Re: Revue de presse : infos générales.

[dom465]

La voiture de sécurité, c'était moi

Comme toutes les autres équipes, notre course en Hongrie a été affectée par la voiture de sécurité. La seule différence dans notre cas, c'est que nous en sommes responsables : c'est le bris de mon aileron avant qui a provoqué son entrée en piste.

Le Hungaroring est un circuit très étroit, surtout au virage 1. Au départ, il y avait trois ou quatre voitures autour de moi. J'étais vraiment très près de Michael Schumacher et Jenson Button, mais je ne pensais pas avoir touché quelqu'un. Le contact a dû être très léger car je n'ai rien senti et il n'y eut aucun débris.

Mais dès que je roulais à haute vitesse, je sentais que quelque chose clochait avec le comportement de la voiture car j'avais beaucoup de sous-virage. J'ai contacté l'équipe par radio pour leur demander de jeter un coup d'œil quand je passais sur la ligne droite devant les stands, mais ils n'ont rien vu d'anormal.

La fissure devait être assez petite, mais après quelques tours j'ai perdu une pièce à l'avant de l'aileron en plus d'une dérive. J'allais continuer comme ça puisque j'avais un arrêt à faire quelques tours plus tard, mais soudain, un gros morceau de l'aileron avant s'est envolé au-dessus de ma tête. Assez gros pour provoquer l'entrée en piste de la voiture de sécurité (le morceau étant retombé sur la piste). C'est ce qui a chamboulé la course.

Je me suis retrouvé coincé derrière la Toro Rosso de Sébastien Buemi ; sa voiture était beaucoup plus lente que la nôtre. Mais comme nous l'avons déjà souvent constaté sur ce circuit, c'est très difficile de doubler sur le Hungaroring. Ce n'est pas toujours évident de s'en rendre compte à la télé. J'ai essayé partout, bien que le meilleur endroit soit le virage 1. C'est au bout de la seule ligne droite et elle n'est pas très longue. Le reste du tour, c'est un virage après l'autre et vous n'arrivez pas à vous rapprocher.

Et lorsque vous êtres près de votre adversaire, vous perdez les appuis à l'avant et la voiture glisse. C'est un problème qui affecte toutes les voitures, à des degrés différents selon votre ensemble aérodynamique. C'était très difficile et Buemi n'a fait aucune grosse erreur dont j'ai pu profiter.

Le fait que l'avantage de Rubens Barrichello sur Michael Schumacher ait été minime, bien qu'il chaussait alors un nouveau train de gommes tendres, démontre à quel point c'est compliqué. Je sais que la manœuvre de Schumacher est controversée, mais je n'ai vu qu'une courte vidéo sur YouTube alors je ne sais pas exactement ce qu'il s'est passé. Mais d'après ce que j'ai vu, c'était très agressif en plus d'être une manœuvre risquée. Mais j'attendrai de voir la séquence complète avant de porter jugement.

Vendredi, nous avons testé notre nouvel échappement bas sur la voiture de mon coéquipier, Adrian Sutil. Les résultats semblaient bons, mais nous n'avions pas assez de données sur les longs runs pour justifier son utilisation lors des qualifications et la course. C'était un peu risqué. Mais il n'y a pas de doute, l'adhérence était meilleure. Je devrai attendre Spa pour confirmer cette amélioration. C'est vraiment très bien de voir l'équipe poursuivre le développement de la voiture avec autant d'énergie.

L'autre grand développement du moment concerne les ailerons avant flexibles, mais nous allons attendre pour l'instant. Tout dépend de la clarification du règlement, à savoir ce qui est permis ou non en termes de garde au sol. Que ce soit l'aileron qui se déforme ou quelque chose d'autre, les Red Bull et les Ferrari sont beaucoup plus basses à l'avant et elles profitent ainsi d'un appui grandement supérieur.

Alors nous voulons explorer ces possibilités, mais ce qui sera légal ou non n'a pas encore été clairement déterminé. En attendant, nous nous concentrons sur l'échappement bas et nous verrons pour le reste après Spa.

Comme équipe, je crois que nous pouvons être vraiment fiers d'occuper la sixième place dans le championnat des constructeurs. Personnellement, je suis un peu frustré d'avoir perdu des points au cours de la première moitié de la saison. Ces points étaient vraiment importants pour moi et l'équipe.

J'ai eu un problème d'accélérateur en Malaisie, et ensuite il y a eu toutes ces courses où nous avons perdu beaucoup de temps alors que nous tentions de comprendre les problèmes avec le comportement de la voiture. J'ai eu un problème de F-duct en Turquie et ensuite des soucis avec la vitesse de pointe. C'est difficile à évaluer, mais je dirais que nous avons perdu une quinzaine de points.

Cependant, nous sommes bien placés pour les sept dernières courses. Nous nous rendrons à Spa et à Monza après la pause estivale, et ce sont deux circuits où nous serons assurément compétitifs. La voiture de cette saison est une évolution de celle qui a décroché la pole position à Spa l'an dernier, alors nous espérons être aussi forts là-bas que nous l'étions au Canada cette année.

Notre objectif est de conserver cette sixième place au championnat et nous ferons tout ce qu'il faut pour réussir.

Notre chroniqueur Tonio Liuzzi est un pilote Force India

© ESPN EMEA Ltd.

[dom465]

Pilotes et adeptes du triple effort

Dans le sillage de Jenson Button, qui courra le triathlon de Londres prochainement, plusieurs pilotes se lancent dans ce sport qui constitue une très bonne préparation physique pour la F1.

Le champion du monde sera l'un des 15 000 anonymes au départ sur la distance sprint (750 m de natation, 20 km de vélo et 5 km à pied), le 8 août, dans la capitale britannique. Mais il a participé aussi à des triathlons de distance olympique (1,5 km, 40 km, 10 km).

"J'ai essayé un jour et je suis devenu accro", a déclaré le pilote McLaren. "Il y a trois sports en un seul et pas le temps de s'ennuyer. Un jour la piscine, un autre le vélo, c'est au choix et chacun va à son rythme."

Lors de son dernier triathlon, distance olympique, Button a terminé dans les 200 premiers, à 10 minutes seulement des professionnels de ce sport.

La passion de Button pour le triathlon est communicative. À Monaco, où il réside, le champion du monde a un compagnon d'entraînement nommé Nico Rosberg et l'Allemand s'alignera le 15 août sur le triathlon de Kitzbühel, en Autriche (distance olympique).

Lewis Hamilton s'est lui engagé à courir à Londres l'année prochaine, avec Button, pour une cause humanitaire. C'est le résultat d'un vieux pari que les deux hommes se sont lancé.

Adrian Sutil et Mark Webber ont déjà confessé qu'ils souhaitaient eux aussi essayer le triathlon. Pour l'Australien, leader du Championnat, ce ne sera pas problème puisqu'il est habitué à courir dans des raids multisports, c'est même lors de l'un d'entre eux qu'il s'est brisé une jambe fin 2008.

Le Britannique Mark Collier est l'entraîneur de Button et il fut dans le passé celui de Webber. "Jenson a de très bonnes dispositions pour le triathlon", a-t-il déclaré. "Je lui prépare des programmes pour qu'il puisse s'entraîner tout en faisant sa saison de F1, ses voyages, et concilier tout cela avec sa vie privée."

"Il faut voir que le triathlon est très complémentaire de la course automobile. Nous avons des pilotes qui doivent avoir une parfaite condition physique et qui doivent gérer leur poids. Le triathlon les y aide."

Ce sport souvent décrit comme très difficile en raison du fait que les épreuves les plus connues (Ironman, 5 km de natation, 180 à vélo et un marathon) sont très longues et très dures, continue de faire des adeptes. Le journal espagnol Marca annonce ainsi que les pilotes GP2 Dani Clos et Daniel Juncadella seront au départ du triathlon de Barcelone en octobre.

© ESPN EMEA Ltd.

[dom465]

Il n’est jamais inutile de revisiter le passé. Que ce soit pour se souvenir d’une belle tranche de vie, ou pour mesurer le chemin parcouru depuis celle-ci. La Formule 1 du début des années 70 n’offre évidemment que très peu de points communs avec celle d’aujourd’hui. Tous les aspects de la discipline ont évolué avec leur temps, gavé par les progrès technologiques et la transmutation d’un sport vers un mega-business. Le corolaire humain n’eut aucune raison de se voir épargner, les héros d’antan, personnages flamboyants et lumineux, ayant été remplacés par des stars, non moins douées, mais obligatoirement politiquement correctes. Le spectacle a fait place au show, et le sport à l’argent.
A l’heure où le débat sur les consignes d’équipe fait rage, soutenu par la priorité contractuelle d’un pilote sur son équipier, replongeons nous quelques instants au début des années 70. Nous sommes à Monaco, dans le box de l’équipe Tyrrell où Jackie Stewart et François Cevert se font un petit debrief au terme de la première séance d’essais. Conscient chacun de leur statut respectif, maître pour l’un et élève pour l’autre, la relation entre les deux hommes est teinté non seulement de franchise et de transparence, mais aussi d’un profond respect, surtout dans le chef de Cevert. Pendant les saisons qu’ils vécurent côte à côte, Jackie n’eut de cesse de soutenir et d’encourager son équipier, dans le seul but de l’aider à raffiner et à fortifier son incontestable talent. A Monaco, leur aparté est soudain contrariée par une présence indiscrète (un autre pilote ?), et la solution est de se mettre un peu à l’écart. Et non de faire chasser l’intrus par le censeur de l’équipe, comme cela serait le cas aujourd’hui. Ce moment du passé, dans toute sa candeur et sa sincérité, contraste d’une façon extraordinaire avec la période moderne de la F1, où les rapports des uns avec les autres sont régis par 382 pages de paragraphes contractuels et les intoxications comportementales et arrogantes habituelles. Quant aux consignes d’équipe de l’époque, elles étaient avant tout déterminées par la civilité et l’estime, de soi et de l’autre. En route vers les sommets en 1973 dans le sillage de son maître, François Cevert fut toujours parfaitement heureux d’apprendre, d’observer, même lorsqu’il sentit une supériorité sur son chef de file à sa portée. Comme au Nurburgring cette année là, lorsque Stewart déclara au terme d’un doublé des Tyrrell boys : “François aurait pu me dépasser à plusieurs reprises aujourd’hui car il était plus rapide…”. Cevert savait que son heure viendrait. Hélas, le destin allait en décider autrement à l’automne du côté de Watkins Glen.



A la BBC l’autre jour, lors du weekend du GP de Hongrie, notre ami David Coulthard nous a expliqué que les consignes doivent être légalisées, car elles ont toujours existé, illustrant ses propos en rappelant le jour où Peter Collins céda sa Lancia D50 (engagée par la Scuderia Ferrari) à Fangio lors du GP d’Italie à Monza en 1956. Malheureusement pour David, il n’aurait pas pu choisir un plus mauvais exemple. Car la réalité historique lui échappe totalement, une lacune que nous lui pardonnerons volontiers vu son jeune âge… En effet, à Monza en 1956, après que la machine de Fangio eut rendu l’âme, Collins sembla certain de décrocher le titre de Champion du monde car il lui eut suffit de terminer pour être couronné. Mais au cours d’un arrêt au stand, le Britannique vit l’Argentin assis sur le muret, miné par son abandon. De sa propre initiative, sans que la moindre consigne ne dicta son geste, il lui céda sa machine ! Se sachant à l’aube d’une belle carrière, alors que celle de son équipier entamait son crépuscule, Collins justifia son extraordinaire générosité en expliquant, comme Cevert le pensait lui aussi, que son avenir lui apporterait certainement d’autres occasions pour triompher. Malheureusement, comme le jeune champion français, le destin du Britannique allait connaître une fin tragique. Cevert, Collins, Alonso, Massa : ces individus sont en quelque sorte le reflet de leur époque et du temps, et le temps lui-même est la mesure de leur évolution.

P. Van Vliet

Source : F1imagazine

[dom465]

Interview de Sam Michael.

Le directeur technique de Williams F1, Sam Michael, est satisfait de la compétitive de la FW32, qui a permis à Nico Hülkenberg et Rubens Barrichello de terminer dans les points en Hongrie. L'Australien estime que cette performance en appellera d'autres.

Avez-vous été satisfait des performances de la FW32 sur le Hungaroring ?
Sam Michael : Nous progressons assurément avec la voiture mais nous devons encore trouver quelques dixièmes pour nous qualifier régulièrement en Q3.

Nico s'est hissé en Q3 pour la troisième fois en quatre courses, mais il était plus lent en Q3 qu'en Q2. Quelle est était la raison ?
S.M : Nico n'a pu rééditer ses performances de Q1 et Q2 essentiellement à cause d'un manque d'adhérence.

La sixième de place de Nico est son meilleur résultat cette saison. Qu'en pensez-vous ?
S.M : Nico a réalisé une course solide. Il avait les bons pneus lors de l'intervention de la voiture de sécurité, ce qui résulte de sa belle prestation samedi en qualifications.

Avec le recul, regrettez-vous de ne pas avoir rappelé Rubens aux stands pour passer en pneus tendres lorsque la voiture de sécurité a fait son apparition en piste au 15e tour ?
S.M : Pas vraiment, non. Notre principale raison de ne pas avoir rappelé Rubens aux stands était d'éviter de parcourir 55 tours avec les gommes tendres qui n'auraient pas résisté bien longtemps. En plus, si nous avions rappelé les deux voitures au même moment, Nico aurait perdu un temps significatif. La stratégie pour laquelle nous avons opté a maximisé les points que nous avons inscrits.

Quel est votre sentiment sur la manière de Michael Schumacher de défendre sa 10e place face à Rubens dans la derniers tours de course ?
S.M : De mon point de vue, la manœuvre de Michael a simplement prouvé à tout le monde à quel point Rubens est complètement engagé !

Les usines ferment deux semaines durant la trêve estivale. Quelles semaines Williams a-t-elle choisi de fermer ses portes et pourquoi ?
S.M : Nous les avons fermées immédiatement après la course. Nous avons fermé tout de suite, afin de bénéficier d'un maximum de temps pour préparer la Belgique lorsque nous reviendrons.

La prochaine course se déroule à Spa-Francorchamps. Avez-vous confiance en les capacités de la FW32 pour cette épreuve ?
S.M : Oui, tout le package sera performant. Nous devrions être en mesure de nous battre dans le top 10, comme nous l'avons fait récemment.

Source : GPupdate

[dom465]

Toutes les équipes vont devoir modifier leurs ailerons

Une source anonyme issue de l’équipe Ferrairi, citée par La Stampa, affirme que les nouveaux tests de la FIA sur les ailerons avants vont obliger les équipes à les modifier, étant toutes à la limite de la légalité.

L’aileron de Red Bull va-t-il soudainement se ré-hausser?… Afin de s’assurer que les ailerons avants de Red Bull et de Ferrari ne soient pas trop flexibles, ce qui pourrait expliquer leurs positions particulièrement basses et avantageuses, la FIA a décidé de renforcer les tests sur les ailerons, en doublant les charges exercées sur les extrémités, avec des poids de 100kg au lieu de 50.

La Fédération Internationale a décidé de doubler ces charges pour vérifier que les ailerons avants ne soient pas « intelligents », c’est à dire qu’ils auraient un taux de flexibilité plus élevé à haute vitesse, donc à charges plus élevées.

Une source anonyme chez Ferrari, citée par La Stampa, révèle que toutes les équipes vont devoir modifier leurs ailerons, au risque d’être dans l’illégalité.

« Tous les ailerons sont construits à la limite du règlement, exploitant cette légère flexibilité permise. Plus ou moins tout le monde devra donc revoir sa copie, » affirme cette source.

Malgré un gain annoncé par les concurrents de 0,3 seconde au tour pour Ferrari, cette source anonyme n’est pas inquiète.

« Nous nous adapterons mais cela n’affectera pas notre compétitivité. »

L’équipe Red Bull possède un aileron encore plus bas que celui de Ferrari, et ces nouveaux tests pourraient ne pas suffire à calmer la grogne des concurrents puisque le fond plat est aussi suspecté d’influencer la hauteur de l’aileron avant.

Source : StandF1.com

[BRUNO935K3]

DOM' : " Toutes les équipes vont devoir modifier leurs ailerons"

Quel délai a été accordé pour procéder à ces modifications ?
Le prochain GP ?

[dom465]

Oui, dès le GP de Belgique, les tests de flexibilité seront 2 fois plus durs.

[TROIKA]

[quote="

Il n’est jamais inutile de revisiter le passé. Que ce soit pour se souvenir d’une belle tranche de vie, ou pour mesurer le chemin parcouru depuis celle-ci. La Formule 1 du début des années 70 n’offre évidemment que très peu de points communs avec celle d’aujourd’hui. Tous les aspects de la discipline ont évolué avec leur temps, gavé par les progrès technologiques et la transmutation d’un sport vers un mega-business. Le corolaire humain n’eut aucune raison de se voir épargner, les héros d’antan, personnages flamboyants et lumineux, ayant été remplacés par des stars, non moins douées, mais obligatoirement politiquement correctes. Le spectacle a fait place au show, et le sport à l’argent.
A l’heure où le débat sur les consignes d’équipe fait rage, soutenu par la priorité contractuelle d’un pilote sur son équipier, replongeons nous quelques instants au début des années 70. Nous sommes à Monaco, dans le box de l’équipe Tyrrell où Jackie Stewart et François Cevert se font un petit debrief au terme de la première séance d’essais. Conscient chacun de leur statut respectif, maître pour l’un et élève pour l’autre, la relation entre les deux hommes est teinté non seulement de franchise et de transparence, mais aussi d’un profond respect, surtout dans le chef de Cevert. Pendant les saisons qu’ils vécurent côte à côte, Jackie n’eut de cesse de soutenir et d’encourager son équipier, dans le seul but de l’aider à raffiner et à fortifier son incontestable talent. A Monaco, leur aparté est soudain contrariée par une présence indiscrète (un autre pilote ?), et la solution est de se mettre un peu à l’écart. Et non de faire chasser l’intrus par le censeur de l’équipe, comme cela serait le cas aujourd’hui. Ce moment du passé, dans toute sa candeur et sa sincérité, contraste d’une façon extraordinaire avec la période moderne de la F1, où les rapports des uns avec les autres sont régis par 382 pages de paragraphes contractuels et les intoxications comportementales et arrogantes habituelles. Quant aux consignes d’équipe de l’époque, elles étaient avant tout déterminées par la civilité et l’estime, de soi et de l’autre. En route vers les sommets en 1973 dans le sillage de son maître, François Cevert fut toujours parfaitement heureux d’apprendre, d’observer, même lorsqu’il sentit une supériorité sur son chef de file à sa portée. Comme au Nurburgring cette année là, lorsque Stewart déclara au terme d’un doublé des Tyrrell boys : “François aurait pu me dépasser à plusieurs reprises aujourd’hui car il était plus rapide…”. Cevert savait que son heure viendrait. Hélas, le destin allait en décider autrement à l’automne du côté de Watkins Glen.



A la BBC l’autre jour, lors du weekend du GP de Hongrie, notre ami David Coulthard nous a expliqué que les consignes doivent être légalisées, car elles ont toujours existé, illustrant ses propos en rappelant le jour où Peter Collins céda sa Lancia D50 (engagée par la Scuderia Ferrari) à Fangio lors du GP d’Italie à Monza en 1956. Malheureusement pour David, il n’aurait pas pu choisir un plus mauvais exemple. Car la réalité historique lui échappe totalement, une lacune que nous lui pardonnerons volontiers vu son jeune âge… En effet, à Monza en 1956, après que la machine de Fangio eut rendu l’âme, Collins sembla certain de décrocher le titre de Champion du monde car il lui eut suffit de terminer pour être couronné. Mais au cours d’un arrêt au stand, le Britannique vit l’Argentin assis sur le muret, miné par son abandon. De sa propre initiative, sans que la moindre consigne ne dicta son geste, il lui céda sa machine ! Se sachant à l’aube d’une belle carrière, alors que celle de son équipier entamait son crépuscule, Collins justifia son extraordinaire générosité en expliquant, comme Cevert le pensait lui aussi, que son avenir lui apporterait certainement d’autres occasions pour triompher. Malheureusement, comme le jeune champion français, le destin du Britannique allait connaître une fin tragique. Cevert, Collins, Alonso, Massa : ces individus sont en quelque sorte le reflet de leur époque et du temps, et le temps lui-même est la mesure de leur évolution.

P. Van Vliet

Source : F1imagazine[/quote]



Superbe!

Merci Dom!

[BRUNO935K3]

J'aime beaucoup cette analyse !

[pipom]

en effet, tres jolie texte.

Je note :
"Pendant les saisons qu’ils vécurent côte à côte, Jackie n’eut de cesse de soutenir et d’encourager son équipier, dans le seul but de l’aider à raffiner et à fortifier son incontestable talent."

un peu Schumi avec Massa lors de ces dernieres années chez Ferrari, une belle image entre co-équipier ou chacun connait sa place !
c'est forcement plus difficile à atteindre avec 2 pilotes confirmés !

c'etait juste pour dire , à l'heure où il est plus facile de tirer sur l'ex-baron rouge !

[McLaren]

C'est évident que François aurai été le premier champion du monde Français.
Sa sépulture est à une vingtaines de kilomètres de chez moi, dans un petit village du Maine et Loire.
Son frère avait également piloté avec succès en France en supertourisme sur une très belle Ford Capri 3L
souvenirs souvenirs....

[TROIKA]

Cosworth veut un podium

F1 - Mardi 03 août - 17h12

Les tops et les flops de Budapest Les récentes prestations des Williams FW 32 ont montré à quel point le V8 Cosworth pouvait être performant. Le directeur Mark Gallagher rêve même de podium.

« Nous sommes impatients d’aller à Spa et à Monza, des tracés où les moteurs s’expriment pleinement. Williams souhaite marquer encore davantage de points à chaque Grand Prix. Quant à nous, nous aimerions être sur le podium. »

[Fabienne]

Cosworth veut un podium

F1 - Mardi 03 août - 17h12

Les tops et les flops de Budapest Les récentes prestations des Williams FW 32 ont montré à quel point le V8 Cosworth pouvait être performant. Le directeur Mark Gallagher rêve même de podium.

« Nous sommes impatients d’aller à Spa et à Monza, des tracés où les moteurs s’expriment pleinement. Williams souhaite marquer encore davantage de points à chaque Grand Prix. Quant à nous, nous aimerions être sur le podium. »

Et moi dont alors que j'aimerai voir Rubens sur un podium :!: Je sais, je vous saoûl avec lui, mais je n'ai pas pu m'en empêcher, désolée

[Admin]

...Je sais, je vous saoûl avec lui, mais je n'ai pas pu m'en empêcher, désolée

Mais non, mais non...

[dom465]

13ième écurie, la FIA va faire son choix....ou pas !

La Fédération International de l’Automobile va rencontrer la semaine prochaine les derniers candidats en lice pour une entrée en Formule 1 dans le but de devenir la 13ème équipe du plateau.

Le temps presse pour la sélection de cette 13ème équipe étant donné que des grands techniciens de la Formule 1, comme Ross Brawn, s’inquiète sur le sort d’une nouvelle équipe qui ne devrait pas avoir assez de temps pour développer sa monoplace à temps pour la saison 2011 du championnat du monde de Formule 1.

"Il me semble que c’est la limite pour avoir une nouvelle équipe à temps pour la saison prochaine. Je pense aussi que nous sommes bien à 24 voitures sur la grille et qu’il ne serait pas dommageable de ne pas compter sur deux voitures de plus l’année prochaine. Ce dont nous avons besoin c’est de conserver ce que nous avons," a déclaré Ross Brawn.

A ce jour, il y a deux projets qui ont avorté. Celui d’ART Grand Prix et de Cypher Group. Il ne reste donc plus que trois candidats : Stefan GP, Epsilon Euskadi et enfin, l’association Villeneuve-Durango.

Source : toilef1.com

[dom465]

Briatore mise sur Webber pour le titre.

Flavio Briatore a été le manager de Mark Webber avant l’affaire du crashgate qui a été révélée au grand jour l’an dernier. Aujourd’hui, après la quatrième victoire de la saison de son ancien poulain, l’Italien affirme que le pilote Red Bull va remportr son premier titre mondial à la fin de la saison.

"Attention, Webber est en route pour remporter le titre. Ce qu’il a fait en Hongrie, le dimanche a été phénoménale. Mais je ne dis pas cela parce que Webber est l’un de mes pilotes, je ne fais que l’état de ce que tout le monde a pu voir à la maison," a déclaré Flavio Briatore à la Gazzetta dello Sport.

"Mark est un pilote capable de prouesses exceptionnelles. Il a maintenant atteint une maturité et un calme intérieur qui peuvent l’emmener très loin. En Hongrie, il a été le premier à comprendre qu’il pouvait prendre le risque de faire les trois quarts de la course avec les pneus tendres qu’il avait au départ. Ce fut le coup gagnant, mais il a également démontré combien il utilise son cerveau, contrairement à beaucoup d’autres."

Source : toilef1.com

[dom465]

Le secret de la réussite de Renault, c'est Kubica (et une gifle à Alonso) !

La grosse montée en performance de Renault cette année résulte de l’attitude positive de Robert Kubica. C’est en tout cas ce que le team principal de Renault, Eric Boullier, a déclaré à Autosport.

Alors que la saison dernière l’écurie au losange se battait pour la huitième position au championnat des constructeurs, elle se retrouve aujourd’hui au coude à coude avec Mercedes GP dans la lutte pour la quatrième place.

"La plus grande force est le dévouement des gens. Compétence, investissement et esprit d’équipe – tout cela est très important, car cela signifie que vous pouvez tirer le maximum de la personne," a déclaré Eric Boullier.

"La clé réside selon moi dans le pilote qui pousse l’équipe car il veut gagner, il veut clairement faire du mieux qu’il peut. Cela change complètement le cas de figure. Selon moi, la plus grande faiblesse de l’écurie l’année dernière fut le manque d’implication des pilotes."

En ce qui concerne la gestion de l’équipe par le passé, à la suite des deux titres mondiaux décrochés par Fernando Alonso en 2005 et 2006, Eric Boullier se montre assez critique.

"Nous savions que sur le papier, l’équipe était capable de gagner le championnat, mais aussi de terminer huitième comme l’année passée. Nous avons commencé à comprendre comment amener l’écurie dans une position plus confortable – et c’est ce que l’on est occupé à faire actuellement."

"Je pense qu’il y a eu un manque au niveau de la gestion, de la haute direction et des objectifs à atteindre. C’est difficile à dire, car je n’ai pas envie de critiquer. [Mais] la situation des pilotes… Avec Alonso de retour chez Renault après son passage chez McLaren, puis la signature du contrat avec Ferrari… Un pilote est un atout pour l’équipe et s’il n’est pas motivé, ne pousse pas assez… Il savait qu’il allait être transféré."

"C’était important pour moi, et c’est ce qu’a fait Kubica. Il a apporté énormément de fraicheur et de motivation. Le manque de résultats était en train de pousser l’équipe vers le bas, car ils sont vraiment dévoués – l’absence de résultats était donc très démotivante pour eux."

"Aucune gestion dans l’orientation de l’équipe, des pilotes arrogants avec qui il était difficile de travailler, ne poussant pas l’écurie dans la bonne direction. Ce fut clairement les deux principales raisons à nos piètres performances."

Source : toilef1.com

[dom465]

Lotus : Renault annoncé avant Spa ?

Lotus Racing pourrait annoncer son choix de moteurs pour la saison prochaine avant le Grand Prix de Belgique. C’est ce que révèle Italia Racing, qui affirme que le team de Tony Fernandes s’est décidé pour le V8 de Viry-Châtillon, choix qui devrait être officialisé dans les quinze jours. Renault était favori pour succéder à Cosworth, même si le motoriste anglais affirmait vouloir poursuivre avec Lotus. Mais dès la fin du mois de juin, AUTOhebdo affirmait que Lotus et Renault discutaient dans l’éventualité d’un partenariat pour 2011. Il semblerait donc que la mythique association Lotus-Renault (1983-86) puisse exister de nouveau en F1.

Source : autohebdo.fr

[dom465]

SREC Magneti : 1 million de dollars

Le SREC (système de récupération de l’énergie cinétique fera son retour en Formule 1 en 2011. Plus efficace que les différents modèles 2009, il permettra une meilleure redistribution de l’énergie et sera beaucoup moins coûteux pour les écuries. Ainsi, Italia Racing révèle que la société italienne Magneti Marelli proposera un SREC à un million de dollars, soit 755 000 euros, un prix abordable par rapport aux coûts de développement du SREC en 2009. Les écuries Red Bull, Ferrari, Renault et Toro Rosso seraient visées.

Source : autohebdo.fr

[BRUNO935K3]

Dom' : "... A ce jour, il y a deux projets qui ont avorté. Celui d’ART Grand Prix et de Cypher Group. Il ne reste donc plus que trois candidats : Stefan GP, Epsilon Euskadi et enfin, l’association Villeneuve-Durango".

>> Villeneuve / Durango , c'est déjà du passé...projet avorté .
Il en reste donc 2 .

[dom465]

Epsilon Euskadi déjà au travail

L'équipe espagnole Epsilon Euskadi a commencé un travail en soufflerie afin de préparer une éventuelle participation au Championnat 2011.

Dans l'attente de rencontrer la FIA, au même titre que les autres prétendants à la 13e place sur la grille, l'équipe d'Azkoitia, au Pays basque, a commencé ses travaux la semaine dernière. L'ancien ingénieur Williams, Brabham, Forti, Benetton, Sauber et Arrows Sergio Rinland, passé au service d'Euskadi, a déclaré à la publication argentine Corsa : "Nous avons passé la voiture pour la première fois en soufflerie. Tout s'est bien déroulé est la conception de la voiture avance vite."

Rinland a ajouté qu'Epsilon Euskadi n'est pas encore dans la phase de recherche de ses pilotes. Ce serait "fantastique" sur (son compatriote argentin) Esteban Guerrieri pouvait avoir le volant.

Il faudrait d'abord qu'Euskadi ait sa place sur la grille.

© ESPN EMEA Ltd.

[dom465]

Ailerons, toujours le flou

Les ailerons des Red Bull continuent de troubler tout le paddock. Bien que déclarés conformes à deux reprises, ces appendices aérodynamiques semblent, en piste, plus bas et donc plus efficaces que ceux de la concurrence.

Les photos et les vidéos produites en course ou en essais sont des preuves moins irréfutables que les tests règlementaires mais quand même... Tout le monde pensait, après Budapest, que les Red Bull, mais aussi les Ferrari, avaient un truc pour passer au travers des fourches caudines de Charlie Whiting, le directeur technique de la FIA.

"C'est très astucieux", lâchait hier dans sa préparation finale pour le triathlon de Londres Jenson Button, alors que McLaren ne peut même pas organiser la riposte, mise hors de sa propre usine par le règlement. "Il faut rapidement que l'on comprenne comment ça marche."

"Il semble que ce ne soit pas seulement les dérives qui s'abaissent", a cru remarquer Button. Et les photos de confirmer que c'est tout le museau de la Red Bull qui se trouve au ras du sol à haute vitesse, offrant un meilleur rendement aéro. La théorie pourrait être corroborée par le bris d'aileron dont fut victime Sebastien Vettel lors de la dernière séance libre du Grand Prix de Grande-Bretagne, le 10 juillet, incident devenu célèbre pour d'autres raisons.

Mais l'histoire ne s'arrêterait pas là. En plus du nez de la RB6, il apparaît que son fond plat serait lui aussi mobile. Il s'abaisserait sur l'avant et remonterait sur l'arrière, conditionnant toute la pénétration dans l'air de la voiture qui a réussi cette saison toutes les pole positions sauf une.

© ESPN EMEA Ltd.

[dom465]

Peter Sauber est ravi

Les performances de l'écurie Sauber lors du Grand Prix de Hongrie ont comblé les espoirs de son fondateur, Peter Sauber.

Pourtant, en arrivant à Budapest, l'équipe suisse ne s'attendait pas à briller. Non seulement le circuit du Hungaroring convenait plus ou moins à la C29, mais le tracé rend les tentatives de dépassement très difficiles à concrétiser.

Mais pour son 300e Grand Prix, l'équipe Sauber avait de quoi célébrer dimanche après-midi : les deux voitures ont franchi la ligne d'arrivée, et pour la première fois cette saison, les deux pilotes ont marqué des points lors d'une même course.

Dans le cas de Pedro de la Rosa, son départ de la 9e place sur la grille s'est transformée en 7e place à l'arrivée. Bien qu'il ait profité de l'abandon de Lewis Hamilton pour monter d'un échelon dans le classement, il a su se défendre contre le champion en titre, Jenson Button.

"Je suis extrêmement heureux, et je suis surtout heureux pour l'équipe car elle méritait un bon résultat après avoir travaillé si fort pour bien développer la voiture" a dit l'Espagnol. "Nous sommes arrivés ici sur ce circuit lent sans grandes attentes, et voilà que nos deux voitures terminent dans les points pour la première fois cette année."

De la Rosa marquait ainsi ses premiers points de la saison, lui qui a souvent été victime de pannes mécaniques ou de moteur au cours de la première moitié du championnat.

Quant à son coéquipier Kamui Kobayashi, sa tâche a été beaucoup plus ardue, mais d'autant plus impressionnante. Qualifié 18e, le Japonais se voyait recalé à la 23e place sur la grille de départ après avoir omis de respecter un feu rouge dans la voie des stands.

Pendant la course, il a piloté à la limite pour remonter le peloton, tout en profitant de l'intervention de la voiture de sécurité pour gagner quelques places. Plus tard, il accomplissait un dépassement sur Michael Schumacher pour prendre la 9e place.

"Je pense avoir bien récupéré mes mauvaises qualifications", blaguait Kobayashi. "Je pense que nous pouvons tous avoir un sentiment de satisfaction avant de prendre nos vacances d'été ; c'est un très bon feeling."

"Pedro a été constant et rapide, et il n'a eu aucune difficulté à retenir Jenson Button", a dit le patron de l'équipe, Peter Sauber. "Nous savions que Kamui effectuait de bons départs, mais ce qu'il a fait est exceptionnel."

"Un tel résultat à la conclusion du 300e Grand Prix de l'équipe, c'est merveilleux mais c'est aussi un très grand soulagement. Ce fut un effort fantastique de la part des pilotes et de l'équipe, ils ont tous fait un boulot fantastique. Félicitations à tous ! La pause estivale sera particulièrement agréable."

© ESPN EMEA Ltd.

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Budapest : Massa avait la bonne stratégie

Felipe Massa pense que Ferrari a fait le bon choix stratégique à Budapest en effectuant les changements de pneus des deux pilotes au même moment durant la période sous Safety Car.

Lorsque la voiture de sécurité est intervenue en Hongrie, Red Bull a fait deux choix stratégiques différents : Sebastian Vettel a changé de pneus mais Mark Webber est resté en piste, pour tenter de creuser l’écart après le restart et doubler Fernando Alonso.

Ferrari a fait un choix plus conventionnel, en faisant rentrer ses deux voitures. Felipe Massa a perdu une place dans l’opération mais il pense que c’était le bon choix.

« Pourquoi avons nous fait ça, au lieu de rester en piste comme Mark Webber et de garder les pneus tendres plus longtemps ? Ce que Webber a fait été bon, mais uniquement parce que les performances de sa voiture lui permettaient de creuser l’écart sans perdre la première place » explique Massa.

En faisant la même chose, le Brésilien aurait pris le risque de perdre des places lors de son changements de pneus : « Cela n’aurait pas marché pour nous » reconnaît-il. « Notre double arrêt a marché à la perfection, parce que quand je suis arrivé, Fernando était en train de partir et je n’ai perdu qu’une place, au profit de Lewis [qui a ensuite abandonné, NDLR], mais ça peut arriver dans les stands. Malgré ça, j’ai pu défendre ma place. C’était vraiment le bon choix stratégique. »

Après la course, Massa a également reconnu qu’il n’aurait pas pu faire tenir ses pneus tendres aussi longtemps que Webber.

Dans le passé, lorsque deux pilotes devaient changer de pneus l’un après l’autre sous régime de voiture de sécurité, on a parfois vu le deuxième ralentir le reste du plateau pour arriver devant son stand après l’arrêt de son équipier. C’est désormais interdit par le règlement.

Vincent Lalanne-Sicaud

Source : F1-action.net

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Jenson Button reste optimiste

Jenson Button est satisfait d’être encore dans la course au titre avant la pause estivale, même si McLaren a été dominée par Red Bull et Ferrari lors des dernières courses.

Jenson Button enchaîne des résultats de moins en moins bons depuis Valencia mais il est quand même satisfait de sa position au championnat. Le pilote McLaren est quatrième, à seulement 14 points de Mark Webber.

« C’est fantastique d’avoir gagné deux courses, d’être montré trois fois sur le podium et d’être encore dans la lutte pour le titre » souligne Button sur son site officiel. « C’est pour ça que j’ai rejoint cette équipe. Lewis et moi, nous sommes toujours dans la bagarre, même si les dernières courses n’ont pas été aussi bonnes que les précédentes. Mais je connais le niveau de cette équipe et nous sommes déterminés. »

Le champion du monde espère que McLaren sera plus à l’aise à Spa et à Monza, deux pistes rapides où le F-Duct de l’équipe anglaise devrait être un avantage. Il veut surtout être régulièrement aux avant-postes.

« Je pense que nous serons plus rapides à Spa et à Monza, avec des progrès pour les courses hors d’Europe » estime Button. « Comme je l’ai déjà dit, la constance est essentielle, et je pense que nous avons probablement été l’équipe la plus constante jusqu’à présent. »

« Evidemment, nous voulons hausser notre niveau de jeu. Mais nous voulons également maintenir cette constance : marquer des points quand la chance n’est pas avec nous, pour pouvoir nous battre pour le titre jusqu’au bout. »

Vincent Lalanne-Sicaud

Source : F1-action.net

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