour trois ans mais que vous n’êtes pas convaincu que l’équipe est meilleure, alors vous ne devriez pas le faire. »
Force India avait amené en Hongrie, plein d’espoir, un diffuseur soufflé par des échappements bas, qu’elle a pu tester pendant les essais libres, avant de le retirer en course.
« La dernière évolution a été très concluante, mais pas prête pour une course. Le diffuseur et les triangles de suspension montent à des températures très élevées. Le risque aurait été trop élevé, mais il fonctionnait bien et nous espérons l’utiliser à Spa, » assure le pilote allemand.
Adrian Sutil s’attend tout de même à des Grands Prix plus difficiles pour le reste de la saison comparés à ceux de 2009, ne prévoyant pas de réitérer l’exploit de Giancarlo Fisechella qui avait fini second lors du Grand Prix de Belgique 2009.
Il devra se battre pour permettre à son équipe Force India de rester devant Williams au championnat du monde des constructeurs.
« Notre avantage ne sera pas comme l’année dernière, lorsque nous avions une vitesse en ligne droite incroyable et une voiture efficace. Mais nous sommes encore bons et des points devrait être possible à Spa et Monza, » dit Adrian Sutil.
Source : StandF1.com
Ceci va un peu à l'encontre de son interview dans AH de la semaine passée !
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Schumi a été assez critiqué, dit Haug
Le patron de Mercedes Motorsport, Norbert Haug, demande aux média et à la communauté F1 de cesser les critiques émises à l'égard de son pilote, Michael Schumacher.
Alors que le retour du septuple champion soulève déjà des questionnements, Schumacher a lui-même provoqué une polémique dans les derniers tours du Grand Prix de Hongrie le week-end dernier. En voulant se défendre contre une attaque de Rubens Barrichello, l'Allemand a failli envoyer son ancien coéquipier contre un mur de béton à 290 km/h.
Ce geste lui a valu une pénalité de recul de 10 places sur la prochaine grille de départ, mais aussi une pluie de critiques. Sa manœuvre était effectivement dangereuse. Fait rare, Schumacher s'est même excusé de l'avoir pratiquée.
Selon Haug, il serait maintenant temps de tourner la page sur cette histoire.
"Michael a présenté ses excuses et accepté sa pénalité", a-t-il dit au Der Tagespiegel. "Tout le monde devrait l'accepter et tirer un trait sur ce sujet."
On peut comprendre Mercedes de vouloir en finir avec une histoire qui fait mauvaise presse. Mais pour d'autres, il ne faudrait pas que cet événement soit simplement oublié. Surtout qu'il ne s'agit pas ici d'une recrue trop audacieuse mais bien d'un vétéran plus qu'expérimenté.
"Il a été champion du monde sept fois, il savait exactement ce qu'il faisait, c'était tout à fait délibéré", a déclaré l'ancien pilote Alex Wurz. "Une collision aurait pu être fatale."
"J'ai encore des frissons quand je regarde cette manœuvre", a écrit le pilote d'essais de Ferrari, Marc Gené, dans le journal El Mundo. "C'était inutile et dangereux."
"C'était un des plus flagrants malmenages d'un autre pilote que j'aie vu", annonçait le triple champion Jackie Stewart au journal The Sun. L'Écossais a été un pionnier de la F1 en matière de sécurité.
"Il s'agit d'un très mauvais exemple venant d'un homme ayant sept titres à son nom. Des tactiques de brute", ajoutait Stewart.
© ESPN EMEA Ltd.
Le patron de Mercedes Motorsport, Norbert Haug, demande aux média et à la communauté F1 de cesser les critiques émises à l'égard de son pilote, Michael Schumacher.
Alors que le retour du septuple champion soulève déjà des questionnements, Schumacher a lui-même provoqué une polémique dans les derniers tours du Grand Prix de Hongrie le week-end dernier. En voulant se défendre contre une attaque de Rubens Barrichello, l'Allemand a failli envoyer son ancien coéquipier contre un mur de béton à 290 km/h.
Ce geste lui a valu une pénalité de recul de 10 places sur la prochaine grille de départ, mais aussi une pluie de critiques. Sa manœuvre était effectivement dangereuse. Fait rare, Schumacher s'est même excusé de l'avoir pratiquée.
Selon Haug, il serait maintenant temps de tourner la page sur cette histoire.
"Michael a présenté ses excuses et accepté sa pénalité", a-t-il dit au Der Tagespiegel. "Tout le monde devrait l'accepter et tirer un trait sur ce sujet."
On peut comprendre Mercedes de vouloir en finir avec une histoire qui fait mauvaise presse. Mais pour d'autres, il ne faudrait pas que cet événement soit simplement oublié. Surtout qu'il ne s'agit pas ici d'une recrue trop audacieuse mais bien d'un vétéran plus qu'expérimenté.
"Il a été champion du monde sept fois, il savait exactement ce qu'il faisait, c'était tout à fait délibéré", a déclaré l'ancien pilote Alex Wurz. "Une collision aurait pu être fatale."
"J'ai encore des frissons quand je regarde cette manœuvre", a écrit le pilote d'essais de Ferrari, Marc Gené, dans le journal El Mundo. "C'était inutile et dangereux."
"C'était un des plus flagrants malmenages d'un autre pilote que j'aie vu", annonçait le triple champion Jackie Stewart au journal The Sun. L'Écossais a été un pionnier de la F1 en matière de sécurité.
"Il s'agit d'un très mauvais exemple venant d'un homme ayant sept titres à son nom. Des tactiques de brute", ajoutait Stewart.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Un Malais de 16 ans dans la Lotus
Lotus annonce que Nabil Jeffri, 16 ans, sera son pilote pour une journée d'essais en ligne droite qui se tiendra en Grande-Bretagne début septembre.
Ce membre du programme AirAsia ASEAN Driver development, mis en place par la compagnie aérienne AirAsia, dont le président Tony Fernandes est aussi président de Lotus, occupe actuellement la cinquième place de la Formula BMW Asia.
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Lotus annonce que Nabil Jeffri, 16 ans, sera son pilote pour une journée d'essais en ligne droite qui se tiendra en Grande-Bretagne début septembre.
Ce membre du programme AirAsia ASEAN Driver development, mis en place par la compagnie aérienne AirAsia, dont le président Tony Fernandes est aussi président de Lotus, occupe actuellement la cinquième place de la Formula BMW Asia.
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Re: Revue de presse : infos générales.
Willy Weber échappe à la prison
La justice allemande n'a infligé qu'une amende de 360 000 € a Willy Weber. L'ancien manager de Michael Schumacher comparaissait à Stuttgart pour la banqueroute frauduleuse de l'une de ses sociétés.
Pour la mise en faillite de Pole Position Management et un détournement de fonds, l'impresario allemand avait déjà reçu une importante amende il y a deux ans. Lors de ce nouveau jugement, une autre amende lui a été infligée, ainsi qu'une période de probation de deux ans.
Michael Schumacher n'est pas venu témoigner alors que l'avocate de Weber avait évoqué cette éventualité. Toujours en affaire avec le clan Schumacher, Weber a pris du recul depuis que son ex-poulain a fait son retour à la compétition. Il gère les intérêts de Nico Hülkenberg.
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La justice allemande n'a infligé qu'une amende de 360 000 € a Willy Weber. L'ancien manager de Michael Schumacher comparaissait à Stuttgart pour la banqueroute frauduleuse de l'une de ses sociétés.
Pour la mise en faillite de Pole Position Management et un détournement de fonds, l'impresario allemand avait déjà reçu une importante amende il y a deux ans. Lors de ce nouveau jugement, une autre amende lui a été infligée, ainsi qu'une période de probation de deux ans.
Michael Schumacher n'est pas venu témoigner alors que l'avocate de Weber avait évoqué cette éventualité. Toujours en affaire avec le clan Schumacher, Weber a pris du recul depuis que son ex-poulain a fait son retour à la compétition. Il gère les intérêts de Nico Hülkenberg.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Un circuit de 180 millions $
Le futur circuit d'Austin représentera un investissement de 180 millions $ (136m €). C'est ce qu'indiquent des documents obtenus par le journal American Statesman.
Le premier Grand-Prix des États couru dans la ville texane devrait avoir lieu en 2012. L'entreprise du promoteur Tavo Hellmund, Full Throttle Productions, projette des retombées économiques de 300 millions $ sur la région lors des week-ends de course. De plus, les organisateurs espèrent vendre 300 000 billets au cours des trois jours de l'événement.
D'ici la première course, 1500 ouvriers seront à l'œuvre sur le chantier situé près de l'aéroport. Le circuit, conçu par Hermann Tilke, l'architecte dont les tracés parsèment le calendrier de la F1, aura une vocation très diverse.
Mis à part le Grand Prix des États-Unis, qui sera "l'événement de l'année" autant pour la ville d'Austin que pour l'état du Texas d'après le document, le circuit pourra accueillir une panoplie d'activités.
Comme prévu, d'autres séries de sport automobile pourront y courir ou faire des essais, mais le complexe invitera l'industrie automobile à venir y tester de nouvelles sources d'énergie pour les voitures de série. Des encans de voitures de collection et l'organisation de concerts sont également dans les plans.
De plus, le circuit pourrait servir de centre d'entraînement pour les forces de l'ordre, et aussi de plateau de tournage pour l'industrie du cinéma. Les propriétaires espèrent ainsi attirer des activités sur leur nouveau circuit 250 jours par année.
Comme c'est souvent le cas au Texas, on voit grand. Mais le projet a gagné beaucoup de crédibilité dernièrement.
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Le futur circuit d'Austin représentera un investissement de 180 millions $ (136m €). C'est ce qu'indiquent des documents obtenus par le journal American Statesman.
Le premier Grand-Prix des États couru dans la ville texane devrait avoir lieu en 2012. L'entreprise du promoteur Tavo Hellmund, Full Throttle Productions, projette des retombées économiques de 300 millions $ sur la région lors des week-ends de course. De plus, les organisateurs espèrent vendre 300 000 billets au cours des trois jours de l'événement.
D'ici la première course, 1500 ouvriers seront à l'œuvre sur le chantier situé près de l'aéroport. Le circuit, conçu par Hermann Tilke, l'architecte dont les tracés parsèment le calendrier de la F1, aura une vocation très diverse.
Mis à part le Grand Prix des États-Unis, qui sera "l'événement de l'année" autant pour la ville d'Austin que pour l'état du Texas d'après le document, le circuit pourra accueillir une panoplie d'activités.
Comme prévu, d'autres séries de sport automobile pourront y courir ou faire des essais, mais le complexe invitera l'industrie automobile à venir y tester de nouvelles sources d'énergie pour les voitures de série. Des encans de voitures de collection et l'organisation de concerts sont également dans les plans.
De plus, le circuit pourrait servir de centre d'entraînement pour les forces de l'ordre, et aussi de plateau de tournage pour l'industrie du cinéma. Les propriétaires espèrent ainsi attirer des activités sur leur nouveau circuit 250 jours par année.
Comme c'est souvent le cas au Texas, on voit grand. Mais le projet a gagné beaucoup de crédibilité dernièrement.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Communications radio peu subtiles
Les communications radio entre Ferrari et ses pilotes lors du Grand Prix d'Allemagne laissent peu de doutes sur les intentions de l'équipe. C'est ce que démontre une vidéo apparaissant sur le site officiel de la Formule 1.
Felipe Massa menait la course depuis le départ. Son coéquipier Fernando Alonso, plus rapide, n'arrivait pas à le doubler sur le tracé de Hockenheim. Par radio, il a contacté son équipe pour leur fait part de son irritation. "C'est ridicule", a-t-il dit. Plus tard, il soulignait : "Je suis beaucoup plus rapide que Felipe."
"Nous avons compris ton message", lui a répondu deux fois l'ingénieur Andrea Stella.
Ce qui semble apparent, c'est qu'Alonso tentait de signifier à Ferrari qu'elle devait lui permettre de prendre les commandes de la course sans qu'il ait à prendre de risques. À ce moment de la course, la Red Bull de Sebastian Vettel, bien que quelques secondes plus loin, réduisait lentement l'écart.
L'ingénieur de course de Massa, Rob Smedley, informe le Brésilien de la situation : "Tu dois augmenter le rythme car Fernando est plus rapide." Un peu plus tard, alors qu'Alonso tente d'autres manœuvres, il ajoute : "C'est très près. Il va passer. Tu vas devoir te défendre."
Au 48e tour, alors que son coéquipier n'arrive toujours pas à le doubler : "Fernando est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer avoir compris ce message ?" Au tour suivant, Massa perd un peu de vitesse et Alonso le dépasse sans difficulté.
Smedley contacte Massa de nouveau pour lui dire : "OK, bien fait. Reste avec lui maintenant. Désolé". Lors du tour d'honneur d'Alonso, Smedley réconforte Massa en lui disant que son comportement a été "très, très magnanime."
Mais Massa, deuxième à l'arrivée, était loin d'être un pilote heureux : "Alors, que puis-je dire ? Félicitations à l'équipe."
Les communications radio démontrent que Massa a été encouragé à se défendre, mais que d'autres facteurs ont eu le dessus sur ses ambitions. Logiquement, la position plus favorable d'Alonso dans le classement du championnat des pilotes.
La manœuvre a été critiquée de toutes parts, surtout quand on sait que les rivales directes de Ferrari, soit Red Bull et McLaren, laissent leurs pilotes se battre.
Les commissaires du GP d'Allemagne n'ont pas apprécié l'utilisation d'un message codé. Ferrari a écopé d'une amende de 100 000 $ pour avoir émis des consignes d'équipe et le dossier de la scudéria a été référé au Conseil mondial du sport automobile de la FIA.
Ferrari devra s'expliquer lors d'une audience à Paris, le 8 septembre. D'autres sanctions sont possibles : l'équipe a également été accusée d'avoir terni l'image du sport.
© ESPN EMEA Ltd.
Les communications radio entre Ferrari et ses pilotes lors du Grand Prix d'Allemagne laissent peu de doutes sur les intentions de l'équipe. C'est ce que démontre une vidéo apparaissant sur le site officiel de la Formule 1.
Felipe Massa menait la course depuis le départ. Son coéquipier Fernando Alonso, plus rapide, n'arrivait pas à le doubler sur le tracé de Hockenheim. Par radio, il a contacté son équipe pour leur fait part de son irritation. "C'est ridicule", a-t-il dit. Plus tard, il soulignait : "Je suis beaucoup plus rapide que Felipe."
"Nous avons compris ton message", lui a répondu deux fois l'ingénieur Andrea Stella.
Ce qui semble apparent, c'est qu'Alonso tentait de signifier à Ferrari qu'elle devait lui permettre de prendre les commandes de la course sans qu'il ait à prendre de risques. À ce moment de la course, la Red Bull de Sebastian Vettel, bien que quelques secondes plus loin, réduisait lentement l'écart.
L'ingénieur de course de Massa, Rob Smedley, informe le Brésilien de la situation : "Tu dois augmenter le rythme car Fernando est plus rapide." Un peu plus tard, alors qu'Alonso tente d'autres manœuvres, il ajoute : "C'est très près. Il va passer. Tu vas devoir te défendre."
Au 48e tour, alors que son coéquipier n'arrive toujours pas à le doubler : "Fernando est plus rapide que toi. Peux-tu confirmer avoir compris ce message ?" Au tour suivant, Massa perd un peu de vitesse et Alonso le dépasse sans difficulté.
Smedley contacte Massa de nouveau pour lui dire : "OK, bien fait. Reste avec lui maintenant. Désolé". Lors du tour d'honneur d'Alonso, Smedley réconforte Massa en lui disant que son comportement a été "très, très magnanime."
Mais Massa, deuxième à l'arrivée, était loin d'être un pilote heureux : "Alors, que puis-je dire ? Félicitations à l'équipe."
Les communications radio démontrent que Massa a été encouragé à se défendre, mais que d'autres facteurs ont eu le dessus sur ses ambitions. Logiquement, la position plus favorable d'Alonso dans le classement du championnat des pilotes.
La manœuvre a été critiquée de toutes parts, surtout quand on sait que les rivales directes de Ferrari, soit Red Bull et McLaren, laissent leurs pilotes se battre.
Les commissaires du GP d'Allemagne n'ont pas apprécié l'utilisation d'un message codé. Ferrari a écopé d'une amende de 100 000 $ pour avoir émis des consignes d'équipe et le dossier de la scudéria a été référé au Conseil mondial du sport automobile de la FIA.
Ferrari devra s'expliquer lors d'une audience à Paris, le 8 septembre. D'autres sanctions sont possibles : l'équipe a également été accusée d'avoir terni l'image du sport.
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Re: Revue de presse : infos générales.
McLaren reviendra plus fort
Lewis Hamilton l'affirme, l'écurie McLaren sera en mesure de se battre pour les premiers postes lorsque la pause estivale prendra fin avec le Grand Prix de Belgique.
Le Britannique est le pilote ayant le plus longtemps mené le classement cette saison, mais son avance a été effritée au cours des dernières épreuves. En Hongrie le week-end dernier, Mark Webber remportait la manche et reprenait les commandes du championnat. Sur le coup d'un abandon, Hamilton était alors plutôt pessimiste.
Le lendemain, la F1 débutait ses vacances de trois semaines. Les usines sont fermées et tout reste au fixe pendant cette période, bien que certains n'arrêteront pas de se creuser les méninges pour trouver de nouvelles approches.
Chez McLaren, certaines solutions ont déjà été préparées pour la Belgique et le fameux circuit de Spa-Francorchamps. Voilà qui ravive les espoirs de Hamilton.
"Je sais que nous serons plus forts lors des sept dernières courses ; ce que nous avons préparé est très prometteur et nous progressons dans d'autres secteurs également", a-t-il écrit sur son site.
Prendre quelques semaines de vacances alors que tout reste encore à jouer ne le dérange pas : "C'est le meilleur moment pour faire une pause. En fait, nous allons reprendre la saison comme s'il s'agissait d'une nouvelle. Aucune des trois équipes de pointe n'est véritablement en retard au niveau des points. C'est très excitant !"
Avec Hamilton et son coéquipier Jenson Button, McLaren compte parmi ses rangs les deux derniers champions du monde. Celui de 2008 espère que cette concentration d'expérience fera la différence.
"Ce que nous avons actuellement n'est que la fondation de la lutte au titre, c'est ce qui nous attend qui décidera le championnat", souligne Hamilton. "McLaren a déjà passé par là. Nous savons comment gagner et nous ferons tout ce qu'il faut pour être une force très compétitive dès que le championnat reprendra à la fin du mois."
"En fait, j'ai très hâte à Spa ; je souhaiterais que ce soit la semaine prochaine !"
© ESPN EMEA Ltd.
Lewis Hamilton l'affirme, l'écurie McLaren sera en mesure de se battre pour les premiers postes lorsque la pause estivale prendra fin avec le Grand Prix de Belgique.
Le Britannique est le pilote ayant le plus longtemps mené le classement cette saison, mais son avance a été effritée au cours des dernières épreuves. En Hongrie le week-end dernier, Mark Webber remportait la manche et reprenait les commandes du championnat. Sur le coup d'un abandon, Hamilton était alors plutôt pessimiste.
Le lendemain, la F1 débutait ses vacances de trois semaines. Les usines sont fermées et tout reste au fixe pendant cette période, bien que certains n'arrêteront pas de se creuser les méninges pour trouver de nouvelles approches.
Chez McLaren, certaines solutions ont déjà été préparées pour la Belgique et le fameux circuit de Spa-Francorchamps. Voilà qui ravive les espoirs de Hamilton.
"Je sais que nous serons plus forts lors des sept dernières courses ; ce que nous avons préparé est très prometteur et nous progressons dans d'autres secteurs également", a-t-il écrit sur son site.
Prendre quelques semaines de vacances alors que tout reste encore à jouer ne le dérange pas : "C'est le meilleur moment pour faire une pause. En fait, nous allons reprendre la saison comme s'il s'agissait d'une nouvelle. Aucune des trois équipes de pointe n'est véritablement en retard au niveau des points. C'est très excitant !"
Avec Hamilton et son coéquipier Jenson Button, McLaren compte parmi ses rangs les deux derniers champions du monde. Celui de 2008 espère que cette concentration d'expérience fera la différence.
"Ce que nous avons actuellement n'est que la fondation de la lutte au titre, c'est ce qui nous attend qui décidera le championnat", souligne Hamilton. "McLaren a déjà passé par là. Nous savons comment gagner et nous ferons tout ce qu'il faut pour être une force très compétitive dès que le championnat reprendra à la fin du mois."
"En fait, j'ai très hâte à Spa ; je souhaiterais que ce soit la semaine prochaine !"
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Re: Revue de presse : infos générales.
Todt : "Maldonado mûr pour la F1"
Nicolas Todt avance actuellement la candidature de Pastor Maldonado, 25 ans, leader du GP2, à un baquet en F1 2011. Il fait la promotion du Vénézuélien chez Sauber et d'autres équipes, et leurs parle aussi du Français Jules Bianchi.
La France focalise sur son espoir Jules Bianchi mais on oublie souvent que Nicolas Todt manage aussi Pastor Maldonado, solide leader du GP2 2010. Jeudi, le Français explique dans les pages de 422race.com que le Vénézuélien a une réelle chance d'aller en F1 l'an prochain. "Pastor fait une saison sensationnelle en GP2. Question vitesse, il est très impressionnant et il est dans une bonne équipe (Rapax). Il s'y sent bien et n'a jamais fait aussi bien", se félicite le manager de 32 ans, qui co-dirige avec Frédéric Vasseur l'équipe ART Grand Prix.
"Il faut avoir des résultats pour prétendre passer en Formule 1. Je pense que Pastor montre qu'il est mûr pour la F1, l'année prochaine sera donc le bon moment", explique encore le fils de Jean Todt, le président de la Fédération internationale de l'Automobile (FIA). Pour l'instant, Pastor Maldonado a réalisé quelque chose d'inédit en GP2 : il reste sur une série de cinq victoires dans les courses du samedi, de loin les plus significatives car leurs grilles de départ est le résultat direct de la séance de qualification, au contraire des épreuves du dimanche. Cependant, il faut noter qu'à 25 ans le Sud-américain dispute sa quatrième année de GP2. Il a connu Trident (2007), Piquet (2008), ART (2009) avant de revenir chez Piquet, devenue Rapax. Il a aussi consacré son hiver 2008/09 au GP2 Asie, pour un bilan plutôt mitigé avec ART.
Au contraire de Nico Rosberg (2005), Lewis Hamilton (2006) et Nico Hülkenberg (2009), couronnés dans leurs années de rookie chez ART, Pastor Maldonado a misé sur l'expérience pour convaincre. Il est à la tête de 9 victoires et 3 pole positions dans la catégorie. De quoi donner des arguments à Nicolas Todt dans ses démarches. Un volant chez Sauber ? "Je ne veux pas entrer dans les détails, mais évidemment je parle avec quelques équipes au sujet de mes deux pilotes pour l'année prochaine", se content-il de répondre au site italien. Car malgré la sérieuse blessure qui éloignera Jules Bianchi des circuits pendant un mois et demi environ, l'homme d'affaire ne désespère pas de convaincre une équipe d'engager le Niçois, champion de Formule 3 Euro Series 2009. "Jules est encore jeune, il n'a que deux années de monoplaces derrière lui, ce qui est très peu, mais c'est un grand talent et s'il a la chance de faire de la Formule 1 l'an prochain, il la saisira. Le but est d'aller en F1 le plus vite possible", explique-t-il.
Avec deux pole positions à son palmarès GP2 mais aucune victoire, Jules Bianchi, tout juste 21 ans, aura peut-être besoin d'une année supplémentaire dans l'anti-chambre de la Formule 1, et au sein de la Ferrari Drivers Academy, le vivier de la Scuderia, aussi. Une expérience bénéfique. "Ça lui donne plus de responsabilités, ça l'aide en tant que personne à mûrir et devenir plus professionnel", conclut son mentor.
Eurosport - S.V.
Nicolas Todt avance actuellement la candidature de Pastor Maldonado, 25 ans, leader du GP2, à un baquet en F1 2011. Il fait la promotion du Vénézuélien chez Sauber et d'autres équipes, et leurs parle aussi du Français Jules Bianchi.
La France focalise sur son espoir Jules Bianchi mais on oublie souvent que Nicolas Todt manage aussi Pastor Maldonado, solide leader du GP2 2010. Jeudi, le Français explique dans les pages de 422race.com que le Vénézuélien a une réelle chance d'aller en F1 l'an prochain. "Pastor fait une saison sensationnelle en GP2. Question vitesse, il est très impressionnant et il est dans une bonne équipe (Rapax). Il s'y sent bien et n'a jamais fait aussi bien", se félicite le manager de 32 ans, qui co-dirige avec Frédéric Vasseur l'équipe ART Grand Prix.
"Il faut avoir des résultats pour prétendre passer en Formule 1. Je pense que Pastor montre qu'il est mûr pour la F1, l'année prochaine sera donc le bon moment", explique encore le fils de Jean Todt, le président de la Fédération internationale de l'Automobile (FIA). Pour l'instant, Pastor Maldonado a réalisé quelque chose d'inédit en GP2 : il reste sur une série de cinq victoires dans les courses du samedi, de loin les plus significatives car leurs grilles de départ est le résultat direct de la séance de qualification, au contraire des épreuves du dimanche. Cependant, il faut noter qu'à 25 ans le Sud-américain dispute sa quatrième année de GP2. Il a connu Trident (2007), Piquet (2008), ART (2009) avant de revenir chez Piquet, devenue Rapax. Il a aussi consacré son hiver 2008/09 au GP2 Asie, pour un bilan plutôt mitigé avec ART.
Au contraire de Nico Rosberg (2005), Lewis Hamilton (2006) et Nico Hülkenberg (2009), couronnés dans leurs années de rookie chez ART, Pastor Maldonado a misé sur l'expérience pour convaincre. Il est à la tête de 9 victoires et 3 pole positions dans la catégorie. De quoi donner des arguments à Nicolas Todt dans ses démarches. Un volant chez Sauber ? "Je ne veux pas entrer dans les détails, mais évidemment je parle avec quelques équipes au sujet de mes deux pilotes pour l'année prochaine", se content-il de répondre au site italien. Car malgré la sérieuse blessure qui éloignera Jules Bianchi des circuits pendant un mois et demi environ, l'homme d'affaire ne désespère pas de convaincre une équipe d'engager le Niçois, champion de Formule 3 Euro Series 2009. "Jules est encore jeune, il n'a que deux années de monoplaces derrière lui, ce qui est très peu, mais c'est un grand talent et s'il a la chance de faire de la Formule 1 l'an prochain, il la saisira. Le but est d'aller en F1 le plus vite possible", explique-t-il.
Avec deux pole positions à son palmarès GP2 mais aucune victoire, Jules Bianchi, tout juste 21 ans, aura peut-être besoin d'une année supplémentaire dans l'anti-chambre de la Formule 1, et au sein de la Ferrari Drivers Academy, le vivier de la Scuderia, aussi. Une expérience bénéfique. "Ça lui donne plus de responsabilités, ça l'aide en tant que personne à mûrir et devenir plus professionnel", conclut son mentor.
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Re: Revue de presse : infos générales.
Renault : « Cette coupure est salutaire »
Steve Nielsen, team manager de Renault F1, explique que la trêve estivale imposée aux écuries de F1 est finalement une très bonne chose pour la discipline.
Renault, au lendemain du Grand Prix de Hongrie, a choisi de travailler encore sur sa monoplace. Les portes d’Enstone ne se fermeront que lundi prochain, pour une pause obligatoire de deux semaines. Steve Nielsen, team manager de Renault F1 Team, y est favorable. « Cette coupure est salutaire. On coupe les ordinateurs et les téléphones, c’est très reposant. C’est une initiative de la FOTA, que nous avons expérimenté avec succès l’an dernier. C’est la coupure que tout le monde souhaitait. Ca nous permet d’avoir quelques week-ends bien avant la trêve de Noël et ça nous permet de penser à autre chose que la Formule 1 pendant quatre nuits », explique-t-il.
En outre, si les écuries peuvent choisir leurs dates de fermeture et de réouverture, à quelques jours près, elles sont obligées de stopper leurs activités pendant deux semaines complètes. Il n’y a donc aucun risque qu’une écurie prenne du retard sur une autre. « Je crois que l’idée originelle venait de Toyota et toutes les équipes ont suivi grâce à la proposition de la FOTA. L’idée était de réduire les coûts en travaillant un peu moins dans l’année. Mais, en termes de bénéfice social et humain, c’est essentiel. Ca offre un peu de repos à ceux qui voyagent beaucoup et qui n’avaient que les vacances de Noël pour faire un break. »
Les écuries ne ferment pas totalement puisque les départements administratifs peuvent continuer à fonctionner mais l’arrêt est tout de même colossal. « Aucun département qui est concerné par la performance de la voiture n’a le droit de travailler pendant cette période. En tout cas, ce n’est pas un choix. Notre personnel doit bloquer deux semaines de congés à cette période. C’est un bénéfice pour tout le monde : on fait le tour du monde pendant sept mois mais, aussi fantastique que soit la Formule 1, on a tous besoin de faire un break à un moment. »
Jean-Côme Decroos
Source : autohebdo.fr
Steve Nielsen, team manager de Renault F1, explique que la trêve estivale imposée aux écuries de F1 est finalement une très bonne chose pour la discipline.
Renault, au lendemain du Grand Prix de Hongrie, a choisi de travailler encore sur sa monoplace. Les portes d’Enstone ne se fermeront que lundi prochain, pour une pause obligatoire de deux semaines. Steve Nielsen, team manager de Renault F1 Team, y est favorable. « Cette coupure est salutaire. On coupe les ordinateurs et les téléphones, c’est très reposant. C’est une initiative de la FOTA, que nous avons expérimenté avec succès l’an dernier. C’est la coupure que tout le monde souhaitait. Ca nous permet d’avoir quelques week-ends bien avant la trêve de Noël et ça nous permet de penser à autre chose que la Formule 1 pendant quatre nuits », explique-t-il.
En outre, si les écuries peuvent choisir leurs dates de fermeture et de réouverture, à quelques jours près, elles sont obligées de stopper leurs activités pendant deux semaines complètes. Il n’y a donc aucun risque qu’une écurie prenne du retard sur une autre. « Je crois que l’idée originelle venait de Toyota et toutes les équipes ont suivi grâce à la proposition de la FOTA. L’idée était de réduire les coûts en travaillant un peu moins dans l’année. Mais, en termes de bénéfice social et humain, c’est essentiel. Ca offre un peu de repos à ceux qui voyagent beaucoup et qui n’avaient que les vacances de Noël pour faire un break. »
Les écuries ne ferment pas totalement puisque les départements administratifs peuvent continuer à fonctionner mais l’arrêt est tout de même colossal. « Aucun département qui est concerné par la performance de la voiture n’a le droit de travailler pendant cette période. En tout cas, ce n’est pas un choix. Notre personnel doit bloquer deux semaines de congés à cette période. C’est un bénéfice pour tout le monde : on fait le tour du monde pendant sept mois mais, aussi fantastique que soit la Formule 1, on a tous besoin de faire un break à un moment. »
Jean-Côme Decroos
Source : autohebdo.fr
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Re: Revue de presse : infos générales.
Red Bull peut gagner partout selon Webber
Mais la constance sera la clé
Mark Webber est persuadé que Red Bull peut conserver son avantage sur la concurrence en fin de saison. L’Australien veut être constant aux avant-postes.
Depuis le début de la saison, il n’y a que sous la pluie de Shanghaï, à Montréal et à Hockenheim que la Red Bull RB6 n’a pas été dominatrice. Mark Webber, leader du championnat depuis sa victoire à Budapest, pense que son équipe peut conserver son avantage.
« Nous avons prouvé cette année que la voiture est performante sur tous les circuits donc nous espérons ne pas avoir de circuit où nous souffrirons » explique Webber sur le site de Red Bull.
« Singapour devrait nous convenir, tout comme Suzuka, le Brésil et Abou Dhabi. Nous sommes un peu inquiets pour les longues lignes droites sur d’autres circuits, comme Monza peut-être. Mais la voiture est très, très bonne sur la plupart des circuits et nous sommes prêts à affronter tout le monde sur n’importe quel circuit. »
Mark Webber sait que la constance aux avant-postes sera importante pour le titre. Il était plus rapide que Sebastian Vettel à Barcelone et Monaco, mais il a été dominé par l’Allemand à Montréal, Silverstone, Hockenheim et Budapest, même si les circonstances de courses ont finalement souvent joué en sa faveur.
« Sur certains circuits, nous ne sommes pas totalement bons où je ne le suis pas » admet Webber. « Nous avons eu des haut et des bas mais il faut des week-ends parfaits pour gagner à ce niveau. Il y a 25 points à prendre sur chaque course donc nous devons être rapides partout. Si nous y arrivons, nous savons ce qui sera possible en fin d’année. »
Vincent Lalanne-Sicaud
F1-action.net
Mais la constance sera la clé
Mark Webber est persuadé que Red Bull peut conserver son avantage sur la concurrence en fin de saison. L’Australien veut être constant aux avant-postes.
Depuis le début de la saison, il n’y a que sous la pluie de Shanghaï, à Montréal et à Hockenheim que la Red Bull RB6 n’a pas été dominatrice. Mark Webber, leader du championnat depuis sa victoire à Budapest, pense que son équipe peut conserver son avantage.
« Nous avons prouvé cette année que la voiture est performante sur tous les circuits donc nous espérons ne pas avoir de circuit où nous souffrirons » explique Webber sur le site de Red Bull.
« Singapour devrait nous convenir, tout comme Suzuka, le Brésil et Abou Dhabi. Nous sommes un peu inquiets pour les longues lignes droites sur d’autres circuits, comme Monza peut-être. Mais la voiture est très, très bonne sur la plupart des circuits et nous sommes prêts à affronter tout le monde sur n’importe quel circuit. »
Mark Webber sait que la constance aux avant-postes sera importante pour le titre. Il était plus rapide que Sebastian Vettel à Barcelone et Monaco, mais il a été dominé par l’Allemand à Montréal, Silverstone, Hockenheim et Budapest, même si les circonstances de courses ont finalement souvent joué en sa faveur.
« Sur certains circuits, nous ne sommes pas totalement bons où je ne le suis pas » admet Webber. « Nous avons eu des haut et des bas mais il faut des week-ends parfaits pour gagner à ce niveau. Il y a 25 points à prendre sur chaque course donc nous devons être rapides partout. Si nous y arrivons, nous savons ce qui sera possible en fin d’année. »
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Re: Revue de presse : infos générales.
Senna ne pense pas encore à 2011
Mais il veut rester en F1
Bruno Senna espère rester en Formule 1 la saison prochaine, mais il ne sait pas si ce sera avec HRT. Il n’a pas eu de discussion concrète avec d’autre équipe.
Début 2009, Bruno Senna a failli signer chez Brawn GP mais l’équipe a conservé Rubens Barrichello. Alors qu’il pouvait piloter une voiture championne du monde, le Brésilien a finalement fait ses débuts un an plus tard chez HRT, dans la monoplace la moins compétitive du plateau.
Senna est en fond de grille depuis le début de la saison et il ne sait pas encore ce qu’il fera l’an prochain, même s’il espère rester en Formule 1.
« Il est trop tôt pour parler concrètement de 2011 » a déclaré le neveu d’Ayrton Senna au site Motorsport-Total.com. « Comme vous le savez, il y a déjà beaucoup d’équipe. Ce n’est pas aussi simple qu’on pourrait le penser. »
Il espère cependant que son travail chez HRT sera remarqué : « Si on me propose une voiture pour devenir champion, pourquoi la refuser ? Mais ces places ne sont pas libres et je dois encore travailler pour être dans une voiture capable de gagner. »
« Le plus important est de faire du bon travail et de montrer mon potentiel. Après, nous verrons ce qui sera posible. »
« Evidemment, j’aimerais rester longtemps en Formule 1. C’est mon objectif. J’ai basé ma carrière sur ça, pour être dans les meilleures voitures. Si cela signifie que je dois rester, je resterai. Si je dois ailler ailleurs, j’irais ailleurs. Il n’y a pas encore eu de décision. »
Dans cette interview, Bruno Senna précise également que lorsque HRT a décidé de ne pas le faire rouler à Silverstone, il a appris la nouvelle le jeudi avant la course, via un e-mail envoyé par l’attachée de presse de l’écurie.
Vincent Lalanne-Sicaud
Source : F1-action.net
Mais il veut rester en F1
Bruno Senna espère rester en Formule 1 la saison prochaine, mais il ne sait pas si ce sera avec HRT. Il n’a pas eu de discussion concrète avec d’autre équipe.
Début 2009, Bruno Senna a failli signer chez Brawn GP mais l’équipe a conservé Rubens Barrichello. Alors qu’il pouvait piloter une voiture championne du monde, le Brésilien a finalement fait ses débuts un an plus tard chez HRT, dans la monoplace la moins compétitive du plateau.
Senna est en fond de grille depuis le début de la saison et il ne sait pas encore ce qu’il fera l’an prochain, même s’il espère rester en Formule 1.
« Il est trop tôt pour parler concrètement de 2011 » a déclaré le neveu d’Ayrton Senna au site Motorsport-Total.com. « Comme vous le savez, il y a déjà beaucoup d’équipe. Ce n’est pas aussi simple qu’on pourrait le penser. »
Il espère cependant que son travail chez HRT sera remarqué : « Si on me propose une voiture pour devenir champion, pourquoi la refuser ? Mais ces places ne sont pas libres et je dois encore travailler pour être dans une voiture capable de gagner. »
« Le plus important est de faire du bon travail et de montrer mon potentiel. Après, nous verrons ce qui sera posible. »
« Evidemment, j’aimerais rester longtemps en Formule 1. C’est mon objectif. J’ai basé ma carrière sur ça, pour être dans les meilleures voitures. Si cela signifie que je dois rester, je resterai. Si je dois ailler ailleurs, j’irais ailleurs. Il n’y a pas encore eu de décision. »
Dans cette interview, Bruno Senna précise également que lorsque HRT a décidé de ne pas le faire rouler à Silverstone, il a appris la nouvelle le jeudi avant la course, via un e-mail envoyé par l’attachée de presse de l’écurie.
Vincent Lalanne-Sicaud
Source : F1-action.net
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Re: Revue de presse : infos générales.
Le contrat CDI de Bruno Senna.
Le contrat de Bruno Senna avec Hispania Racing Team regorge de surprises toujours plus étonnantes. En plus d’apporter un budget de 3,5 millions d’euros, les sponsors du pilote brésilien lui offrent 150.000 euros pour ses frais de déplacement, locations, préparation physique. HRT n’offre pas de prime de résultat annoncé. Le pilote bénévole est né, mais avec un autre détail : la durée de son contrat.
Chris Goodwin, l’agent du pilote brésilien, lors de la crise de Silverstone, avait fait valoir que le contrat de Bruno Senna est incassable. Or, aucun contrat n’est vraiment incassable, surtout lorsqu’on apporte un budget à une équipe. Sachant que l’apport de sponsoring est aléatoire. Mais le pilote a indiqué aux médias présents en Hongrie qu’il disposait d’un contrat illimité avec HRT : « Mon contrat est illimité. Je ne peux pas vous dire exactement ce qu’il y a dedans. J’ai un contrat, mais il n’y a pas de définition précise. »
Après le pilote bénévole, Bruno Senna dispose d’un Contrat à Durée Indéterminée (CDI) avec une équipe F1. Une révélation étonnante et démontrant le manque de sérieux des contrats de l’équipe Hispania Racing Team ? Une indication permettant de comprendre que Bruno Senna peut quitter l’équipe espagnole, sous conditions simples : se faire racheter son contrat ou racheter lui-même son contrat. Ce qui permet aussi de comprendre le modèle économique du team : Bruno Senna a de la valeur pour l’équipe espagnole (peut être 3 ou 4 millions d’euros)
Le modèle Jordan
Lorsque Rubens Barrichello a signé son contrat durant l’hiver 1992 avec Jordan Grand Prix, il apportait 4 millions de dollars de budget, mais disposait d’un contrat quasiment illimité avec le team irlandais (avec 3 ans ferme de contrat tout de même). Toutefois une clause de rachat par tiers fixée à 5 millions de dollars était indiquée si un transfert avant les 3 ans était envisageable. Ron Dennis avait trouvé la somme très élevé à l’époque, pour remplacer Ayrton Senna en1994.
Le même contrat a été signé avec Eddie Irvine (qui n’apportait aucun budget), mais Ferrari a accepté de fournir les 5 millions de dollars demandés. En 1998, le même Jordan a autorisé pour 3 millions de dollars, le transfert de Ralf Schumacher chez Williams, sur le même principe.
Source : TomorrowNewsF1.com
Le contrat de Bruno Senna avec Hispania Racing Team regorge de surprises toujours plus étonnantes. En plus d’apporter un budget de 3,5 millions d’euros, les sponsors du pilote brésilien lui offrent 150.000 euros pour ses frais de déplacement, locations, préparation physique. HRT n’offre pas de prime de résultat annoncé. Le pilote bénévole est né, mais avec un autre détail : la durée de son contrat.
Chris Goodwin, l’agent du pilote brésilien, lors de la crise de Silverstone, avait fait valoir que le contrat de Bruno Senna est incassable. Or, aucun contrat n’est vraiment incassable, surtout lorsqu’on apporte un budget à une équipe. Sachant que l’apport de sponsoring est aléatoire. Mais le pilote a indiqué aux médias présents en Hongrie qu’il disposait d’un contrat illimité avec HRT : « Mon contrat est illimité. Je ne peux pas vous dire exactement ce qu’il y a dedans. J’ai un contrat, mais il n’y a pas de définition précise. »
Après le pilote bénévole, Bruno Senna dispose d’un Contrat à Durée Indéterminée (CDI) avec une équipe F1. Une révélation étonnante et démontrant le manque de sérieux des contrats de l’équipe Hispania Racing Team ? Une indication permettant de comprendre que Bruno Senna peut quitter l’équipe espagnole, sous conditions simples : se faire racheter son contrat ou racheter lui-même son contrat. Ce qui permet aussi de comprendre le modèle économique du team : Bruno Senna a de la valeur pour l’équipe espagnole (peut être 3 ou 4 millions d’euros)
Le modèle Jordan
Lorsque Rubens Barrichello a signé son contrat durant l’hiver 1992 avec Jordan Grand Prix, il apportait 4 millions de dollars de budget, mais disposait d’un contrat quasiment illimité avec le team irlandais (avec 3 ans ferme de contrat tout de même). Toutefois une clause de rachat par tiers fixée à 5 millions de dollars était indiquée si un transfert avant les 3 ans était envisageable. Ron Dennis avait trouvé la somme très élevé à l’époque, pour remplacer Ayrton Senna en1994.
Le même contrat a été signé avec Eddie Irvine (qui n’apportait aucun budget), mais Ferrari a accepté de fournir les 5 millions de dollars demandés. En 1998, le même Jordan a autorisé pour 3 millions de dollars, le transfert de Ralf Schumacher chez Williams, sur le même principe.
Source : TomorrowNewsF1.com
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Re: Revue de presse : infos générales.
Cinq candidats pour une couronne.
Ils sont cinq à s’être imposés cette saison et qui peuvent prétendre au titre de Champion du Monde de Formule 1. Tour d’horizon des candidats à la couronne mondiale.
Mark Webber (Red Bull)
Points : 161 ; Victoires : 4
Parcours : Aujourd’hui favori avec quatre victoires, Mark Webber était certainement le moins attendu des cinq candidats. Pilote d’expérience mais jamais présent sur le devant de la scène, il a attendu 132 Grands Prix avant de remporter sa première course de F1 en 2009. Cette année, Sebastian Vettel était attendu mais les multiples erreurs de l’Allemand, également parfois trahi par sa monoplace, ont permis à Mark Webber de s’engouffrer dans la brèche. Déterminé, volontaire, l’Australien ne s’est jamais rangé derrière son coéquipier et a pu profiter du traitement - souvent - égalitaire réservé aux pilotes Red Bull. Motivé comme jamais, ayant sauté sur la moindre occasion se présentant à lui, Webber a connu la réussite qui l’a parfois délaissé ces dernières saisons.
Perspective : Leader du Championnat du Monde, vainqueur quatre fois en douze courses, il se présente comme un candidat sérieux au titre suprême. Souvent considéré comme un second couteau, l’Australien a gagné le respect du paddock, notamment grâce à son parcours cette saison. Il veut désormais montrer qu’il a l’étoffe d’un Champion du Monde. L'avantage donné à Sebastian Vettel à Silverstone (un aileron avant plus évolué), même si l'incident est oublié, n'a fait que renforcer sa motivation.
Décla : « Croyez-moi, Webber est en route pour gagner le Championnat du Monde cette année, estime Flavio Briatore. Je ne dis pas ça parce qu’il est l’un de mes pilotes mais parce que quiconque a regardé ses courses peut s’en rendre compte. Mark est un pilote qui peut réaliser d’extraordinaires performances, tout en affichant sa maturité. »
Lewis Hamilton (McLaren)
Points : 157 ; Victoires : 2
Parcours : Souvent bien placé, le Britannique a laissé échapper assez peu de points que sa monoplace lui permettait d’aller glaner. Resté en retrait durant les premières courses de la saison malgré un nombre impressionnant de dépassements (32 en 4 courses), le Champion du Monde 2008 est revenu sur le devant de la scène lors du retour de la F1 en Europe. Mais la réussite a également compté dans ses victoires : en Turquie, il a profité de l’accrochage Vettel-Webber et, au Canada, il a pu compter sur une bonne stratégie pneumatique. Il a ensuite terminé deux fois deuxième malgré une MP4-25 moins efficace et, en Hongrie, il a dû rapidement abandonné, lâchant du même coup les rênes du classement des pilotes.
Perspective : l’Anglais n’est qu’à quatre points de Mark Webber mais fait part de son inquiétude quant au niveau de sa monoplace. Aujourd’hui troisième voiture du plateau, la MP4-25 a des difficultés à rivaliser avec la RB6 et même avec la F10. La phase de développement amenant la dernière ligne droite du championnat sera déterminante mais, si Red Bull et Ferrari gardent leurs avantages, il sera dur pour McLaren de rester en haut de l'affiche.
Décla : « Ces sept courses vont être difficiles, commente Lewis Hamilton. Si les Red Bull restent à ce niveau avec le rythme que nous avons, nous n’aurons pas de grands espoirs. Nous devons maintenant donner tout ce que nous avons, en termes de ressources d’équipe, de la connaissance que nous avons, et d’être plus unis que nous ne l’avons jamais été. »
Sebastian Vettel (Red Bull)
Points : 151 ; Victoires : 2
Parcours : L’Allemand n’est clairement pas là où il espérait être à ce stade de la saison, ni là où il était attendu. Vice-Champion du Monde en 2009, le pilote semblait avoir les armes pour aller chercher une couronne mondiale. Mais le début de saison n’a pas été conforme à ses attentes. Leader à Bahreïn, il voit une bougie le lâcher ; à Melbourne, un écrou défectueux l’envoie dans le bac à graviers ; à Istanbul, il percute Mark Webber alors que les deux hommes sont en tête ; à Silverstone, il est doublé par Mark Webber au départ, tout comme par les pilotes Ferrari à Hockenheim ; enfin, à Budapest, une erreur lors d’un restart l’envoie effectuer une pénalité de passage au stand. Ainsi, malgré un très bon coup de volant et sept pole positions (sur douze possibles), l’Allemand ne s’est imposé que deux fois. La liste des occasions manquées commence à être longue. Trop, sans doute.
Perspective : Vettel peut toujours croire au titre, étant mathématiquement très proche de Webber. Il bénéficie, en outre, de la meilleure voiture du plateau et sait se montrer plus rapide que tout le monde sur un tour. Mais sa réussite en course pose problème et pourrait bien l’empêcher d’être Champion du Monde.
Décla : « C’est quelqu’un de très émotif, confie son patron, Christian Horner. Il est à fleur de peau et, après la Hongrie, on a pu voir qu’il était très déçu d’avoir laisser échapper une victoire promise. Il a malheureusement un nuage noir qui le suit depuis le début de l’année. Il faut maintenant lui faire voir le bon côté des choses. Ca fait partie de son apprentissage. »
Jenson Button (McLaren)
Points : 147 ; Victoires : 2
Parcours : Jenson Button a relevé le premier défi auquel il a dû faire face, rivaliser face à Lewis Hamilton, au sein d’une écurie dans laquelle ce dernier est comme chez lui. Vainqueur de deux des quatre premières courses de l’année sur des coups de poker pneumatiques, le Britannique a fait parler son pilotage coulé, en opposition au pilotage d'attaquant d'Hamilton. Depuis, le Champion du Monde en titre joue souvent placé et marque des points à chaque course, si ce n’est à Monaco, où il a été trahi par un moteur en surchauffe. Monté cinq fois sur le podium, il garde toutes ses chances d’aller au bout.
Perspective : S’il n’a pas été « mangé » par Lewis Hamilton à son arrivée au sein du team de Woking, Jenson Button n’a plus le vent en poupe. Sans compter l’abandon d’Hamilton en Hongrie, Button n’a plus devancé son coéquipier depuis plus de trois mois. La McLaren ayant été devancée lors des dernières courses, il faudrait un concours de circonstances favorables au natif de Frome pour qu’il conserve son titre.
Décla : « Je suis certain que nous serons plus compétitifs à Spa et Monza, estime le Britannique. Comme nous l’avons vu plus tôt, la régularité est essentielle. Je pense que nous pouvons maintenir cette régularité, pour marquer de gros points, même si la chance n’est pas de notre côté. »
Fernando Alonso (Ferrari)
Points : 141 ; Victoires : 2
Parcours : L’Espagnol a alterné le chaud et le froid cette saison. Après sa victoire à Bahreïn, beaucoup le plaçaient en favori pour le titre mondial ; à la fin du mois de juin, il semblait largué dans la course au titre. Mais, malgré plusieurs faits de course défavorables, Fernando Alonso a su refaire son retard. A force de volonté et de stratégie d’équipe (ce qui a fait couler beaucoup d’encre et qui conduira Ferrari devant le Conseil Mondial de la FIA), le natif d’Oviedo s’est replacé dans la course au titre, à 20 points de Mark Webber. En outre, la F10 a gagné en efficacité lors des premiers Grands Prix d’été, permettant à la Scuderia de retrouver le podium.
Perspective : Le double Champion du Monde peut y croire ! Revenu de loin, il a toujours clamé qu’il attendait la trêve estivale pour se fixer des objectifs de fin de saison. Il peut se réjouir, le titre est toujours accessible. Red Bull ne parvenant pas toujours à convertir ses poles en victoires, l’Espagnol peut espérer remporter d’autres courses d’ici la fin de saison. Si la version « C » de la F10 se montre à la hauteur de la Red Bull RB6, l’ancien pilote Renault pourra se fixer l’objectif le plus élevé.
Décla : « C’est toujours ouvert, mais ce sera encore difficile, donc nous restons calme, tempère Alonso. Nous savons que nous devrons apporter d’autres améliorations pour remporter le Championnat. Il reste encore des courses très importantes. C’était très important de réduire l’écart à moins de 25 points avant la pause. »
Jean-Côme Decroos
Source : autohebdo.fr
Ils sont cinq à s’être imposés cette saison et qui peuvent prétendre au titre de Champion du Monde de Formule 1. Tour d’horizon des candidats à la couronne mondiale.
Mark Webber (Red Bull)
Points : 161 ; Victoires : 4
Parcours : Aujourd’hui favori avec quatre victoires, Mark Webber était certainement le moins attendu des cinq candidats. Pilote d’expérience mais jamais présent sur le devant de la scène, il a attendu 132 Grands Prix avant de remporter sa première course de F1 en 2009. Cette année, Sebastian Vettel était attendu mais les multiples erreurs de l’Allemand, également parfois trahi par sa monoplace, ont permis à Mark Webber de s’engouffrer dans la brèche. Déterminé, volontaire, l’Australien ne s’est jamais rangé derrière son coéquipier et a pu profiter du traitement - souvent - égalitaire réservé aux pilotes Red Bull. Motivé comme jamais, ayant sauté sur la moindre occasion se présentant à lui, Webber a connu la réussite qui l’a parfois délaissé ces dernières saisons.
Perspective : Leader du Championnat du Monde, vainqueur quatre fois en douze courses, il se présente comme un candidat sérieux au titre suprême. Souvent considéré comme un second couteau, l’Australien a gagné le respect du paddock, notamment grâce à son parcours cette saison. Il veut désormais montrer qu’il a l’étoffe d’un Champion du Monde. L'avantage donné à Sebastian Vettel à Silverstone (un aileron avant plus évolué), même si l'incident est oublié, n'a fait que renforcer sa motivation.
Décla : « Croyez-moi, Webber est en route pour gagner le Championnat du Monde cette année, estime Flavio Briatore. Je ne dis pas ça parce qu’il est l’un de mes pilotes mais parce que quiconque a regardé ses courses peut s’en rendre compte. Mark est un pilote qui peut réaliser d’extraordinaires performances, tout en affichant sa maturité. »
Lewis Hamilton (McLaren)
Points : 157 ; Victoires : 2
Parcours : Souvent bien placé, le Britannique a laissé échapper assez peu de points que sa monoplace lui permettait d’aller glaner. Resté en retrait durant les premières courses de la saison malgré un nombre impressionnant de dépassements (32 en 4 courses), le Champion du Monde 2008 est revenu sur le devant de la scène lors du retour de la F1 en Europe. Mais la réussite a également compté dans ses victoires : en Turquie, il a profité de l’accrochage Vettel-Webber et, au Canada, il a pu compter sur une bonne stratégie pneumatique. Il a ensuite terminé deux fois deuxième malgré une MP4-25 moins efficace et, en Hongrie, il a dû rapidement abandonné, lâchant du même coup les rênes du classement des pilotes.
Perspective : l’Anglais n’est qu’à quatre points de Mark Webber mais fait part de son inquiétude quant au niveau de sa monoplace. Aujourd’hui troisième voiture du plateau, la MP4-25 a des difficultés à rivaliser avec la RB6 et même avec la F10. La phase de développement amenant la dernière ligne droite du championnat sera déterminante mais, si Red Bull et Ferrari gardent leurs avantages, il sera dur pour McLaren de rester en haut de l'affiche.
Décla : « Ces sept courses vont être difficiles, commente Lewis Hamilton. Si les Red Bull restent à ce niveau avec le rythme que nous avons, nous n’aurons pas de grands espoirs. Nous devons maintenant donner tout ce que nous avons, en termes de ressources d’équipe, de la connaissance que nous avons, et d’être plus unis que nous ne l’avons jamais été. »
Sebastian Vettel (Red Bull)
Points : 151 ; Victoires : 2
Parcours : L’Allemand n’est clairement pas là où il espérait être à ce stade de la saison, ni là où il était attendu. Vice-Champion du Monde en 2009, le pilote semblait avoir les armes pour aller chercher une couronne mondiale. Mais le début de saison n’a pas été conforme à ses attentes. Leader à Bahreïn, il voit une bougie le lâcher ; à Melbourne, un écrou défectueux l’envoie dans le bac à graviers ; à Istanbul, il percute Mark Webber alors que les deux hommes sont en tête ; à Silverstone, il est doublé par Mark Webber au départ, tout comme par les pilotes Ferrari à Hockenheim ; enfin, à Budapest, une erreur lors d’un restart l’envoie effectuer une pénalité de passage au stand. Ainsi, malgré un très bon coup de volant et sept pole positions (sur douze possibles), l’Allemand ne s’est imposé que deux fois. La liste des occasions manquées commence à être longue. Trop, sans doute.
Perspective : Vettel peut toujours croire au titre, étant mathématiquement très proche de Webber. Il bénéficie, en outre, de la meilleure voiture du plateau et sait se montrer plus rapide que tout le monde sur un tour. Mais sa réussite en course pose problème et pourrait bien l’empêcher d’être Champion du Monde.
Décla : « C’est quelqu’un de très émotif, confie son patron, Christian Horner. Il est à fleur de peau et, après la Hongrie, on a pu voir qu’il était très déçu d’avoir laisser échapper une victoire promise. Il a malheureusement un nuage noir qui le suit depuis le début de l’année. Il faut maintenant lui faire voir le bon côté des choses. Ca fait partie de son apprentissage. »
Jenson Button (McLaren)
Points : 147 ; Victoires : 2
Parcours : Jenson Button a relevé le premier défi auquel il a dû faire face, rivaliser face à Lewis Hamilton, au sein d’une écurie dans laquelle ce dernier est comme chez lui. Vainqueur de deux des quatre premières courses de l’année sur des coups de poker pneumatiques, le Britannique a fait parler son pilotage coulé, en opposition au pilotage d'attaquant d'Hamilton. Depuis, le Champion du Monde en titre joue souvent placé et marque des points à chaque course, si ce n’est à Monaco, où il a été trahi par un moteur en surchauffe. Monté cinq fois sur le podium, il garde toutes ses chances d’aller au bout.
Perspective : S’il n’a pas été « mangé » par Lewis Hamilton à son arrivée au sein du team de Woking, Jenson Button n’a plus le vent en poupe. Sans compter l’abandon d’Hamilton en Hongrie, Button n’a plus devancé son coéquipier depuis plus de trois mois. La McLaren ayant été devancée lors des dernières courses, il faudrait un concours de circonstances favorables au natif de Frome pour qu’il conserve son titre.
Décla : « Je suis certain que nous serons plus compétitifs à Spa et Monza, estime le Britannique. Comme nous l’avons vu plus tôt, la régularité est essentielle. Je pense que nous pouvons maintenir cette régularité, pour marquer de gros points, même si la chance n’est pas de notre côté. »
Fernando Alonso (Ferrari)
Points : 141 ; Victoires : 2
Parcours : L’Espagnol a alterné le chaud et le froid cette saison. Après sa victoire à Bahreïn, beaucoup le plaçaient en favori pour le titre mondial ; à la fin du mois de juin, il semblait largué dans la course au titre. Mais, malgré plusieurs faits de course défavorables, Fernando Alonso a su refaire son retard. A force de volonté et de stratégie d’équipe (ce qui a fait couler beaucoup d’encre et qui conduira Ferrari devant le Conseil Mondial de la FIA), le natif d’Oviedo s’est replacé dans la course au titre, à 20 points de Mark Webber. En outre, la F10 a gagné en efficacité lors des premiers Grands Prix d’été, permettant à la Scuderia de retrouver le podium.
Perspective : Le double Champion du Monde peut y croire ! Revenu de loin, il a toujours clamé qu’il attendait la trêve estivale pour se fixer des objectifs de fin de saison. Il peut se réjouir, le titre est toujours accessible. Red Bull ne parvenant pas toujours à convertir ses poles en victoires, l’Espagnol peut espérer remporter d’autres courses d’ici la fin de saison. Si la version « C » de la F10 se montre à la hauteur de la Red Bull RB6, l’ancien pilote Renault pourra se fixer l’objectif le plus élevé.
Décla : « C’est toujours ouvert, mais ce sera encore difficile, donc nous restons calme, tempère Alonso. Nous savons que nous devrons apporter d’autres améliorations pour remporter le Championnat. Il reste encore des courses très importantes. C’était très important de réduire l’écart à moins de 25 points avant la pause. »
Jean-Côme Decroos
Source : autohebdo.fr
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Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Le top 10 de ses coups tordus
Schumacher, côté sombre
La carrière de Michael Schumacher est impressionnante. Non seulement pour ses sept couronnes mondiales, mais aussi pour son immense talent. Cependant, son parcours est émaillé au mieux de couacs, au pire de mauvais coups qui ternissent sa réputation. Voici ceux qui nous ont le plus marqués, dans l'ordre chronologique.
Macao 1990
Le Grand Prix de Macau est l'un des événements phare du calendrier F3 : tout pilote voulant rejoindre les rangs supérieurs se doit de remporter cette épreuve. Alors qu'il entame le dernier tour en tête, Schumacher est poursuivi par un Mika Häkkinen tout autant déterminé (et plus rapide). Alors que le Finlandais s'apprête à passer l'Allemand, Schumacher ferme la porte. En l'évitant, le Finlandais frappe les barrières. Schumacher, vainqueur, aurait donné un soudain coup de frein devant son rival pour le déstabiliser.
Silverstone 1994
Schumacher se rend au GP de Grande-Bretagne avec une énorme avance de 37 points dans le Championnat Pilotes et une Benetton très compétitive à sa disposition. Il se qualifie à la deuxième place sur la grille de départ. Lors du tour de formation, il dépasse la Williams de Damon Hill deux fois avant de prendre sa place sur la grille. Au départ, les commissaires informent Benetton que Schumacher vient de mériter un stop-and-go, mais l'Allemand ignore le message. Au 13e tour, on lui présente le drapeau noir, qu'il ignore également. Finalement, il accepte d'effectuer son stop-and-go au 27e tour ; l'avance qu'il s'était alors construite lui permet de revenir en piste à la deuxième place. Les commissaires le punissent sévèrement : il est disqualifié et suspendu pour deux courses.
Adélaïde 1994
La disqualification et les courses manquées permettent à Hill de rattraper Schumacher dans le classement. Alors que la F1 arrive en Australie pour la dernière course de la saison, Schumacher n'a qu'un point d'avance sur Hill. Le Britannique mène la course mais son rival applique une pression constante. Schumacher sort large et tape un muret de béton : sa Benetton est endommagée, mais Hill ne le sait pas. Au virage suivant, alors que son adversaire prend l'avantage, Schumacher tourne son volant et frappe Hill : les deux voitures sont éliminées de la course, le titre revient à Schumacher. "Il y a deux choses qui placent Michael dans une classe à part, son incroyable talent et son attitude", juge Hill, des années plus tard. "J'ai une énorme admiration pour la première, mais la deuxième me laisse froid."
Spa-Francorchamps 1995
Lors du GP de Belgique, il part de la 16e place et remporte l'épreuve, mais la manière est critiquée. Quand un orage éclate vers la mi-course, les leaders rentrent aux stands pour chausser les pneus pluie. Schumacher, quant à lui, garde ses slicks. L'Allemand est vite rattrapé par la Williams de Damon Hill. Le dépasser aurait dû être une formalité, mais Schumacher bouchonne dangereusement . "Nous avons connu quelques moments assez effrayants", dénonce Hill après la course. "Je ne crois pas que ce soit acceptable." Les commissaires sont du même avis : bien qu'il conserve la victoire, Schumacher est suspendu pour une course.
Jerez 1997
Lors de sa seconde saison avec Ferrari, Schumacher entame la dernière course du championnat avec des chances de non seulement remporter le titre Pilotes, mais aussi le premier titre des Constructeurs du Petit Cheval cabré depuis 1979. Jacques Villeneuve a un point de retard sur l'Allemand. Alors que le Canadien est sur le point de réussir son dépassement, Schumacher (comme en 1994 avec Hill) donne un coup de volant et harponne la Williams de son rival. Cependant, la tentative ne fonctionne pas : Schumacher casse sa voiture et échoue dans le gravier. Au volant d'une monoplace endommagée (la batterie était au bord de la rupture), Villeneuve réussit à rejoindre l'arrivée. La FIA disqualifie Schumacher du Championnat.
Montréal 1998
Bien qu'il n'ait pas été pénalisé pour cette manœuvre, la sortie des stands très agressive de Schumacher lors du GP du Canada mènera à l'adoption d'un nouveau règlement en F1. Dès qu'il rejoint la piste, l'Allemand plonge vers la droite et s'engage sur la trajectoire de course alors que Heinz-Harald Frentzen arrive à pleine vitesse au même instant. La Williams de Frentzen part en tête-à-queue et termine sa course dans le gravier. Depuis, les pilotes ne doivent pas traverser une ligne blanche tracée à la sortie des stands avant de rejoindre la piste.
Nürburgring 2001
À ce point-ci de sa carrière, les tactiques douteuses de Schumacher sont bien connues. Cependant, peu de gens s'attendaient à voir son propre frère subir le même traitement. Pour empêcher Ralf de le dépasser, Michael pousse son cadet vers le mur des stands : un grave accident est évité de peu. Ralf a dû avoir des flash-backs en regardant le GP de Hongrie 2010.
A1-Ring 2002
Cette fois la faute peut être partagée avec l'équipe. Rubens Barrichello mène la course depuis de nombreux tours, mais Ferrari lui donne l'ordre de céder la victoire à Schumacher pour qu'il engrange un maximum de points. Barrichello laisse passer son coéquipier dans les tout derniers mètres. La foule dénonce fortement ce qu'elle vient de voir ; les pouces sont pointés vers le bas et plusieurs personnes jettent leurs casquettes Ferrari vers la piste. La protestation dure longtemps et continue pendant une cérémonie du podium plutôt malhabile où Schumacher pousse Barrichello sur la plus haute marche, mais rien ne calme les huées. La FIA interdira par la suite les consignes d'équipe. Le public accepte mal que Schumacher, qui possédait déjà une bonne avance au niveau des points, accepte de jouer un tel jeu dès la 6e course de la saison. Son image n'en est que ternie.
Monaco 2006
Dans les rues de la Principauté, la pole position est cruciale. Le combat est très serré lors des qualifications. Au cours des dernières minutes, Schumacher est le poleman provisoire devant Fernando Alonso. Lors de son ultime tentative, il devient évident que Schumacher ne pourra battre le temps qu'Alonso est en train de signer (plus loin derrière) aux commandes de sa Renault. Dans le dernier virage, Schumacher garde le volant droit pendant un instant et arrête ensuite sa Ferrari juste avant de toucher le mur. Résultat : sa voiture bloque partiellement la piste, les drapeaux jaunes sont agités, et tous les autres pilotes doivent lever le pied. La pole position est pour Schumacher. Les commissaires, après avoir bien étudié son "erreur", arrivent à la même conclusion que le public : c'était délibéré. Schumacher sera prié de rejoindre le fond de la grille.
Hongrie 2010
Après trois années de retraite, Schumacher revient à la compétition en 2010 avec Mercedes. Bien qu'il semble moins agressif qu'auparavant, il suffit d'un enjeu important à ses yeux pour qu'il replonge. Alors qu'il se bat pour conserver la 10e place (et le dernier point disponible), la Williams de son ancien coéquipier Rubens Barrichello le talonne. Le Brésilien est plus rapide et entend doubler l'Allemand sur la ligne droite. Schumacher coince alors le Brésilien près du muret des stands alors qu'Ils roulent à 290 km/h. Le mur prend fin au moment où Barrichello alllait manquer de place (les images montrent un écart très minime). Le désastre est évité. Barrichello, comme plusieurs, n'en revient pas : "Je ne sais pas s'il ira au ciel, mais qu'il aille au paradis ou en enfer, s'il veut y aller avant moi, je ne veux pas y aller avant lui". Les commissaires octroient une pénalité de recul de dix places sur la prochaine grille de départ (l'un d'entre eux aurait préféré le suspendre pour une ou deux courses). Événement rarissime, Schumacher présentera ses excuses le lendemain.
© ESPN EMEA Ltd.
Schumacher, côté sombre
La carrière de Michael Schumacher est impressionnante. Non seulement pour ses sept couronnes mondiales, mais aussi pour son immense talent. Cependant, son parcours est émaillé au mieux de couacs, au pire de mauvais coups qui ternissent sa réputation. Voici ceux qui nous ont le plus marqués, dans l'ordre chronologique.
Macao 1990
Le Grand Prix de Macau est l'un des événements phare du calendrier F3 : tout pilote voulant rejoindre les rangs supérieurs se doit de remporter cette épreuve. Alors qu'il entame le dernier tour en tête, Schumacher est poursuivi par un Mika Häkkinen tout autant déterminé (et plus rapide). Alors que le Finlandais s'apprête à passer l'Allemand, Schumacher ferme la porte. En l'évitant, le Finlandais frappe les barrières. Schumacher, vainqueur, aurait donné un soudain coup de frein devant son rival pour le déstabiliser.
Silverstone 1994
Schumacher se rend au GP de Grande-Bretagne avec une énorme avance de 37 points dans le Championnat Pilotes et une Benetton très compétitive à sa disposition. Il se qualifie à la deuxième place sur la grille de départ. Lors du tour de formation, il dépasse la Williams de Damon Hill deux fois avant de prendre sa place sur la grille. Au départ, les commissaires informent Benetton que Schumacher vient de mériter un stop-and-go, mais l'Allemand ignore le message. Au 13e tour, on lui présente le drapeau noir, qu'il ignore également. Finalement, il accepte d'effectuer son stop-and-go au 27e tour ; l'avance qu'il s'était alors construite lui permet de revenir en piste à la deuxième place. Les commissaires le punissent sévèrement : il est disqualifié et suspendu pour deux courses.
Adélaïde 1994
La disqualification et les courses manquées permettent à Hill de rattraper Schumacher dans le classement. Alors que la F1 arrive en Australie pour la dernière course de la saison, Schumacher n'a qu'un point d'avance sur Hill. Le Britannique mène la course mais son rival applique une pression constante. Schumacher sort large et tape un muret de béton : sa Benetton est endommagée, mais Hill ne le sait pas. Au virage suivant, alors que son adversaire prend l'avantage, Schumacher tourne son volant et frappe Hill : les deux voitures sont éliminées de la course, le titre revient à Schumacher. "Il y a deux choses qui placent Michael dans une classe à part, son incroyable talent et son attitude", juge Hill, des années plus tard. "J'ai une énorme admiration pour la première, mais la deuxième me laisse froid."
Spa-Francorchamps 1995
Lors du GP de Belgique, il part de la 16e place et remporte l'épreuve, mais la manière est critiquée. Quand un orage éclate vers la mi-course, les leaders rentrent aux stands pour chausser les pneus pluie. Schumacher, quant à lui, garde ses slicks. L'Allemand est vite rattrapé par la Williams de Damon Hill. Le dépasser aurait dû être une formalité, mais Schumacher bouchonne dangereusement . "Nous avons connu quelques moments assez effrayants", dénonce Hill après la course. "Je ne crois pas que ce soit acceptable." Les commissaires sont du même avis : bien qu'il conserve la victoire, Schumacher est suspendu pour une course.
Jerez 1997
Lors de sa seconde saison avec Ferrari, Schumacher entame la dernière course du championnat avec des chances de non seulement remporter le titre Pilotes, mais aussi le premier titre des Constructeurs du Petit Cheval cabré depuis 1979. Jacques Villeneuve a un point de retard sur l'Allemand. Alors que le Canadien est sur le point de réussir son dépassement, Schumacher (comme en 1994 avec Hill) donne un coup de volant et harponne la Williams de son rival. Cependant, la tentative ne fonctionne pas : Schumacher casse sa voiture et échoue dans le gravier. Au volant d'une monoplace endommagée (la batterie était au bord de la rupture), Villeneuve réussit à rejoindre l'arrivée. La FIA disqualifie Schumacher du Championnat.
Montréal 1998
Bien qu'il n'ait pas été pénalisé pour cette manœuvre, la sortie des stands très agressive de Schumacher lors du GP du Canada mènera à l'adoption d'un nouveau règlement en F1. Dès qu'il rejoint la piste, l'Allemand plonge vers la droite et s'engage sur la trajectoire de course alors que Heinz-Harald Frentzen arrive à pleine vitesse au même instant. La Williams de Frentzen part en tête-à-queue et termine sa course dans le gravier. Depuis, les pilotes ne doivent pas traverser une ligne blanche tracée à la sortie des stands avant de rejoindre la piste.
Nürburgring 2001
À ce point-ci de sa carrière, les tactiques douteuses de Schumacher sont bien connues. Cependant, peu de gens s'attendaient à voir son propre frère subir le même traitement. Pour empêcher Ralf de le dépasser, Michael pousse son cadet vers le mur des stands : un grave accident est évité de peu. Ralf a dû avoir des flash-backs en regardant le GP de Hongrie 2010.
A1-Ring 2002
Cette fois la faute peut être partagée avec l'équipe. Rubens Barrichello mène la course depuis de nombreux tours, mais Ferrari lui donne l'ordre de céder la victoire à Schumacher pour qu'il engrange un maximum de points. Barrichello laisse passer son coéquipier dans les tout derniers mètres. La foule dénonce fortement ce qu'elle vient de voir ; les pouces sont pointés vers le bas et plusieurs personnes jettent leurs casquettes Ferrari vers la piste. La protestation dure longtemps et continue pendant une cérémonie du podium plutôt malhabile où Schumacher pousse Barrichello sur la plus haute marche, mais rien ne calme les huées. La FIA interdira par la suite les consignes d'équipe. Le public accepte mal que Schumacher, qui possédait déjà une bonne avance au niveau des points, accepte de jouer un tel jeu dès la 6e course de la saison. Son image n'en est que ternie.
Monaco 2006
Dans les rues de la Principauté, la pole position est cruciale. Le combat est très serré lors des qualifications. Au cours des dernières minutes, Schumacher est le poleman provisoire devant Fernando Alonso. Lors de son ultime tentative, il devient évident que Schumacher ne pourra battre le temps qu'Alonso est en train de signer (plus loin derrière) aux commandes de sa Renault. Dans le dernier virage, Schumacher garde le volant droit pendant un instant et arrête ensuite sa Ferrari juste avant de toucher le mur. Résultat : sa voiture bloque partiellement la piste, les drapeaux jaunes sont agités, et tous les autres pilotes doivent lever le pied. La pole position est pour Schumacher. Les commissaires, après avoir bien étudié son "erreur", arrivent à la même conclusion que le public : c'était délibéré. Schumacher sera prié de rejoindre le fond de la grille.
Hongrie 2010
Après trois années de retraite, Schumacher revient à la compétition en 2010 avec Mercedes. Bien qu'il semble moins agressif qu'auparavant, il suffit d'un enjeu important à ses yeux pour qu'il replonge. Alors qu'il se bat pour conserver la 10e place (et le dernier point disponible), la Williams de son ancien coéquipier Rubens Barrichello le talonne. Le Brésilien est plus rapide et entend doubler l'Allemand sur la ligne droite. Schumacher coince alors le Brésilien près du muret des stands alors qu'Ils roulent à 290 km/h. Le mur prend fin au moment où Barrichello alllait manquer de place (les images montrent un écart très minime). Le désastre est évité. Barrichello, comme plusieurs, n'en revient pas : "Je ne sais pas s'il ira au ciel, mais qu'il aille au paradis ou en enfer, s'il veut y aller avant moi, je ne veux pas y aller avant lui". Les commissaires octroient une pénalité de recul de dix places sur la prochaine grille de départ (l'un d'entre eux aurait préféré le suspendre pour une ou deux courses). Événement rarissime, Schumacher présentera ses excuses le lendemain.
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Re: Revue de presse : infos générales.
Alonso n'arrive pas à couper
Fernando Alonso a expliqué qu'il avait du mal à faire le vide et à oublier la compétition, en cette période de trêve.
"Il me sera impossible de déconnecter totalement", a déclaré le pilote Ferrari. "Je vais essayer de me détendre en faisant un peu de sport, au moins une fois par jour, ne serait-ce que 10 minutes. Mais je vais inévitablement penser à la prochaine course en Belgique. Je pense que ce sera pareil pour tout le monde."
"Après quelques courses où on a eu de la malchance, on est maintenant sur le bon chemin. La voiture a progressé, ce qui me rend optimiste et ce qui donne la pleine confiance à tout le monde.
"À Spa, nous allons avoir quelques évolutions qui vont nous aider à progresser encore. Mais les autres feront de même. Cela veut dire que nous devrons être meilleurs qu'eux. en terme de vitesse développement."
"Cela ne nous a pris que deux courses pour être de retour dans la lutte pour le titre. Il est vrai que nous sommes toujours derrière au classement mais je suis convaincu qu'à l'approche des deux ou trois dernières coursesnous serons plus près."
Mark Webber est leader du Championnat devant son coéquipier Sebastian Vettel mais Alonso estime que les deux pilotes Red Bull ne devraient pas tarder à ressentir la pression.
"Il est difficile de dire qui est mon plus gros adversaire", a déclaré l'Espagnol, sur le site de Ferrari. "Peut-être (Lewis) Hamilton, (Jenson) Button et moi-même, qui avons déjà gagné le titre, aborderons le dernier sprint de manière plus calme. Le pourcentage de chances (de gagner) ? Je dirais 50%."
© ESPN EMEA Ltd.
Fernando Alonso a expliqué qu'il avait du mal à faire le vide et à oublier la compétition, en cette période de trêve.
"Il me sera impossible de déconnecter totalement", a déclaré le pilote Ferrari. "Je vais essayer de me détendre en faisant un peu de sport, au moins une fois par jour, ne serait-ce que 10 minutes. Mais je vais inévitablement penser à la prochaine course en Belgique. Je pense que ce sera pareil pour tout le monde."
"Après quelques courses où on a eu de la malchance, on est maintenant sur le bon chemin. La voiture a progressé, ce qui me rend optimiste et ce qui donne la pleine confiance à tout le monde.
"À Spa, nous allons avoir quelques évolutions qui vont nous aider à progresser encore. Mais les autres feront de même. Cela veut dire que nous devrons être meilleurs qu'eux. en terme de vitesse développement."
"Cela ne nous a pris que deux courses pour être de retour dans la lutte pour le titre. Il est vrai que nous sommes toujours derrière au classement mais je suis convaincu qu'à l'approche des deux ou trois dernières coursesnous serons plus près."
Mark Webber est leader du Championnat devant son coéquipier Sebastian Vettel mais Alonso estime que les deux pilotes Red Bull ne devraient pas tarder à ressentir la pression.
"Il est difficile de dire qui est mon plus gros adversaire", a déclaré l'Espagnol, sur le site de Ferrari. "Peut-être (Lewis) Hamilton, (Jenson) Button et moi-même, qui avons déjà gagné le titre, aborderons le dernier sprint de manière plus calme. Le pourcentage de chances (de gagner) ? Je dirais 50%."
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
GP des États-Unis
L'équipe de Tilke à l'œuvre
L'entreprise allemande chargée de construire le circuit d'Austin, le premier conçu spécifiquement pour la F1 aux États-Unis, ouvrira bientôt un bureau dans la ville texane.
Près d'une vingtaine de professionnels seront mis à l'œuvre par Hermann Tilke au cours des deux prochaines années, principalement pour dessiner et superviser le complexe dont la vocation ira bien au-delà de la Formule 1.
Des Ingénieurs, des architectes, des géologues et des experts de l'environnement arriveront à Austin le 16 août pour élaborer un cahier de charges et un calendrier de travail.
"Il faut figurer combien d'immeubles et de chemins d'accès seront nécessaires, déterminer la gestion de l'approvisionnement en eau ainsi que l'écoulement des eaux, sans oublier les besoins énergétiques", a expliqué Christian Epp, un des dirigeants de Tilke GmbH, tel que rapporté par le journal American Statesman.
"C'est comme planifier et construire une toute nouvelle ville", ajoutait-il.
Les facteurs environnementaux seront priorisés. Le complexe utilisera des sources d'énergie renouvelable, tels des panneaux solaires, lorsque possible. Les coûts de l'aventure ont été évalués à 200 millions $ (150m €). C'est donc sur un circuit qui s'annonce très moderne que l'état du Texas accueillera le GP des États-Unis dès 2012.
"Il y a un site, il y a le financement, il y a un contrat avec la Formule 1. Il est maintenant temps d'aborder la dernière phase de cet ambitieux projet", déclarait Epp.
Une fois les plans entièrement complétés, les travaux sur le terrain devraient débuter en décembre. Et à l'été 2012, la ville pourra profiter de la renommée internationale que procure le grand cirque de la F1.
"Nous pourrons alors parler d'Austin comme nous parlons d'Istanbul, Melbourne ou Shanghaï", remarquait Epp.
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L'équipe de Tilke à l'œuvre
L'entreprise allemande chargée de construire le circuit d'Austin, le premier conçu spécifiquement pour la F1 aux États-Unis, ouvrira bientôt un bureau dans la ville texane.
Près d'une vingtaine de professionnels seront mis à l'œuvre par Hermann Tilke au cours des deux prochaines années, principalement pour dessiner et superviser le complexe dont la vocation ira bien au-delà de la Formule 1.
Des Ingénieurs, des architectes, des géologues et des experts de l'environnement arriveront à Austin le 16 août pour élaborer un cahier de charges et un calendrier de travail.
"Il faut figurer combien d'immeubles et de chemins d'accès seront nécessaires, déterminer la gestion de l'approvisionnement en eau ainsi que l'écoulement des eaux, sans oublier les besoins énergétiques", a expliqué Christian Epp, un des dirigeants de Tilke GmbH, tel que rapporté par le journal American Statesman.
"C'est comme planifier et construire une toute nouvelle ville", ajoutait-il.
Les facteurs environnementaux seront priorisés. Le complexe utilisera des sources d'énergie renouvelable, tels des panneaux solaires, lorsque possible. Les coûts de l'aventure ont été évalués à 200 millions $ (150m €). C'est donc sur un circuit qui s'annonce très moderne que l'état du Texas accueillera le GP des États-Unis dès 2012.
"Il y a un site, il y a le financement, il y a un contrat avec la Formule 1. Il est maintenant temps d'aborder la dernière phase de cet ambitieux projet", déclarait Epp.
Une fois les plans entièrement complétés, les travaux sur le terrain devraient débuter en décembre. Et à l'été 2012, la ville pourra profiter de la renommée internationale que procure le grand cirque de la F1.
"Nous pourrons alors parler d'Austin comme nous parlons d'Istanbul, Melbourne ou Shanghaï", remarquait Epp.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Mercedes a besoin de temps
Norbert Haug, le patron de Mercedes Motorsport, avoue que la couronne mondiale gagnée par l'équipe en 2009 (alors qu'elle se nommait Brawn GP) est à l'origine du terrain perdu cette année.
"Ross (Brawn, le patron de l'écurie) et les gens de l'équipe savent ce qu'ils font", dit Haug. "Mais ils se battaient pour le championnat l'an dernier et étaient très concentrés la-dessus."
Vers la fin du championnat 2009, la Brawn BGP 001 n'était plus aussi dominante qu'elle l'était en début de saison. Le titre des constructeurs a néanmoins été remporté, mais au détriment de ce qui deviendrait la Mercedes W01 après l'acquisition de l'équipe par le manufacturier Allemand.
Cette année, les performances de Mercedes ne sont pas aussi compétitives que celles de Red Bull, Ferrari ou McLaren. Malgré trois podiums, il est peu probable que l'équipe germanique signe une victoire cette saison. Ni Nico Rosberg, ni Michael Schumacher s'y attendent.
"L'équipe a l'expertise, elle a remporté le championnat l'an dernier, mais il est évident que nous ne sommes pas assez bons actuellement", observe Haug. "Mais je suis absolument convaincu qu'avec un peu de temps nous pourrons réellement améliorer la situation."
Pour Mercedes, qui court en F1 avec sa propre écurie pour la première fois depuis un demi-siècle, 2010 sera donc une année de transition qui servira à mieux préparer la prochaine.
"La voiture n'est pas mauvaise, mais tout ne fonctionne pas toujours en harmonie à 100%. C'est mon point de vue. Parfois vous l'avez juste, parfois vous n'atteignez pas vos objectifs."
"Mais c'est très souvent comme ça en Formule 1", ajoute Haug. "Il faut passer la majorité de son temps à s'améliorer et à pourchasser les autres. Si vous ne le faites pas, vous serez très rapidement relégué aux oubliettes."
L'écurie Mercedes a déjà annoncé qu'elle se concentrera sur la monoplace 2011 dès la fin de la trêve estivale.
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Norbert Haug, le patron de Mercedes Motorsport, avoue que la couronne mondiale gagnée par l'équipe en 2009 (alors qu'elle se nommait Brawn GP) est à l'origine du terrain perdu cette année.
"Ross (Brawn, le patron de l'écurie) et les gens de l'équipe savent ce qu'ils font", dit Haug. "Mais ils se battaient pour le championnat l'an dernier et étaient très concentrés la-dessus."
Vers la fin du championnat 2009, la Brawn BGP 001 n'était plus aussi dominante qu'elle l'était en début de saison. Le titre des constructeurs a néanmoins été remporté, mais au détriment de ce qui deviendrait la Mercedes W01 après l'acquisition de l'équipe par le manufacturier Allemand.
Cette année, les performances de Mercedes ne sont pas aussi compétitives que celles de Red Bull, Ferrari ou McLaren. Malgré trois podiums, il est peu probable que l'équipe germanique signe une victoire cette saison. Ni Nico Rosberg, ni Michael Schumacher s'y attendent.
"L'équipe a l'expertise, elle a remporté le championnat l'an dernier, mais il est évident que nous ne sommes pas assez bons actuellement", observe Haug. "Mais je suis absolument convaincu qu'avec un peu de temps nous pourrons réellement améliorer la situation."
Pour Mercedes, qui court en F1 avec sa propre écurie pour la première fois depuis un demi-siècle, 2010 sera donc une année de transition qui servira à mieux préparer la prochaine.
"La voiture n'est pas mauvaise, mais tout ne fonctionne pas toujours en harmonie à 100%. C'est mon point de vue. Parfois vous l'avez juste, parfois vous n'atteignez pas vos objectifs."
"Mais c'est très souvent comme ça en Formule 1", ajoute Haug. "Il faut passer la majorité de son temps à s'améliorer et à pourchasser les autres. Si vous ne le faites pas, vous serez très rapidement relégué aux oubliettes."
L'écurie Mercedes a déjà annoncé qu'elle se concentrera sur la monoplace 2011 dès la fin de la trêve estivale.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
Massa n’est plus prophète en son pays
Felipe Massa, après avoir laissé la victoire à Fernando Alonso lors du Grand Prix d’Allemagne, a vu sa cote de popularité chuter au Brésil.
Felipe Massa, qui a failli, en 2008, être le premier Brésilien Champion du Monde depuis Ayrton Senna, a aujourd’hui perdu beaucoup de son crédit. Pilote Ferrari depuis 2006, le natif de Sao Paulo a pourtant failli rafler la couronne mondiale en 2008, en s’imposant devant son public. Mais les événements du Grand Prix d’Allemagne, durant lequel Felipe Massa a laissé passer Fernando Alonso pour la victoire, ont beaucoup déplu. Le charisme du pilote de la Scuderia en a pris un coup.
« Derrière chaque pilote, il y a un drapeau. Il a foulé le sien aux pieds, explique à AUTOehbdo le journaliste d’un quotidien sportif pauliste. Il est plus intéressé par le prolongement de son contrat qu’il vient de signer. Il n’a pas pensé à la honte qu’il faisait à son pays et ses supporters qui voyaient à travers lui un exemple à suivre. Une surprise d’autant plus grande que ce qu’ils pouvaient attendre d’un Barrichello était inimaginable d’un Massa. »
Ferrari a été très critiquée suite au Grand Prix d’Allemagne, pour avoir incité Felipe Massa à offrir la victoire à Fernando Alonso. Mais le Brésilien, en répondant à cette invitation, a également perdu beaucoup de crédit. Mis en difficulté chez Ferrari depuis le début de saison, il réitère toutefois vouloir gagner. « Je ne suis pas en F1 pour seulement disputer des courses, je suis là pour gagner. Tant que je pourrai le faire, je viserai la victoire. Je suis un professionnel et je pense que tout le monde doit le comprendre », répète-t-il à AUTOhebdo. Mais, après s’être placé sous la domination de son équipier espagnol, nul doute que Felipe Massa devra batailler pour se replacer comme l’égal du double Champion du Monde.
Source : autohebdo.fr
Felipe Massa, après avoir laissé la victoire à Fernando Alonso lors du Grand Prix d’Allemagne, a vu sa cote de popularité chuter au Brésil.
Felipe Massa, qui a failli, en 2008, être le premier Brésilien Champion du Monde depuis Ayrton Senna, a aujourd’hui perdu beaucoup de son crédit. Pilote Ferrari depuis 2006, le natif de Sao Paulo a pourtant failli rafler la couronne mondiale en 2008, en s’imposant devant son public. Mais les événements du Grand Prix d’Allemagne, durant lequel Felipe Massa a laissé passer Fernando Alonso pour la victoire, ont beaucoup déplu. Le charisme du pilote de la Scuderia en a pris un coup.
« Derrière chaque pilote, il y a un drapeau. Il a foulé le sien aux pieds, explique à AUTOehbdo le journaliste d’un quotidien sportif pauliste. Il est plus intéressé par le prolongement de son contrat qu’il vient de signer. Il n’a pas pensé à la honte qu’il faisait à son pays et ses supporters qui voyaient à travers lui un exemple à suivre. Une surprise d’autant plus grande que ce qu’ils pouvaient attendre d’un Barrichello était inimaginable d’un Massa. »
Ferrari a été très critiquée suite au Grand Prix d’Allemagne, pour avoir incité Felipe Massa à offrir la victoire à Fernando Alonso. Mais le Brésilien, en répondant à cette invitation, a également perdu beaucoup de crédit. Mis en difficulté chez Ferrari depuis le début de saison, il réitère toutefois vouloir gagner. « Je ne suis pas en F1 pour seulement disputer des courses, je suis là pour gagner. Tant que je pourrai le faire, je viserai la victoire. Je suis un professionnel et je pense que tout le monde doit le comprendre », répète-t-il à AUTOhebdo. Mais, après s’être placé sous la domination de son équipier espagnol, nul doute que Felipe Massa devra batailler pour se replacer comme l’égal du double Champion du Monde.
Source : autohebdo.fr
dom465- Messages : 12793
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Re: Revue de presse : infos générales.
dom465 a écrit:Massa n’est plus prophète en son pays
Felipe Massa, après avoir laissé la victoire à Fernando Alonso lors du Grand Prix d’Allemagne, a vu sa cote de popularité chuter au Brésil.
Felipe Massa, qui a failli, en 2008, être le premier Brésilien Champion du Monde depuis Ayrton Senna, a aujourd’hui perdu beaucoup de son crédit. Pilote Ferrari depuis 2006, le natif de Sao Paulo a pourtant failli rafler la couronne mondiale en 2008, en s’imposant devant son public. Mais les événements du Grand Prix d’Allemagne, durant lequel Felipe Massa a laissé passer Fernando Alonso pour la victoire, ont beaucoup déplu. Le charisme du pilote de la Scuderia en a pris un coup.
« Derrière chaque pilote, il y a un drapeau. Il a foulé le sien aux pieds, explique à AUTOehbdo le journaliste d’un quotidien sportif pauliste. Il est plus intéressé par le prolongement de son contrat qu’il vient de signer. Il n’a pas pensé à la honte qu’il faisait à son pays et ses supporters qui voyaient à travers lui un exemple à suivre. Une surprise d’autant plus grande que ce qu’ils pouvaient attendre d’un Barrichello était inimaginable d’un Massa. »
Ferrari a été très critiquée suite au Grand Prix d’Allemagne, pour avoir incité Felipe Massa à offrir la victoire à Fernando Alonso. Mais le Brésilien, en répondant à cette invitation, a également perdu beaucoup de crédit. Mis en difficulté chez Ferrari depuis le début de saison, il réitère toutefois vouloir gagner. « Je ne suis pas en F1 pour seulement disputer des courses, je suis là pour gagner. Tant que je pourrai le faire, je viserai la victoire. Je suis un professionnel et je pense que tout le monde doit le comprendre », répète-t-il à AUTOhebdo. Mais, après s’être placé sous la domination de son équipier espagnol, nul doute que Felipe Massa devra batailler pour se replacer comme l’égal du double Champion du Monde.
Source : autohebdo.fr
Est ce que Barrichello avait eu droit droit aussi a ces critique? perso aucun souvenir.
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
Age : 32
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Re: Revue de presse : infos générales.
Je ne pense pas non plus. Il me semble qu'à l'époque, la presse brésilienne avait critiqué le comportement de Ferrari mais pas de Barichello.
Bizarre, c'est vrai !
Bizarre, c'est vrai !
dom465- Messages : 12793
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Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Revue de presse : infos générales.
Dans AH, il explique que Barichello n'est justement l'exemple à ne pas suivre au Bresil suite à sa collaboration avec Ferrari et Schumacher. Félipé Massa était donc la référence et , à son tour, il tombe de son pied d'estale ... qui va devenir la nouvelle idole Brésilienne ?
non,non, pas Piquet Jr, lui c'est déjà rapé depuis longtemps !
non,non, pas Piquet Jr, lui c'est déjà rapé depuis longtemps !
Re: Revue de presse : infos générales.
Newey hospitalisé après un accident.
Adrian Newey, directeur technique de Red Bull Racing, a été hospitalisé aujourd’hui pour effectuer un check-up après un accident au volant d’une Ginetta G50 à Snetterton.
La Formule 1 profite actuellement d’une trêve estivale d’un mois, et les équipes sont obligées de respecter une fermeture obligatoire de deux semaines de leur usine durant cette période.
Adrian Newey a donc saisi cette occasion pour participer à une course annexe du championnat britannique de voiture de tourisme (BTCC) en tant qu’invité. L’expérience a cependant mal tourné. Victime d’un tête-à-queue sur le chemin d’un autre participant, le flanc de la voiture d’Adrian Newey a été heurté de plein fouet.
Extrait de sa Ginetta sur une civière, Adrian Newey n’a pas été blessé dans l’accident mais a néanmoins été emmené à l’hôpital pour y effectuer un check-up.
Source : toilef1.com
Red Bull a du avoir chaud. A mon avis, il ne seront plus trop d'accord pour qu'il renouvelle l'expérience !
Adrian Newey, directeur technique de Red Bull Racing, a été hospitalisé aujourd’hui pour effectuer un check-up après un accident au volant d’une Ginetta G50 à Snetterton.
La Formule 1 profite actuellement d’une trêve estivale d’un mois, et les équipes sont obligées de respecter une fermeture obligatoire de deux semaines de leur usine durant cette période.
Adrian Newey a donc saisi cette occasion pour participer à une course annexe du championnat britannique de voiture de tourisme (BTCC) en tant qu’invité. L’expérience a cependant mal tourné. Victime d’un tête-à-queue sur le chemin d’un autre participant, le flanc de la voiture d’Adrian Newey a été heurté de plein fouet.
Extrait de sa Ginetta sur une civière, Adrian Newey n’a pas été blessé dans l’accident mais a néanmoins été emmené à l’hôpital pour y effectuer un check-up.
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Red Bull a du avoir chaud. A mon avis, il ne seront plus trop d'accord pour qu'il renouvelle l'expérience !
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