Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
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Quelle est l'équipe qui gagnera à Monaco ?
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
La sanction d'Alonso : La FIA dément Domenicali !
Le directeur de course de la FIA, Charlie Whiting, a indiqué que Ferrari avait été informée à trois reprises de laisser repasser Robert Kubica sous peine que Fernando Alonso soie pénalisé.
Lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, Fernando Alonso a écopé d’un drive-through pour avoir dépassé le Polonais en court-circuitant le circuit. L’Espagnol a cependant dû effectuer sa pénalité après la rentrée de la voiture de sécurité, ce qui a ruiné sa course qu’il a terminée 14ème.
Interrogé sur sa sanction, Fernando Alonso n’avait pas "souhaité commenter la décision des commissaires", alors que son team principal Stefano Domenicali avait estimé que la pénalité était sévère.
Pour justifier sa décision de ne pas laisser repasser Robert Kubica, Stefano Domenicali avait indiqué qu’ils avaient demandé à la FIA s’ils étaient obligés de rendre la position au pilote Renault, ajoutant que le Polonais avait abandonné avant qu’ils ne reçoivent l’instruction de le laisser passer.
"Dès que nous avons reçu l’information que selon les commissaires, Fernando aurait dû redonner la position à Robert, Robert était déjà très loin derrière et Robert était vraiment en train de ralentir car il avait un problème," a déclaré l’Italien.
Cependant, Charlie Whiting a contredit les dires de l’équipe italienne, révélant que Ferrari avait en réalité été avertie trois fois de rendre immédiatement la place à Robert Kubica, mais qu’elle n’avait pas obéi.
"Nous avons dit trois fois à Ferrari que selon moi ils devraient redonner la position à Kubica. Et nous leur avons dit ça immédiatement, directement après la manœuvre de dépassement. A la radio, je leur ai suggéré que s’ils échangeaient la position à nouveau, les commissaires n’auraient pas besoin d’intervenir," a déclaré Charlie Whiting, cité par le magazine italien Autosprint.
"Mais ils ne l’ont pas fait et lors de la troisième communication, ils ont dit que Kubica était depuis trop loin pour lui laisser regagner la position. Ce n’est pas vrai du tout que les commissaires ont pris trop de temps à se décider. Pour nous, les faits étaient immédiatement clairs : Alonso avait gagné un avantage en court-circuitant le circuit."
Le directeur de course de la FIA, Charlie Whiting, a indiqué que Ferrari avait été informée à trois reprises de laisser repasser Robert Kubica sous peine que Fernando Alonso soie pénalisé.
Lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, Fernando Alonso a écopé d’un drive-through pour avoir dépassé le Polonais en court-circuitant le circuit. L’Espagnol a cependant dû effectuer sa pénalité après la rentrée de la voiture de sécurité, ce qui a ruiné sa course qu’il a terminée 14ème.
Interrogé sur sa sanction, Fernando Alonso n’avait pas "souhaité commenter la décision des commissaires", alors que son team principal Stefano Domenicali avait estimé que la pénalité était sévère.
Pour justifier sa décision de ne pas laisser repasser Robert Kubica, Stefano Domenicali avait indiqué qu’ils avaient demandé à la FIA s’ils étaient obligés de rendre la position au pilote Renault, ajoutant que le Polonais avait abandonné avant qu’ils ne reçoivent l’instruction de le laisser passer.
"Dès que nous avons reçu l’information que selon les commissaires, Fernando aurait dû redonner la position à Robert, Robert était déjà très loin derrière et Robert était vraiment en train de ralentir car il avait un problème," a déclaré l’Italien.
Cependant, Charlie Whiting a contredit les dires de l’équipe italienne, révélant que Ferrari avait en réalité été avertie trois fois de rendre immédiatement la place à Robert Kubica, mais qu’elle n’avait pas obéi.
"Nous avons dit trois fois à Ferrari que selon moi ils devraient redonner la position à Kubica. Et nous leur avons dit ça immédiatement, directement après la manœuvre de dépassement. A la radio, je leur ai suggéré que s’ils échangeaient la position à nouveau, les commissaires n’auraient pas besoin d’intervenir," a déclaré Charlie Whiting, cité par le magazine italien Autosprint.
"Mais ils ne l’ont pas fait et lors de la troisième communication, ils ont dit que Kubica était depuis trop loin pour lui laisser regagner la position. Ce n’est pas vrai du tout que les commissaires ont pris trop de temps à se décider. Pour nous, les faits étaient immédiatement clairs : Alonso avait gagné un avantage en court-circuitant le circuit."
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
ferrari qui recommence a faire des coups fourrés " à la schumacher" avec alonso!!!! lamentable!!!!!
Hadzufel- Messages : 9084
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
dom465 a écrit:La sanction d'Alonso : La FIA dément Domenicali !
Le directeur de course de la FIA, Charlie Whiting, a indiqué que Ferrari avait été informée à trois reprises de laisser repasser Robert Kubica sous peine que Fernando Alonso soie pénalisé.
Lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, Fernando Alonso a écopé d’un drive-through pour avoir dépassé le Polonais en court-circuitant le circuit. L’Espagnol a cependant dû effectuer sa pénalité après la rentrée de la voiture de sécurité, ce qui a ruiné sa course qu’il a terminée 14ème.
Interrogé sur sa sanction, Fernando Alonso n’avait pas "souhaité commenter la décision des commissaires", alors que son team principal Stefano Domenicali avait estimé que la pénalité était sévère.
Pour justifier sa décision de ne pas laisser repasser Robert Kubica, Stefano Domenicali avait indiqué qu’ils avaient demandé à la FIA s’ils étaient obligés de rendre la position au pilote Renault, ajoutant que le Polonais avait abandonné avant qu’ils ne reçoivent l’instruction de le laisser passer.
"Dès que nous avons reçu l’information que selon les commissaires, Fernando aurait dû redonner la position à Robert, Robert était déjà très loin derrière et Robert était vraiment en train de ralentir car il avait un problème," a déclaré l’Italien.
Cependant, Charlie Whiting a contredit les dires de l’équipe italienne, révélant que Ferrari avait en réalité été avertie trois fois de rendre immédiatement la place à Robert Kubica, mais qu’elle n’avait pas obéi.
"Nous avons dit trois fois à Ferrari que selon moi ils devraient redonner la position à Kubica. Et nous leur avons dit ça immédiatement, directement après la manœuvre de dépassement. A la radio, je leur ai suggéré que s’ils échangeaient la position à nouveau, les commissaires n’auraient pas besoin d’intervenir," a déclaré Charlie Whiting, cité par le magazine italien Autosprint.
"Mais ils ne l’ont pas fait et lors de la troisième communication, ils ont dit que Kubica était depuis trop loin pour lui laisser regagner la position. Ce n’est pas vrai du tout que les commissaires ont pris trop de temps à se décider. Pour nous, les faits étaient immédiatement clairs : Alonso avait gagné un avantage en court-circuitant le circuit."
Ceci prouve une fois de plus qu'il n'y a pas de forte tête à la direction de la Scuderia pour signifier à Alonso qui est le patron dans l'équipe.
Ce pilote réagit comme une diva et est en train de mettre beaucoup de monde contre lui dans la Scuderia et en dehors.
Alonso met la zizanie partout où il passe.
Chez Renault cela fonctionnait tant qu'il gagné et qu'il n'avais pas un équipier trop rapide.
Chez Mclaren, on sait comment cela s'est terminé et on me fera pas penser qu'Alonso n'y était pour rien.
Chez Ferrari, il est arrivé comme le messie en bousculant tout le monde.
La malchance et les erreurs aidant, il est devenu un pilote aigri de ne pas gagner comme il l'aurait souhaité.
Il est temps qu'un homme fort à la Scuderia le remette à sa place.
stanito71- En transit
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Alonso voulait être Schumacher à la place de Schumacher. Pour l'ambiance, c'est réussi...
Reste plus que cinq titres à gagner.
Reste plus que cinq titres à gagner.
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Calife à la place du Calife
(Iznogoud est une série de bande dessinée de René Goscinny et Jean Tabary. Cette série fut créée en 1961 pour le magazine Record)
(Iznogoud est une série de bande dessinée de René Goscinny et Jean Tabary. Cette série fut créée en 1961 pour le magazine Record)
TROIKA- Messages : 5922
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GP d'Allemagne : demain, aujourd'hui et hier.
Description.
Jusqu’en 2002, le circuit d’Hockenheim était avec celui de Monza le plus rapide du calendrier. En effet, les monoplaces atteignaient des vitesses inavouables (on parle de plus de 360 km/h !) sur les longues lignes droites s’enfonçant dans la forêt.
Mais, le bitume se dégradant, les organisateurs ont décidé de raccourcir le tracé afin de faire passer plus souvent les monoplaces devant les spectateurs, présents majoritairement dans le Stadium et devant la ligne droite des stands.
Le circuit d’Hockenheim est donc beaucoup moins rapide aujourd’hui et ne représente plus un casse-tête en ce qui concerne les réglages. Cependant, la course peut être assez intéressante et offrir un bon spectacle.
Présentation du circuit :
Circuit de Hockenheim
Date : 25 juillet 2010
Premier Grand Prix organisé à Hockenheim le 2 août 1970
Longueur du tracé : 4,574 km
58 tours à couvrir, soit 306,458 km
Sens de parcours : celui des aiguilles d’une montre
Climat généralement chaud
Site web : www.hockenheimring.de
Les records du circuit :
Pole position : Michael Schumacher, Ferrari, 1:13.306 en 2004
Meilleur tour en course : Kimi Räikkönen, McLaren-Mercedes, 1:13.780 en 2004
Nombre de victoires :
Michael Schumacher, 4 victoires,
Ferrari, 9 victoires.
Les infos techniques du circuit :
Décalage ligne de départ : 0 m
50 changements de vitesse par tour, soit 3350 en course
59% du tour est parcouru à pleine charge
Usure des pneumatiques : moyenne/faible
Usure des freins : élevée
Appuis aérodynamiques : élevés
Consommation de carburant : 2.6 kg/tour
Rang pour la consommation par km : 18/19
Effet de 10 kg de carburant sur un tour : ? secondes
En 2009 :
Pole position : Lewis Hamilton, McLaren-Mercedes, 1:15.666
Podium :
1er Lewis Hamilton, McLaren-Mercedes
2ème Nelson Piquet, Renault
3ème Felipe Massa, Ferrari
Meilleur tour en course : Nick Heidfeld, BMW-Sauber, 1:15.987
Stratégie du vainqueur : arrêts aux 18ème et 50ème tours.
Jusqu’en 2002, le circuit d’Hockenheim était avec celui de Monza le plus rapide du calendrier. En effet, les monoplaces atteignaient des vitesses inavouables (on parle de plus de 360 km/h !) sur les longues lignes droites s’enfonçant dans la forêt.
Mais, le bitume se dégradant, les organisateurs ont décidé de raccourcir le tracé afin de faire passer plus souvent les monoplaces devant les spectateurs, présents majoritairement dans le Stadium et devant la ligne droite des stands.
Le circuit d’Hockenheim est donc beaucoup moins rapide aujourd’hui et ne représente plus un casse-tête en ce qui concerne les réglages. Cependant, la course peut être assez intéressante et offrir un bon spectacle.
Présentation du circuit :
Circuit de Hockenheim
Date : 25 juillet 2010
Premier Grand Prix organisé à Hockenheim le 2 août 1970
Longueur du tracé : 4,574 km
58 tours à couvrir, soit 306,458 km
Sens de parcours : celui des aiguilles d’une montre
Climat généralement chaud
Site web : www.hockenheimring.de
Les records du circuit :
Pole position : Michael Schumacher, Ferrari, 1:13.306 en 2004
Meilleur tour en course : Kimi Räikkönen, McLaren-Mercedes, 1:13.780 en 2004
Nombre de victoires :
Michael Schumacher, 4 victoires,
Ferrari, 9 victoires.
Les infos techniques du circuit :
Décalage ligne de départ : 0 m
50 changements de vitesse par tour, soit 3350 en course
59% du tour est parcouru à pleine charge
Usure des pneumatiques : moyenne/faible
Usure des freins : élevée
Appuis aérodynamiques : élevés
Consommation de carburant : 2.6 kg/tour
Rang pour la consommation par km : 18/19
Effet de 10 kg de carburant sur un tour : ? secondes
En 2009 :
Pole position : Lewis Hamilton, McLaren-Mercedes, 1:15.666
Podium :
1er Lewis Hamilton, McLaren-Mercedes
2ème Nelson Piquet, Renault
3ème Felipe Massa, Ferrari
Meilleur tour en course : Nick Heidfeld, BMW-Sauber, 1:15.987
Stratégie du vainqueur : arrêts aux 18ème et 50ème tours.
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Depuis sa dernière modification, ce circuit n'est plus le challenge de pilotage qu'il était auparavant. Sans même parler du temps où les chicanes n'existaient pas dans les deux lignes droites.
Herman Tilke est passé par là et l'a bien sûr, aseptisé.
Avant, les choix aérodynamique étaient simples mais rendait le pilotage délicat.
Très peu d'appuis pour les hautes vitesses atteintes dans les ligne droite, et, du coup, la (presque) patinoire dans le stadium.
Aujourd'hui, il faut des appuis très élevés, point à la ligne.
Que des virages lents à moyens. A la limite, 2 courbes moyennement rapides.
Le problème, c'est que, pour dépasser, il faut une haute vitesse de pointe dans la fausse longue ligne droite avant l'épingle.
Donc, sans doute un peu moins d'appuis en course qu'aux qualifs, idéalement.
C'est presque devenu un circuit d'accélération freînage et donc, logiquement, les freins y souffrent beaucoup.
Pour les pneus, par contre, le revêtement n'y est généralement pas très agressif et on peut penser que Bridgestone amènera les super tendre.
Les Red Bull devraient y être bien, comme partout, mais le manque de courbes rapides devrait parfaitement convenir aux McLaren et Ferrari.
Pas mal pour les Renault aussi, moins bien pour les Force India et les Williams. Bien que pour ces dernières, les récentes modifications apportées semble porter leurs fruits et elles pourraient quand même bien y tirer leur épingles du jeu.
Idem pour les Sauber. Mais j'y vois mal les Toro Rosso.
Quand aux nouvelles écuries, leur manque d'appuis est flagrant, donc
Lotus, avec sa bonne vitesse de pointe, devrait sans doute à nouveau s'en tirer le mieux.
La canicule, souvent présente à Hockenheim, pourrait aussi avoir de l'influence mais c'est un circuit où les moteurs ne souffrent guère.
Herman Tilke est passé par là et l'a bien sûr, aseptisé.
Avant, les choix aérodynamique étaient simples mais rendait le pilotage délicat.
Très peu d'appuis pour les hautes vitesses atteintes dans les ligne droite, et, du coup, la (presque) patinoire dans le stadium.
Aujourd'hui, il faut des appuis très élevés, point à la ligne.
Que des virages lents à moyens. A la limite, 2 courbes moyennement rapides.
Le problème, c'est que, pour dépasser, il faut une haute vitesse de pointe dans la fausse longue ligne droite avant l'épingle.
Donc, sans doute un peu moins d'appuis en course qu'aux qualifs, idéalement.
C'est presque devenu un circuit d'accélération freînage et donc, logiquement, les freins y souffrent beaucoup.
Pour les pneus, par contre, le revêtement n'y est généralement pas très agressif et on peut penser que Bridgestone amènera les super tendre.
Les Red Bull devraient y être bien, comme partout, mais le manque de courbes rapides devrait parfaitement convenir aux McLaren et Ferrari.
Pas mal pour les Renault aussi, moins bien pour les Force India et les Williams. Bien que pour ces dernières, les récentes modifications apportées semble porter leurs fruits et elles pourraient quand même bien y tirer leur épingles du jeu.
Idem pour les Sauber. Mais j'y vois mal les Toro Rosso.
Quand aux nouvelles écuries, leur manque d'appuis est flagrant, donc
Lotus, avec sa bonne vitesse de pointe, devrait sans doute à nouveau s'en tirer le mieux.
La canicule, souvent présente à Hockenheim, pourrait aussi avoir de l'influence mais c'est un circuit où les moteurs ne souffrent guère.
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Stuck : « Horner, une marionnette »
Pour l’ancien pilote de Formule 1 Hans-Joachim Stuck, le team principal de Red Bull Racing n’est qu’un pantin manipulé par Red Bull, et qui n’est pas force de décision.
Red Bull, cette saison, ne s’est pas faite remarquer par l’entente cordiale entre ses pilotes, Mark Webber et Sebastian Vettel. D’ailleurs, les intéressés, pour justifier de l’ambiance qui se dégrade au sein du team de Milton Keynes, ont botté en touche en affirmant que le même phénomène se produira chez McLaren, quand Lewis Hamilton et Jenson Button prendront part à un duel musclé en piste.
Mais, loin de prendre McLaren en exemple, beaucoup d’observateurs remettent en cause les capacités de Christian Horner, team principal, pour « tenir » ses pilotes. En effet, Vettel et Webber se sont accrochés en Turquie alors qu’ils étaient lancés pour un doublé. Et, ce week-end, la rivalité s’est exacerbée après la décision d’Horner de mettre l’aileron (évolué) de Webber sur la voiture de Vettel, qui l’avait perdu avant les qualifications de Silverstone.
« Christian Horner est une marionnette, explique Hans-Joachim Stuck, ancien pilote de F1, au journal TZ. Les ficelles du patron de Red Bull, Dietrich Mateschitz, sont tirées par Helmut Marko. » Ce dernier, conseiller auprès de Mateschitz, est très proche des pilotes du Red Bull Junior Team, dont est issu Sebastian Vettel, estampillé pilote Red Bull, alors que Mark Webber a connu plusieurs écuries auparavant. De là à penser que le team de Milton Keynes favorise les pilotes issus de sa filière, il n'y a qu'un pas que franchit H.J. Stuck.
En outre, il juge très sévèrement les évènements de Silverstone, qu’une écurie voulant être Championne du Monde se doit de gérer bien mieux que cela n’a été fait. « Ce que le management de l’équipe a fait en Grande-Bretagne est un scandale absolu », s’exclame Stuck, qui estime que Mark Webber n’aurait pas dû être privé de son aileron avant de dernière spécification. « Celui qui a décidé d’enlever son nouvel aileron à Webber peut faire ses bagages. »
Pour lui, aucun doute, un nouveau patron, plus charismatique, doit régner sur Milton Keynes. « Mateschitz doit répondre en mettant un homme nouveau chez Red Bull ». Et il suggère un homme très proche de Red Bull, le team principal de Toro Rosso. « Franz (Tost) est l’un des tous meilleurs teams managers de Formule 1. » En raison des évènements de Silverstone, Red Bull devra obligatoirement s’interroger sur la capacité de son management à gérer une course au titre, alors que Webber et Vettel sont encore derrière les pilotes McLaren au classement du championnat.
Jean-Côme Decroos
Pour l’ancien pilote de Formule 1 Hans-Joachim Stuck, le team principal de Red Bull Racing n’est qu’un pantin manipulé par Red Bull, et qui n’est pas force de décision.
Red Bull, cette saison, ne s’est pas faite remarquer par l’entente cordiale entre ses pilotes, Mark Webber et Sebastian Vettel. D’ailleurs, les intéressés, pour justifier de l’ambiance qui se dégrade au sein du team de Milton Keynes, ont botté en touche en affirmant que le même phénomène se produira chez McLaren, quand Lewis Hamilton et Jenson Button prendront part à un duel musclé en piste.
Mais, loin de prendre McLaren en exemple, beaucoup d’observateurs remettent en cause les capacités de Christian Horner, team principal, pour « tenir » ses pilotes. En effet, Vettel et Webber se sont accrochés en Turquie alors qu’ils étaient lancés pour un doublé. Et, ce week-end, la rivalité s’est exacerbée après la décision d’Horner de mettre l’aileron (évolué) de Webber sur la voiture de Vettel, qui l’avait perdu avant les qualifications de Silverstone.
« Christian Horner est une marionnette, explique Hans-Joachim Stuck, ancien pilote de F1, au journal TZ. Les ficelles du patron de Red Bull, Dietrich Mateschitz, sont tirées par Helmut Marko. » Ce dernier, conseiller auprès de Mateschitz, est très proche des pilotes du Red Bull Junior Team, dont est issu Sebastian Vettel, estampillé pilote Red Bull, alors que Mark Webber a connu plusieurs écuries auparavant. De là à penser que le team de Milton Keynes favorise les pilotes issus de sa filière, il n'y a qu'un pas que franchit H.J. Stuck.
En outre, il juge très sévèrement les évènements de Silverstone, qu’une écurie voulant être Championne du Monde se doit de gérer bien mieux que cela n’a été fait. « Ce que le management de l’équipe a fait en Grande-Bretagne est un scandale absolu », s’exclame Stuck, qui estime que Mark Webber n’aurait pas dû être privé de son aileron avant de dernière spécification. « Celui qui a décidé d’enlever son nouvel aileron à Webber peut faire ses bagages. »
Pour lui, aucun doute, un nouveau patron, plus charismatique, doit régner sur Milton Keynes. « Mateschitz doit répondre en mettant un homme nouveau chez Red Bull ». Et il suggère un homme très proche de Red Bull, le team principal de Toro Rosso. « Franz (Tost) est l’un des tous meilleurs teams managers de Formule 1. » En raison des évènements de Silverstone, Red Bull devra obligatoirement s’interroger sur la capacité de son management à gérer une course au titre, alors que Webber et Vettel sont encore derrière les pilotes McLaren au classement du championnat.
Jean-Côme Decroos
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Interview Lewis Hamilton
Lewis, comment s’est passée la course de Silverstone pour vous ?
Je suis très, très heureux car nous ne nous attendions pas à être si bien placés ce week-end étant donné que nous étions distancés aux essais. Le team a parfaitement bien travaillé pendant le week-end et a placé une voiture très compétitive sur la grille. Nous avons clairement progressé et c’est mon but permanent : aller de l’avant. C’était vraiment bien d’être sur ce podium, de voir tous les fans et leur soutien. C’est toujours particulier de courir ici. J’ai pris un bon départ et j’ai bondi devant les Ferrari, puis j’ai chassé Mark pendant toute la course mais il était plus rapide de 4 dixièmes. Malgré tout, comme je l’ai dit, nous avons réalisé de gros progrès.
Pouviez-vous imaginer que vous alliez finir sur le podium ? Vous avez dit en plaisantant que vous ne pensiez pas goûter au champagne, mais vous l’avez fait !
Je ne l’imaginais absolument pas ! Je n’avais aucune idée de ce que serait ma position finale, mais j’étais très optimiste. Je ne sais pas où j’ai puisé cet optimisme, cela doit venir des fans ! Je dois dire également que nous avons fait du très bon travail avec les réglages, car la voiture s’est vraiment bien comportée. Elle n’était pas aussi rapide que les Red Bull, mais j’ai pu me battre un peu contre elles.
La tendance s’est considérablement inversée pour la voiture qui est passée d’une performance assez faible en essais à la 4ème place en qualifications, puis la 2ème en course…
C’est vrai, je suis fier de ma voiture. Je peux dire que c’est la meilleure que j’aie jamais pilotée pour McLaren.
La prochaine course sera le GP d’Allemagne. Allez-vous vous rendre à l’usine pour travailler avec le team d’ici-là ?
Oui, beaucoup de travail nous attend, mais si tout le monde peut y arriver nous y arriverons aussi. Et nous serons au rendez-vous pour rivaliser avec Red Bull.
Certains estiment que vous avez touché Sebastian Vettel au départ et que cela lui a causé une crevaison…
Je n’ai rien fait et je n’ai rien senti. Nous ne nous sommes pas touchés.
A quel point ce résultat est-il important pour vous ? Vous restez en tête du championnat du monde…
Il faut être réaliste : le chemin est encore très, très long. C’est comme au golf quand vous avez 18 trous et que vous ne pouvez pas vous permettre d’en manquer un seul. Bien sûr, ces points marqués à Silverstone sont très importants, car nous n’étions pas les plus rapides mais nous avons malgré tout réussi à empocher de gros points et nous occupons les deux premières places du championnat. Nous sommes actuellement dans une position défensive car nos adversaires ont déjà introduit les mises-à-jours de leur package et pas nous. Nous devons donc nous rendre sur chaque course en exploitant au mieux notre package actuel et je dirais que, ce week-end, nous avons dépassé nos espérances.
Source : automoto365
Lewis, comment s’est passée la course de Silverstone pour vous ?
Je suis très, très heureux car nous ne nous attendions pas à être si bien placés ce week-end étant donné que nous étions distancés aux essais. Le team a parfaitement bien travaillé pendant le week-end et a placé une voiture très compétitive sur la grille. Nous avons clairement progressé et c’est mon but permanent : aller de l’avant. C’était vraiment bien d’être sur ce podium, de voir tous les fans et leur soutien. C’est toujours particulier de courir ici. J’ai pris un bon départ et j’ai bondi devant les Ferrari, puis j’ai chassé Mark pendant toute la course mais il était plus rapide de 4 dixièmes. Malgré tout, comme je l’ai dit, nous avons réalisé de gros progrès.
Pouviez-vous imaginer que vous alliez finir sur le podium ? Vous avez dit en plaisantant que vous ne pensiez pas goûter au champagne, mais vous l’avez fait !
Je ne l’imaginais absolument pas ! Je n’avais aucune idée de ce que serait ma position finale, mais j’étais très optimiste. Je ne sais pas où j’ai puisé cet optimisme, cela doit venir des fans ! Je dois dire également que nous avons fait du très bon travail avec les réglages, car la voiture s’est vraiment bien comportée. Elle n’était pas aussi rapide que les Red Bull, mais j’ai pu me battre un peu contre elles.
La tendance s’est considérablement inversée pour la voiture qui est passée d’une performance assez faible en essais à la 4ème place en qualifications, puis la 2ème en course…
C’est vrai, je suis fier de ma voiture. Je peux dire que c’est la meilleure que j’aie jamais pilotée pour McLaren.
La prochaine course sera le GP d’Allemagne. Allez-vous vous rendre à l’usine pour travailler avec le team d’ici-là ?
Oui, beaucoup de travail nous attend, mais si tout le monde peut y arriver nous y arriverons aussi. Et nous serons au rendez-vous pour rivaliser avec Red Bull.
Certains estiment que vous avez touché Sebastian Vettel au départ et que cela lui a causé une crevaison…
Je n’ai rien fait et je n’ai rien senti. Nous ne nous sommes pas touchés.
A quel point ce résultat est-il important pour vous ? Vous restez en tête du championnat du monde…
Il faut être réaliste : le chemin est encore très, très long. C’est comme au golf quand vous avez 18 trous et que vous ne pouvez pas vous permettre d’en manquer un seul. Bien sûr, ces points marqués à Silverstone sont très importants, car nous n’étions pas les plus rapides mais nous avons malgré tout réussi à empocher de gros points et nous occupons les deux premières places du championnat. Nous sommes actuellement dans une position défensive car nos adversaires ont déjà introduit les mises-à-jours de leur package et pas nous. Nous devons donc nous rendre sur chaque course en exploitant au mieux notre package actuel et je dirais que, ce week-end, nous avons dépassé nos espérances.
Source : automoto365
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
D'accord ave vous deux!
Les courses magnifiques du passé sont anéanties de par les exigeances du stadium. Dans la partie forêt, pas de place spectateurs.
Pourtant, j'ai de vieilles cassettes vidéo de ce surprenant tracé! Avant et après les chicanes.
La partie la plus médiocre et délicate est le stadium; où pourtant, Michael Schumacher était le roi incontésté!
Circuit carsté à nouveau!
Les courses magnifiques du passé sont anéanties de par les exigeances du stadium. Dans la partie forêt, pas de place spectateurs.
Pourtant, j'ai de vieilles cassettes vidéo de ce surprenant tracé! Avant et après les chicanes.
La partie la plus médiocre et délicate est le stadium; où pourtant, Michael Schumacher était le roi incontésté!
Circuit carsté à nouveau!
TROIKA- Messages : 5922
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
TROIKA a écrit:D'accord ave vous deux!
Les courses magnifiques du passé sont anéanties de par les exigeances du stadium. Dans la partie forêt, pas de place spectateurs.
Pourtant, j'ai de vieilles cassettes vidéo de ce surprenant tracé! Avant et après les chicanes.
La partie la plus médiocre et délicate est le stadium; où pourtant, Michael Schumacher était le roi incontésté!
Circuit carsté à nouveau!
Comme je le dis dans mon intro, avant, il fallait une voiture hyper vite en lignes droites, sans appui pour toute la partie dans la forêt. Et du coup, le stadium était très intéressant aussi car, lui, aurait nécessité des appuis maximums. D'où un pilotage qui y était très délicat.
Maintenant, c'est appuis maxis pour tout le circuit et plus aucune courbe "challenging" !
Tristounet !
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Grand Prix d'Allemagne 23-25 juillet
23 juillet: Libres 1 - 10h*
23 juillet: Libres 2 - 14h*
24 juillet: Libres 3 - 11h*
24 juillet: Qualifs. - 14h*
25 juillet: Course - 14h*
*à Paris, Bruxelles, Genève
23 juillet: Libres 1 - 10h*
23 juillet: Libres 2 - 14h*
24 juillet: Libres 3 - 11h*
24 juillet: Qualifs. - 14h*
25 juillet: Course - 14h*
*à Paris, Bruxelles, Genève
dom465- Messages : 12793
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Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Il y a que le premier virage qui offre un beau challenge selon moi, le reste c'est du banal à la Tilke.
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
le nouveau tracé, il fait presque dédié aux championnat nationnaux!
celon moi, le Nürbürgring correspond bien mieux a une discipline internationnale!
le tracé est plus agréable, et plus technique même!
celon moi, le Nürbürgring correspond bien mieux a une discipline internationnale!
le tracé est plus agréable, et plus technique même!
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
On pourra ceci-dit avoir une pensée pour un pilote courageux, Patrick Depailler, qui a perdu la vie à Hockenheim.
Sinon, mais c'est moins grave, il y a un pilote indien qui y a perdu (momentanément ?) son volant. Un e-mail foireux ? Une pièce jointe trop lourde ? Un virement bancaire retardé ? Un RIB mal rédigé ? La carrière d'un pilote tient à peu de choses...
Sinon, mais c'est moins grave, il y a un pilote indien qui y a perdu (momentanément ?) son volant. Un e-mail foireux ? Une pièce jointe trop lourde ? Un virement bancaire retardé ? Un RIB mal rédigé ? La carrière d'un pilote tient à peu de choses...
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
qui ça? de pilote indiens j'en connais que deux qui on courus, (ou cour) en F1.
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Karun ChandhokHadzufel a écrit:qui ça? de pilote indiens j'en connais que deux qui on courus, (ou cour) en F1.
_________________
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Un indien d'Inde, pas Géronimo !Hadzufel a écrit:qui ça? de pilote indiens j'en connais que deux qui on courus, (ou cour) en F1.
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
bah oui, j'en connais que deux, nasser kateryhakan (désolé pour l'eaurttaugraffe du nom!), et karun chandhock.
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Ben, c'est le deuxième.Hadzufel a écrit:bah oui, j'en connais que deux, nasser kateryhakan (désolé pour l'eaurttaugraffe du nom!), et karun chandhock.
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
ha bon? il a "grillé" son volant?
je croyais que c'était senna, ce qui expliquait qu'il était remplacé par sakon yamamoto.
je croyais que c'était senna, ce qui expliquait qu'il était remplacé par sakon yamamoto.
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
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