Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Massa a déjà la balayette, manquerait plus qu'il encaisse le palet !TROIKA a écrit:Faite comme moi: regardez le Curling!
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Pardon je trouve que ma syntaxe laisse plus qu'à désirer.teknologik a écrit:???????????? comprends plus rien à vos discussions alambiquées... Philbaetz, Cooltitanic et consors, ce serait sympa de parler un discours moins "codé" pour l'âne que je suis... Mais bon, si ça vous amuse
Alors dans l'ordre.
Ce qui s'est passé doit-il nous étonner? Nous surprendre? Parce que les pilotes sont au préalables de blancs moutons?
Disons que vu ce qu'il s'était passé en 2007, lors de qualif entre Hamilton et Alonso et les sanctions qui suivirent, Il est étonnant qu'une équipe s'expose à ce genre "d'arrangement", vu qu'on avait mis les point sur les i suite à ça.
Surpris? Venant de Ferrari >non! Venant d'Alonso>non. Les pilotes sont-ils de blancs moutons? Non! Et c'est pour cela que le réglement devrait être respecté. Pour éviter au moins scrupuleux de nous mettre notre passion derrière l'assiette au beurre à l'entrée de la cave, (Enfin je veux dire: "traîne notre passion en dérision"!) sur le dos des plus ...timides.
A une époque pas si lointaine, où les pilotes mourraient facilement, un comportement comme celui d'Alonso depuis le début de saison, je me demande si les pilotes eux même n'auraient pas pris des flingue pour l'abattre.
C'étaient pourtant pas des anges. Mais Ickx, Stewart, Fittipaldi.....merci de prendre soin de vos carcasses sexagénaire.
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Kubica : "Comme une course à domicile.
Après une septième place en Allemagne, Robert Kubica (Renault) espère encore progresser en Hongrie où se dispute la 12e manche du Mondial 2010, ce week-end. Le Polonais, qui s'attend à voir de nombreux fans, estime que le circuit sera plus adapté aux caractéristiques de la R30.
Vous avez terminé septième en Allemagne, devant les deux Mercedes. Etes-vous satisfait de ce résultat ?
Robert Kubica : Je pense que nous avons exploité notre voiture à la limite de son potentiel en Allemagne, où nous avons gagné le “championnat B”. Cela dit, nous savons qu’un gros écart de performance nous sépare des équipes les plus rapides en ce moment. Nous savons aussi que les équipes situées derrière nous se montrent de plus en plus menaçantes. Cela signifie que nous devons gérer parfaitement le week-end de course pour nous qualifier dans le top 10, puis pour terminer dans les points.
Le Hungaroring conviendra-t-il mieux aux qualités de la R30 ?
R.K. : Je pense effectivement que ce circuit sera plus adapté aux caractéristiques de notre voiture et j’espère que nous pourrons être plus proches des avant-postes qu’en Allemagne. Mais honnêtement, je ne pense pas qu’il soit possible de rééditer notre résultat de Monaco.
Quels sont les défis du Hungaroring pour une monoplace de F1 ?
R.K. : C’est un circuit assez délicat pour la mise au point des voitures, car il nécessite de l’adhérence à l’avant pour les longs virages, mais d’un autre côté, vous avez aussi besoin de stabilité à l’arrière. Il est également difficile de régler les monoplaces parce qu’il y a beaucoup de bosses, et parce que le tracé présente un grand nombre de virages différents. Il faut donc se concentrer sur toute la plage des réglages et de l’équilibre. Physiquement et mentalement, le circuit est très exigeant parce qu’il comporte beaucoup de virages et parce que la ligne droite est assez courte. Vous n’avez quasiment aucun moment pour reprendre votre souffle, il faut être concentré en permanence.
Budapest est le Grand Prix le plus proche de la Pologne, géographiquement. Est-ce qu’il s’agit d’un rendez-vous spécial ?
R.K. : J’ai vraiment hâte d’être à Budapest car il y a généralement beaucoup de fans polonais. C’est un peu un Grand Prix à domicile pour eux et pour moi. Je m’attends à ce que beaucoup de supporters viennent me voir, à ce que l’atmosphère soit bonne ; j’espère donc pouvoir réaliser de bonnes performances pour eux.
Renault F1 Team
Après une septième place en Allemagne, Robert Kubica (Renault) espère encore progresser en Hongrie où se dispute la 12e manche du Mondial 2010, ce week-end. Le Polonais, qui s'attend à voir de nombreux fans, estime que le circuit sera plus adapté aux caractéristiques de la R30.
Vous avez terminé septième en Allemagne, devant les deux Mercedes. Etes-vous satisfait de ce résultat ?
Robert Kubica : Je pense que nous avons exploité notre voiture à la limite de son potentiel en Allemagne, où nous avons gagné le “championnat B”. Cela dit, nous savons qu’un gros écart de performance nous sépare des équipes les plus rapides en ce moment. Nous savons aussi que les équipes situées derrière nous se montrent de plus en plus menaçantes. Cela signifie que nous devons gérer parfaitement le week-end de course pour nous qualifier dans le top 10, puis pour terminer dans les points.
Le Hungaroring conviendra-t-il mieux aux qualités de la R30 ?
R.K. : Je pense effectivement que ce circuit sera plus adapté aux caractéristiques de notre voiture et j’espère que nous pourrons être plus proches des avant-postes qu’en Allemagne. Mais honnêtement, je ne pense pas qu’il soit possible de rééditer notre résultat de Monaco.
Quels sont les défis du Hungaroring pour une monoplace de F1 ?
R.K. : C’est un circuit assez délicat pour la mise au point des voitures, car il nécessite de l’adhérence à l’avant pour les longs virages, mais d’un autre côté, vous avez aussi besoin de stabilité à l’arrière. Il est également difficile de régler les monoplaces parce qu’il y a beaucoup de bosses, et parce que le tracé présente un grand nombre de virages différents. Il faut donc se concentrer sur toute la plage des réglages et de l’équilibre. Physiquement et mentalement, le circuit est très exigeant parce qu’il comporte beaucoup de virages et parce que la ligne droite est assez courte. Vous n’avez quasiment aucun moment pour reprendre votre souffle, il faut être concentré en permanence.
Budapest est le Grand Prix le plus proche de la Pologne, géographiquement. Est-ce qu’il s’agit d’un rendez-vous spécial ?
R.K. : J’ai vraiment hâte d’être à Budapest car il y a généralement beaucoup de fans polonais. C’est un peu un Grand Prix à domicile pour eux et pour moi. Je m’attends à ce que beaucoup de supporters viennent me voir, à ce que l’atmosphère soit bonne ; j’espère donc pouvoir réaliser de bonnes performances pour eux.
Renault F1 Team
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
GP de Hongrie: Historique
Première course : 1986
Nombre de courses : 24
Circuit : Hungaroring
Record de victoires/pilotes : Michael Schumacher (1994, 1998, 2001, 2004)
Record de victoires /constructeurs : McLaren - 9
Bien que la Hongrie ne soit pas le pays qui vienne immédiatement à l'esprit lorsqu'on évoque la F1, le premier Grand Prix organisé sur ses terres date pourtant de 1936. Il fut disputé sur un circuit de 4, 9Km, à Budapest, et la course fut remportée par le champion italien Tazio Nuvolari , au volant d'une Alfa Romeo. Mais la guerre et le contexte politique d'après-guerre rendirent impossible la tenue d'un Grand Prix en Hongrie pendant cinquante ans.
En 1986, la course intègre officiellement le calendrier du championnat du monde de F1 pour la première fois. C'est également le premier Grand Prix qui ait lieu derrière le Rideau de Fer. Malgré le prix élevé des billets, l'événement attire 200,000 spectateurs. Toujours couru à la mi-août, il a fallu attendre 2006 pour voir la pluie tomber sur le Hungaroring.
Peu utilisé, le circuit, technique et sinueux, est souvent sale et il manque d'adhérence. En outre, les dépassements y sont très difficiles. En 1990, Thierry Boutsen en profita pour rester en tête jusqu'au bout, alors que sa Williams était bien plus lente que la McLaren de son poursuivant direct - et futur champion du monde de la saison -, Ayrton Senna.
Obtenir la pole position est donc primordial pour triompher en Hongrie. Néanmoins, de nombreuses courses ont également été gagnées grâce à la stratégie de ravitaillement. Ce fut le cas pour Michael Schumacher en 1998, lorsque son écurie changea de stratégie à mi-course, permettant ainsi au champion allemand de remporter la victoire avec plus de neuf secondes d'avance sur David Couthard.
Mais il y a toujours une exception à la règle, et en Hongrie, ce fut Nigel Mansell. En 1989, il partit seulement en 12ème position, mais, au terme d'un incroyable course où il doubla tous ses concurrents les uns après les autres, il remporta la Grand Prix. Seul Jenson Button a fait mieux depuis : en 2006, parti de la 14ème position, il a néanmoins gagné, profitant au mieux des conditions pluvieuses qui perturbaient la course.
En 2009, la FIA a confirmé que le Grand Prix de Hongrie resterait inscrit au calendrier du championnat du monde jusqu'en 2016.
© ESPN EMEA Ltd.
Première course : 1986
Nombre de courses : 24
Circuit : Hungaroring
Record de victoires/pilotes : Michael Schumacher (1994, 1998, 2001, 2004)
Record de victoires /constructeurs : McLaren - 9
Bien que la Hongrie ne soit pas le pays qui vienne immédiatement à l'esprit lorsqu'on évoque la F1, le premier Grand Prix organisé sur ses terres date pourtant de 1936. Il fut disputé sur un circuit de 4, 9Km, à Budapest, et la course fut remportée par le champion italien Tazio Nuvolari , au volant d'une Alfa Romeo. Mais la guerre et le contexte politique d'après-guerre rendirent impossible la tenue d'un Grand Prix en Hongrie pendant cinquante ans.
En 1986, la course intègre officiellement le calendrier du championnat du monde de F1 pour la première fois. C'est également le premier Grand Prix qui ait lieu derrière le Rideau de Fer. Malgré le prix élevé des billets, l'événement attire 200,000 spectateurs. Toujours couru à la mi-août, il a fallu attendre 2006 pour voir la pluie tomber sur le Hungaroring.
Peu utilisé, le circuit, technique et sinueux, est souvent sale et il manque d'adhérence. En outre, les dépassements y sont très difficiles. En 1990, Thierry Boutsen en profita pour rester en tête jusqu'au bout, alors que sa Williams était bien plus lente que la McLaren de son poursuivant direct - et futur champion du monde de la saison -, Ayrton Senna.
Obtenir la pole position est donc primordial pour triompher en Hongrie. Néanmoins, de nombreuses courses ont également été gagnées grâce à la stratégie de ravitaillement. Ce fut le cas pour Michael Schumacher en 1998, lorsque son écurie changea de stratégie à mi-course, permettant ainsi au champion allemand de remporter la victoire avec plus de neuf secondes d'avance sur David Couthard.
Mais il y a toujours une exception à la règle, et en Hongrie, ce fut Nigel Mansell. En 1989, il partit seulement en 12ème position, mais, au terme d'un incroyable course où il doubla tous ses concurrents les uns après les autres, il remporta la Grand Prix. Seul Jenson Button a fait mieux depuis : en 2006, parti de la 14ème position, il a néanmoins gagné, profitant au mieux des conditions pluvieuses qui perturbaient la course.
En 2009, la FIA a confirmé que le Grand Prix de Hongrie resterait inscrit au calendrier du championnat du monde jusqu'en 2016.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Schumacher demande du calme
Michael Schumacher estime que Mercedes peut progresser à l'occasion du Grand Prix de Hongrie, ce week-end, et il demande à son équipe de garder la tête froide malgré les difficultés.
"Le Grand Prix d'Allemagne, ce week-end, a été clairement décevant", a déclaré Schumacher. "Mais on a vu, sur les dernières courses, que notre équipe pouvait bien faire. Il faut rester positif pour la Hongrie."
"Il est clair que l'on doit mieux comprendre notre voiture. La piste de Budapest et plus de temps pour tester nos évolutions devraient nous le permettre. Comme je l'ai dit lors de la dernière course, nous devons rester calmes, analyser nos performances et apprendre plus chaque week-end."
Pour Rosberg l'important sera de réussir en qualification après que les deux Mercedes ont connu des difficultés pour accéder à la Q3 cette saison. "J'avais connu un bon week-end en Hongrie, l'année dernière, en terminant à la 4e place", a-t-il ajouté.
Ross Brawn, le patron de l'écurie, était déçu de se retrouver aussi loin pour le Grand Prix national de Mercedes, il veut remonter la pente. "On doit tirer davantage de vitesse de la voiture", dit-il. "La Hongrie est un circuit technique exigeant. Ce devrait un bon terrain pour nous permettre de tester nos évolutions."
© ESPN EMEA Ltd.
Michael Schumacher estime que Mercedes peut progresser à l'occasion du Grand Prix de Hongrie, ce week-end, et il demande à son équipe de garder la tête froide malgré les difficultés.
"Le Grand Prix d'Allemagne, ce week-end, a été clairement décevant", a déclaré Schumacher. "Mais on a vu, sur les dernières courses, que notre équipe pouvait bien faire. Il faut rester positif pour la Hongrie."
"Il est clair que l'on doit mieux comprendre notre voiture. La piste de Budapest et plus de temps pour tester nos évolutions devraient nous le permettre. Comme je l'ai dit lors de la dernière course, nous devons rester calmes, analyser nos performances et apprendre plus chaque week-end."
Pour Rosberg l'important sera de réussir en qualification après que les deux Mercedes ont connu des difficultés pour accéder à la Q3 cette saison. "J'avais connu un bon week-end en Hongrie, l'année dernière, en terminant à la 4e place", a-t-il ajouté.
Ross Brawn, le patron de l'écurie, était déçu de se retrouver aussi loin pour le Grand Prix national de Mercedes, il veut remonter la pente. "On doit tirer davantage de vitesse de la voiture", dit-il. "La Hongrie est un circuit technique exigeant. Ce devrait un bon terrain pour nous permettre de tester nos évolutions."
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dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Mogyorod verbatim
Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes avant le Grand Prix de Hongrie, 12e manche du Mondial, disputé près de Budapest.
Lewis Hamilton (McLaren) : "J'adore courir en Hongrie. Budapest est fantastique, c'est une ville magnifique que j'aime beaucoup explorer et le circuit est unique. Il a la réputation d'être lent où il est impossible de dépasser mais je ne suis pas vraiment d'accord avec ça. D'abord le circuit présente deux virages rapides - en particulier le quatrième virage à gauche en aveugle et le droite du virage 11. Depuis les changements au premier virage, c'est un endroit où dépasser est possible, même si ce n'est pas facile. Comme à Monaco, il n'y a aucune possibilité de se détendre. Lorsque vous possédez une bonne voiture, c'est génial."
Jenson Button (McLaren) : "J'ai remporté mon premier Grand Prix en Hongrie - et je me souviens de cette course comme si c'était hier. C'était un grand moment de ma carrière. Après Hockenheim, je pense que nous nous rendons à Budapest avec davantage d'optimisme concernant notre rythme. L'écurie se comporte traditionnellement bien sur ce tracé. Nous avons une configuration avec beaucoup d'appuis, ce qui devrait convenir sur ce circuit."
Fernando Alonso (Ferrari) : "Le Hungaroring est un circuit spécial pour moi. C'est ici en 2003 que j'ai signé ma première victoire et j'étais en pole position l'an passé. Le tracé peut presque être décrit comme un circuit de karting. Les virages s'enchainent et il n'y a nulle part où le pilote peut respirer. C'est important d'avoir une voiture qui réagit bien aux multiples bosses sur le tracé. D'un point de vue physique et mental, c'est une course assez exigeante et il est important de ne pas faire de faute. Sinon, on est immédiatement pénalisé, particulièrement en qualification."
Felipe Massa (Ferrari) : "C'est très spécial pour moi de retourner à Budapest. Il y a un an, j'ai été sérieusement blessé par le ressort d'une autre voiture qui m'a heurté en pleine tête lors de la séance de qualification. Lorsque j'arriverai au circuit, je rencontrerai d'abord les commissaires et le personnel médical qui ont fait du très bon travail pour me sortir du cockpit. Je veux remercier ces gens. "
Nico Rosberg (Mercedes) : "Le Hungaroring est un de ces circuits qui demandent un vrai défi technique. C'est génial d'y piloter. C'est difficile de dépasser, la séance de qualification est donc très importante pour s'élancer le plus haut possible sur la grille de départ. Les qualifications ne sont pas notre point fort ces derniers temps. Nous allons donc travailler dur tout le week-end pour avoir les meilleures chances en course. L'an passé j'avais terminé à la 4e position. Ce serait génial de courir aux avant-postes une fois de plus."
Michael Schumacher (Mercedes) : "Le Grand Prix d'Allemagne a été très décevant pour nous mais nous avons vu que notre équipe était capable de produire différents types de performances lors des dernières courses. En gardant ça en tête, je vais me rendre en Hongrie avec un état d'esprit positif. C'est clair que nous avons besoin de comprendre davantage notre voiture. Comme je l'ai dit après la dernière course, nous devons rester calme, regarder dans le détail et analyser nos performances pour apprendre le plus possible de ces week-ends. C'est ce que nous devons faire pour améliorer la situation."
Robert Kubica (Renault) : C’est un circuit assez délicat pour la mise au point des voitures, car il nécessite de l’adhérence à l’avant pour les longs virages, mais d’un autre côté, vous avez aussi besoin de stabilité à l’arrière. Il est également difficile de régler les monoplaces parce qu’il y a beaucoup de bosses, et parce que le tracé présente un grand nombre de virages différents. Il faut donc se concentrer sur toute la plage des réglages et de l’équilibre. Physiquement et mentalement, le circuit est très exigeant parce qu’il comporte beaucoup de virages et parce que la ligne droite est assez courte. Vous n’avez quasiment aucun moment pour reprendre votre souffle, il faut être concentré en permanence.
Vitaly Petrov (Renault) : C’est un circuit que je connais bien et que j’ai fréquenté en GP2 series. Cela dit, je l’aborderai pour la première fois au volant d’une F1 et il y a donc beaucoup de choses à apprendre. J’aime le tracé. La piste est souvent sale et il faut y trouver un bon rythme. Il faut également connaître le secret pour s’y montrer compétitif. Je dois améliorer ma prestation en qualifications afin d’être certain de pouvoir prendre le départ de la course depuis une bonne position. Si j’y parviens, je pense que nous pourrons être compétitifs en course parce qu’en Allemagne, le rythme de la voiture était bon.
Bruno Senna (HRT) : "J'ai hâte de me rendre en Hongrie, car l'ambiance est toujours très bonne et le public apprécie le spectacle. J'ai déjà couru à deux reprises sur le Hungaroring en GP2 et j'ai obtenu deux podiums en 2008.C'est un circuit qui demande beaucoup d'appuis aérodynamiques. Ce sera un véritable défi car c'est un tracé difficile pour les voitures et les pilotes mais nous espérons surprendre certaines personnes."
Sakon Yamamoto (HRT) : J'ai hâte de retourner au Hungaroring car je connais très bien le circuit pour y avoir couru avec Super Aguri, Spyker F1 et en GP2 Series avec ART. Les courses sont toujours très difficiles car les virages s'enchaînent. Il faut être très stable au freinage et une bonne traction. J'espère que nous serons plus chanceux qu'à Hockenheim.
Eurosport
Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes avant le Grand Prix de Hongrie, 12e manche du Mondial, disputé près de Budapest.
Lewis Hamilton (McLaren) : "J'adore courir en Hongrie. Budapest est fantastique, c'est une ville magnifique que j'aime beaucoup explorer et le circuit est unique. Il a la réputation d'être lent où il est impossible de dépasser mais je ne suis pas vraiment d'accord avec ça. D'abord le circuit présente deux virages rapides - en particulier le quatrième virage à gauche en aveugle et le droite du virage 11. Depuis les changements au premier virage, c'est un endroit où dépasser est possible, même si ce n'est pas facile. Comme à Monaco, il n'y a aucune possibilité de se détendre. Lorsque vous possédez une bonne voiture, c'est génial."
Jenson Button (McLaren) : "J'ai remporté mon premier Grand Prix en Hongrie - et je me souviens de cette course comme si c'était hier. C'était un grand moment de ma carrière. Après Hockenheim, je pense que nous nous rendons à Budapest avec davantage d'optimisme concernant notre rythme. L'écurie se comporte traditionnellement bien sur ce tracé. Nous avons une configuration avec beaucoup d'appuis, ce qui devrait convenir sur ce circuit."
Fernando Alonso (Ferrari) : "Le Hungaroring est un circuit spécial pour moi. C'est ici en 2003 que j'ai signé ma première victoire et j'étais en pole position l'an passé. Le tracé peut presque être décrit comme un circuit de karting. Les virages s'enchainent et il n'y a nulle part où le pilote peut respirer. C'est important d'avoir une voiture qui réagit bien aux multiples bosses sur le tracé. D'un point de vue physique et mental, c'est une course assez exigeante et il est important de ne pas faire de faute. Sinon, on est immédiatement pénalisé, particulièrement en qualification."
Felipe Massa (Ferrari) : "C'est très spécial pour moi de retourner à Budapest. Il y a un an, j'ai été sérieusement blessé par le ressort d'une autre voiture qui m'a heurté en pleine tête lors de la séance de qualification. Lorsque j'arriverai au circuit, je rencontrerai d'abord les commissaires et le personnel médical qui ont fait du très bon travail pour me sortir du cockpit. Je veux remercier ces gens. "
Nico Rosberg (Mercedes) : "Le Hungaroring est un de ces circuits qui demandent un vrai défi technique. C'est génial d'y piloter. C'est difficile de dépasser, la séance de qualification est donc très importante pour s'élancer le plus haut possible sur la grille de départ. Les qualifications ne sont pas notre point fort ces derniers temps. Nous allons donc travailler dur tout le week-end pour avoir les meilleures chances en course. L'an passé j'avais terminé à la 4e position. Ce serait génial de courir aux avant-postes une fois de plus."
Michael Schumacher (Mercedes) : "Le Grand Prix d'Allemagne a été très décevant pour nous mais nous avons vu que notre équipe était capable de produire différents types de performances lors des dernières courses. En gardant ça en tête, je vais me rendre en Hongrie avec un état d'esprit positif. C'est clair que nous avons besoin de comprendre davantage notre voiture. Comme je l'ai dit après la dernière course, nous devons rester calme, regarder dans le détail et analyser nos performances pour apprendre le plus possible de ces week-ends. C'est ce que nous devons faire pour améliorer la situation."
Robert Kubica (Renault) : C’est un circuit assez délicat pour la mise au point des voitures, car il nécessite de l’adhérence à l’avant pour les longs virages, mais d’un autre côté, vous avez aussi besoin de stabilité à l’arrière. Il est également difficile de régler les monoplaces parce qu’il y a beaucoup de bosses, et parce que le tracé présente un grand nombre de virages différents. Il faut donc se concentrer sur toute la plage des réglages et de l’équilibre. Physiquement et mentalement, le circuit est très exigeant parce qu’il comporte beaucoup de virages et parce que la ligne droite est assez courte. Vous n’avez quasiment aucun moment pour reprendre votre souffle, il faut être concentré en permanence.
Vitaly Petrov (Renault) : C’est un circuit que je connais bien et que j’ai fréquenté en GP2 series. Cela dit, je l’aborderai pour la première fois au volant d’une F1 et il y a donc beaucoup de choses à apprendre. J’aime le tracé. La piste est souvent sale et il faut y trouver un bon rythme. Il faut également connaître le secret pour s’y montrer compétitif. Je dois améliorer ma prestation en qualifications afin d’être certain de pouvoir prendre le départ de la course depuis une bonne position. Si j’y parviens, je pense que nous pourrons être compétitifs en course parce qu’en Allemagne, le rythme de la voiture était bon.
Bruno Senna (HRT) : "J'ai hâte de me rendre en Hongrie, car l'ambiance est toujours très bonne et le public apprécie le spectacle. J'ai déjà couru à deux reprises sur le Hungaroring en GP2 et j'ai obtenu deux podiums en 2008.C'est un circuit qui demande beaucoup d'appuis aérodynamiques. Ce sera un véritable défi car c'est un tracé difficile pour les voitures et les pilotes mais nous espérons surprendre certaines personnes."
Sakon Yamamoto (HRT) : J'ai hâte de retourner au Hungaroring car je connais très bien le circuit pour y avoir couru avec Super Aguri, Spyker F1 et en GP2 Series avec ART. Les courses sont toujours très difficiles car les virages s'enchaînent. Il faut être très stable au freinage et une bonne traction. J'espère que nous serons plus chanceux qu'à Hockenheim.
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dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
30/07 Essais libres 1 10:00
30/07 Essais libres 2 14:00
31/07 Essais libres 3 11:00
31/07 Essais qualificatifs 14:00
31/07 Grille de départ 00:00
01/08 Course 14:00
30/07 Essais libres 2 14:00
31/07 Essais libres 3 11:00
31/07 Essais qualificatifs 14:00
31/07 Grille de départ 00:00
01/08 Course 14:00
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
dom465 a écrit:30/07 Essais libres 1 10:00
30/07 Essais libres 2 14:00
31/07 Essais libres 3 11:00
31/07 Essais qualificatifs 14:00
31/07 Grille de départ 00:00
01/08 Course 14:00
Salut Dom :
Bon boulot (comme d'hab.), mais tu as oublié un petit quelque chose L'heure et le tour auxquels la Scuderia va donner des
_________________
"La course, la compétition, coulent dans mes veines. C'est une partie de moi et je l'ai assouvie toute ma vie. Pour moi, ça passe avant tout." Ayrton Senna.
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Fabienne a écrit:dom465 a écrit:30/07 Essais libres 1 10:00
30/07 Essais libres 2 14:00
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31/07 Essais qualificatifs 14:00
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Salut Dom :
Bon boulot (comme d'hab.), mais tu as oublié un petit quelque chose L'heure et le tour auxquels la Scuderia va donner desconsignes...ordres... suggestions à Massa. Je sais, c'est nul Désolée.
J'étais juste en train de faire des recherches à ce sujet !
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Budapest par Robert Kubica : suivez le guide
Avant de devenir un pilote de F1, j’avais l’impression que le Hungaroring était un endroit que personne n’aimait vraiment, mais la première fois que j’y ai piloté en F1, je me suis vraiment amusé. Il y a toujours beaucoup de fans polonais à Budapest car le pays n’est pas loin, c’est donc une sorte de Grand Prix à domicile pour moi.
C’est un circuit assez délicat pour la mise au point des voitures, car il nécessite de l’adhérence à l’avant pour les longs virages, mais d’un autre côté, vous avez aussi besoin de stabilité à l’arrière. Il est également difficile de régler les monoplaces parce qu’il y a beaucoup de bosses, et parce que le tracé présente un grand nombre de virages différents. Il faut donc se concentrer sur toutes les zones des réglages et de l’équilibre.
Les longs virages et la température généralement élevée rendent la piste exigeante envers les pneumatiques. S’il fait vraiment chaud, leur performance peut vraiment se dégrader rapidement. Parce qu’il y a tellement de virages, les gommes sont exploitées à la limite. Vous pouvez régler la voiture de manière à sousvirer un peu et soulager l’arrière, mais si cette tendance est trop prononcée dans les virages 8, 9, 13 et 14, vous perdez tellement de temps que c’est contre-productif.
Pendant la plupart du tour, vous enchaînez les virages. Vous touchez les freins du virage 4 au virage 11, mais sans jamais y mettre énormément de pression. Le Hungaroring est exigeant physiquement en mentalement parce qu’il y a énormément de virages et qu’il ne comporte qu’une ligne droite, assez courte, qui ne permet pas de refaire le plein d’énergie. Il faut être concentré en permanence. C’est la raison pour laquelle c’est un circuit difficile à aborder parfaitement pour les pilotes comme pour les ingénieurs.
Il est difficile de dépasser à Budapest. Le virages sont assez complexes du n°4 au n°11 et il n’y a pas une ligne droite de plus de 100 ou 200 mètres dans ce secteur. La seule chance de dépasser, c’est le premier virage, mais cela reste difficile même à cet endroit. Le problème, c’est que le virage 14 est très long et que, si vous suivez quelqu’un de près, vous perdez beaucoup d’appui à l’avant et vous êtes lent à la corde. Il est donc difficile de suivre une voiture de près et de l’attaquer au premier virage.
Le virage 14 est le plus important parce que vous pouvez y gagner ou y perdre beaucoup de temps. C’est un long virage que vous pouvez aborder de plusieurs manières différentes en ce qui concerne la vitesse à la corde et les trajectoires. Il faut y emmener autant de vitesse que possible, mais il faut se souvenir qu’il faut remettre les gaz très tôt parce qu’il débouche sur la ligne droite principale et sur le premier virage. Les trajectoires en entrée sont multiples et le point de corde évolue en fonction de l’équilibre de la voiture. Cela peut aussi varier en course selon la dégradation des pneumatiques.
Renault F1 Team
Avant de devenir un pilote de F1, j’avais l’impression que le Hungaroring était un endroit que personne n’aimait vraiment, mais la première fois que j’y ai piloté en F1, je me suis vraiment amusé. Il y a toujours beaucoup de fans polonais à Budapest car le pays n’est pas loin, c’est donc une sorte de Grand Prix à domicile pour moi.
C’est un circuit assez délicat pour la mise au point des voitures, car il nécessite de l’adhérence à l’avant pour les longs virages, mais d’un autre côté, vous avez aussi besoin de stabilité à l’arrière. Il est également difficile de régler les monoplaces parce qu’il y a beaucoup de bosses, et parce que le tracé présente un grand nombre de virages différents. Il faut donc se concentrer sur toutes les zones des réglages et de l’équilibre.
Les longs virages et la température généralement élevée rendent la piste exigeante envers les pneumatiques. S’il fait vraiment chaud, leur performance peut vraiment se dégrader rapidement. Parce qu’il y a tellement de virages, les gommes sont exploitées à la limite. Vous pouvez régler la voiture de manière à sousvirer un peu et soulager l’arrière, mais si cette tendance est trop prononcée dans les virages 8, 9, 13 et 14, vous perdez tellement de temps que c’est contre-productif.
Pendant la plupart du tour, vous enchaînez les virages. Vous touchez les freins du virage 4 au virage 11, mais sans jamais y mettre énormément de pression. Le Hungaroring est exigeant physiquement en mentalement parce qu’il y a énormément de virages et qu’il ne comporte qu’une ligne droite, assez courte, qui ne permet pas de refaire le plein d’énergie. Il faut être concentré en permanence. C’est la raison pour laquelle c’est un circuit difficile à aborder parfaitement pour les pilotes comme pour les ingénieurs.
Il est difficile de dépasser à Budapest. Le virages sont assez complexes du n°4 au n°11 et il n’y a pas une ligne droite de plus de 100 ou 200 mètres dans ce secteur. La seule chance de dépasser, c’est le premier virage, mais cela reste difficile même à cet endroit. Le problème, c’est que le virage 14 est très long et que, si vous suivez quelqu’un de près, vous perdez beaucoup d’appui à l’avant et vous êtes lent à la corde. Il est donc difficile de suivre une voiture de près et de l’attaquer au premier virage.
Le virage 14 est le plus important parce que vous pouvez y gagner ou y perdre beaucoup de temps. C’est un long virage que vous pouvez aborder de plusieurs manières différentes en ce qui concerne la vitesse à la corde et les trajectoires. Il faut y emmener autant de vitesse que possible, mais il faut se souvenir qu’il faut remettre les gaz très tôt parce qu’il débouche sur la ligne droite principale et sur le premier virage. Les trajectoires en entrée sont multiples et le point de corde évolue en fonction de l’équilibre de la voiture. Cela peut aussi varier en course selon la dégradation des pneumatiques.
Renault F1 Team
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Les tops et les flops d’Hockenheim
A l’issue d’un Grand Prix d’Allemagne marqué par la victoire de Fernando Alonso, retrouvez les tops et les flops du week-end. Quels pilotes et équipes ont brillé hier ? Quels sont ceux qui n’ont pas été à la hauteur ?
Les tops
Fernando Alonso
Inévitablement, l’Espagnol est à placer dans cette catégorie, même si sa victoire est entachée de la consigne donnée par Ferrari à Felipe Massa. Mais, vainqueur de son deuxième Grand Prix de la saison, Fernando Alonso a su se replacer dans la course à la couronne mondiale en obtenant la victoire à Hockenheim. Pressant auprès de son écurie, le double Champion du Monde a obtenu de Felipe Massa qu’il lui laisse la première place à l’approche de l’arrivée. Si le geste est condamnable, Fernando Alonso fait une très bonne opération dans la course au titre.
Lewis Hamilton
Plus le temps passe et plus le Britannique se place en sérieux candidat dans l’optique du titre mondial. Vainqueur à Istanbul et à Montréal, Lewis Hamilton s’est montré très régulier depuis. Deuxième à Valencia et Silverstone, quatrième ce week-end à Hockenheim, le Champion du Monde 2008 conserve la tête du Championnat du Monde et accroit même son avance sur son second, Jenson Button. De plus, Lewis Hamilton a pris l'avantage à la régulière sur son coéquipier, en le dépassant au départ et en résistant à son retour en fin de course.
Vitaly Petrov
En marquant un point à Hockenheim, le Russe a marqué davantage de points dans l’esprit de son patron, Eric Boullier. Le team manager de Renault F1 s’est d’ailleurs montré très satisfait du travail fourni par Vitaly Petrov. Ce dernier a su tenir le rythme de Michael Schumacher et le garder dans sa ligne de mire, terminant à quatre secondes du septuple Champion du Monde. Lui qui avait jusqu’au Grand Prix de Hongrie pour faire ses preuves, a fait l’essentiel en Allemagne.
Les flops
Ferrari - Alonso - Massa
Le spectacle offert par Ferrari, et la polémique qui en a découlé, a marqué ce Grand Prix d’une tâche indélébile, à la manière du Grand Prix d’Autriche 2002 (Barrichello - Schumacher). Ferrari peut légitimement vouloir que son pilote le mieux placé au championnat puisse aller disputer le titre mondial, mais la manière est regrettable. Les conversations radio (« c’est ridicule » d’Alonso, « Fernando est plus rapide que toi, peux-tu me confirmer que tu as bien compris ce message ? » de l’ingénieur de Massa au Brésilien) ont été entendues, l’effacement de Massa flagrant, le scandale total. L’écurie a déjà été condamnée et pourrait l’être encore davantage mais, en termes d’image, le bilan est négatif. Ferrari, Alonso et Massa, qui ont chacun leur part de responsabilité, n’en ressortent pas grandis.
Sebastian Vettel
Le pilote allemand ne s'est pas imposé à Hockenheim, devant son public, malgré une sixième pole. Alors qu’il semble avoir tous les atouts pour être Champion du Monde, "Baby Schumi" perd de gros points à chaque week-end et ne parvient pas à revenir sur la tête du classement du Championnat du Monde. Comme à Silverstone, son départ n’a pas été parfait. Il a même été stratégiquement mauvais : en essayant de tasser Alonso dans les premières mètres, il a laissé passer Massa, et Alonso en a profité également. Si sa RB6 est toujours la voiture la plus efficace du plateau, la liste des occasions perdues s’allonge. Il pourrait le regretter en fin de saison.
Williams
Malgré deux voitures dans le top 10 des qualifications, Williams n’a pas réussi à marquer de points. Rubens Barrichello a payé un mauvais départ, tandis que Nico Hülkenberg a trop tardé à changer de pneus.
Toro Rosso
L’écurie sœur de Red Bull a imité son aînée, en voyant ses deux pilotes se télescoper dans le premier tour. Jaime Alguersuari a tapé l’arrière de la voiture de Sébastien Buemi dans l’épingle et les deux hommes ont dû rentrer au stand. Le Suisse, touché durement à l’arrière, a abandonné dès le premier tour.
Jean-Côme Decroos
A l’issue d’un Grand Prix d’Allemagne marqué par la victoire de Fernando Alonso, retrouvez les tops et les flops du week-end. Quels pilotes et équipes ont brillé hier ? Quels sont ceux qui n’ont pas été à la hauteur ?
Les tops
Fernando Alonso
Inévitablement, l’Espagnol est à placer dans cette catégorie, même si sa victoire est entachée de la consigne donnée par Ferrari à Felipe Massa. Mais, vainqueur de son deuxième Grand Prix de la saison, Fernando Alonso a su se replacer dans la course à la couronne mondiale en obtenant la victoire à Hockenheim. Pressant auprès de son écurie, le double Champion du Monde a obtenu de Felipe Massa qu’il lui laisse la première place à l’approche de l’arrivée. Si le geste est condamnable, Fernando Alonso fait une très bonne opération dans la course au titre.
Lewis Hamilton
Plus le temps passe et plus le Britannique se place en sérieux candidat dans l’optique du titre mondial. Vainqueur à Istanbul et à Montréal, Lewis Hamilton s’est montré très régulier depuis. Deuxième à Valencia et Silverstone, quatrième ce week-end à Hockenheim, le Champion du Monde 2008 conserve la tête du Championnat du Monde et accroit même son avance sur son second, Jenson Button. De plus, Lewis Hamilton a pris l'avantage à la régulière sur son coéquipier, en le dépassant au départ et en résistant à son retour en fin de course.
Vitaly Petrov
En marquant un point à Hockenheim, le Russe a marqué davantage de points dans l’esprit de son patron, Eric Boullier. Le team manager de Renault F1 s’est d’ailleurs montré très satisfait du travail fourni par Vitaly Petrov. Ce dernier a su tenir le rythme de Michael Schumacher et le garder dans sa ligne de mire, terminant à quatre secondes du septuple Champion du Monde. Lui qui avait jusqu’au Grand Prix de Hongrie pour faire ses preuves, a fait l’essentiel en Allemagne.
Les flops
Ferrari - Alonso - Massa
Le spectacle offert par Ferrari, et la polémique qui en a découlé, a marqué ce Grand Prix d’une tâche indélébile, à la manière du Grand Prix d’Autriche 2002 (Barrichello - Schumacher). Ferrari peut légitimement vouloir que son pilote le mieux placé au championnat puisse aller disputer le titre mondial, mais la manière est regrettable. Les conversations radio (« c’est ridicule » d’Alonso, « Fernando est plus rapide que toi, peux-tu me confirmer que tu as bien compris ce message ? » de l’ingénieur de Massa au Brésilien) ont été entendues, l’effacement de Massa flagrant, le scandale total. L’écurie a déjà été condamnée et pourrait l’être encore davantage mais, en termes d’image, le bilan est négatif. Ferrari, Alonso et Massa, qui ont chacun leur part de responsabilité, n’en ressortent pas grandis.
Sebastian Vettel
Le pilote allemand ne s'est pas imposé à Hockenheim, devant son public, malgré une sixième pole. Alors qu’il semble avoir tous les atouts pour être Champion du Monde, "Baby Schumi" perd de gros points à chaque week-end et ne parvient pas à revenir sur la tête du classement du Championnat du Monde. Comme à Silverstone, son départ n’a pas été parfait. Il a même été stratégiquement mauvais : en essayant de tasser Alonso dans les premières mètres, il a laissé passer Massa, et Alonso en a profité également. Si sa RB6 est toujours la voiture la plus efficace du plateau, la liste des occasions perdues s’allonge. Il pourrait le regretter en fin de saison.
Williams
Malgré deux voitures dans le top 10 des qualifications, Williams n’a pas réussi à marquer de points. Rubens Barrichello a payé un mauvais départ, tandis que Nico Hülkenberg a trop tardé à changer de pneus.
Toro Rosso
L’écurie sœur de Red Bull a imité son aînée, en voyant ses deux pilotes se télescoper dans le premier tour. Jaime Alguersuari a tapé l’arrière de la voiture de Sébastien Buemi dans l’épingle et les deux hommes ont dû rentrer au stand. Le Suisse, touché durement à l’arrière, a abandonné dès le premier tour.
Jean-Côme Decroos
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Source AH
Si la polémique engendrée par Ferrari dimanche dernier à Hockenheim ne cesse de faire parler spécialistes, passionnés et médias. Luca di Montezemelo, lui, se réjouit simplement du résultat global de sa Scuderia.
En Italie encore plus qu’ailleurs, les médias se déchaînent. Rares sont ceux approuvant la décision prise par Ferrari dimanche dernier à Hockenheim. Nombreux sont ceux pensant que cette événement est à mettre dans le même panier que ce qui s’était passé au Grand Prix d’Autriche 2002, lorsque peu avant l’arrivée, alors qu’il avait course gagnée, Rubens Barrichello avait laissé Michael Schumacher aller coiffer les lauriers de la victoire (voir vidéo). A l’issue de cette épreuve, la FIA avait alors commencé à se pencher sur les consignes en course. Fallait-il ou non les autoriser ? La réponse fut « non ».
Mais dimanche dernier à Hockenheim, même si les membres de l’équipe au cheval cabré le réfutent, ordre a été donné à Felipe Masse de laisser passer Fernando Alonso, mieux classé que le Brésilien au championnat du monde pilotes. Evidement les critiques ont commencé à pleuvoir…
Du côté de Maranello, cette polémique semble en tous les cas être le cadet des soucis des dirigeants de la Scuderia. Luca di Montezemolo l’a toujours répété : chez Ferrari, la voiture et la marque comptent plus que les pilotes.
« Je suis extrêmement heureux pour tous les fans qui, finalement, ont vu deux Ferrari mener la course du début à la fin, dominant cette épreuve, affirme le président de la Scuderia. Le résultat est le fruit des efforts de toute notre équipe, qui n’a jamais abandonné. Nous devons maintenant continuer à travailler comme cela, améliorer la voiture afin de la rendre compétitive sur tous les circuits sur lesquels elle se rend. Alonso et Massa ont été parfaits, se donnant à fond durant tout le week-end. Les polémiques n’ont à mes yeux aucun intérêt. Je réaffirme simplement ce que j’ai toujours déclaré, ce dont les pilotes sont tout à fait conscients, et qu’ils doivent respecter, c’est que chez Ferrari, les intérêts de l’écurie passent avant les intérêts individuels. Les choses se passent ainsi depuis Nuvolari, et je l’ai moi-même expérimenté en tant que Directeur sportif à l’époque de Lauda, et pas seulement… Assez de cette hypocrisie. Bien que nous puissions croire que certaines personnes auraient aimé voir nos deux voitures s’éliminer, ce n’est définitivement pas mon cas, ni celui de nos supporters. »
Pas d’états d’âme donc pour le Président Montezemolo. Les consignes ont toujours existé dans le sport automobile, et ça n’est pas prêt de changer…
Le piquant de l'histoire est que l'actuel président de la FIA devrait se prononcer sur d'autres sanctions contre les pilotes Ferrari Un certain Jean Todt qui a oeuvré chez Ferrari avec Michael Schumacher.
Si la polémique engendrée par Ferrari dimanche dernier à Hockenheim ne cesse de faire parler spécialistes, passionnés et médias. Luca di Montezemelo, lui, se réjouit simplement du résultat global de sa Scuderia.
En Italie encore plus qu’ailleurs, les médias se déchaînent. Rares sont ceux approuvant la décision prise par Ferrari dimanche dernier à Hockenheim. Nombreux sont ceux pensant que cette événement est à mettre dans le même panier que ce qui s’était passé au Grand Prix d’Autriche 2002, lorsque peu avant l’arrivée, alors qu’il avait course gagnée, Rubens Barrichello avait laissé Michael Schumacher aller coiffer les lauriers de la victoire (voir vidéo). A l’issue de cette épreuve, la FIA avait alors commencé à se pencher sur les consignes en course. Fallait-il ou non les autoriser ? La réponse fut « non ».
Mais dimanche dernier à Hockenheim, même si les membres de l’équipe au cheval cabré le réfutent, ordre a été donné à Felipe Masse de laisser passer Fernando Alonso, mieux classé que le Brésilien au championnat du monde pilotes. Evidement les critiques ont commencé à pleuvoir…
Du côté de Maranello, cette polémique semble en tous les cas être le cadet des soucis des dirigeants de la Scuderia. Luca di Montezemolo l’a toujours répété : chez Ferrari, la voiture et la marque comptent plus que les pilotes.
« Je suis extrêmement heureux pour tous les fans qui, finalement, ont vu deux Ferrari mener la course du début à la fin, dominant cette épreuve, affirme le président de la Scuderia. Le résultat est le fruit des efforts de toute notre équipe, qui n’a jamais abandonné. Nous devons maintenant continuer à travailler comme cela, améliorer la voiture afin de la rendre compétitive sur tous les circuits sur lesquels elle se rend. Alonso et Massa ont été parfaits, se donnant à fond durant tout le week-end. Les polémiques n’ont à mes yeux aucun intérêt. Je réaffirme simplement ce que j’ai toujours déclaré, ce dont les pilotes sont tout à fait conscients, et qu’ils doivent respecter, c’est que chez Ferrari, les intérêts de l’écurie passent avant les intérêts individuels. Les choses se passent ainsi depuis Nuvolari, et je l’ai moi-même expérimenté en tant que Directeur sportif à l’époque de Lauda, et pas seulement… Assez de cette hypocrisie. Bien que nous puissions croire que certaines personnes auraient aimé voir nos deux voitures s’éliminer, ce n’est définitivement pas mon cas, ni celui de nos supporters. »
Pas d’états d’âme donc pour le Président Montezemolo. Les consignes ont toujours existé dans le sport automobile, et ça n’est pas prêt de changer…
Le piquant de l'histoire est que l'actuel président de la FIA devrait se prononcer sur d'autres sanctions contre les pilotes Ferrari Un certain Jean Todt qui a oeuvré chez Ferrari avec Michael Schumacher.
TROIKA- Messages : 5922
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Prévisions météo pour le GP de Hongrie.
Vendredi : 24° - ciel nuageux - risque d'averses
Samedi : 27° - ciel "noir" - averses et orages
Dimanche : 27° - grand beau temps
Qualif contrariées en perspective
Vendredi : 24° - ciel nuageux - risque d'averses
Samedi : 27° - ciel "noir" - averses et orages
Dimanche : 27° - grand beau temps
Qualif contrariées en perspective
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
McLaren a écrit:Après les déclaration du faux-c.. alonso de ce week-end, qui peut encore croire que lors de l'affaire Piquet, il n'étais pas au courant.
Qui peut croire qu'il n'a pas été le porte flingue de la FIA et de Mosley dans l'affaire d'espionnage Industriel McLaren/ferrari ??
Qui peut encore croire à l'authenticité de ce pilote qu n'a jamais rien eu a prouvé, contre un pilote logiquement équipé comme lui ??
La seule vrai confrontation elle à été chez Mclaren avec le résultat que l'on sait.
Qui peut croire que ce pilote est de la race des seigneurs, des guerriers ??
Je vois mal Hamilton demandé à sont team d'imposer que Button se gare pour le laissé passer.
Un vrai pilote, un vrai champion n'a jamais eu besoin de cela.
Il viens, pour moi, de rejoindre Shumacher sur l'hôtel des faux pilotes, des faux champions !! finalement des faux...tout courts.
Imaginez ce qu'aurai fait la FIA à Mclaren dans un cas identique ??
Je pensais que depuis le départ de l'inéfable todt, la scudéria avait retrouver un peu d'ethique. He bien non, 1000 fois non ?
Leur malhonneteté sportive est toujours la bien la et je suis tellement triste, tellement enervé, tellement dégouté, moi qui sert ce sport, que j'aime et que j'adore, depuis tant années !
Rien que les noms (même plus propres) de ferrari d'alonso me donnent envie de gerber !
Alonso n'arrête pas de mentir.
Il mériterait une sanction pour le remettre à sa place.
Plus que la manoeuvre , ce sont les déclarations d'Alonso et ferrari qu'il faut sanctionner.
Ce mec nous prend toujours pour des cons.
A Singapour c'était du genre : "Tiens il est arrivé quoi à piquet?"
A hockenheim: "Il est arrivé quoi à Massa?"
A silverstone: "J'ai doublé Kubica de manière normale".
Sans parler de l'affaire d'espionnage ou il était au courant avant de tout balancer pour servir ses intérêts.
J'espère que la FIA va sanctionner ce geste.
Quand je pense qu'on a déclassé Schumacher d'un championnat pour son dépassement sur Villeneuve.
Mais bon qu'elle sera l'influence de Todt lui qui a été un adepte avéré de ce genre de magouille et de consignes.
Tiens au fait, quelqu'un a t-il des nouvelles de Alessitalia???
Il n'ose plus se montrer?
stanito71- En transit
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
stanito71 a écrit:.
Tiens au fait, quelqu'un a t-il des nouvelles de Alessitalia???
Il n'ose plus se montrer?
Il ne peut nous répondre car il est parti vendredi dernier en vacance dans sa famille en Italie, donc pas de mauvais esprit !!!
Maintenant je penses qu'il va avoir de la lecture en rentrant et aura eu le temps de préparer une jolie argumentation.
Je prend un peu sa défense car, c'est un jeune, très jeune passionné, et finalement c'est pas si mal !!
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Denis Chevrier, notre consultant F1, donne son avis sur le circuit de Budapest, qui accueille le GP de Hongrie de Formule 1.
Circuit: Le tracé de l’Hungaroring n’a pas été modifié depuis l’année dernière. Après Hockenheim, c’est de nouveau sur un circuit court que la F1 va évoluer. Avec ses 4,381km le circuit hongrois est le 3e plus court du calendrier.
C’est un circuit dit lent: la faible longueur de ses lignes droites et ses nombreux virages à moyenne vitesse en sont à l’origine. Ceci sans virages très lents. La succession des virages, si elle peut se révéler intéressante dans l’exercice du tour chrono et l’enjeu technique pour optimiser les réglages, est malheureusement réputée pour ne pas offrir de bonnes conditions de dépassements en course.
La moyenne horaire sur un tour, inférieure à 200 km/h le positionne antépénultième dans la hiérarchie du championnat, ne devançant que les 2 circuits urbains de Monaco et Singapour.
La courte ligne droite des stands ne permet d’atteindre qu’une vitesse maxi de l’ordre de 290km/h.
Histoire: La Hongrie a accueilli son premier GP en 1986. Depuis, la succession de GP y a été ininterrompue. Le positionnement calendaire a toujours été vers la mi saison entre fin juillet et mi août. La version actuelle du tracé correspond au 4e remaniement et date de 2003. Elle s’est matérialisée par un rallongement du troisième tronçon sans changer radicalement les caractéristiques génétiques du dessin d’origine. Une modification précédente avait vu la ligne droite principale légèrement rallongée (mais elle ne dépasse toutefois pas 800 mètres).
Anecdote personnelle: Ce GP offre à mes yeux une des meilleures opportunités du calendrier pour les spectateurs étrangers d’associer tourisme et sport. La ville est en effet très intéressante historiquement et, pour le spectacle, certaines places de tribunes procurent une intéressante vue sur une longue partie du circuit. Les infrastructures (stands , paddock) ont fait l’objet d’améliorations considérables au fil des années et répondent sensiblement aux besoins actuels.
Souvenirs personnels: Le dépassement de Piquet sur Senna dans le grand virage à droite à l’extrémité de la ligne droite des stands a trouvé place dans le livre d’or des manœuvres audacieuses et réussies. C’est d’autant plus remarquable que ce circuit n’a pas proposé de nombreuses occasions de ce type depuis…
De nombreux autres souvenirs heureux avec en premier lieu le couronnement de Mansell en 1992 ou la première victoire d’Alonso en 2003 prenant un tour au maître Schumacher ou, moins heureux, la démonstration du même Alonso en 2006 auteur d’un festival sous la pluie avec ses Michelin mais abandonnant sur perte de roue arrière après ….un pit stop au 51e tour avec course logiquement gagnée…
Conditions atmosphériques:
Altitude : environ 100m. Avec un dénivelé de 36m.
Températures : la chaleur est souvent au rendez vous et proche de 30°C….
Hygrométrie : peu d’occurrences de pluie mais pas impossible toutefois.
Aéro: C’est un choix facile vu les caractéristiques du tracé: c’est sans hésitation que les équipes retiennent la version la plus chargée disponible.
Refroidissement: La constitution de ‘’petits trains’’ dus à la grande difficulté de dépasser peut entrainer des contraintes particulières dans ce domaine.
Freins: Le niveau d’usure est important sur ce circuit. Ils sont en effet constamment sollicités et le besoin de partir cette année avec le plein de carburant ne va pas leur faciliter la tâche.
Moteur: Ce tracé ne sollicite pas durement les moteurs. Le pourcentage du temps sur le tour en Pleine Charge (accélérateur à fond) ne dépasse 50% que de peu.
Le temps maxi continu en PC n’y est que de 11 sec.
Les dosages de puissance doivent être très fins et une bonne progressivité des moteurs peut se révéler une aide précieuse dans la recherche des derniers millièmes.
La capacité à propulser efficacement la voiture lors du départ peut être décisive.
Boîte de vitesses: L’absence de virages vraiment lents ne rend pas l’utilisation de la première nécessaire. Par contre la seconde est sollicitée à cinq reprises. Le dernier rapport est engagé trois fois.
Suspensions: Le revêtement est réputé bosselé. La recherche d’équilibre dans les différentes courbes et lors des nombreux freinages pose nombre de questions aux équipes pour recherche le meilleur compromis dans leurs réglages.
Pneus: Les contraintes qu’ils ont à subir sur ce tracé ne sont pas à négligeables. Certains virages sont longs (le 14e et dernier principalement) et la température du sol peut leur compliquer la vie. Pour le sec, les Moyens et les Super Tendres seront proposés par Bridgestone.
Stratégie: Influence de la masse embarquée : env 0,45 sec /10kg (soit la plus importante de la saison compte tenu de la faible longueur du tracé). Le temps d’un arrêt aux stands était d’environ 25 sec avec les ravitaillements en essence. Il passera logiquement à environ 22 sec.
Source : motors tv
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Warwick commissaire à Budapest
Derek Warwick sera commissaire de course au Grand Prix de Hongrie. Il a couru en Formule 1 dans les années 1980 et il a remporté les 24 Heures du Mans en 1992.
Warwick a disputé 146 Grands Prix en F1 entre 1981 et 1993. On l’a notamment, vu chez Toleman, Renault, Arrows et Lotus. Il n’a jamais gagné mais il est monté trois fois sur le podium.
En 1992, il a remporté les 24 Heures du Mans au volant de la Peugeot 905, avec Mark Blundell et Yannick Dalmas.
Warwick est le onzième pilote commissaire cette année après Johnny Herbert (à deux reprises), Alain Prost, Tom Kristensen, Alexander Wurz, Derek Warwick, Damon Hill, Emerson Fittipaldi, Heinz-Harald Frentzen, Nigel Mansell et Danny Sullivan.
Vincent Lalanne-Sicaud
Derek Warwick sera commissaire de course au Grand Prix de Hongrie. Il a couru en Formule 1 dans les années 1980 et il a remporté les 24 Heures du Mans en 1992.
Warwick a disputé 146 Grands Prix en F1 entre 1981 et 1993. On l’a notamment, vu chez Toleman, Renault, Arrows et Lotus. Il n’a jamais gagné mais il est monté trois fois sur le podium.
En 1992, il a remporté les 24 Heures du Mans au volant de la Peugeot 905, avec Mark Blundell et Yannick Dalmas.
Warwick est le onzième pilote commissaire cette année après Johnny Herbert (à deux reprises), Alain Prost, Tom Kristensen, Alexander Wurz, Derek Warwick, Damon Hill, Emerson Fittipaldi, Heinz-Harald Frentzen, Nigel Mansell et Danny Sullivan.
Vincent Lalanne-Sicaud
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
stanito71 a écrit:McLaren a écrit:Après les déclaration du faux-c.. alonso de ce week-end, qui peut encore croire que lors de l'affaire Piquet, il n'étais pas au courant.
Qui peut croire qu'il n'a pas été le porte flingue de la FIA et de Mosley dans l'affaire d'espionnage Industriel McLaren/ferrari ??
Qui peut encore croire à l'authenticité de ce pilote qu n'a jamais rien eu a prouvé, contre un pilote logiquement équipé comme lui ??
La seule vrai confrontation elle à été chez Mclaren avec le résultat que l'on sait.
Qui peut croire que ce pilote est de la race des seigneurs, des guerriers ??
Je vois mal Hamilton demandé à sont team d'imposer que Button se gare pour le laissé passer.
Un vrai pilote, un vrai champion n'a jamais eu besoin de cela.
Il viens, pour moi, de rejoindre Shumacher sur l'hôtel des faux pilotes, des faux champions !! finalement des faux...tout courts.
Imaginez ce qu'aurai fait la FIA à Mclaren dans un cas identique ??
Je pensais que depuis le départ de l'inéfable todt, la scudéria avait retrouver un peu d'ethique. He bien non, 1000 fois non ?
Leur malhonneteté sportive est toujours la bien la et je suis tellement triste, tellement enervé, tellement dégouté, moi qui sert ce sport, que j'aime et que j'adore, depuis tant années !
Rien que les noms (même plus propres) de ferrari d'alonso me donnent envie de gerber !
Alonso n'arrête pas de mentir.
Il mériterait une sanction pour le remettre à sa place.
Plus que la manoeuvre , ce sont les déclarations d'Alonso et ferrari qu'il faut sanctionner.
Ce mec nous prend toujours pour des cons.
A Singapour c'était du genre : "Tiens il est arrivé quoi à piquet?"
A hockenheim: "Il est arrivé quoi à Massa?"
A silverstone: "J'ai doublé Kubica de manière normale".
Sans parler de l'affaire d'espionnage ou il était au courant avant de tout balancer pour servir ses intérêts.
J'espère que la FIA va sanctionner ce geste.
Quand je pense qu'on a déclassé Schumacher d'un championnat pour son dépassement sur Villeneuve.
Mais bon qu'elle sera l'influence de Todt lui qui a été un adepte avéré de ce genre de magouille et de consignes.
Tiens au fait, quelqu'un a t-il des nouvelles de Alessitalia???
Il n'ose plus se montrer?
Il est en vacances, mai je serais curieux de l'entendre.
Son pays natal n'a pas du tout soutenu le geste anti-sportif de la Scudéria et surtout de la danseuse que les Tifosis n'ont jamais accepté!
TROIKA- Messages : 5922
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
McLaren a écrit:stanito71 a écrit:.
Tiens au fait, quelqu'un a t-il des nouvelles de Alessitalia???
Il n'ose plus se montrer?
Il ne peut nous répondre car il est parti vendredi dernier en vacance dans sa famille en Italie, donc pas de mauvais esprit !!!
Maintenant je penses qu'il va avoir de la lecture en rentrant et aura eu le temps de préparer une jolie argumentation.
Je prend un peu sa défense car, c'est un jeune, très jeune passionné, et finalement c'est pas si mal !!
c'est vrai,
et c'est pourquoi je pense, qu'en temp que vrai passionné de sport auto, lui-même n'a pas pu apprécié cette consigne que celle de la scudéria.
Hadzufel- Messages : 9084
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Alonso, profil bas
Fernando Alonso, qui a bénéficié de consignes d'écurie au dernier Grand Prix d'Allemagne au détriment de son coéquipier Felipe Massa, a joué profil bas jeudi à Budapest, avant le Grand Prix de Hongrie, frisant l'obséquiosité.
Niant tout problème à Hockenheim, où Felipe Massa, en tête de course, lui avait donné la victoire en le laissant passer, Alonso s'est présenté comme un simple employé de Ferrari, aux ordres de sa direction, au même titre que son coéquipier brésilien. "Nous savons que nous travaillons pour Ferrari. Les choses sont très claires, depuis très longtemps, avec avoir parlé avec Luca di Montezemolo (le PDG de Fiat), Stefano (Domenicali, le directeur de la Scuderia). Et nous savons que Ferrari est au-dessus de tous les pilotes", a expliqué Alonso.
"Il y a presque 600 personnes à Maranello (l'usine Ferrari), qui se lèvent tôt le matin et rentrent à la maison à 10 heures du soir pour faire des pièces un peu plus légères, un peu plus performantes, pour la voiture, avec un objectif : être champions du monde", a-t-il insisté. "Nous pilotes ne sommes pas différents. Nous connaissons les attentes autour de nos voitures, nos responsabilités aussi", a poursuivi le double champion du monde, qualifiant d'"exceptionnels" ses rapports avec Massa, même après l'incident d'Hockenheim. "Avec Felipe, nous nous sommes parlé. Ce qui est sûr, c'est qu'entre toutes les équipes de tête, les pilotes qui s'entendent le mieux sont de loin Felipe et moi", a-t-il affirmé, bottant en touche quand un journaliste lui a demandé s'il se sacrifierait pour Massa dans d'autres circonstances.
Massa: "Pas un numéro 2"
De son côté, Felipe Massa a affirmé jeudi à Budapest qu'il ne courrait plus en Formule 1 s'il devait dire "Je suis le pilote numéro 2". "Je me battrai pour la victoire ici, quelles que soient les conditions. Ce week-end ? Je vais gagner!", a martelé Massa, expliquant qu'il ne travaillait pas pour Alonso mais "pour l'équipe". "On se rappelle très bien ce qui s'est passé en 2007 et en 2008 (Hamilton et Alonso ont perdu le Championnat pour un point en 2007, tout comme lui en 2008). Je ne vais pas chercher tous les points. Si l'équipe a vraiment une chance de gagner le Championnat, je veux le meilleur pour elle", a-t-il déclaré.
"J'ai parlé à tout le monde dans l'écurie. Je ne suis pas ici seulement pour courir mais pour gagner. C'est mon objectif. Tant que je suis en position de vaincre, je dois aller jusqu'au bout. Mais si les conditions sont différentes... Je souhaite le meilleur pour l'équipe", a assuré le Brésilien. "Je suis professionnel. Tout le monde devrait comprendre mon point de vue", a soufflé Massa, très critiqué au Brésil depuis le dernier Grand Prix. "Parfois, on vit des moments difficiles. Mais on apprend toujours. Il faut être toujours plus fort dans la vie. Là je suis très fort et je veux gagner" le Grand Prix de Hongrie, a affirmé le pilote Ferrari, qui dit "regarder devant, pas derrière".
Eurosport
Fernando Alonso, qui a bénéficié de consignes d'écurie au dernier Grand Prix d'Allemagne au détriment de son coéquipier Felipe Massa, a joué profil bas jeudi à Budapest, avant le Grand Prix de Hongrie, frisant l'obséquiosité.
Niant tout problème à Hockenheim, où Felipe Massa, en tête de course, lui avait donné la victoire en le laissant passer, Alonso s'est présenté comme un simple employé de Ferrari, aux ordres de sa direction, au même titre que son coéquipier brésilien. "Nous savons que nous travaillons pour Ferrari. Les choses sont très claires, depuis très longtemps, avec avoir parlé avec Luca di Montezemolo (le PDG de Fiat), Stefano (Domenicali, le directeur de la Scuderia). Et nous savons que Ferrari est au-dessus de tous les pilotes", a expliqué Alonso.
"Il y a presque 600 personnes à Maranello (l'usine Ferrari), qui se lèvent tôt le matin et rentrent à la maison à 10 heures du soir pour faire des pièces un peu plus légères, un peu plus performantes, pour la voiture, avec un objectif : être champions du monde", a-t-il insisté. "Nous pilotes ne sommes pas différents. Nous connaissons les attentes autour de nos voitures, nos responsabilités aussi", a poursuivi le double champion du monde, qualifiant d'"exceptionnels" ses rapports avec Massa, même après l'incident d'Hockenheim. "Avec Felipe, nous nous sommes parlé. Ce qui est sûr, c'est qu'entre toutes les équipes de tête, les pilotes qui s'entendent le mieux sont de loin Felipe et moi", a-t-il affirmé, bottant en touche quand un journaliste lui a demandé s'il se sacrifierait pour Massa dans d'autres circonstances.
Massa: "Pas un numéro 2"
De son côté, Felipe Massa a affirmé jeudi à Budapest qu'il ne courrait plus en Formule 1 s'il devait dire "Je suis le pilote numéro 2". "Je me battrai pour la victoire ici, quelles que soient les conditions. Ce week-end ? Je vais gagner!", a martelé Massa, expliquant qu'il ne travaillait pas pour Alonso mais "pour l'équipe". "On se rappelle très bien ce qui s'est passé en 2007 et en 2008 (Hamilton et Alonso ont perdu le Championnat pour un point en 2007, tout comme lui en 2008). Je ne vais pas chercher tous les points. Si l'équipe a vraiment une chance de gagner le Championnat, je veux le meilleur pour elle", a-t-il déclaré.
"J'ai parlé à tout le monde dans l'écurie. Je ne suis pas ici seulement pour courir mais pour gagner. C'est mon objectif. Tant que je suis en position de vaincre, je dois aller jusqu'au bout. Mais si les conditions sont différentes... Je souhaite le meilleur pour l'équipe", a assuré le Brésilien. "Je suis professionnel. Tout le monde devrait comprendre mon point de vue", a soufflé Massa, très critiqué au Brésil depuis le dernier Grand Prix. "Parfois, on vit des moments difficiles. Mais on apprend toujours. Il faut être toujours plus fort dans la vie. Là je suis très fort et je veux gagner" le Grand Prix de Hongrie, a affirmé le pilote Ferrari, qui dit "regarder devant, pas derrière".
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dom465- Messages : 12793
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Localisation : Bruxelles
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
En deux mots: le pauvre employé Ferrari Alonso a été contraint et forcé de suivre les ordres de son patron.
Je ne suis qu'un simple vermisseau dans la grande fourmilière Ferrari.
Je ne suis qu'un simple vermisseau dans la grande fourmilière Ferrari.
TROIKA- Messages : 5922
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 65
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Les forces en présence
Tour d'horizon des 12 équipes du plateau avant le GP de Grand Prix de Hongrie, ce week-end à Mogyorod.
McLaren - Hamilton 1er (157 pts), Button 2e (143 pts)
La victoire en Hongrie est la chasse gardée des MP4 depuis 2007. Mais Woking n'a toujours pas mis au point le fond plat soufflé et l'échec de sa première utilisation à Hockenheim en course lui est directement imputable. Tous les domaines sont concernés : aérodynamique, exploitation moteur, échappements, impact thermique... Le tourniquet magyar, fait de nombreux virages lents où la décharge brutale de puissance sera critique pour la stabilité du train arrière, dira vraiment où en est l'équipe… Par ailleurs, le F-duct ne sera pas extrêmement rentable.
Red Bull - Webber 3e (136 pts), Vettel 4e (136 pts)
La FIA a établi à l'arrivée à Hockenheim la légalité des ailerons avant de la RB6 et de la F10, que la concurrence estimait trop flexibles. RBR va rapidement devoir trouver autre chose pour garder son avance.
Ferrari - Alonso 5e (123 pts), Massa 8e (85 pts)
La Scuderia se fiche de la tempête médiatique provoquée par la victoire offerte à Alonso en Allemagne. L'Espagnol est même sur un nuage et Massa nie être un N.2. L'équipe est dans le même cas de figure que RBR concernant son aileron avant : tout le monde va bientôt copier les parois latérales qui descendent 25 mm plus bas.
Mercedes - Rosberg 6e (94 pts), Schumacher 9e (38 pts)
L'équipe a été battue par Renault à Hockenheim et Schumacher l'a appelée à "comprendre davantage" la W01. Le réserviste Heidfeld, qui va quitter l'équipe (pour Renault ?), ne devra pas longtemps rester inactif : il est pressenti pour rouler avec les pneus prototypes Pirelli en vue de 2011.
Renault - Kubica 7e (83 pts), Petrov 15e (6 pts)
L'écurie cherche de la performance pour rattraper Mercedes. Enstone a finalement réactivé son projet F-duct, qu'elle commencera à dégrossir à la reprise, à Spa. Viry-Châtillon ne reste pas inactif et White a souligné le retard concédé par rapport à Mercedes et Ferrari au fil des homologations FIA. La façon d'utiliser un V8 a beaucoup évolué mais "la puissance reste le facteur primordial", a rappelé le motoriste. Un message destiné aussi à rassurer Red Bull qui négocie pour 2011. Le Hungaroring ressemble à Monte-Carlo, où Kubica avait fait un podium. Mais le Polonais a tempéré les ardeurs : "Je ne pense pas qu'il soit possible de rééditer notre résultat de Monaco."
Force India - Sutil 10e (35 pts), Liuzzi 13e (12 pts)
L'équipe, qui a enregistré à Hockenheim son second zéro après Shanghai, ne tire pas de plan sur la comète : elle va inaugurer son fond plat soufflé le vendredi et voir pour la suite. Elle n'attend pas de miracle, avouant sa plus grande aisance matérielle à Spa-Francorchamps et à Monza. Di Resta en Libres 1 à la place de Liuzzi, qui n'a pas roulé en Hongrie depuis 2006.
Williams - Barrichello 11e (29 pts), Hülkenberg 17e (2 pt)
Grove va tester des pièces qu'elle avait apportées à Hockenheim mais qu'elle n'avait pu évaluer en raison de la pluie. Ses deux pilotes sont d'anciens vainqueurs du Hungaroring, Barrichello en F1 et Hülkenberg en GP2.
Sauber - Kobayashi 12e (15 pts), De la Rosa 18e (0 pt)
Après le nouvel aileron avant à Hockenheim, un nouvel aileron arrière. Pas de quoi rendre De la Rosa euphorique : "Ce n'est peut-être pas la meilleure piste pour nous mais nous nous sommes améliorés dans les virages lents."
Toro Rosso - Buemi 15e (7 pts), Alguersuari 16e (3 pts)
Une semaine après le nouvel aileron avant, Faenza pourrait étrenner un diffuseur soufflé. Mais pas d'empressement à l'introduire en course, car l'équilibre de la TR5 va s'en trouver bouleversé.
Lotus - Kovalainen 19e (0 pt), Trulli 22e (0 pt)
Gascoyne annonce que le circuit devrait convenir à la TF127. De l'intox ? La monoplace de Hingham manque trop d'appuis pour ça. Kovalainen sur le terrain de son seul succès en F1.
Virgin - Di Grassi 21e (0 pt), Glock 24e (0 pt)
Ecclectone a mis en doute la capacité d'Hispania et Virgin à terminer la saison, et aucune des deux n'a opposé un démenti offusqué. Wirth vise la fiabilité après le désastre du samedi à Hockenheim, où Di Grassi avait essuyé un problème d'alternateur (L3) puis de boîte (Q1), et Glock un souci de boîte (L3) et de freins arrière (Q1).
Hispania - Senna 23e (0 pt), Yamamoto 25e (0 pt)
Suite du ménage à trois. Comme à Hockenheim, Chandhok laisse sa place à Yamamoto.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
Tour d'horizon des 12 équipes du plateau avant le GP de Grand Prix de Hongrie, ce week-end à Mogyorod.
McLaren - Hamilton 1er (157 pts), Button 2e (143 pts)
La victoire en Hongrie est la chasse gardée des MP4 depuis 2007. Mais Woking n'a toujours pas mis au point le fond plat soufflé et l'échec de sa première utilisation à Hockenheim en course lui est directement imputable. Tous les domaines sont concernés : aérodynamique, exploitation moteur, échappements, impact thermique... Le tourniquet magyar, fait de nombreux virages lents où la décharge brutale de puissance sera critique pour la stabilité du train arrière, dira vraiment où en est l'équipe… Par ailleurs, le F-duct ne sera pas extrêmement rentable.
Red Bull - Webber 3e (136 pts), Vettel 4e (136 pts)
La FIA a établi à l'arrivée à Hockenheim la légalité des ailerons avant de la RB6 et de la F10, que la concurrence estimait trop flexibles. RBR va rapidement devoir trouver autre chose pour garder son avance.
Ferrari - Alonso 5e (123 pts), Massa 8e (85 pts)
La Scuderia se fiche de la tempête médiatique provoquée par la victoire offerte à Alonso en Allemagne. L'Espagnol est même sur un nuage et Massa nie être un N.2. L'équipe est dans le même cas de figure que RBR concernant son aileron avant : tout le monde va bientôt copier les parois latérales qui descendent 25 mm plus bas.
Mercedes - Rosberg 6e (94 pts), Schumacher 9e (38 pts)
L'équipe a été battue par Renault à Hockenheim et Schumacher l'a appelée à "comprendre davantage" la W01. Le réserviste Heidfeld, qui va quitter l'équipe (pour Renault ?), ne devra pas longtemps rester inactif : il est pressenti pour rouler avec les pneus prototypes Pirelli en vue de 2011.
Renault - Kubica 7e (83 pts), Petrov 15e (6 pts)
L'écurie cherche de la performance pour rattraper Mercedes. Enstone a finalement réactivé son projet F-duct, qu'elle commencera à dégrossir à la reprise, à Spa. Viry-Châtillon ne reste pas inactif et White a souligné le retard concédé par rapport à Mercedes et Ferrari au fil des homologations FIA. La façon d'utiliser un V8 a beaucoup évolué mais "la puissance reste le facteur primordial", a rappelé le motoriste. Un message destiné aussi à rassurer Red Bull qui négocie pour 2011. Le Hungaroring ressemble à Monte-Carlo, où Kubica avait fait un podium. Mais le Polonais a tempéré les ardeurs : "Je ne pense pas qu'il soit possible de rééditer notre résultat de Monaco."
Force India - Sutil 10e (35 pts), Liuzzi 13e (12 pts)
L'équipe, qui a enregistré à Hockenheim son second zéro après Shanghai, ne tire pas de plan sur la comète : elle va inaugurer son fond plat soufflé le vendredi et voir pour la suite. Elle n'attend pas de miracle, avouant sa plus grande aisance matérielle à Spa-Francorchamps et à Monza. Di Resta en Libres 1 à la place de Liuzzi, qui n'a pas roulé en Hongrie depuis 2006.
Williams - Barrichello 11e (29 pts), Hülkenberg 17e (2 pt)
Grove va tester des pièces qu'elle avait apportées à Hockenheim mais qu'elle n'avait pu évaluer en raison de la pluie. Ses deux pilotes sont d'anciens vainqueurs du Hungaroring, Barrichello en F1 et Hülkenberg en GP2.
Sauber - Kobayashi 12e (15 pts), De la Rosa 18e (0 pt)
Après le nouvel aileron avant à Hockenheim, un nouvel aileron arrière. Pas de quoi rendre De la Rosa euphorique : "Ce n'est peut-être pas la meilleure piste pour nous mais nous nous sommes améliorés dans les virages lents."
Toro Rosso - Buemi 15e (7 pts), Alguersuari 16e (3 pts)
Une semaine après le nouvel aileron avant, Faenza pourrait étrenner un diffuseur soufflé. Mais pas d'empressement à l'introduire en course, car l'équilibre de la TR5 va s'en trouver bouleversé.
Lotus - Kovalainen 19e (0 pt), Trulli 22e (0 pt)
Gascoyne annonce que le circuit devrait convenir à la TF127. De l'intox ? La monoplace de Hingham manque trop d'appuis pour ça. Kovalainen sur le terrain de son seul succès en F1.
Virgin - Di Grassi 21e (0 pt), Glock 24e (0 pt)
Ecclectone a mis en doute la capacité d'Hispania et Virgin à terminer la saison, et aucune des deux n'a opposé un démenti offusqué. Wirth vise la fiabilité après le désastre du samedi à Hockenheim, où Di Grassi avait essuyé un problème d'alternateur (L3) puis de boîte (Q1), et Glock un souci de boîte (L3) et de freins arrière (Q1).
Hispania - Senna 23e (0 pt), Yamamoto 25e (0 pt)
Suite du ménage à trois. Comme à Hockenheim, Chandhok laisse sa place à Yamamoto.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
dom465- Messages : 12793
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Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Les essais libres ne sont pas retransmis en direct sur les chaine de TV françaises ?
_________________
Re: Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
Uniquement la séance de cet après-midi à 14h. Et les qualifs demain.
Pour cause de championnat d'Europe d'athlétisme.
Pour cause de championnat d'Europe d'athlétisme.
dom465- Messages : 12793
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