3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
cyd61 a écrit:Bon c est bien parce que c est toi mc . Super pôle de lewis doublé des mclaren . Les jeux sont inversé . Mais lewis risque bien de recroiser la route de massa cette année . A chaque fois qu il lui prendra un tour
_________________
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Le g.p était pour l'un des pilotes McLaren,a l'issue de la qualif c'était pour Lewis mais Button a été plus prompt au départ de la course.Le résultat est plutôt positif.
nairboul- Messages : 8951
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
hamilton, et button, a mon avis vu leur prestation, il va falloir compter avec eux!!! ça promet un championnat animé
hamilton semble avoir reconquis sa sppleudeur passée par cette pole position, et button, le pilote indispensable, celui qui pilote avec sa tête, il a remporté ce GP d'une main de maitre et avec méthodologie!
je suis super content pour lui! button j'espère qu'il sera en lutte jusqu'à la der'
hamilton semble avoir reconquis sa sppleudeur passée par cette pole position, et button, le pilote indispensable, celui qui pilote avec sa tête, il a remporté ce GP d'une main de maitre et avec méthodologie!
je suis super content pour lui! button j'espère qu'il sera en lutte jusqu'à la der'
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Il n'y a rien d'étonnant Hadz,McLaren débute enfin une saison avec un matériel qui permet a ses 2 pilotes de figurer devant,de plus quand tu vois le calibre des pilotes le résultat ne peut qu'être positif et ils ont la plus belle des monoplaces.Le championnat ne fait que de débuter mais c'est un plaisir de revoir McLaren gagner le premier de la saison.
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
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Localisation : champagné
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Superbe Button! Le grand sage est de retour!
Dommage qu'Hamiltonse se torde le cou en course pour vérifier si sa Nicole est toujours bien dans le stand, il en perd du temps!
McLaren sera la surprise de cette année: a vérifier dans les longues courbes SPA, SUSUKA etc.
En vitesse de pointe, jeu égal RB et McLaren? A vérifier à Sepang.
Dommage qu'Hamiltonse se torde le cou en course pour vérifier si sa Nicole est toujours bien dans le stand, il en perd du temps!
McLaren sera la surprise de cette année: a vérifier dans les longues courbes SPA, SUSUKA etc.
En vitesse de pointe, jeu égal RB et McLaren? A vérifier à Sepang.
TROIKA- Messages : 5922
Date d'inscription : 17/02/2010
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
nairboul a écrit:Il n'y a rien d'étonnant Hadz,McLaren débute enfin une saison avec un matériel qui permet a ses 2 pilotes de figurer devant,de plus quand tu vois le calibre des pilotes le résultat ne peut qu'être positif et ils ont la plus belle des monoplaces.Le championnat ne fait que de débuter mais c'est un plaisir de revoir McLaren gagner le premier de la saison.
oui, je trouve aussi que c'est la plus belle monoplace sur la grille de départ cette saison
Hadzufel- Messages : 9084
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Ben comme d'hab finalement !
Classe quoi !
Classe quoi !
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Classe comme d'hab oui,mais l'écurie n' a pas été championne depuis ...1998 et le dernier pilote depuis ....2008 .
nairboul- Messages : 8951
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
perso, je pense pas que ce nez cassez qu'ont toutes les autre monoplaces soient gage d'un aérodinamisme meilleur,
c'est certe aussi pour la sécurité des pilotes, mais bon, perso je trouve les F1 de plus en plus laides, déja en 2009 avec l'arrivée des aileron avant type pelle à tarte, et maintenant ce nez cassé.... puah
heureusement que Mc Laren à encore un peu de bougeotte dans sa tête pour pouvoir garder une Formule Un belle, séduisante et surtout très compétitive
...désolé pour les tifosis, mais leur monoplaces à titre personnel, c'est tout le contraire de Mc'
c'est certe aussi pour la sécurité des pilotes, mais bon, perso je trouve les F1 de plus en plus laides, déja en 2009 avec l'arrivée des aileron avant type pelle à tarte, et maintenant ce nez cassé.... puah
heureusement que Mc Laren à encore un peu de bougeotte dans sa tête pour pouvoir garder une Formule Un belle, séduisante et surtout très compétitive
...désolé pour les tifosis, mais leur monoplaces à titre personnel, c'est tout le contraire de Mc'
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
VAINQUEUR DU GRAND PRIX D'AUSTRALIE, JENSON BUTTON SE RÊVE COMME LE FILS SPIRITUEL D’ALAIN PROST. PILOTES DE STYLE ET GENTLEMEN, CES DEUX AS DU VOLANT ONT ÉTÉ RÉUNIS POUR UN FACE-À-FACE INÉDIT. LA PREUVE QUE DANS LE SPORT, LA FILIATION NE SE RÉSUME PAS AUX SEULS LIENS DE SANG. MOTEURS !
Jenson, on dit que votre style de pilotage ressemble à celui d’Alain Prost.
Jenson Button : C’est un grand compliment.
Alain Prost : Pour moi aussi !
J. B. : Il est difficile de comparer nos styles de pilotage car les époques étaient différentes. Les monoplaces d’hier et celles d’aujourd’hui n’ont rien à voir. Au volant, j’essaie d’être smooth. Quand on l’est, on peut tout gérer, tout contrôler. La douceur et la précision sont importantes pour réaliser une performance. Peut-être que devant leur télé, les gens trouvent ma technique de pilotage parfois pas très excitante. Tant pis. Moi, je veux les impressionner par mes chronos !
Parler d’élégance au volant a-t-il un sens pour un pilote de F1 ?
J. B. : Plus que de l’élégance, j’aime dire que je pilote au ressenti, en sentant vibrer la F1. Pour être performant, j’ai besoin de ne faire qu’un avec la voiture : sentir les petites imprécisions de la piste ou écouter la musique du moteur. Je peux ainsi m’adapter à n’importe quelle situation.
Dans un baquet de F1 vous ne pouvez pas forcer votre nature : vous pilotez comme vous êtes.
Alain Prost
Alain, si nous vous avions posé la même question il y a 20 ans, votre réponse aurait-elle été similaire ?
A. P. : Plus ou moins. Le pilotage est une question de philosophie. Dans un baquet de F1, vous ne pouvez pas forcer votre nature : vous pilotez comme vous êtes. Quand j’étais môme, en karting, je m’occupais de tout : de la préparation du moteur, du châssis... Plus tard, j’ai conservé cet état d’esprit. Je n’aimais pas casser. Je voulais toujours marquer le plus de points possible sans jamais maltraiter la voiture. Il n’y a pas de secret, vous êtes au volant comme vous êtes dans la vie.
Jenson, êtes-vous aussi smooth dans la vie que sur un circuit ?
J. B. : Je suis plutôt relax. Sur un circuit, je suis relativement calme mais quand il faut être agressif, je le suis. Quand il faut doubler, vous devez être agressif. C’est comme ça.
Que signifie le fair-play pour vous ?
J. B. : C’est à la fois une valeur et une philosophie de vie. Une valeur consubstantielle au sport.
A. P. : Je pense la même chose. Quand j’étais pilote, j’essayais toujours de me comporter comme un gentleman-driver. Je souffrais de ne pas être considéré comme tel, surtout à l’époque de ma rivalité avec Ayrton Senna. Mais nul besoin de le nier: en F1, les pilotes agressifs sur la piste le sont aussi dans la vie.
Enfant, je préférais le style d’Alain à celui d’Ayrton Senna. Quand j’ai débuté en karting en 1988, je m’inspirais déjà de sa technique de pilotage, tout en douceur.
Jenson Button
Jenson, auriez-vous aimé courir contre Alain ? Si oui, qui aurait gagné ?
J. B. : Personne ne peut répondre à la seconde question. Concernant la première, la réponse est oui. En revanche, si je devais me glisser dans la même monoplace que celle que tu utilisais, Alain, je n’aurais aucune chance. Je suis trop grand ! Il y a quelques années, au festival de Goodwood, j’ai eu la chance d’essayer la F1 d’Alain, celle de 1986, et j’ai vraiment eu du mal à rentrer dedans. Aujourd’hui, on est quasiment allongé dans les monoplaces. Ce n’était pas le cas à l’époque.
A. P. : À mon époque, le mot ergonomie n’existait pas. Les ingénieurs qui concevaient les F1 n’avaient qu’une obsession : l’efficacité de la voiture, son aérodynamisme, sa puissance, pas le bien-être du pilote. Je ne suis pas grand, mais je n’avais absolument pas de place pour bouger les pieds. C’était un véritable enfer. Nous avions trois pédales et un levier de vitesses, j’étais obligé de me couper le bout des chaussures pour éviter les frottements ! Regardez, j’en ai même gardé des stigmates (il nous montre une petite bosse sur son épaule qui cognait sur les bords de la monoplace à chaque changement de vitesse – ndlr).
J. B. : Tout a changé il y a une dizaine d’années, quand les ingénieurs et les directeurs sportifs ont enfin compris que le confort des pilotes était aussi un élément important pour la recherche de la performance. Si vous ne faites pas corps avec la voiture, vous ne pouvez pas la pousser à la limite.
Alain, vous avez gagné votre premier Grand Prix en 1981...
J. B. : Waouh, j’avais à peine un an à l’époque...
A. P. : C’était il y a quelques années, en effet !
J. B. : Remarquez, j’ai huit ans de plus que Sebastian Vettel, c’est énorme.
Dans les années 80 et 90, il fallait choisir. On était soit pour Alain Prost, soit pour Ayrton Senna. De quel côté, étiez-vous Jenson ?
J. B. : Leurs duels sont en effet légendaires. J’ai commencé réellement à m’intéresser à la F1 à la fin des années 80 quand mon père m’emmenait sur des circuits de karting. Et même un enfant de 10 ans pouvait se rendre compte que ces deux pilotes étaient à la fois différents dans leur style et proches dans leur mentalité de champions. Mais je préférais le style d’Alain. Quand j’ai débuté en karting en 1988, je m’inspirais déjà de sa technique de pilotage, tout en douceur.
En 1999, Alain Prost vous a offert une session d’essai à Barcelone. Jenson, vous souvenez-vous de ce qui est arrivé là-bas ?
J. B. : Bien sûr ! J’étais à Mexico. J’avais reçu un appel de mon manager qui m’expliquait que je devais aller à Barcelone pour réaliser un essai dans une Prost Grand Prix. Au début, je pensais qu’il s’agissait d’une blague. Et puis, non, c’était la vérité. Jean Alesi et Nick Heidfeld étaient aussi de la partie. Ce fut l’une des expériences les plus folles de ma carrière. J’avais à peine 18 ans et, à l’époque, avant d’être transformé, le circuit de Barcelone était incroyablement rapide. Je voulais impressionner Alain, mais je ne voulais pas non plus me crasher...
A. P. : Ce que Jenson ne sait probablement pas, c’est que bien avant que je ne monte mon écurie en 1997, j’avais déjà de bonnes relations avec Serge Saulnier (fondateur de l’écurie française Promatecme au sein de laquelle Jenson Button a été élu meilleur espoir en 1999 – ndlr) avec qui j’avais couru à la fin des années 70 en Formule 3. Nous refaisions le monde ensemble toutes les semaines, comparant les qualités des pilotes. Le nom de Jenson Button était systématiquement au centre de nos discussions. Je suivais depuis longtemps sa carrière. J’aurais vraiment aimé l’engager mais nous avions déjà fait signer Jean Alesi et Nick Heidfeld.
Jenson, on dit que votre style de pilotage ressemble à celui d’Alain Prost.
Jenson Button : C’est un grand compliment.
Alain Prost : Pour moi aussi !
J. B. : Il est difficile de comparer nos styles de pilotage car les époques étaient différentes. Les monoplaces d’hier et celles d’aujourd’hui n’ont rien à voir. Au volant, j’essaie d’être smooth. Quand on l’est, on peut tout gérer, tout contrôler. La douceur et la précision sont importantes pour réaliser une performance. Peut-être que devant leur télé, les gens trouvent ma technique de pilotage parfois pas très excitante. Tant pis. Moi, je veux les impressionner par mes chronos !
Parler d’élégance au volant a-t-il un sens pour un pilote de F1 ?
J. B. : Plus que de l’élégance, j’aime dire que je pilote au ressenti, en sentant vibrer la F1. Pour être performant, j’ai besoin de ne faire qu’un avec la voiture : sentir les petites imprécisions de la piste ou écouter la musique du moteur. Je peux ainsi m’adapter à n’importe quelle situation.
Dans un baquet de F1 vous ne pouvez pas forcer votre nature : vous pilotez comme vous êtes.
Alain Prost
Alain, si nous vous avions posé la même question il y a 20 ans, votre réponse aurait-elle été similaire ?
A. P. : Plus ou moins. Le pilotage est une question de philosophie. Dans un baquet de F1, vous ne pouvez pas forcer votre nature : vous pilotez comme vous êtes. Quand j’étais môme, en karting, je m’occupais de tout : de la préparation du moteur, du châssis... Plus tard, j’ai conservé cet état d’esprit. Je n’aimais pas casser. Je voulais toujours marquer le plus de points possible sans jamais maltraiter la voiture. Il n’y a pas de secret, vous êtes au volant comme vous êtes dans la vie.
Jenson, êtes-vous aussi smooth dans la vie que sur un circuit ?
J. B. : Je suis plutôt relax. Sur un circuit, je suis relativement calme mais quand il faut être agressif, je le suis. Quand il faut doubler, vous devez être agressif. C’est comme ça.
Que signifie le fair-play pour vous ?
J. B. : C’est à la fois une valeur et une philosophie de vie. Une valeur consubstantielle au sport.
A. P. : Je pense la même chose. Quand j’étais pilote, j’essayais toujours de me comporter comme un gentleman-driver. Je souffrais de ne pas être considéré comme tel, surtout à l’époque de ma rivalité avec Ayrton Senna. Mais nul besoin de le nier: en F1, les pilotes agressifs sur la piste le sont aussi dans la vie.
Enfant, je préférais le style d’Alain à celui d’Ayrton Senna. Quand j’ai débuté en karting en 1988, je m’inspirais déjà de sa technique de pilotage, tout en douceur.
Jenson Button
Jenson, auriez-vous aimé courir contre Alain ? Si oui, qui aurait gagné ?
J. B. : Personne ne peut répondre à la seconde question. Concernant la première, la réponse est oui. En revanche, si je devais me glisser dans la même monoplace que celle que tu utilisais, Alain, je n’aurais aucune chance. Je suis trop grand ! Il y a quelques années, au festival de Goodwood, j’ai eu la chance d’essayer la F1 d’Alain, celle de 1986, et j’ai vraiment eu du mal à rentrer dedans. Aujourd’hui, on est quasiment allongé dans les monoplaces. Ce n’était pas le cas à l’époque.
A. P. : À mon époque, le mot ergonomie n’existait pas. Les ingénieurs qui concevaient les F1 n’avaient qu’une obsession : l’efficacité de la voiture, son aérodynamisme, sa puissance, pas le bien-être du pilote. Je ne suis pas grand, mais je n’avais absolument pas de place pour bouger les pieds. C’était un véritable enfer. Nous avions trois pédales et un levier de vitesses, j’étais obligé de me couper le bout des chaussures pour éviter les frottements ! Regardez, j’en ai même gardé des stigmates (il nous montre une petite bosse sur son épaule qui cognait sur les bords de la monoplace à chaque changement de vitesse – ndlr).
J. B. : Tout a changé il y a une dizaine d’années, quand les ingénieurs et les directeurs sportifs ont enfin compris que le confort des pilotes était aussi un élément important pour la recherche de la performance. Si vous ne faites pas corps avec la voiture, vous ne pouvez pas la pousser à la limite.
Alain, vous avez gagné votre premier Grand Prix en 1981...
J. B. : Waouh, j’avais à peine un an à l’époque...
A. P. : C’était il y a quelques années, en effet !
J. B. : Remarquez, j’ai huit ans de plus que Sebastian Vettel, c’est énorme.
Dans les années 80 et 90, il fallait choisir. On était soit pour Alain Prost, soit pour Ayrton Senna. De quel côté, étiez-vous Jenson ?
J. B. : Leurs duels sont en effet légendaires. J’ai commencé réellement à m’intéresser à la F1 à la fin des années 80 quand mon père m’emmenait sur des circuits de karting. Et même un enfant de 10 ans pouvait se rendre compte que ces deux pilotes étaient à la fois différents dans leur style et proches dans leur mentalité de champions. Mais je préférais le style d’Alain. Quand j’ai débuté en karting en 1988, je m’inspirais déjà de sa technique de pilotage, tout en douceur.
En 1999, Alain Prost vous a offert une session d’essai à Barcelone. Jenson, vous souvenez-vous de ce qui est arrivé là-bas ?
J. B. : Bien sûr ! J’étais à Mexico. J’avais reçu un appel de mon manager qui m’expliquait que je devais aller à Barcelone pour réaliser un essai dans une Prost Grand Prix. Au début, je pensais qu’il s’agissait d’une blague. Et puis, non, c’était la vérité. Jean Alesi et Nick Heidfeld étaient aussi de la partie. Ce fut l’une des expériences les plus folles de ma carrière. J’avais à peine 18 ans et, à l’époque, avant d’être transformé, le circuit de Barcelone était incroyablement rapide. Je voulais impressionner Alain, mais je ne voulais pas non plus me crasher...
A. P. : Ce que Jenson ne sait probablement pas, c’est que bien avant que je ne monte mon écurie en 1997, j’avais déjà de bonnes relations avec Serge Saulnier (fondateur de l’écurie française Promatecme au sein de laquelle Jenson Button a été élu meilleur espoir en 1999 – ndlr) avec qui j’avais couru à la fin des années 70 en Formule 3. Nous refaisions le monde ensemble toutes les semaines, comparant les qualités des pilotes. Le nom de Jenson Button était systématiquement au centre de nos discussions. Je suivais depuis longtemps sa carrière. J’aurais vraiment aimé l’engager mais nous avions déjà fait signer Jean Alesi et Nick Heidfeld.
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
nairboul a écrit:VAINQUEUR DU GRAND PRIX D'AUSTRALIE, JENSON BUTTON SE RÊVE COMME LE FILS SPIRITUEL D’ALAIN PROST. PILOTES DE STYLE ET GENTLEMEN
Prost gentleman ???
J'vois pas bien là !
Acte de gentleman quand il s'est fait péter le nez ???
Pour Button effectivement de la trempe des David Coulthard et Damon Hill fils de bonne famille quoi !
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Button est un grand pilote je pense apres l'avoir longtemps critiquer en fait pour moi c'est vraiment un grand pilote avec du talent moins rapide qu'un Hamilton mais en gestion de course meilleur.
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
Age : 32
Localisation : Les Pavillons sous bois 93
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
C'est pour cela que ça me gêne les comparaisons foireuse des journalistes entre pilotes.LH serait le digne successeur de Senna,SV le digne successeur de Schumacher,Button le digne successeur de Prost,par contre de qui tient Alonso et Raikkonen?C'est étrange que les 2 derniers cités ne soit pas comparés a des anciennes gloires de la F1 pourtant ils sont aussi fort que LH,SV et Button.
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Pour moi ces deux la sont meme plus fort que le reste mais apres ce n'est que mon avis.
alessitalia- Messages : 2699
Date d'inscription : 18/03/2010
Age : 32
Localisation : Les Pavillons sous bois 93
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
alessitalia a écrit:Pour moi ces deux la sont meme plus fort que le reste mais apres ce n'est que mon avis.
C'est cela oui !! c'est cela !
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
J'avoue avoir sous-estimé Button. J'étais persuadé qu'il ne devait son titre qu'à l'arnaque Brawn-double diffuseur.
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Moi, Raikkonen, je le rapprocherais plutôt de Mansell.
Quand à Alonso, il est pour moi, plus proche de Senna qu'Hamilton.
Hamilton, je le mettrais quelque part entre Senna et Mansell, justement !
Quand à Alonso, il est pour moi, plus proche de Senna qu'Hamilton.
Hamilton, je le mettrais quelque part entre Senna et Mansell, justement !
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
nairboul a écrit:C'est pour cela que ça me gêne les comparaisons foireuse des journalistes entre pilotes.LH serait le digne successeur de Senna,SV le digne successeur de Schumacher,Button le digne successeur de Prost,par contre de qui tient Alonso et Raikkonen?C'est étrange que les 2 derniers cités ne soit pas comparés a des anciennes gloires de la F1 pourtant ils sont aussi fort que LH,SV et Button.
vrai
Hadzufel- Messages : 9084
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Localisation : Chateau-Thebaud
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
On a souvent mis Raikkonen dans la case James Hunt.
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Je crois que Räikkönen est dans la case Räikkönen.Thomas Milton a écrit:On a souvent mis Raikkonen dans la case James Hunt.
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Monsieur Burns a écrit:Je crois que Räikkönen est dans la case Räikkönen.Thomas Milton a écrit:On a souvent mis Raikkonen dans la case James Hunt.
ah mais oui!! tout à fais!
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
tant qu'il est pas dans la case de l'oncle tomHadzufel a écrit:Monsieur Burns a écrit:Je crois que Räikkönen est dans la case Räikkönen.Thomas Milton a écrit:On a souvent mis Raikkonen dans la case James Hunt.
ah mais oui!! tout à fais!
cooltitanic- Modérateur d'Honneur
- Messages : 6952
Date d'inscription : 16/02/2010
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
cooltitanic a écrit:tant qu'il est pas dans la case de l'oncle tomHadzufel a écrit:Monsieur Burns a écrit:Je crois que Räikkönen est dans la case Räikkönen.Thomas Milton a écrit:On a souvent mis Raikkonen dans la case James Hunt.
ah mais oui!! tout à fais!
l'oncle tom?
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
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Localisation : Chateau-Thebaud
Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Eh! Hadz! Sors tes poubelles, le dimanche !
vtec- Messages : 5423
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Re: 3 et 4 - Vodafone McLaren Mercedes - J. Button et L. Hamilton.
Hadzufel a écrit:
l'oncle tom?
La Case de l'oncle Tom (Uncle Tom's Cabin) est un roman de l'écrivain américaine Harriet Beecher Stowe. Publié d'abord sous forme de feuilleton en 1852, il valut le succès immédiat à son auteur. Le roman eut un profond impact sur l'état d'esprit général vis-à-vis des Afro-Américains et de l'esclavage aux États-Unis ; il fut l'une des raisons de l'intensification des conflits qui menèrent à la Guerre de Sécession
http://www.amazon.fr/Case-loncle-Harriet-Beecher-Stowe/dp/2253037915
cooltitanic- Modérateur d'Honneur
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