Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
+16
Critérium
coyote
stanito71
BRUNO935K3
vtec
alessitalia
McLaren
bebep29200
Thomas Milton
Monsieur Burns
Fabienne
Hadzufel
TROIKA
philbaetz
nairboul
dom465
20 participants
Page 1 sur 7
Page 1 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Circuit international de Sepang
Kuala Lumpur, Malaisie
--------------------------------------------------------------------------------
Circuit : Race
Développement 5.543kms
Nombre de virages 15
Circulation horaire
Capacité 133,000
Achevé en 1999
Designer Hermann Tilke
Course Date Gagnant
Première course Grand Prix de Malaisie 17 octobre 1999 Eddie Irvine (GBR) résultats complets
Dernière course Grand Prix de Malaisie 4 avril 2010 Sebastian Vettel (GER) résultats complets
Total des courses 12
Prochaine course Grand Prix de Malaisie 10 avril 2011
Haut
Circuit InfoLieu/Pays: Selangor, Malaisie
1ère course de F1 : 1999
Circuit en activité (F1) : oui
Longueur : 5.543km
Nombre de tours en GP : 56
Virages : 15
Course : dans le sens des aiguilles d'une montre
Capacité d'accueil : 130,000 spectateurs
Record du tour en F1 :1:34.223 (Juan Pablo Montoya; Williams BMW; 2004)
Dans les années 90, le Dr Mahathir Mohamad, premier ministre Malaisien, déclarait que d'ici 2020, la Malaisie devrait être une nation totalement industrialisée. Une partie de ce projet impliquait la construction d'un circuit dédié aux sports mécaniques, ce qui fut fait avec le circuit international de Sepang.
Dessiné par "l'architecte de la F1", Hermann Tilde, Sepang est considéré comme l'un des circuits les plus techniques de la saison et il est définitivement l'un des préférés des pilotes. Le tracé, combinant de longues et rapides ligne droites avec des virages serrés, a en effet été conçu dans le but de favoriser les dépassements.
Situé à 60km de la capitale de la Malaisie, Kuala Lumpur, et proche de l'aéroport international, le circuit accueille également le Moto GP de Malaisie et une course de l'A1 Grand Prix.
Peu de temps avant le Grand Prix 2007, Bernie Ecclestone déclara que le circuit était devenu "miteux" et le compara à "une vieille maison qui a besoin d'être redécorée". Il clarifia ses propos en précisant qu'ils faisaient référence aux détritus qui jonchaient les environs et non pas au circuit lui-même. Le circuit est sous contrat avec la FIA jusqu'en 2011, et bien que les organisateurs aient émis le souhait de programmer la course de nuit, le projet a été pour le moment abandonné.
Kuala Lumpur, Malaisie
--------------------------------------------------------------------------------
Circuit : Race
Développement 5.543kms
Nombre de virages 15
Circulation horaire
Capacité 133,000
Achevé en 1999
Designer Hermann Tilke
Course Date Gagnant
Première course Grand Prix de Malaisie 17 octobre 1999 Eddie Irvine (GBR) résultats complets
Dernière course Grand Prix de Malaisie 4 avril 2010 Sebastian Vettel (GER) résultats complets
Total des courses 12
Prochaine course Grand Prix de Malaisie 10 avril 2011
Haut
Circuit InfoLieu/Pays: Selangor, Malaisie
1ère course de F1 : 1999
Circuit en activité (F1) : oui
Longueur : 5.543km
Nombre de tours en GP : 56
Virages : 15
Course : dans le sens des aiguilles d'une montre
Capacité d'accueil : 130,000 spectateurs
Record du tour en F1 :1:34.223 (Juan Pablo Montoya; Williams BMW; 2004)
Dans les années 90, le Dr Mahathir Mohamad, premier ministre Malaisien, déclarait que d'ici 2020, la Malaisie devrait être une nation totalement industrialisée. Une partie de ce projet impliquait la construction d'un circuit dédié aux sports mécaniques, ce qui fut fait avec le circuit international de Sepang.
Dessiné par "l'architecte de la F1", Hermann Tilde, Sepang est considéré comme l'un des circuits les plus techniques de la saison et il est définitivement l'un des préférés des pilotes. Le tracé, combinant de longues et rapides ligne droites avec des virages serrés, a en effet été conçu dans le but de favoriser les dépassements.
Situé à 60km de la capitale de la Malaisie, Kuala Lumpur, et proche de l'aéroport international, le circuit accueille également le Moto GP de Malaisie et une course de l'A1 Grand Prix.
Peu de temps avant le Grand Prix 2007, Bernie Ecclestone déclara que le circuit était devenu "miteux" et le compara à "une vieille maison qui a besoin d'être redécorée". Il clarifia ses propos en précisant qu'ils faisaient référence aux détritus qui jonchaient les environs et non pas au circuit lui-même. Le circuit est sous contrat avec la FIA jusqu'en 2011, et bien que les organisateurs aient émis le souhait de programmer la course de nuit, le projet a été pour le moment abandonné.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
8 avril: Essais libres 1
10:00 locales | 02:00 GMT | 04:00 CEST
8 avril: Essais libres 2
14:00 locales | 06:00 GMT | 08:00 CEST
9 avril: Essais libres 3
13:00 locales | 05:00 GMT | 07:00 CEST
9 avril: Qualification
16:00 locales | 08:00 GMT | 10:00 CEST
10 avril: Course
16:00 locales | 08:00 GMT | 10:00 CEST
10:00 locales | 02:00 GMT | 04:00 CEST
8 avril: Essais libres 2
14:00 locales | 06:00 GMT | 08:00 CEST
9 avril: Essais libres 3
13:00 locales | 05:00 GMT | 07:00 CEST
9 avril: Qualification
16:00 locales | 08:00 GMT | 10:00 CEST
10 avril: Course
16:00 locales | 08:00 GMT | 10:00 CEST
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Lotus veut briller à domicile
Les pilotes Lotus abordent avec délice leur course "à la maison" dimanche à Sepang. Quant au directeur technique Mike Gascoyne, il estime que la Malaisie conviendra mieux à la T128 que Melbourne.
Pour son premier Grand Prix malais en 2010, l'équipe de Tony Fernandes, homme d'affaires natif du pays, avait terminé l'an dernier aux 17e et 18e places avec Jarno Trulli et Heikki Kovalainen respectivement. Toute l'équipe espère mieux. Les temps au tour démontrés cet hiver et sur la première course, en Australie, sont encourageants.
Kovalainen : "L'une des courses
les plus dures"
"Nous avons quitté l'Australie avec des sentiments mitigés", déclare Gascoyne. "Le rythme de Heikki (abandon sur une fuite d'eau) dans les premiers tours a représenté pour nous un grand pas en avant. Et le rythme de Jarno en course (13e) nous a rapprochés de ce que l'on avait montré lors des essais de pré-saison. Mais on a eu des difficultés, tout le week-end, avec les pneus et d'autres petites choses que l'on a pu régler."
"Les conditions à Sepang devraient nous convenir davantage. Les températures élevées devraient se rapprocher de ce que l'on a vu à Barcelone. Je pense que l'on pourra tirer davantage de performance de la voiture. Toute l'équipe a hâte et elle attend un gros soutien de la part du public que l'on va essayer de rendre fier."
"Cela fait une semaine que je suis là et on sent bien le soutien qui nous est accordé"
Jarno Trulli
"La Malaisie est une combinaison de tous types de virages", rappelle Kovalainen, dans un communiqué de Lotus. "Avoir une bonne stabilité au freinage est l'une des clés pour les temps au tour à Sepang. Physiquement, c'est l'une des courses les plus dures de la saison, avec Singapour peut-être. Pour le préparer, je suis arrivé en Malaisie juste après Melbourne et j'ai commencé à préparer mon hydratation et à travailler avec mon nutritionniste. Si on se prépare bien, ça ne pose pas de problème. J'aime la chaleur, ce n'est pas un problème pour moi."
"J'ai hâte d'être à cette course", ajoute Trulli. "On est à domicile et on veut donner le meilleur pour rendre les fans fiers. Cela fait une semaine que je suis là et on sent bien le soutien qui nous est accordé. Il s'est accru depuis l'an dernier. C'est déjà une bonne nouvelle, quoiqu'il arrive durant ce week-end."
© ESPN EMEA Ltd.
Les pilotes Lotus abordent avec délice leur course "à la maison" dimanche à Sepang. Quant au directeur technique Mike Gascoyne, il estime que la Malaisie conviendra mieux à la T128 que Melbourne.
Pour son premier Grand Prix malais en 2010, l'équipe de Tony Fernandes, homme d'affaires natif du pays, avait terminé l'an dernier aux 17e et 18e places avec Jarno Trulli et Heikki Kovalainen respectivement. Toute l'équipe espère mieux. Les temps au tour démontrés cet hiver et sur la première course, en Australie, sont encourageants.
Kovalainen : "L'une des courses
les plus dures"
"Nous avons quitté l'Australie avec des sentiments mitigés", déclare Gascoyne. "Le rythme de Heikki (abandon sur une fuite d'eau) dans les premiers tours a représenté pour nous un grand pas en avant. Et le rythme de Jarno en course (13e) nous a rapprochés de ce que l'on avait montré lors des essais de pré-saison. Mais on a eu des difficultés, tout le week-end, avec les pneus et d'autres petites choses que l'on a pu régler."
"Les conditions à Sepang devraient nous convenir davantage. Les températures élevées devraient se rapprocher de ce que l'on a vu à Barcelone. Je pense que l'on pourra tirer davantage de performance de la voiture. Toute l'équipe a hâte et elle attend un gros soutien de la part du public que l'on va essayer de rendre fier."
"Cela fait une semaine que je suis là et on sent bien le soutien qui nous est accordé"
Jarno Trulli
"La Malaisie est une combinaison de tous types de virages", rappelle Kovalainen, dans un communiqué de Lotus. "Avoir une bonne stabilité au freinage est l'une des clés pour les temps au tour à Sepang. Physiquement, c'est l'une des courses les plus dures de la saison, avec Singapour peut-être. Pour le préparer, je suis arrivé en Malaisie juste après Melbourne et j'ai commencé à préparer mon hydratation et à travailler avec mon nutritionniste. Si on se prépare bien, ça ne pose pas de problème. J'aime la chaleur, ce n'est pas un problème pour moi."
"J'ai hâte d'être à cette course", ajoute Trulli. "On est à domicile et on veut donner le meilleur pour rendre les fans fiers. Cela fait une semaine que je suis là et on sent bien le soutien qui nous est accordé. Il s'est accru depuis l'an dernier. C'est déjà une bonne nouvelle, quoiqu'il arrive durant ce week-end."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Un aileron enfin efficace ?
Le directeur technique de l'équipe Williams Sam Michael s'attend à ce que l'aileron arrière ajustable apporte enfin son lot de dépassements, ce week-end, à l'occasion du Grand Prix de Malaisie.
Cette nouveauté réglementaire que les anglophones nomment DRS (Drag reduction system, Système de réduction de la traînée) n'a pas été concluante à Melbourne, pour la première course de la saison. La faible longueur de la ligne droite principale en Australie n'a toutefois pas permis de conclure sur la réelle efficacité du système.
En revanche, le circuit de Sepang, qui sera utilisé ce week-end, pour la deuxième manche de la saison, en Malaisie, pourrait donner plus d'importance à l'aileron ajustable, qui sera de toutes façons revu après le Grand Prix de Chine, le 17 avril.
"Mettre les deux voitures dans les points"
"À Sepang, il y a deux grandes lignes droites rapides et de nombreux virages lents", rappelle Michael. "On s'attend à ce que l'aileron ajustable ait un poids plus important et qu'il influe davantage sur le nombre de dépassements."
Michael a également annoncé que Williams amènera à Sepang des nouveautés après que les deux FW33 ont abandonné en Australie. "Il y a des évolutions en ce qui concerne l'aérodynamique sur l'aileron avant. Le SREC a été modifié et des solutions ont été trouvées pour les problèmes de transmission que nous avons connus à Melbourne. Il sera intéressant de voir comment la FW33 se comporte. Le but sera de mettre les deux voitures dans les points."
© ESPN EMEA Ltd.
Le directeur technique de l'équipe Williams Sam Michael s'attend à ce que l'aileron arrière ajustable apporte enfin son lot de dépassements, ce week-end, à l'occasion du Grand Prix de Malaisie.
Cette nouveauté réglementaire que les anglophones nomment DRS (Drag reduction system, Système de réduction de la traînée) n'a pas été concluante à Melbourne, pour la première course de la saison. La faible longueur de la ligne droite principale en Australie n'a toutefois pas permis de conclure sur la réelle efficacité du système.
En revanche, le circuit de Sepang, qui sera utilisé ce week-end, pour la deuxième manche de la saison, en Malaisie, pourrait donner plus d'importance à l'aileron ajustable, qui sera de toutes façons revu après le Grand Prix de Chine, le 17 avril.
"Mettre les deux voitures dans les points"
"À Sepang, il y a deux grandes lignes droites rapides et de nombreux virages lents", rappelle Michael. "On s'attend à ce que l'aileron ajustable ait un poids plus important et qu'il influe davantage sur le nombre de dépassements."
Michael a également annoncé que Williams amènera à Sepang des nouveautés après que les deux FW33 ont abandonné en Australie. "Il y a des évolutions en ce qui concerne l'aérodynamique sur l'aileron avant. Le SREC a été modifié et des solutions ont été trouvées pour les problèmes de transmission que nous avons connus à Melbourne. Il sera intéressant de voir comment la FW33 se comporte. Le but sera de mettre les deux voitures dans les points."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Sepang, dur pour les pneus
Le patron de Pirelli Motorsport Paul Hembrey confirme qu'il y aura trois à quatre arrêts par pilote lors du Grand Prix de Malaisie, dimanche, et s'explique sur les deux trains supplémentaires alloués vendredi.
"La Malaisie fournira des conditions très différentes de l'Australie", a déclaré le dirigeant britannique. "Les températures seront plus élevées et la dégradation des pneus plus rapide." Hembery avait annoncé trois à quatre arrêts pour la course de dimanche, il les maintient dans le communiqué de Pirelli qui présente le Grand Prix pour la marque italienne.
L'autre point important concernera la pluie. "Il n'est pas question de savoir s'il va pleuvoir à Sepang mais de savoir quand la pluie va tomber", explique Hembery. "La performance de nos pneus pluie pourrait être cruciale et nous avons hâte de les voir en piste."
Button : "Les pneus vont souffrir"
Vendredi, les équipes participeront aussi, comme convenu, à une expérience grandeur nature en utilisant deux gommes dures qui pourraient être utilisées sur des pistes comme la Turquie.
"Les équipes auront deux trains supplémentaires de slicks lors des essais libres du vendredi afin de les évaluer", a déclaré Hembery. "Les essais privés n'étant pas permis, cela nous permet de recueillir des données et des retours et cela donne aux équipes un avant-goût de ce qui les attend."
"Les pneus seront les mêmes en Malaisie qu'en Australie (gommes de types dure et tendre)", a déclaré Jenson Button, le pilote McLaren. "Mais Sepang sera plus chaud au niveau des températures sur la piste. On pourrait avoir 45°C et une piste très abrasive en comparaison avec l'Albert Park. Sepang exige aussi des pneus stables à haute vitesse. Tout cela va faire qu'il y aura plus d'arrêts au stand. Les pneus vont souffrir, à l'arrière comme à l'avant."
© ESPN EMEA Ltd.
Le patron de Pirelli Motorsport Paul Hembrey confirme qu'il y aura trois à quatre arrêts par pilote lors du Grand Prix de Malaisie, dimanche, et s'explique sur les deux trains supplémentaires alloués vendredi.
"La Malaisie fournira des conditions très différentes de l'Australie", a déclaré le dirigeant britannique. "Les températures seront plus élevées et la dégradation des pneus plus rapide." Hembery avait annoncé trois à quatre arrêts pour la course de dimanche, il les maintient dans le communiqué de Pirelli qui présente le Grand Prix pour la marque italienne.
L'autre point important concernera la pluie. "Il n'est pas question de savoir s'il va pleuvoir à Sepang mais de savoir quand la pluie va tomber", explique Hembery. "La performance de nos pneus pluie pourrait être cruciale et nous avons hâte de les voir en piste."
Button : "Les pneus vont souffrir"
Vendredi, les équipes participeront aussi, comme convenu, à une expérience grandeur nature en utilisant deux gommes dures qui pourraient être utilisées sur des pistes comme la Turquie.
"Les équipes auront deux trains supplémentaires de slicks lors des essais libres du vendredi afin de les évaluer", a déclaré Hembery. "Les essais privés n'étant pas permis, cela nous permet de recueillir des données et des retours et cela donne aux équipes un avant-goût de ce qui les attend."
"Les pneus seront les mêmes en Malaisie qu'en Australie (gommes de types dure et tendre)", a déclaré Jenson Button, le pilote McLaren. "Mais Sepang sera plus chaud au niveau des températures sur la piste. On pourrait avoir 45°C et une piste très abrasive en comparaison avec l'Albert Park. Sepang exige aussi des pneus stables à haute vitesse. Tout cela va faire qu'il y aura plus d'arrêts au stand. Les pneus vont souffrir, à l'arrière comme à l'avant."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
''Une seule vraie équipe malaise"
Le propriétaire de Team Lotus, Tony Fernandes, jette quelques pavés dans le détroit de Malacca en affirmant, à une semaine de la deuxième course de la saison, à Sepang, qu'il possède la seule vraie équipe de F1 de Malaisie.
"Il y aura trois équipes qui ont des liens avec la Malaisie (au départ lors du Grand Prix de Malaisie) mais une seule aura vraiment le sang malais qui coule dans ses veines", a déclaré le natif de Kuala Lumpur, 46 ans, qui a fait sa fortune au début des années 2000 avec la compagnie aérienne AirAsia, basée en Malaisie.
Les deux autres équipes sont Mercedes, dont l'un des sponsors principaux, que convoitait Fernandes, est le pétrolier local Petronas, et le rival honni, Renault, sponsorisé par Lotus, filiale de Proton, un constructeur automobile malais.
Allusion à Group Lotus
Team Lotus et Lotus Renaut sont en procès sur l'utilisation du nom de Lotus et il se pourrait que d'ici un mois, le temps que la Haute Cour de Londres forge son jugement, il n'y ait plus qu'une seule équipe autorisée à utiliser ces cinq lettres synonymes de légende dans le monde du sport automobile.
En attendant, Fernandes en rajoute une couche : "Nous sommes énormément fiers de ce que nous avons accompli en 18 mois et nous l'avons fait avec un travail et un dévouement de tous les instants, pas en achetant des autocollants que l'on colle sur une voiture". L'allusion est claire à la stratégie de Group Lotus, qui a investi dans Renault.
Fernandes s'exprimait dans un communiqué de son équipe.
© ESPN EMEA Ltd.
Le propriétaire de Team Lotus, Tony Fernandes, jette quelques pavés dans le détroit de Malacca en affirmant, à une semaine de la deuxième course de la saison, à Sepang, qu'il possède la seule vraie équipe de F1 de Malaisie.
"Il y aura trois équipes qui ont des liens avec la Malaisie (au départ lors du Grand Prix de Malaisie) mais une seule aura vraiment le sang malais qui coule dans ses veines", a déclaré le natif de Kuala Lumpur, 46 ans, qui a fait sa fortune au début des années 2000 avec la compagnie aérienne AirAsia, basée en Malaisie.
Les deux autres équipes sont Mercedes, dont l'un des sponsors principaux, que convoitait Fernandes, est le pétrolier local Petronas, et le rival honni, Renault, sponsorisé par Lotus, filiale de Proton, un constructeur automobile malais.
Allusion à Group Lotus
Team Lotus et Lotus Renaut sont en procès sur l'utilisation du nom de Lotus et il se pourrait que d'ici un mois, le temps que la Haute Cour de Londres forge son jugement, il n'y ait plus qu'une seule équipe autorisée à utiliser ces cinq lettres synonymes de légende dans le monde du sport automobile.
En attendant, Fernandes en rajoute une couche : "Nous sommes énormément fiers de ce que nous avons accompli en 18 mois et nous l'avons fait avec un travail et un dévouement de tous les instants, pas en achetant des autocollants que l'on colle sur une voiture". L'allusion est claire à la stratégie de Group Lotus, qui a investi dans Renault.
Fernandes s'exprimait dans un communiqué de son équipe.
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Virgin, déjà plus fiable qu'en 2010
Virgin Racing ne s'attend pas à progresser lors des deux prochaines courses, mais les GP de Malaisie et de Chine seront néanmoins importants pour la suite des choses.
"Ces courses à l'étranger signifient que peu d'améliorations peuvent être apportées à la voiture avant l'important package prévu pour la Turquie", explique John Booth, le patron de l'équipe. En attendant cette 4e course du championnat, "nous récoltons autant de données que possible avant de replonger dans le cycle de développement."
Même si le GP d'Australie a vu Jérôme d'Ambrosio et Timo Glock terminer bons derniers, Booth est d'avis que son écurie se porte déjà mieux qu'en 2010 : "A cette période-ci l'an dernier, nous avions des problèmes de fiabilité et cela nous empêchait de compléter les épreuves."
"Ce n'est pas le cas cette année. C'est un bien meilleur point de départ et nous savons ce qui doit être fait. Pendant que le travail s'effectue en arrière-scène, le mieux que l'on puisse faire c'est de rallier l'arrivée avec les deux voitures et se concentrer sur les petits ajustements."
Opportunités dans la chaleur de Sepang
Glock a récemment indiqué que la nouvelle Virgin MVR-02 était actuellement moins rapide que la monoplace précédente. L'Allemand a donc très hâte d'avoir une monture revue et corrigée à sa disposition.
Booth est d'avis que le GP de Malaisie pourrait permettre à l'équipe de signer de meilleurs résultats que prévu. Suffit de profiter de chaque occasion.
"Après les températures fraîches de l'Australie, nous nous rendons à Kuala Lumpur où la chaleur et l'humidité accablantes sont un défi important pour les voitures et les pilotes. Les pluies torrentielles que l'on voit là-bas, et qui ont d'ailleurs déjà stoppé des courses, pourraient se transformer en opportunité. Elles chamboulent l'ordre et transforment la course en loterie. Cela pourrait être une bonne chose pour nous."
Mis à part les conditions météo, Booth compte également sur le comportement imprévisible des gommes : "Personne n'a eu l'occasion de rouler sur les pneus Pirelli dans des températures proches de celles que nous aurons sur le circuit de Sepang."
"A Melbourne, les niveaux de dégradation n'étaient pas ceux que nous avions connu lors des essais en Espagne. Il est probable qu'une autre surprise nous attend en Malaisie."
© ESPN EMEA Ltd.
Virgin Racing ne s'attend pas à progresser lors des deux prochaines courses, mais les GP de Malaisie et de Chine seront néanmoins importants pour la suite des choses.
"Ces courses à l'étranger signifient que peu d'améliorations peuvent être apportées à la voiture avant l'important package prévu pour la Turquie", explique John Booth, le patron de l'équipe. En attendant cette 4e course du championnat, "nous récoltons autant de données que possible avant de replonger dans le cycle de développement."
Même si le GP d'Australie a vu Jérôme d'Ambrosio et Timo Glock terminer bons derniers, Booth est d'avis que son écurie se porte déjà mieux qu'en 2010 : "A cette période-ci l'an dernier, nous avions des problèmes de fiabilité et cela nous empêchait de compléter les épreuves."
"Ce n'est pas le cas cette année. C'est un bien meilleur point de départ et nous savons ce qui doit être fait. Pendant que le travail s'effectue en arrière-scène, le mieux que l'on puisse faire c'est de rallier l'arrivée avec les deux voitures et se concentrer sur les petits ajustements."
Opportunités dans la chaleur de Sepang
Glock a récemment indiqué que la nouvelle Virgin MVR-02 était actuellement moins rapide que la monoplace précédente. L'Allemand a donc très hâte d'avoir une monture revue et corrigée à sa disposition.
Booth est d'avis que le GP de Malaisie pourrait permettre à l'équipe de signer de meilleurs résultats que prévu. Suffit de profiter de chaque occasion.
"Après les températures fraîches de l'Australie, nous nous rendons à Kuala Lumpur où la chaleur et l'humidité accablantes sont un défi important pour les voitures et les pilotes. Les pluies torrentielles que l'on voit là-bas, et qui ont d'ailleurs déjà stoppé des courses, pourraient se transformer en opportunité. Elles chamboulent l'ordre et transforment la course en loterie. Cela pourrait être une bonne chose pour nous."
Mis à part les conditions météo, Booth compte également sur le comportement imprévisible des gommes : "Personne n'a eu l'occasion de rouler sur les pneus Pirelli dans des températures proches de celles que nous aurons sur le circuit de Sepang."
"A Melbourne, les niveaux de dégradation n'étaient pas ceux que nous avions connu lors des essais en Espagne. Il est probable qu'une autre surprise nous attend en Malaisie."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Ferrari, des chiffres avant Sepang
La Scuderia Ferrari nous rappelle dans un communiqué quelques chiffres la concernant avant le Grand Prix de Malaisie, à Sepang, deuxième manche de la saison.
Ce sera la treizième édition de cette course qui se trouve au calendrier depuis 1999. Ferrari l'a remportée cinq fois. Eddie Irvine (1999) et Michael Schumacher (2000 et 2001) se sont partagé les trois premières victoires. Schumacher (2004) et Kimi Räikkönen (2008) y ont également fait triompher les Rouges, auteurs de 7 des 13 pole positions, dont les quatre premières pour Schumacher.
Alonso, 20 courses, 10 podiums
En 24 départs à Sepang, les Ferrari ont rallié l'arrivée 20 fois dont 11 sur le podium. Le dernier abandon date de la casse moteur de Fernando Alonso en 2010. L'Espagnol compte par ailleurs six places dans le top 10 en neuf départs en Malaisie ; dont 4 podiums et 1 victoire, en 2007, avec McLaren. C'est à Sepang, en 2003, qu'il a réussi la première de ses 20 pole positions.
Felipe Massa a réussi à Melbourne, en ouverture de la saison, son 13e meilleur tour, il occupe le 20e rang de ce classement, aux côtés de pilotes comme Juan Pablo Montoya, Alan Jones et Riccardo Patrese. Il est quatrième si on ne prend en compte que les pilotes Ferrari, derrière Schumacher (53) Räikkönen (16) et Rubens Barrichello (15) et à égalité avec Clay Regazzoni.
Alonso en est à 20 courses pour Ferrari. Il a réalisé 10 podiums et glané 5 victoires. Il a marqué chaque fois des points depuis sept courses. Sa dernière "fanny" remonter au Grand Prix de Belgique 2010.
© ESPN EMEA Ltd.
La Scuderia Ferrari nous rappelle dans un communiqué quelques chiffres la concernant avant le Grand Prix de Malaisie, à Sepang, deuxième manche de la saison.
Ce sera la treizième édition de cette course qui se trouve au calendrier depuis 1999. Ferrari l'a remportée cinq fois. Eddie Irvine (1999) et Michael Schumacher (2000 et 2001) se sont partagé les trois premières victoires. Schumacher (2004) et Kimi Räikkönen (2008) y ont également fait triompher les Rouges, auteurs de 7 des 13 pole positions, dont les quatre premières pour Schumacher.
Alonso, 20 courses, 10 podiums
En 24 départs à Sepang, les Ferrari ont rallié l'arrivée 20 fois dont 11 sur le podium. Le dernier abandon date de la casse moteur de Fernando Alonso en 2010. L'Espagnol compte par ailleurs six places dans le top 10 en neuf départs en Malaisie ; dont 4 podiums et 1 victoire, en 2007, avec McLaren. C'est à Sepang, en 2003, qu'il a réussi la première de ses 20 pole positions.
Felipe Massa a réussi à Melbourne, en ouverture de la saison, son 13e meilleur tour, il occupe le 20e rang de ce classement, aux côtés de pilotes comme Juan Pablo Montoya, Alan Jones et Riccardo Patrese. Il est quatrième si on ne prend en compte que les pilotes Ferrari, derrière Schumacher (53) Räikkönen (16) et Rubens Barrichello (15) et à égalité avec Clay Regazzoni.
Alonso en est à 20 courses pour Ferrari. Il a réalisé 10 podiums et glané 5 victoires. Il a marqué chaque fois des points depuis sept courses. Sa dernière "fanny" remonter au Grand Prix de Belgique 2010.
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
''Ça va se décanter à Sepang''
Lewis Hamilton s'attend à ce que le Grand Prix de Malaisie, deuxième manche de la saison, donne une image plus claire de la hiérarchie qui va se dégager au cours de la saison 2011.
"Après le bon rythme que nous avions à Melbourne, je pense que nous pouvons vivre une autre belle course en Malaisie", a déclaré le Britannique, qui a pris la deuxième place dans l'Albert Park, à 22" de Sebastian Vettel. "C'est une superbe piste. Un circuit comme Sepang, c'est là que se font les différences. Ça va se décanter."
Fond plat endommagé
"Sepang est vraiment un circuit que j'aime. C'est grand, c'est rapide. Il y a de quoi être très performant si vous arrivez à vraiment exploiter votre voiture. J'ai hâte d'y utiliser le SREC et l'aileron ajustable, l'aspiration est phénoménale là-bas et je pense que ces deux systèmes vont avoir une influence", ajoute le champion 2008.
Si Hamilton a terminé si loin de Vettel à Melbourne, cela pourrait être en partie en raison d'un souci avec son fond plat. "Il y a eu un problème dans la fixation avec le châssis et à la fin de la course, cela a compté. Mais c'est encourageant de voir que la voiture peut endurer ce type de dommage."
© ESPN EMEA Ltd.
Lewis Hamilton s'attend à ce que le Grand Prix de Malaisie, deuxième manche de la saison, donne une image plus claire de la hiérarchie qui va se dégager au cours de la saison 2011.
"Après le bon rythme que nous avions à Melbourne, je pense que nous pouvons vivre une autre belle course en Malaisie", a déclaré le Britannique, qui a pris la deuxième place dans l'Albert Park, à 22" de Sebastian Vettel. "C'est une superbe piste. Un circuit comme Sepang, c'est là que se font les différences. Ça va se décanter."
Fond plat endommagé
"Sepang est vraiment un circuit que j'aime. C'est grand, c'est rapide. Il y a de quoi être très performant si vous arrivez à vraiment exploiter votre voiture. J'ai hâte d'y utiliser le SREC et l'aileron ajustable, l'aspiration est phénoménale là-bas et je pense que ces deux systèmes vont avoir une influence", ajoute le champion 2008.
Si Hamilton a terminé si loin de Vettel à Melbourne, cela pourrait être en partie en raison d'un souci avec son fond plat. "Il y a eu un problème dans la fixation avec le châssis et à la fin de la course, cela a compté. Mais c'est encourageant de voir que la voiture peut endurer ce type de dommage."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Webber et Vettel pour la victoire
"Podium et champagne", ce sont les deux choses que Mark Webber attend du Grand Prix de Malaisie, le week-end prochain, alors que son coéquipier chez Red Bull, Sebastian Vettel, prépare aussi activement Sepang et le Grand Prix de Chine, qui suivra sept jours plus tard.
L'année dernière, Red Bull a réalisé le doublé en Malaisie, Vettel remportant la première de ses cinq victoires en 2010. "C'est la première vraie piste que nous empruntons car l'Australie était un circuit non permanent", remarque le champion du monde sur le site officiel de son écurie.
Ils enchaîneront en Chine
"Il y fait chaud et il pleut tous les jours. La question est maintenant de savoir quand et en quelle quantité. Au plan du circuit, il y a de tout. Au virage 14 il faut freiner en travers, ce qui n'est pas évident."
Pour Webber, Sepang est "un circuit sensationnel". "Il y a toujours des courses intéressantes là-bas. Pour les pilotes, c'est très exigeant en terme de chaleur et il faudra bien évaluer les pneus. On a eu pas mal d'informations après l'Australie et on espère que notre voiture sera compétitive en Malaisie. Je veux le podium et du champagne."
"J'aime cette piste et en général les courses outre-mer sont particulières. On est sur place plus tôt. On voit des choses différentes. J'aime ça et j'ai hâte"
Sebastian Vettel
Le souhait est bien entendu le même pour la Chine. "Nous avons de bons souvenirs de la Chine d'il y a deux ans", rappelle Vettel, qui s'imposait à Shanghai devant Webber. "L'année dernière, ça s'est un peu moins bien passé (doublé McLaren). Mais on y va cette année pour gagner encore. J'aime cette piste et en général les courses outre-mer sont particulières. On est sur place plus tôt. On voit des choses différentes. J'aime ça et j'ai hâte."
"La Chine, ce sera un peu comme l'Australie : froid. Mais je pense que ce sera une belle course, avec les longues lignes droites, l'aileron ajustable devrait être utile."
© ESPN EMEA Ltd.
"Podium et champagne", ce sont les deux choses que Mark Webber attend du Grand Prix de Malaisie, le week-end prochain, alors que son coéquipier chez Red Bull, Sebastian Vettel, prépare aussi activement Sepang et le Grand Prix de Chine, qui suivra sept jours plus tard.
L'année dernière, Red Bull a réalisé le doublé en Malaisie, Vettel remportant la première de ses cinq victoires en 2010. "C'est la première vraie piste que nous empruntons car l'Australie était un circuit non permanent", remarque le champion du monde sur le site officiel de son écurie.
Ils enchaîneront en Chine
"Il y fait chaud et il pleut tous les jours. La question est maintenant de savoir quand et en quelle quantité. Au plan du circuit, il y a de tout. Au virage 14 il faut freiner en travers, ce qui n'est pas évident."
Pour Webber, Sepang est "un circuit sensationnel". "Il y a toujours des courses intéressantes là-bas. Pour les pilotes, c'est très exigeant en terme de chaleur et il faudra bien évaluer les pneus. On a eu pas mal d'informations après l'Australie et on espère que notre voiture sera compétitive en Malaisie. Je veux le podium et du champagne."
"J'aime cette piste et en général les courses outre-mer sont particulières. On est sur place plus tôt. On voit des choses différentes. J'aime ça et j'ai hâte"
Sebastian Vettel
Le souhait est bien entendu le même pour la Chine. "Nous avons de bons souvenirs de la Chine d'il y a deux ans", rappelle Vettel, qui s'imposait à Shanghai devant Webber. "L'année dernière, ça s'est un peu moins bien passé (doublé McLaren). Mais on y va cette année pour gagner encore. J'aime cette piste et en général les courses outre-mer sont particulières. On est sur place plus tôt. On voit des choses différentes. J'aime ça et j'ai hâte."
"La Chine, ce sera un peu comme l'Australie : froid. Mais je pense que ce sera une belle course, avec les longues lignes droites, l'aileron ajustable devrait être utile."
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Lotus Renault : "Un nouveau package aérodinamique en Malaisie.
Le directeur technique de Lotus Renault GP, James Allison, revient sur la performance satisfaisante de Melbourne.
Quelles sensations avez-vous éprouvé en voyant la R31 sur le podium pour ses débuts ?
"C’était un cocktail d’euphorie, de soulagement et de satisfaction de voir la R31 ouvrir la saison du bon pied et récompenser l’équipe de tous les efforts fournis."
Donnez-nous juste une idée de la dimension des efforts produits dans l’ombre cet hiver pour cette voiture…
"Les statistiques brutes montrent que la voiture de cette année compte 12% de dessin de plus que n’importe laquelle des précédentes. Mais les statistiques ne racontent pas toute l’histoire. Nous nous sommes engagés sur les échappements avant début septembre, après avoir beaucoup travaillé en design sur un échappement arrière. Changer de direction de design de façon radicale à une époque tardive influait sur l’organisation à tous les niveaux. L’équipe a relevé le défi comme elle l’a toujours fait, mais nous continuons à en payer le prix encore maintenant en termes de surcharge de travail."
Vitaly a terminé devant une Red Bull et les Ferrari sur son seul mérite. C’est de bon augure pour la compétitivité de la voiture…
"C’était un bel effort de la part de Vitaly et un départ encourageant pour la R31. Mais nous devrons nettement améliorer la performance de l’auto si nous voulons continuer sur cet élan."
La décision de ne faire que deux arrêts à été la clé du brillant résultat de Vitaly. Est-ce un signe que la R31 est plus douce avec ses pneus que la concurrence ?
"Nous avions senti pendant les tests d’hiver qu’elle était relativement douce avec ses pneus et nous paraissions bien avec eux à Melbourne. Mais la saison commence juste et il est trop tôt pour tirer des conclusions définitives sur notre usure des pneus par rapport à nos concurrents."
Vous avez évoqué des nouveautés pour la Malaisie. Pouvez-vous être plus précis ?
"Bon, je ne veux pas être trop précis. Vous savez à quel point nous, les ingénieurs, sommes paranos ! Mais je peux dire que nous apporterons un nouveau package d’améliorations modérées en Malaisie, qui vaudrait quelques dixièmes au tour. Nous allons faire quelques modifications sur les ailerons avant et arrière en plus de quelques pièces nouvelles sur la carrosserie."
[Communiqué de Lotus Renault GP]
Source : toilef1.com
Le directeur technique de Lotus Renault GP, James Allison, revient sur la performance satisfaisante de Melbourne.
Quelles sensations avez-vous éprouvé en voyant la R31 sur le podium pour ses débuts ?
"C’était un cocktail d’euphorie, de soulagement et de satisfaction de voir la R31 ouvrir la saison du bon pied et récompenser l’équipe de tous les efforts fournis."
Donnez-nous juste une idée de la dimension des efforts produits dans l’ombre cet hiver pour cette voiture…
"Les statistiques brutes montrent que la voiture de cette année compte 12% de dessin de plus que n’importe laquelle des précédentes. Mais les statistiques ne racontent pas toute l’histoire. Nous nous sommes engagés sur les échappements avant début septembre, après avoir beaucoup travaillé en design sur un échappement arrière. Changer de direction de design de façon radicale à une époque tardive influait sur l’organisation à tous les niveaux. L’équipe a relevé le défi comme elle l’a toujours fait, mais nous continuons à en payer le prix encore maintenant en termes de surcharge de travail."
Vitaly a terminé devant une Red Bull et les Ferrari sur son seul mérite. C’est de bon augure pour la compétitivité de la voiture…
"C’était un bel effort de la part de Vitaly et un départ encourageant pour la R31. Mais nous devrons nettement améliorer la performance de l’auto si nous voulons continuer sur cet élan."
La décision de ne faire que deux arrêts à été la clé du brillant résultat de Vitaly. Est-ce un signe que la R31 est plus douce avec ses pneus que la concurrence ?
"Nous avions senti pendant les tests d’hiver qu’elle était relativement douce avec ses pneus et nous paraissions bien avec eux à Melbourne. Mais la saison commence juste et il est trop tôt pour tirer des conclusions définitives sur notre usure des pneus par rapport à nos concurrents."
Vous avez évoqué des nouveautés pour la Malaisie. Pouvez-vous être plus précis ?
"Bon, je ne veux pas être trop précis. Vous savez à quel point nous, les ingénieurs, sommes paranos ! Mais je peux dire que nous apporterons un nouveau package d’améliorations modérées en Malaisie, qui vaudrait quelques dixièmes au tour. Nous allons faire quelques modifications sur les ailerons avant et arrière en plus de quelques pièces nouvelles sur la carrosserie."
[Communiqué de Lotus Renault GP]
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Nick Heidfeld et Vitaly Petrov repondent tour à tour aux questions posées sur le Grand Prix de Malaisie.
Meilleur souvenir en Malaisie ?
Nick :
"J’en ai quelques bons, dont mon podium avec Williams en 2005 et ma deuxième place il y a deux ans sous une grosse averse. C’est aussi là que j’ai signé mon premier meilleur tour en course en 2008. Cette année-là, je me suis fait plaisir en effectuant un double dépassement sur Alonso et Coulthard. Ca vaut le coup d’œil sur YouTube !"
Vitaly :
"J’y suis venu quelques fois et j’ai vécu de belles courses. J’ai gagné là en GP2 en 2008 et 2009."
Aimez-vous la piste ?
Nick :
"Elle peut être spéciale à cause de la météo. Des fois, ça ressemble plus à de la natation qu’à du pilotage avec la mousson. Mais elle présente un déroulé agréable avec des courbes rapides et quelques possibilités de dépassement."
Vitaly :
"Pour moi, c’est une des plus difficiles à cause de la variété des virages, lents et rapides. Mais c’est un endroit où j’ai toujours aimé courir et où il faut toujours être réactif avec la météo."
Comment vous détendez-vous en Malaisie ?
Nick :
Si j’ai le temps, j’aime aller faire un tour au centre ville de Kuala Lumpur. C’est cool, il y a beaucoup de choses à voir, en particulier les Tours jumelles qui hébergent aussi un grand centre commercial."
Vitaly :
"Cette année, j’ai décidé qu’il était mieux d’arriver tôt et de me préparer pour m’acclimater à l’humidité. J’aime faire du sport à l’extérieur parce que ça aide mon organisme à s’adapter."
[Communiqué de Lotus Renault GP]
Meilleur souvenir en Malaisie ?
Nick :
"J’en ai quelques bons, dont mon podium avec Williams en 2005 et ma deuxième place il y a deux ans sous une grosse averse. C’est aussi là que j’ai signé mon premier meilleur tour en course en 2008. Cette année-là, je me suis fait plaisir en effectuant un double dépassement sur Alonso et Coulthard. Ca vaut le coup d’œil sur YouTube !"
Vitaly :
"J’y suis venu quelques fois et j’ai vécu de belles courses. J’ai gagné là en GP2 en 2008 et 2009."
Aimez-vous la piste ?
Nick :
"Elle peut être spéciale à cause de la météo. Des fois, ça ressemble plus à de la natation qu’à du pilotage avec la mousson. Mais elle présente un déroulé agréable avec des courbes rapides et quelques possibilités de dépassement."
Vitaly :
"Pour moi, c’est une des plus difficiles à cause de la variété des virages, lents et rapides. Mais c’est un endroit où j’ai toujours aimé courir et où il faut toujours être réactif avec la météo."
Comment vous détendez-vous en Malaisie ?
Nick :
Si j’ai le temps, j’aime aller faire un tour au centre ville de Kuala Lumpur. C’est cool, il y a beaucoup de choses à voir, en particulier les Tours jumelles qui hébergent aussi un grand centre commercial."
Vitaly :
"Cette année, j’ai décidé qu’il était mieux d’arriver tôt et de me préparer pour m’acclimater à l’humidité. J’aime faire du sport à l’extérieur parce que ça aide mon organisme à s’adapter."
[Communiqué de Lotus Renault GP]
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
J'aime bien ce circuit moderne,un beau tracé très rapide et ou les pilotes peuvent se doubler.Ma grenouille annonce des averses et orages pour vendredi et samedi,en 5 ans 5 équipes différentes ont gagnés est-ce que RBR sera la première a y signer une seconde victoire de rang?
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Grève!
Vettel a évoqué la possibilité d'un mouvement dans l'optique de la supression de l'aileron mobile.
Trop de boutons sur le volant. On va finir par perdre notre attention au pilotage.
De plus, cela tend à n'apporter que de la confusion dans notre perception de la course.
Vrai ou poisson d'avril cette info?
Trop de boutons sur le volant. On va finir par perdre notre attention au pilotage.
De plus, cela tend à n'apporter que de la confusion dans notre perception de la course.
Vrai ou poisson d'avril cette info?
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Info confirmée sur plusieurs site.philbaetz a écrit:Vettel a évoqué la possibilité d'un mouvement dans l'optique de la supression de l'aileron mobile.
Trop de boutons sur le volant. On va finir par perdre notre attention au pilotage.
De plus, cela tend à n'apporter que de la confusion dans notre perception de la course.
Vrai ou poisson d'avril cette info?
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Un point de vue de Vettel que je partage mais, vu ce que je fais sur un kart, c'est vrai aussi que je suis vite saturé.
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Note qu'ado prépubère il a encore des boutons!
TROIKA- Messages : 5922
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 65
Localisation : La Hulpe
Hadzufel- Messages : 9084
Date d'inscription : 17/02/2010
Age : 34
Localisation : Chateau-Thebaud
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Tu veux dire que quand il regarde son volant, il croit voir son rétroviseur?
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
McLaren et Ferrari au révélateur
Si Red Bull espère encore gagner de la performance avec le KERS à Sepang, McLaren et Ferrari arrivent avec des problématiques plus pointues quant à la tenue des pneumatiques. Renault est là pour confirmer, Mercedes sortir de l’ombre.
Red Bull - Vettel P1 (25 pts), Webber P5 (10 pts)
L'équipe veut avoir le KERS et les 0.3 à 0.5 sec qu'il apporte par tour. Car s'en priver serait plus inquiétant qu'à Melbourne : au départ la distance est grande avant de rejoindre le virage N.1. En coulisses, le conseillé du P-DG Mateschitz chez Red Bull a expliqué qu'il serait difficile d'ignorer Hamilton s'il se présentait sur le marché. Mais Horner a rétorqué qu'une association Hamilton/Vettel ferait des étincelles… De la pression en moins pour Webber, en entreprise de réhabilitation après son week-end sans à la maison. Vettel, victorieux en Malaisie en 2010, a pris une dimension politique : il a menacé de faire grève si la FIA ne comprenait pas que les pilotes ont trop de manipulations à faire sur le volant.
McLaren - Hamilton P2 (18 pts), Button P6 (8 pts)
Surprenant 2e à Melbourne, Hamilton redoute de ne pouvoir cacher autant à Sepang qu'à Melbourne les faiblesses de sa MP4. "Les différences entre les voitures vont commencer à apparaître", a-t-il prévenu. A travers l'exploitation des gommes, en fait. McLaren évitera-t-elle les quatre arrêts que prévoit Pirelli ? Button a gagné un demi-GP très arrosé en 2009 avec Brawn.
Renault - Petrov P3 (15 pts), Heidfeld P12 (0 pts)
Petrov a entamé la saison avec un podium et revient sur le circuit où il avait plus que chahuté Hamilton l'an dernier. Heidfeld doit faire oublier son week-end noir australien. L'Allemand prévoit une recrudescence de dépassements : "Je crois que le DRS (aileron arrière ajustable) aura plus d’impact. Dépasser a toujours été plus facile là-bas à cause du profil du circuit. Il y a de grandes lignes droites suivies de virages en épingle lents et on devrait voir plus d’action." L'an dernier, Kubica avait fait un top 4. Rien d'impossible donc pour les R31.
Les pilotes vont courir avec des tenues couleur or, cela afin de moins ressentir les effets de la chaleur qu’avec les habituelles versions noires.
Ferrari - Alonso P4 (12 pts), Massa P7 (6 pts)
La Scuderia a fait trois arrêts à Melbourne et la visite du circuit malais n'augure rien de bon. La 150° Italia va passer un véritable test. La "rossa" va recevoir de nouvelles pièces aéro ; les techniciens comptent sur ce secteur là pour "débloquer" son potentiel. Alonso a gagné en Malaisie en 2005 avec Renault et en 2007 avec McLaren. Massa n'a jamais fait mieux que 5e à Sepang, en 2006 et 2007. Il s'était heurté en Australie à la difficulté de faire monter ses gommes en température. Il risque là de lutter contre une dégradation accélérée des enveloppes milanaises.
Toro Rosso - Buemi P8 (4 pts), Alguersuari P11 (0 pt)
Sale ambiance chez STR depuis qu’Alguersuari a percuté Buemi au 1er tour à Melbourne et endommagé son auto. Une tentative de conciliation instiguée par l’équipe a échoué. L’Espagnol qui a une très très haute estime de lui n’avait de toute façon déjà rien à dire à son coéquipier helvétique, 8e du 1er GP. Ça ne risque pas de s’arranger car RBR devrait resigner Webber et Ricciardo arrivera en 2012.
Force India - Sutil P9 (2 pts), Di Resta P10 (1 pt)
L’équipe a profité de l’exclusion des Sauber pour placer ses deux VJM04 à Melbourne. Pour Sepang, elle voit en la 5e place de Sutil l’an dernier un bon présage. Di Resta avait tourné en Libres 1 en 2010, "sans faire un grand nombre de tours".
Lotus - Trulli P13 (0 pt), Kovalainen NC
L'équipe n'est pas en mal de solutions : après le pilote de réserve Chandhok , le N.3 Razia et les test drivers Valsecchi et Teixeira, elle a nommé l'Etasunien Rossi première recrue de son nouveau "Driver Development Program". Côté piste, le chef de la technique Gascoyne espère que les pilotes souffriront moins du déficit de grip et des pépins de fiabilité constatés à Melbourne. Pour "Pit bull", Sepang est relativement proche de Montmelo.
Virgin - D'Ambrosio P14 (0 pt), Glock NC
Booth, le directeur, n'y va pas par quatre chemins : la Q2 est le véritable objectif de Glock et D'Ambrosio. L’Allemand est monté sur le podium avec Toyota en 2009, le Belge a couru en Malaisie en GP2 Asie.
Williams - Barrichello NC, Maldonado NC
"Nous aurons quelques améliorations sur l'avant de la FW33, et aussi sur le KERS, et des solutions sur la transmission qui a posé problèmes à Melbourne", annonce Michael, le directeur technique. "Ça va être intéressant de voir comment la FW33 va performer sur ce circuit de moyenne-haute vitesses. Notre objectif est de placer nos voitures dans les points." Barrichello impatient de se produire sur cette piste qu'il aime et juge "incroyable". Madonado rappelle qu'il s'y est classé 2e en GP2 2009.
Mercedes - Rosberg NC, Schumacher NC
Schumacher a gagné trois fois en Malaisie, du temps de sa splendeur Ferrariste (2000, 2001, 2004). "Il est encore trop tôt pour nous enterrer. Nous considérons cette course comme un défi. Tout le monde dans l'équipe positive et possède un état d'esprit de battant", a lancé le septuple champion du monde. Au volant d'une W01 ratée, Rosberg avait accroché un podium en 2010. Mais les pneus dicteront la stratégie, sachant que les W02 étaient prévues sur trois arrêts à Melbourne… L'équipe sera attentive au KERS après les bugs australiens…
Sauber - Pérez NC, Kobayashi NC
L'équipe a renforcé son contrôle des cotes à l'usine après sa disqualification des 7e et 8e places à Melbourne pour dessin de l'aileron arrière non conforme. Elle annonce des évolutions de la carrosserie arrière et de nouvelles écopes de freins. Pérez son exploit gâché et signale qu'il connait Sepang depuis le GP2 Asie 2009. Kobayashi y a aussi signé sa 1re Q3.
Hispania - Liuzzi NC, Karthikeyan NC
Liuzzi à 109% du chrono de Vettel en Q1 et Karthikeyan à 110% : c'était trop pour participer au GP d'Australie. L'équipe espagnole a deux objectifs : être au départ et ne pas jouer les chicanes mobiles. Le "retour à la normale", selon le directeur, Kolles.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
Si Red Bull espère encore gagner de la performance avec le KERS à Sepang, McLaren et Ferrari arrivent avec des problématiques plus pointues quant à la tenue des pneumatiques. Renault est là pour confirmer, Mercedes sortir de l’ombre.
Red Bull - Vettel P1 (25 pts), Webber P5 (10 pts)
L'équipe veut avoir le KERS et les 0.3 à 0.5 sec qu'il apporte par tour. Car s'en priver serait plus inquiétant qu'à Melbourne : au départ la distance est grande avant de rejoindre le virage N.1. En coulisses, le conseillé du P-DG Mateschitz chez Red Bull a expliqué qu'il serait difficile d'ignorer Hamilton s'il se présentait sur le marché. Mais Horner a rétorqué qu'une association Hamilton/Vettel ferait des étincelles… De la pression en moins pour Webber, en entreprise de réhabilitation après son week-end sans à la maison. Vettel, victorieux en Malaisie en 2010, a pris une dimension politique : il a menacé de faire grève si la FIA ne comprenait pas que les pilotes ont trop de manipulations à faire sur le volant.
McLaren - Hamilton P2 (18 pts), Button P6 (8 pts)
Surprenant 2e à Melbourne, Hamilton redoute de ne pouvoir cacher autant à Sepang qu'à Melbourne les faiblesses de sa MP4. "Les différences entre les voitures vont commencer à apparaître", a-t-il prévenu. A travers l'exploitation des gommes, en fait. McLaren évitera-t-elle les quatre arrêts que prévoit Pirelli ? Button a gagné un demi-GP très arrosé en 2009 avec Brawn.
Renault - Petrov P3 (15 pts), Heidfeld P12 (0 pts)
Petrov a entamé la saison avec un podium et revient sur le circuit où il avait plus que chahuté Hamilton l'an dernier. Heidfeld doit faire oublier son week-end noir australien. L'Allemand prévoit une recrudescence de dépassements : "Je crois que le DRS (aileron arrière ajustable) aura plus d’impact. Dépasser a toujours été plus facile là-bas à cause du profil du circuit. Il y a de grandes lignes droites suivies de virages en épingle lents et on devrait voir plus d’action." L'an dernier, Kubica avait fait un top 4. Rien d'impossible donc pour les R31.
Les pilotes vont courir avec des tenues couleur or, cela afin de moins ressentir les effets de la chaleur qu’avec les habituelles versions noires.
Ferrari - Alonso P4 (12 pts), Massa P7 (6 pts)
La Scuderia a fait trois arrêts à Melbourne et la visite du circuit malais n'augure rien de bon. La 150° Italia va passer un véritable test. La "rossa" va recevoir de nouvelles pièces aéro ; les techniciens comptent sur ce secteur là pour "débloquer" son potentiel. Alonso a gagné en Malaisie en 2005 avec Renault et en 2007 avec McLaren. Massa n'a jamais fait mieux que 5e à Sepang, en 2006 et 2007. Il s'était heurté en Australie à la difficulté de faire monter ses gommes en température. Il risque là de lutter contre une dégradation accélérée des enveloppes milanaises.
Toro Rosso - Buemi P8 (4 pts), Alguersuari P11 (0 pt)
Sale ambiance chez STR depuis qu’Alguersuari a percuté Buemi au 1er tour à Melbourne et endommagé son auto. Une tentative de conciliation instiguée par l’équipe a échoué. L’Espagnol qui a une très très haute estime de lui n’avait de toute façon déjà rien à dire à son coéquipier helvétique, 8e du 1er GP. Ça ne risque pas de s’arranger car RBR devrait resigner Webber et Ricciardo arrivera en 2012.
Force India - Sutil P9 (2 pts), Di Resta P10 (1 pt)
L’équipe a profité de l’exclusion des Sauber pour placer ses deux VJM04 à Melbourne. Pour Sepang, elle voit en la 5e place de Sutil l’an dernier un bon présage. Di Resta avait tourné en Libres 1 en 2010, "sans faire un grand nombre de tours".
Lotus - Trulli P13 (0 pt), Kovalainen NC
L'équipe n'est pas en mal de solutions : après le pilote de réserve Chandhok , le N.3 Razia et les test drivers Valsecchi et Teixeira, elle a nommé l'Etasunien Rossi première recrue de son nouveau "Driver Development Program". Côté piste, le chef de la technique Gascoyne espère que les pilotes souffriront moins du déficit de grip et des pépins de fiabilité constatés à Melbourne. Pour "Pit bull", Sepang est relativement proche de Montmelo.
Virgin - D'Ambrosio P14 (0 pt), Glock NC
Booth, le directeur, n'y va pas par quatre chemins : la Q2 est le véritable objectif de Glock et D'Ambrosio. L’Allemand est monté sur le podium avec Toyota en 2009, le Belge a couru en Malaisie en GP2 Asie.
Williams - Barrichello NC, Maldonado NC
"Nous aurons quelques améliorations sur l'avant de la FW33, et aussi sur le KERS, et des solutions sur la transmission qui a posé problèmes à Melbourne", annonce Michael, le directeur technique. "Ça va être intéressant de voir comment la FW33 va performer sur ce circuit de moyenne-haute vitesses. Notre objectif est de placer nos voitures dans les points." Barrichello impatient de se produire sur cette piste qu'il aime et juge "incroyable". Madonado rappelle qu'il s'y est classé 2e en GP2 2009.
Mercedes - Rosberg NC, Schumacher NC
Schumacher a gagné trois fois en Malaisie, du temps de sa splendeur Ferrariste (2000, 2001, 2004). "Il est encore trop tôt pour nous enterrer. Nous considérons cette course comme un défi. Tout le monde dans l'équipe positive et possède un état d'esprit de battant", a lancé le septuple champion du monde. Au volant d'une W01 ratée, Rosberg avait accroché un podium en 2010. Mais les pneus dicteront la stratégie, sachant que les W02 étaient prévues sur trois arrêts à Melbourne… L'équipe sera attentive au KERS après les bugs australiens…
Sauber - Pérez NC, Kobayashi NC
L'équipe a renforcé son contrôle des cotes à l'usine après sa disqualification des 7e et 8e places à Melbourne pour dessin de l'aileron arrière non conforme. Elle annonce des évolutions de la carrosserie arrière et de nouvelles écopes de freins. Pérez son exploit gâché et signale qu'il connait Sepang depuis le GP2 Asie 2009. Kobayashi y a aussi signé sa 1re Q3.
Hispania - Liuzzi NC, Karthikeyan NC
Liuzzi à 109% du chrono de Vettel en Q1 et Karthikeyan à 110% : c'était trop pour participer au GP d'Australie. L'équipe espagnole a deux objectifs : être au départ et ne pas jouer les chicanes mobiles. Le "retour à la normale", selon le directeur, Kolles.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Pirro commissaire à Sepang
L'Italien Emanuele Pirro, grand spécialiste d'Endurance, sera le représentant des pilotes au sein des commissaires pour la deuxième course de la saison, à Sepang, ce week-end.
Ce ne sera pas une première pour Pirro, quadruple vainqueur des 24 Heures du Mans et pilote de F1 (40 GP) au tournant des années 1980 et 1990. Il fut aussi pilote essayeur pour McLaren mais n'a jamais marqué un point en F1. Il était nommé pour la dernière manche 2010 à Abou Dhabi. Son passé et son présent auprès de Ferrari avait créé une mini-polémique.
© ESPN EMEA Ltd.
L'Italien Emanuele Pirro, grand spécialiste d'Endurance, sera le représentant des pilotes au sein des commissaires pour la deuxième course de la saison, à Sepang, ce week-end.
Ce ne sera pas une première pour Pirro, quadruple vainqueur des 24 Heures du Mans et pilote de F1 (40 GP) au tournant des années 1980 et 1990. Il fut aussi pilote essayeur pour McLaren mais n'a jamais marqué un point en F1. Il était nommé pour la dernière manche 2010 à Abou Dhabi. Son passé et son présent auprès de Ferrari avait créé une mini-polémique.
© ESPN EMEA Ltd.
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Le GPS de PVV, Malaisie : Haute voltige
Vétéran des Grands Prix, Pierre Van Vliet, le rédacteur en chef de F1i Magazine et ancien commentateur de la Formule 1 sur TF1, nous livrera pour chacune des 19 manches du championnat 2011 une chronique pleine de surprise(s) en guise d’avant-goût de ce qui nous attend. Mais il mettra surtout l’accent sur le vécu en rapportant des expériences parfois cocasses de son parcours de globe-trotter des circuits. Drapeau vert, à toi Pierre…
Haute voltige !
C’était en 1999, lors de la première édition du Grand Prix de Malaisie à Sepang. Dans le vol Air France qui nous emmenait vers Kuala Lumpur, Jacques Laffite et moi, nous avions visionné le film "Haute Voltige" qui venait de sortir et mettait aux prises Sean Connery et Catherine Zeta-Jones (vous parlez d’un casting) en train d’escalader les fameuses "twin tower" de la capitale malaise. Ces tours jumelles Petronas, hautes de 452 m et de 88 étages, s’imposaient à l’époque comme le bâtiment le plus haut du monde (record battu à Taipei en 2004, puis à Dubaï en 2008). Une soirée de gala s’y déroulait le jeudi soir précédant le Grand Prix et nous nous y sommes rendus pour réaliser de visu à quel point l’architecture signée César Pelli était impressionnante, avec cette passerelle reliant les deux tours à 170 m de haut, vers le 41e étage !
Nous n’étions pas au bout de nos surprises : le gigantesque aéroport de Kuala Lumpur avait déjà de quoi donner le tournis, mais que dire de l’autodrome voisin de Sepang, superbement érigé dans une nature luxuriante. Une infrastructure majestueuse, des installations somptueuses, des salons climatisés réservés à chaque écurie pour combattre une chaleur accablante et surtout un taux d’humidité de l’ordre de 90 %. Avec notre producteur Gilles Pernet, nous avons quitté l’autoroute pour emprunter le chemin des écoliers et il nous a fallu plus de deux heures pour enfin rallier le circuit, non sans nous être égarés en pleine jungle surpris par une averse de mousson, embourbés dans un chemin de terre ocre… On vivait dangereusement !
La piste fut aussi une découverte, large et dégagée, avec des enfilades rapides, des zones plus techniques et d’interminables lignes droites achevées par des épingles nécessitant de violents freinages. Au volant de sa Proton de fonction, l’inimitable Philippe Gurdjan (mégalo au point d’être surnommé "Monsieur Moi Je") nous a emmenés faire un tour en rappelant au passage son inestimable expérience de pilote, lui l’ex-star du Noscar et des 24 Heures du Mans ( ?). Quoi qu’il en soit, le premier circuit de l’ère Tilke ne manquait pas d’allure et nous étions impatients de voir les F1 prendre possession des lieux.
On ne fut pas déçu. Souvenez-vous : fin 1999, Michael Schumacher effectuait son retour trois mois après s’être fracturé la jambe à Silverstone. Il serait bien resté chez lui plutôt que de servir de porteur d’eau à Eddie Irvine, soudainement propulsé dans le rôle de leader de la Scuderia, mais il fut rappelé à l’ordre par Luca di Montezemolo. Un jour que le patron de Ferrari s’enquérait de la santé de son champion en appelant sa résidence suisse, ce fut le jeune Mick qui décrocha. Et lorsque le marquis lui demanda de lui passer son papa, le bambin répondit qu’il était parti jouer au foot ! Du coup, contraint et forcé, Michael boucla son sac pour la Malaisie.
Aux qualifs, le camouflet infligé à Irvine fut terrible : le Kaiser avait parfaitement récupéré, merci, et signa la pole position sur ce tracé exigeant et sélectif en 1’39”688, une seconde pleine devant son équipier, à voiture égale. Dur, dur ! Le Grand Prix tourna à la démonstration, Schumi dominant les débats avant de laisser passer son vassal irlandais en fin de parcours, le relançant ainsi dans la course au titre. Mais c’était sans compter avec ce bon Jo Bauer, le contrôleur technique de la FIA, qui déclassa les Ferrari en raison de déflecteurs non conformes. Les fameux "barge boards" dépassaient de 5 mm la largeur autorisée. La Scuderia s’empressa de faire appel et, en usant de tous les stratagèmes juridiques, eut gain de cause auprès du tribunal d’appel, ce qui laissait intact le suspense à la veille de la finale à Suzuka. D’où la dénomination "Ferrari International Assistance" pour FIA…
Au Japon, Mika Hakkinen joua un tour de cochon à Michael Schumacher dans le tour de formation, laissant le pilote Ferrari (qui avait réalisé la pole) prendre une avance telle que la monoplace rouge resta immobilisée trop longtemps sur la grille. Résultat : surchauffe, embrayage collé, et Schumi scotché au départ. Hakkinen ne demanda pas son reste et fila vers le titre mondial ! La morale sportive était sauve. La veille, au terme des qualifications, j’avais demandé quel effet cela faisait à Irvine de se présenter en candidat au titre sans avoir signé une seule pole position de toute la saison… Eddie répondit dans une moue réprobatrice : "C’est le dimanche qu’on marque des points". Certes, mais la messe était dite. Ferrari attendit un an encore avant de remporter enfin le championnat, avec qui vous savez. Le début d’une vraie marée rouge, avec cinq titres consécutifs. Et un palmarès aussi haut que les tours jumelles de KL.
P.V.V.
Source : toilef1.com
Vétéran des Grands Prix, Pierre Van Vliet, le rédacteur en chef de F1i Magazine et ancien commentateur de la Formule 1 sur TF1, nous livrera pour chacune des 19 manches du championnat 2011 une chronique pleine de surprise(s) en guise d’avant-goût de ce qui nous attend. Mais il mettra surtout l’accent sur le vécu en rapportant des expériences parfois cocasses de son parcours de globe-trotter des circuits. Drapeau vert, à toi Pierre…
Haute voltige !
C’était en 1999, lors de la première édition du Grand Prix de Malaisie à Sepang. Dans le vol Air France qui nous emmenait vers Kuala Lumpur, Jacques Laffite et moi, nous avions visionné le film "Haute Voltige" qui venait de sortir et mettait aux prises Sean Connery et Catherine Zeta-Jones (vous parlez d’un casting) en train d’escalader les fameuses "twin tower" de la capitale malaise. Ces tours jumelles Petronas, hautes de 452 m et de 88 étages, s’imposaient à l’époque comme le bâtiment le plus haut du monde (record battu à Taipei en 2004, puis à Dubaï en 2008). Une soirée de gala s’y déroulait le jeudi soir précédant le Grand Prix et nous nous y sommes rendus pour réaliser de visu à quel point l’architecture signée César Pelli était impressionnante, avec cette passerelle reliant les deux tours à 170 m de haut, vers le 41e étage !
Nous n’étions pas au bout de nos surprises : le gigantesque aéroport de Kuala Lumpur avait déjà de quoi donner le tournis, mais que dire de l’autodrome voisin de Sepang, superbement érigé dans une nature luxuriante. Une infrastructure majestueuse, des installations somptueuses, des salons climatisés réservés à chaque écurie pour combattre une chaleur accablante et surtout un taux d’humidité de l’ordre de 90 %. Avec notre producteur Gilles Pernet, nous avons quitté l’autoroute pour emprunter le chemin des écoliers et il nous a fallu plus de deux heures pour enfin rallier le circuit, non sans nous être égarés en pleine jungle surpris par une averse de mousson, embourbés dans un chemin de terre ocre… On vivait dangereusement !
La piste fut aussi une découverte, large et dégagée, avec des enfilades rapides, des zones plus techniques et d’interminables lignes droites achevées par des épingles nécessitant de violents freinages. Au volant de sa Proton de fonction, l’inimitable Philippe Gurdjan (mégalo au point d’être surnommé "Monsieur Moi Je") nous a emmenés faire un tour en rappelant au passage son inestimable expérience de pilote, lui l’ex-star du Noscar et des 24 Heures du Mans ( ?). Quoi qu’il en soit, le premier circuit de l’ère Tilke ne manquait pas d’allure et nous étions impatients de voir les F1 prendre possession des lieux.
On ne fut pas déçu. Souvenez-vous : fin 1999, Michael Schumacher effectuait son retour trois mois après s’être fracturé la jambe à Silverstone. Il serait bien resté chez lui plutôt que de servir de porteur d’eau à Eddie Irvine, soudainement propulsé dans le rôle de leader de la Scuderia, mais il fut rappelé à l’ordre par Luca di Montezemolo. Un jour que le patron de Ferrari s’enquérait de la santé de son champion en appelant sa résidence suisse, ce fut le jeune Mick qui décrocha. Et lorsque le marquis lui demanda de lui passer son papa, le bambin répondit qu’il était parti jouer au foot ! Du coup, contraint et forcé, Michael boucla son sac pour la Malaisie.
Aux qualifs, le camouflet infligé à Irvine fut terrible : le Kaiser avait parfaitement récupéré, merci, et signa la pole position sur ce tracé exigeant et sélectif en 1’39”688, une seconde pleine devant son équipier, à voiture égale. Dur, dur ! Le Grand Prix tourna à la démonstration, Schumi dominant les débats avant de laisser passer son vassal irlandais en fin de parcours, le relançant ainsi dans la course au titre. Mais c’était sans compter avec ce bon Jo Bauer, le contrôleur technique de la FIA, qui déclassa les Ferrari en raison de déflecteurs non conformes. Les fameux "barge boards" dépassaient de 5 mm la largeur autorisée. La Scuderia s’empressa de faire appel et, en usant de tous les stratagèmes juridiques, eut gain de cause auprès du tribunal d’appel, ce qui laissait intact le suspense à la veille de la finale à Suzuka. D’où la dénomination "Ferrari International Assistance" pour FIA…
Au Japon, Mika Hakkinen joua un tour de cochon à Michael Schumacher dans le tour de formation, laissant le pilote Ferrari (qui avait réalisé la pole) prendre une avance telle que la monoplace rouge resta immobilisée trop longtemps sur la grille. Résultat : surchauffe, embrayage collé, et Schumi scotché au départ. Hakkinen ne demanda pas son reste et fila vers le titre mondial ! La morale sportive était sauve. La veille, au terme des qualifications, j’avais demandé quel effet cela faisait à Irvine de se présenter en candidat au titre sans avoir signé une seule pole position de toute la saison… Eddie répondit dans une moue réprobatrice : "C’est le dimanche qu’on marque des points". Certes, mais la messe était dite. Ferrari attendit un an encore avant de remporter enfin le championnat, avec qui vous savez. Le début d’une vraie marée rouge, avec cinq titres consécutifs. Et un palmarès aussi haut que les tours jumelles de KL.
P.V.V.
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Re: Grand Prix de Malaisie : "Début, suite et fin"
Massa pense que le DRS peut être utile à Sepang
Pour le moment, le flou entoure encore la façon dont sera utilisé l’aileron arrière ajustable à Sepang. La FIA avait indiqué que la zone d’activation choisie était la ligne droite des stands, mais la possibilité d’utiliser la ligne droite précédente voire les deux reste d’actualité.
Felipe Massa pense qu’une telle décision serait préjudiciable et faciliterait beaucoup trop les dépassements. Quoi qu’il en soit, le pilote brésilien estime que l’aileron arrière ajustable sera bien plus intéressant à Sepang qu’à Melbourne, où cet artifice a fait un flop.
"Avec l’aileron arrière ajustable, la situation sera intéressante car, pour l’instant, il sera autorisé de l’utiliser dans la ligne droite des stands pendant la course, mais à Sepang la ligne droite précédente est plus longue," a expliqué Massa sur le site officiel de la Scuderia Ferrari.
"C’est vrai que ce serait offrir une meilleure chance de dépasser. Donc nous attendons la décision finale de la FIA pour voir si nous utilisons le DRS sur la première ligne droite, la précédente, ou les deux. La bonne décision pourrait rendre la course plus intéressante pour les pilotes et aussi pour les spectateurs. Personnellement, je ne suis pas sûr qu’autoriser le DRS sur les deux lignes droites est la meilleure option, car je pense que ça pourrait rendre les dépassements trop faciles. On doit trouver le bon équilibre entre le fait d’aider les possibilités de dépasser et le fait d’avoir trop de dépassements."
Massa pense que si la FIA autorise l’usage de l’aileron ajustable dans les deux longues lignes droites du circuit, tous les pilotes préfèreront attendre la fin de la seconde pour dépasser en prenant le minimum de risque.
Source : toilef1.com
Pour le moment, le flou entoure encore la façon dont sera utilisé l’aileron arrière ajustable à Sepang. La FIA avait indiqué que la zone d’activation choisie était la ligne droite des stands, mais la possibilité d’utiliser la ligne droite précédente voire les deux reste d’actualité.
Felipe Massa pense qu’une telle décision serait préjudiciable et faciliterait beaucoup trop les dépassements. Quoi qu’il en soit, le pilote brésilien estime que l’aileron arrière ajustable sera bien plus intéressant à Sepang qu’à Melbourne, où cet artifice a fait un flop.
"Avec l’aileron arrière ajustable, la situation sera intéressante car, pour l’instant, il sera autorisé de l’utiliser dans la ligne droite des stands pendant la course, mais à Sepang la ligne droite précédente est plus longue," a expliqué Massa sur le site officiel de la Scuderia Ferrari.
"C’est vrai que ce serait offrir une meilleure chance de dépasser. Donc nous attendons la décision finale de la FIA pour voir si nous utilisons le DRS sur la première ligne droite, la précédente, ou les deux. La bonne décision pourrait rendre la course plus intéressante pour les pilotes et aussi pour les spectateurs. Personnellement, je ne suis pas sûr qu’autoriser le DRS sur les deux lignes droites est la meilleure option, car je pense que ça pourrait rendre les dépassements trop faciles. On doit trouver le bon équilibre entre le fait d’aider les possibilités de dépasser et le fait d’avoir trop de dépassements."
Massa pense que si la FIA autorise l’usage de l’aileron ajustable dans les deux longues lignes droites du circuit, tous les pilotes préfèreront attendre la fin de la seconde pour dépasser en prenant le minimum de risque.
Source : toilef1.com
dom465- Messages : 12793
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 67
Localisation : Bruxelles
Page 1 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Sujets similaires
» Le challenge d'Imola78
» Challenge F1 2015
» Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
» Challenge F1 2014
» CLASSEMENTS PILOTES ET CONSTRUCTEURS - SAISON 2011
» Challenge F1 2015
» Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
» Challenge F1 2014
» CLASSEMENTS PILOTES ET CONSTRUCTEURS - SAISON 2011
Page 1 sur 7
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum