La toile et vous
+16
vtec
cyd61
boubou
Fabienne
Hadzufel
dom465
emacaly
TROIKA
Monsieur Burns
coyote
david13
Johan
pipom
McLaren
BRUNO935K3
nairboul
20 participants
Page 9 sur 15
Page 9 sur 15 • 1 ... 6 ... 8, 9, 10 ... 15
CINEMA PARADISO - GRAND PALAIS
>> Pendant 12 jours, le Grand Palais va vibrer au rythme d’un événement public exceptionnel. « Cinema Paradiso » réinvente l’expérience du cinéma au Grand Palais en offrant le plus grand "Drive-In" jamais réalisé dans une capitale.
> MK2 investit les 12.000 mètres carrés de la Nef du Grand Palais structurés en quatre espaces : cinéma, restauration, jeux et clubbing.
Le Drive-In, icône du cinéma en plein air, est transposé dans l’un des édifices les plus célèbres de Paris. Jusqu’à 1.000 spectateurs par séance pourront prendre place pour une expérience cinématographique unique, lovés dans les sièges de voitures de la famille Fiat 500 ou perchés sur une colline aménagée.
Source / Renseignements : http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/cinema-paradiso-grand-palais
_________________
Re: La toile et vous
Nous avons vu "Rush" !
Il y a quelque temps déjà, j'ai eu la chance d'assister à une vision privée de "Rush". Puis, la semaine dernière, plusieurs membres de la rédaction de F1i ont été conviés à une vision de presse. Nous avions un embargo à respecter, sans pouvoir exprimer d'opinion avant une certaine date, soit ce lundi 2 septembre. Enfin ! On ne peut parler ici de critique, car nous ne sommes pas des professionnels du cinéma, donc notre avis est forcément subjectif. Il est enthousiaste, pour dire le moins, mais pas inconditionnel pour autant. Le seul bémol concerne le détail, comme tel casque qui ne correspond pas tout-à-fait à la version originale ou ces passages-éclairs sur certains circuits où l'on ne se reconnaît pas (et pour cause, un Grand Prix de France tourné sur un aérodrome anglais humide manque un peu des cigales et des palmiers du Castellet, mais quelle importance ?). Quelques raccourcis de l'histoire sont inévitables, parfois il a fallu forcer un peu le trait, sans jamais sombrer dans la caricature.
Le film raconte par le menu la saison 1976 de Formule 1 et le fameux duel qui opposa James Hunt à Niki Lauda pour le titre mondial cette année-là. Il met même en scène les deux caractères en rappelant leur rivalité dès le début des années 70, en Formule 3, avec beaucoup de justesse. Les scènes de course sont magnifiquement reconstituées, les décors sont crédibles, les personnages habillés comme il faut, les voitures authentiques, la bande son exceptionnelle (avec le bruit métallique du V8 Cosworth et la mélodie plus aigüe du Boxer 12 cylindres Ferrari). Mais au-delà de ces considérations techniques, c'est le scénario qui vous prend aux tripes, d'abord par curiosité, puis avec de plus en plus d'intensité, jusqu'à ce moment-clé que constitue l'accident de Lauda au Nürburgring. Il est impressionnant d'exactitude, de réalité sans en faire trop. Pas d'effets spéciaux dramatiques, juste la sortie de piste comme elle s'était déroulée à l'époque, le feu qui s'embrase et les autres pilotes (Arturo Merzario en premier de cordée) qui viennent au secours du malheureux Autrichien. Plus impressionnantes encore, et sans doute plus vraies que nature, les souffrances ressenties par Niki à l'hôpital, depuis l'instant où un prêtre lui donne les derniers sacrements jusqu'au moment où on lui pompe les poumons pour lui sauver la vie... On en a encore des frissons !
Son retour à Monza et l'ultime épisode de sa fantastique confrontation avec Hunt sont traités avec sobriété et rigueur. La liesse des tifosi au soir du Grand Prix d'Italie, puis les trombes d'eau s'abattant au pied du Mont Fuji sont parfaitement rendues. La précision de l'écriture du scénario, grâce aux conseils de Lauda lui-même et d'Alistair Caldwell (team-manager de McLaren à l'époque), permet de se replonger dans l'ambiance de cette incroyable finale. La chute du film, qui réunit Lauda et Hunt un peu plus tard avant de rendre hommage aux véritables personnages qui apparaissent à l'écran, représente la cerise sur le gâteau. Indiscutablement, pour les fans de F1 que nous sommes, "Rush" est une belle réussite.
Pour convaincre un public plus large, peu au fait des choses de la course, le casting a parfaitement rempli deux tâches délicates : une ressemblance physique saisissante avec les deux champions (Chris Hemsworth est un James Hunt très légitime, passionné et déjanté, tandis que Daniel Brühl incarne Niki Lauda avec la bonne attitude et même le ton de la voix, l'accent autrichien en anglais etc) et un jeu d'acteurs digne des meilleures productions hollywoodiennes, susceptibles de séduire les spectateurs les plus exigeants, y compris dans le chef de la belle blonde et de la belle brune. Ou encore les personnages de Louis Stanley (le patron de BRM), Alexander Hesketh et Bubbles Horsley (Hesketh Racing), Teddy Mayer et Alistair Caldwell (McLaren), Enzo Ferrari et Clay Regazzoni. On y croit, on y est !
Alors n'hésitez pas à allez voir le film en salle, sur grand écran, dès le 25 septembre en France et le 2 octobre en Belgique. F1i vous proposera une avant-première à Bruxelles, au complexe Kinepolis du Heysel, le lundi 30 septembre. Rendez-vous sur notre page Facebook pour en savoir plus la semaine précédente et dans le prochain numéro de F1i Magazine, en kiosque dès la fin de cette semaine, pour découvrir les coulisses du film, l'interview du réalisateur Ron Howard ainsi que le témoignage de Niki Lauda en personne, avec un dossier historique sur la saison 1976 dans le cahier F1i Classic.
rush
Il y a quelque temps déjà, j'ai eu la chance d'assister à une vision privée de "Rush". Puis, la semaine dernière, plusieurs membres de la rédaction de F1i ont été conviés à une vision de presse. Nous avions un embargo à respecter, sans pouvoir exprimer d'opinion avant une certaine date, soit ce lundi 2 septembre. Enfin ! On ne peut parler ici de critique, car nous ne sommes pas des professionnels du cinéma, donc notre avis est forcément subjectif. Il est enthousiaste, pour dire le moins, mais pas inconditionnel pour autant. Le seul bémol concerne le détail, comme tel casque qui ne correspond pas tout-à-fait à la version originale ou ces passages-éclairs sur certains circuits où l'on ne se reconnaît pas (et pour cause, un Grand Prix de France tourné sur un aérodrome anglais humide manque un peu des cigales et des palmiers du Castellet, mais quelle importance ?). Quelques raccourcis de l'histoire sont inévitables, parfois il a fallu forcer un peu le trait, sans jamais sombrer dans la caricature.
Le film raconte par le menu la saison 1976 de Formule 1 et le fameux duel qui opposa James Hunt à Niki Lauda pour le titre mondial cette année-là. Il met même en scène les deux caractères en rappelant leur rivalité dès le début des années 70, en Formule 3, avec beaucoup de justesse. Les scènes de course sont magnifiquement reconstituées, les décors sont crédibles, les personnages habillés comme il faut, les voitures authentiques, la bande son exceptionnelle (avec le bruit métallique du V8 Cosworth et la mélodie plus aigüe du Boxer 12 cylindres Ferrari). Mais au-delà de ces considérations techniques, c'est le scénario qui vous prend aux tripes, d'abord par curiosité, puis avec de plus en plus d'intensité, jusqu'à ce moment-clé que constitue l'accident de Lauda au Nürburgring. Il est impressionnant d'exactitude, de réalité sans en faire trop. Pas d'effets spéciaux dramatiques, juste la sortie de piste comme elle s'était déroulée à l'époque, le feu qui s'embrase et les autres pilotes (Arturo Merzario en premier de cordée) qui viennent au secours du malheureux Autrichien. Plus impressionnantes encore, et sans doute plus vraies que nature, les souffrances ressenties par Niki à l'hôpital, depuis l'instant où un prêtre lui donne les derniers sacrements jusqu'au moment où on lui pompe les poumons pour lui sauver la vie... On en a encore des frissons !
Son retour à Monza et l'ultime épisode de sa fantastique confrontation avec Hunt sont traités avec sobriété et rigueur. La liesse des tifosi au soir du Grand Prix d'Italie, puis les trombes d'eau s'abattant au pied du Mont Fuji sont parfaitement rendues. La précision de l'écriture du scénario, grâce aux conseils de Lauda lui-même et d'Alistair Caldwell (team-manager de McLaren à l'époque), permet de se replonger dans l'ambiance de cette incroyable finale. La chute du film, qui réunit Lauda et Hunt un peu plus tard avant de rendre hommage aux véritables personnages qui apparaissent à l'écran, représente la cerise sur le gâteau. Indiscutablement, pour les fans de F1 que nous sommes, "Rush" est une belle réussite.
Pour convaincre un public plus large, peu au fait des choses de la course, le casting a parfaitement rempli deux tâches délicates : une ressemblance physique saisissante avec les deux champions (Chris Hemsworth est un James Hunt très légitime, passionné et déjanté, tandis que Daniel Brühl incarne Niki Lauda avec la bonne attitude et même le ton de la voix, l'accent autrichien en anglais etc) et un jeu d'acteurs digne des meilleures productions hollywoodiennes, susceptibles de séduire les spectateurs les plus exigeants, y compris dans le chef de la belle blonde et de la belle brune. Ou encore les personnages de Louis Stanley (le patron de BRM), Alexander Hesketh et Bubbles Horsley (Hesketh Racing), Teddy Mayer et Alistair Caldwell (McLaren), Enzo Ferrari et Clay Regazzoni. On y croit, on y est !
Alors n'hésitez pas à allez voir le film en salle, sur grand écran, dès le 25 septembre en France et le 2 octobre en Belgique. F1i vous proposera une avant-première à Bruxelles, au complexe Kinepolis du Heysel, le lundi 30 septembre. Rendez-vous sur notre page Facebook pour en savoir plus la semaine précédente et dans le prochain numéro de F1i Magazine, en kiosque dès la fin de cette semaine, pour découvrir les coulisses du film, l'interview du réalisateur Ron Howard ainsi que le témoignage de Niki Lauda en personne, avec un dossier historique sur la saison 1976 dans le cahier F1i Classic.
rush
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
ORECA PARTENAIRE DU FILM RUSH
>> ORECA fête en 2013 ses 40 ans.
40 ans de défis entrepreneuriaux mais aussi 40 ans de succès sur les pistes. Avant la publication d'un livre sur l'histoire du Groupe, ORECA célèbre son anniversaire en devenant partenaire du lancement du film RUSH, réalisé par Ron Howard et en salle à partir du 25 septembre. Plusieurs opérations ont ainsi été mises en place entre Pathé, distributeur du film en France, et les pôles Events et Store d'ORECA.
Situé durant l'âge d'or de la Formule 1, RUSH retrace le passionnant et haletant combat entre deux des plus grands rivaux que l'histoire du sport ait jamais connus, celui de James Hunt et Niki Lauda concourant pour les illustres écuries McLaren et Ferrari. RUSH suit la vie instable de ces deux pilotes, sur les circuits et en dehors, et retrace leur rivalité depuis leurs tout débuts.
> Depuis le 28 août, un grand concours est organisé par "Oreca-Store.com", la boutique des passionnés et pratiquants du sport automobile. Jusqu'au 19 septembre, les internautes peuvent en effet jouer sur la page Facebook.com/OrecaStore pour gagner un stage de pilotage multi-GT, des places pour découvrir RUSH et des affiches du film. En parallèle, un show car F1 ORECA aux couleurs du film RUSH était également exposé durant l'été au cinéma Kinépoles de Lomme-Lille par l'intermédiaire d'Oreca Events.
Enfin, courant septembre, une soirée-anniversaire pour les 40 ans d'ORECA sera organisée dans un cinéma parisien avec la diffusion en avant-première privée du film. De nombreux acteurs du sport automobile - pilotes, organisateurs et partenaires - seront présents.
- « Le duel entre James Hunt et Niki Lauda a marqué toute une génération et je suis impatient de découvrir le film RUSH » confie Hugues de Chaunac, Président du Groupe ORECA. « A l'époque, notre équipe de course décrochait ses premiers titres en monoplace et nous vivions pleinement ce combat. J'avais eu l'occasion de croiser Niki Lauda dans les paddocks de F1 et son histoire m'avait, comme beaucoup, particulièrement touché. Alors que les films de sport automobile de qualité sont rares, RUSH nous permet de revivre un des grands moments du sport automobile et de partager, ensemble, une passion commune. Je suis heureux qu'ORECA y soit lié : c'est un sympathique clin d'œil pour les 40 ans du Groupe. »
A propos du Groupe ORECA:
> Equipe de course à l'origine, ORECA s'est développé au cours de 40 ans d'existence pour couvrir l'ensemble des secteurs d'activités liées au sport automobile. ORECA Racing, via le Team ORECA ou en tant que représentant des plus grandes marques, s'est imposé dans toutes les disciplines en compétition. ORECA-Store.com est aujourd'hui la boutique leader dans la vente d'équipements et accessoires, avec 30 000 références destinées aux passionnés et pratiquants. Organisateur d'événements et promoteur de championnats, ORECA Events accompagne depuis plus de 15 ans l'ensemble des annonceurs dans leur logique événementielle. Enfin, outre un département moteur référence en Europe, ORECA Technology possède un bureau d'études et des installations de pointe qui ont permis au groupe de devenir constructeur de voitures de course. Ces 4 pôles et cette expertise unique font du groupe ORECA « The Motorsport Compagny ».
Source : ORECA
et
Endurance-info.com
40 ans de défis entrepreneuriaux mais aussi 40 ans de succès sur les pistes. Avant la publication d'un livre sur l'histoire du Groupe, ORECA célèbre son anniversaire en devenant partenaire du lancement du film RUSH, réalisé par Ron Howard et en salle à partir du 25 septembre. Plusieurs opérations ont ainsi été mises en place entre Pathé, distributeur du film en France, et les pôles Events et Store d'ORECA.
Situé durant l'âge d'or de la Formule 1, RUSH retrace le passionnant et haletant combat entre deux des plus grands rivaux que l'histoire du sport ait jamais connus, celui de James Hunt et Niki Lauda concourant pour les illustres écuries McLaren et Ferrari. RUSH suit la vie instable de ces deux pilotes, sur les circuits et en dehors, et retrace leur rivalité depuis leurs tout débuts.
> Depuis le 28 août, un grand concours est organisé par "Oreca-Store.com", la boutique des passionnés et pratiquants du sport automobile. Jusqu'au 19 septembre, les internautes peuvent en effet jouer sur la page Facebook.com/OrecaStore pour gagner un stage de pilotage multi-GT, des places pour découvrir RUSH et des affiches du film. En parallèle, un show car F1 ORECA aux couleurs du film RUSH était également exposé durant l'été au cinéma Kinépoles de Lomme-Lille par l'intermédiaire d'Oreca Events.
Enfin, courant septembre, une soirée-anniversaire pour les 40 ans d'ORECA sera organisée dans un cinéma parisien avec la diffusion en avant-première privée du film. De nombreux acteurs du sport automobile - pilotes, organisateurs et partenaires - seront présents.
- « Le duel entre James Hunt et Niki Lauda a marqué toute une génération et je suis impatient de découvrir le film RUSH » confie Hugues de Chaunac, Président du Groupe ORECA. « A l'époque, notre équipe de course décrochait ses premiers titres en monoplace et nous vivions pleinement ce combat. J'avais eu l'occasion de croiser Niki Lauda dans les paddocks de F1 et son histoire m'avait, comme beaucoup, particulièrement touché. Alors que les films de sport automobile de qualité sont rares, RUSH nous permet de revivre un des grands moments du sport automobile et de partager, ensemble, une passion commune. Je suis heureux qu'ORECA y soit lié : c'est un sympathique clin d'œil pour les 40 ans du Groupe. »
A propos du Groupe ORECA:
> Equipe de course à l'origine, ORECA s'est développé au cours de 40 ans d'existence pour couvrir l'ensemble des secteurs d'activités liées au sport automobile. ORECA Racing, via le Team ORECA ou en tant que représentant des plus grandes marques, s'est imposé dans toutes les disciplines en compétition. ORECA-Store.com est aujourd'hui la boutique leader dans la vente d'équipements et accessoires, avec 30 000 références destinées aux passionnés et pratiquants. Organisateur d'événements et promoteur de championnats, ORECA Events accompagne depuis plus de 15 ans l'ensemble des annonceurs dans leur logique événementielle. Enfin, outre un département moteur référence en Europe, ORECA Technology possède un bureau d'études et des installations de pointe qui ont permis au groupe de devenir constructeur de voitures de course. Ces 4 pôles et cette expertise unique font du groupe ORECA « The Motorsport Compagny ».
Source : ORECA
et
Endurance-info.com
_________________
LES 24 HEURES DU MANS 2013 AU CINÉMA LE 5 NOVEMBRE
>> Une nouvelle soirée à ne pas rater : la projection en avant-première du film officiel des 24 Heures du Mans 2013 dans toutes les salles CGR de France.
Un événement à vivre le 5 novembre 2013 à 20 heures et pour lequel il est déjà possible de réserver ses places.
> Au départ de cette édition des 90 ans des 24 Heures du Mans : un plateau d'exception avec, en tête d'affiche, Toyota bien décidé à terrasser le tenant du titre, Audi. Et si le géant allemand s'imposait une fois de plus in extremis c'était au terme d'une chasse acharnée menée par les agressives machines japonaises.
Mais les 24 Heures du Mans 2013 ne se résumaient pas à cette lutte. Du retour victorieux de Porsche en GT se jouant de Ferrari, Aston Martin, Corvette et Viper à la lutte follement indécise en LM P2, marquée par la victoire de Morgan, en passant par les fastueuses et émouvantes commémorations des 90 ans, le glamour avec la présence de Patrick Dempsey ou le neuvième succès de Tom Kristensen, cette soirée de prestige permettra de revivre tous les temps forts de la troisième manche du Championnat du Monde d'Endurance de la FIA.
> Long de 90 minutes, le film officiel des 24 Heures du Mans 2013, réalisé par la société "MCA Sports", relate en détail l'épreuve et ses coulisses à travers un contenu riche d'anecdotes, d'à-côtés, d'interviews et d'images toujours plus impressionnantes et émouvantes.
Ce film officiel sera projeté en avant-première le mardi 5 novembre 2013 dans tous les Méga CGR de France. Il est possible de réserver ses places dès maintenant aux caisses des cinémas CGR mais aussi sur www.cgrcinemas.fr
Source : endurance-info.com
Un événement à vivre le 5 novembre 2013 à 20 heures et pour lequel il est déjà possible de réserver ses places.
> Au départ de cette édition des 90 ans des 24 Heures du Mans : un plateau d'exception avec, en tête d'affiche, Toyota bien décidé à terrasser le tenant du titre, Audi. Et si le géant allemand s'imposait une fois de plus in extremis c'était au terme d'une chasse acharnée menée par les agressives machines japonaises.
Mais les 24 Heures du Mans 2013 ne se résumaient pas à cette lutte. Du retour victorieux de Porsche en GT se jouant de Ferrari, Aston Martin, Corvette et Viper à la lutte follement indécise en LM P2, marquée par la victoire de Morgan, en passant par les fastueuses et émouvantes commémorations des 90 ans, le glamour avec la présence de Patrick Dempsey ou le neuvième succès de Tom Kristensen, cette soirée de prestige permettra de revivre tous les temps forts de la troisième manche du Championnat du Monde d'Endurance de la FIA.
> Long de 90 minutes, le film officiel des 24 Heures du Mans 2013, réalisé par la société "MCA Sports", relate en détail l'épreuve et ses coulisses à travers un contenu riche d'anecdotes, d'à-côtés, d'interviews et d'images toujours plus impressionnantes et émouvantes.
Ce film officiel sera projeté en avant-première le mardi 5 novembre 2013 dans tous les Méga CGR de France. Il est possible de réserver ses places dès maintenant aux caisses des cinémas CGR mais aussi sur www.cgrcinemas.fr
Source : endurance-info.com
_________________
Re: La toile et vous
Bon ce matin j'ai été voir Rush avec la salle que pour moi tout seul ...ça...ça n'a pas de prix
J'avais un peu d’appréhension car j'avais peur que cela soit surfait notamment les scènes de courses mais non
Franchement très bon film bien réalisé et bien joué j'ai pas vu le temps passé
Film qui n'est pas uniquement réservé aux fans de F1 et sport auto
Seul bémol , j'aurais aimé entendre plus les bruits moteurs parfois gâchés par la BO mais ça c'est l'avis d'un fan de sport auto
J'avais un peu d’appréhension car j'avais peur que cela soit surfait notamment les scènes de courses mais non
Franchement très bon film bien réalisé et bien joué j'ai pas vu le temps passé
Film qui n'est pas uniquement réservé aux fans de F1 et sport auto
Seul bémol , j'aurais aimé entendre plus les bruits moteurs parfois gâchés par la BO mais ça c'est l'avis d'un fan de sport auto
boubou- Messages : 16350
Date d'inscription : 15/05/2010
Age : 48
Localisation : Seine et Marne (77) mais natif du Mans (72)
Re: La toile et vous
Est-ce qu'ils ont respecté l'histoire, ou bien ont-ils pris des "libertés" peu crédibles ?boubou a écrit:Bon ce matin j'ai été voir Rush avec la salle que pour moi tout seul ...ça...ça n'a pas de prix
J'avais un peu d’appréhension car j'avais peur que cela soit surfait notamment les scènes de courses mais non
Franchement très bon film bien réalisé et bien joué j'ai pas vu le temps passé
Film qui n'est pas uniquement réservé aux fans de F1 et sport auto
Seul bémol , j'aurais aimé entendre plus les bruits moteurs parfois gâchés par la BO mais ça c'est l'avis d'un fan de sport auto
_________________
Re: La toile et vous
Alors comment te dire moi et la F1 c'est pas comme moi et l'Endurance donc je ne connaissais pas tous les détails de la rivalité entre Hunt et Lauda d'une part et d'autre part de la saison 1976 donc c'était plus une découverte pour moiBRUNO935K3 a écrit:Est-ce qu'ils ont respecté l'histoire, ou bien ont-ils pris des "libertés" peu crédibles ?
Après faudrait que les aillent le voir et nous donnent leurs impressions
boubou- Messages : 16350
Date d'inscription : 15/05/2010
Age : 48
Localisation : Seine et Marne (77) mais natif du Mans (72)
Re: La toile et vous
boubou a écrit:Alors comment te dire moi et la F1 c'est pas comme moi et l'Endurance donc je ne connaissais pas tous les détails de la rivalité entre Hunt et Lauda d'une part et d'autre part de la saison 1976 donc c'était plus une découverte pour moiBRUNO935K3 a écrit:Est-ce qu'ils ont respecté l'histoire, ou bien ont-ils pris des "libertés" peu crédibles ?
Après faudrait que les aillent le voir et nous donnent leurs impressions
_________________
Re: La toile et vous
Heuuuuuu! On se calme ! Je voudrais bien aller le voir, mais dans les landes, les salles qui le présente sont pas légion !
vtec- Messages : 5423
Date d'inscription : 18/05/2010
Age : 72
Localisation : ESTIBEAUX (environs de DAX, landes)
Re: La toile et vous
j'y vais ce soir voir RUSH en famille,je vous raconterais.
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Re: La toile et vous
nairboul a écrit:j'y vais ce soir voir RUSH en famille,je vous raconterais.
sans connaitre le film, je crois que le synopsis est connu !
Re: La toile et vous
Merci pipom j avais pas vu les posts precedent je donnerais mon avis ou pas.
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Re: La toile et vous
Assurément ton avis nous intéresse !nairboul a écrit:Merci pipom j avais pas vu les posts precedent je donnerais mon avis ou pas.
et je disais juste que l'histoire de Hunt et Lauda est quand même connu pour les passionnés de F1 que nous sommes !
surtout les anciens bien sûre dont je fais parti !
Re: La toile et vous
Pipom je te présente mes excuses je ne l'avais pas compris comme ça donc pour moi.pipom a écrit:Assurément ton avis nous intéresse !nairboul a écrit:Merci pipom j avais pas vu les posts precedent je donnerais mon avis ou pas.
et je disais juste que l'histoire de Hunt et Lauda est quand même connu pour les passionnés de F1 que nous sommes !
surtout les anciens bien sûre dont je fais parti !
Bon et bien il y Michel VAILLANT de Luc Besson et RUSH de Ron HOWARD .C'est un film d'un très belle facture,les 2h00 passent très vite,n'étant pas un spécialiste de l'époque je n'y trouve aucun détail fâcheux peut être cette séance au Castellet qui effectivement a du être filmé à Brands Hatch,j'ai appris quand même quelques détails assez sympa,le top c'est de reconnaître quelques pilotes dont Reggazoni et sa fameuse moustache ou Fittipaldi et ses "rouflaquettes",les noms de LAFFITE et de DEPAILLER Teddy Meyer le boss de McLaren et j'ai cru reconnaître le sympathique Ron Dennis,ou le cassage en règle d'un.......la mise en scène de l'accident de CEVERT ,les scènes de l'hospitalisation de Lauda sont aussi ,surtout l'excellente prestations des acteurs,au passage le gars qui joue Nikki LAUDA s'appel Daniel Brül,on se sent vraiment proche de Hunt et Lauda ,un pilote calculateur,bosseur et imperméable et un autre bouffant la vie excessivement et une rivalité intense entre les deux qui vire a l'obsession pour Hunt,battre le rat!On ressent bien l'immense respect qu' a l'Anglais envers Lauda a l'aube de la saison 77.Ce n'est pas LE film de l'année mais il vaut franchement le coup .Salle quasiment pleine ce soir au Mans!La meilleure entrée pour l'instant,
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Re: La toile et vous
Il y a ce documentaire qui m'a l'air bien fichu:
http://www.toilef1.com/Video-1-le-nouveau-documentaire.html
C'est en v.o.d depuis le 01/10/13 mais je n'arrive pas a l'avoir chez SFR quelqu'un aurait une solution.Merci.
http://www.toilef1.com/Video-1-le-nouveau-documentaire.html
C'est en v.o.d depuis le 01/10/13 mais je n'arrive pas a l'avoir chez SFR quelqu'un aurait une solution.Merci.
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
futur projet?
« Go Like Hell » avec Tom Cruise bientôt au Mans ?
Pour le moment, le film n’est qu’à l’état de projet mais Tom Cruise pourrait bien se laisser tenter par une nouvelle aventure cinématographique liée au sport automobile. « Cole Trickle » dans Jours de Tonnerre retrouverait alors le réalisateur Joseph Kosinski avec qui il a tourné Oblivion. Le film « Go Like Hell » raconterait comment Henry Ford II, Lee Iacocca et Caroll Shelby sont venus à bout de Ferrari. Après James Hunt et Niki Lauda dans Rush, on pourrait bien avoir Ford contre Ferrari sachant qu’une partie du film serait consacrée aux 24 Heures du Mans et plus précisément à l’année 1966 où la Ford GT 40 Mk II de Bruce McLaren et Chris Amon s’était imposée après six ans de domination Ferrari.
Ce n’est pas la première fois que l’on entend parler de Go Like Hell puisque le film adapté du livre d’AJ Baime devait être tourné par le célèbre Michael Mann et produit par la Fox.
Laurent Mercier
Endurance Info
Yes pourvu que ça le fasse
Pour le moment, le film n’est qu’à l’état de projet mais Tom Cruise pourrait bien se laisser tenter par une nouvelle aventure cinématographique liée au sport automobile. « Cole Trickle » dans Jours de Tonnerre retrouverait alors le réalisateur Joseph Kosinski avec qui il a tourné Oblivion. Le film « Go Like Hell » raconterait comment Henry Ford II, Lee Iacocca et Caroll Shelby sont venus à bout de Ferrari. Après James Hunt et Niki Lauda dans Rush, on pourrait bien avoir Ford contre Ferrari sachant qu’une partie du film serait consacrée aux 24 Heures du Mans et plus précisément à l’année 1966 où la Ford GT 40 Mk II de Bruce McLaren et Chris Amon s’était imposée après six ans de domination Ferrari.
Ce n’est pas la première fois que l’on entend parler de Go Like Hell puisque le film adapté du livre d’AJ Baime devait être tourné par le célèbre Michael Mann et produit par la Fox.
Laurent Mercier
Endurance Info
Yes pourvu que ça le fasse
boubou- Messages : 16350
Date d'inscription : 15/05/2010
Age : 48
Localisation : Seine et Marne (77) mais natif du Mans (72)
Re: La toile et vous
J'arrive à l'instant du ciné ou nous avons pu voir avec 1300 personnes ici au Mans et dans 53 salles le film officiel des 24h00 2013 en avant première.Un film de très bonne facture et plaisant.Les passages au P60 sont nombreux bon je ne reconnaît pas les commissaires vu mais par contre Ginette on la remarque.Il y avait ,côtes pilotes,Collard,Tinsaud et Bouvet.Une session de questions avait lieu après la projection.Les mots de Kristensen a la fin sont juste....
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Re: La toile et vous
je suis.Voici ce qui tournait hier sur le Bugatti.
http://www.lemainelibre.fr/actualite/automobile-24-bolides-de-legendes-qui-ont-lesprit-le-mans-video-05-11-2013-70940
Je dois aller cherché ma place de parking cet après midi au musée je croise les doigts et les oreilles pour espérer qu'aujourd'hui elles tournent encore.Le tirage au sort pour le baptême de piste en GT40 pour lequel nous étions retenu était prévu aujourd'hui,donc...
http://www.lemainelibre.fr/actualite/automobile-24-bolides-de-legendes-qui-ont-lesprit-le-mans-video-05-11-2013-70940
Je dois aller cherché ma place de parking cet après midi au musée je croise les doigts et les oreilles pour espérer qu'aujourd'hui elles tournent encore.Le tirage au sort pour le baptême de piste en GT40 pour lequel nous étions retenu était prévu aujourd'hui,donc...
nairboul- Messages : 8951
Date d'inscription : 16/02/2010
Age : 51
Localisation : champagné
Populaire, gentiment anar… c'était le cinéma de Georges Lautner
Hommage | Les “Tontons Flingueurs” ou “Le Guignolo” ont fait de Georges Lautner le pape de la comédie policière à la française. Une veine plus appréciée du public que de la critique.
Lino Ventura, Georges Lautner et Mireille Darc lors du tournage de Ne nous fâchons pas. (c) Rue des archives / Agip
En apprenant la mort de Georges Lautner, hier, vendredi 22 novembre 2013, à l’âge de 87 ans, on ne peut pas s’empêcher, d’imaginer l’Au-delà en noir et blanc. Avec une table de cuisine, des verres et un bon tord-boyaux, comme dans cette scène impérissable des Tontons Flingueurs. Ils sont tous là qui l’attendent, les vieux potes disparus, les grognards mythiques du cinéma français : Lino Ventura et Bernard Blier, Francis Blanche et Robert Dalban, Paul Meurisse et son Monocle noir, trilogie d’espionnage pour rire lancée en 1961. Jean Gabin, ce fameux Pacha. et puis, surtout, Michel Audiard, le scénariste complice de tant d’irrésistibles comédies. Après Les Tontons (1963), il y aura Les Barbouzes (1964), Ne nous fâchons pas (1966), La valise (1973).
Une flopée de comédies policières anarcho-farfelues qui placent définitivement la carrière du réalisateur du côté populaire d’un cinéma français très clivé, entre films d’auteur et œuvres dites « commerciales ». Né à Nice en 1926, fils de la comédienne Renée Saint-Cyr, Georges Lautner tourne son premier film en 1958 (La Môme aux boutons). Exactement contemporain de la Nouvelle Vague, et totalement étranger à son essor. Son monde à lui est plein de gangsters goguenards, de carambouilles désinvoltes et de répliques qui tuent. La quintessence d’une certaine mentalité française, sceptique et narquois, gentiment nihiliste.
C’est le public, inconditionnel, qui lui apporte la reconnaissance que la critique lui a si longtemps refusée. Dès sa sortie, Les Tontons flingueurs deviennent culte, à jamais. On se répète « façon puzzle » les répliques et les situations. Le réalisateur n’a, paraît-il, jamais compris les raisons d’un tel engouement. Le succès, il le côtoie pourtant au gré de plus de quarante films, et notamment tout au long d’une fructueuse collaboration avec Jean-Paul Belmondo, autre héros facétieux de notre mythologie hexagonale : du Guignolo au Professionnel ou Joyeuses Pâques, le début des années 80 regorge de cascades et de pirouettes qui remplissent les salles de cinéma.
C’est avec Belmondo que Lautner tournera d’ailleurs son dernier long métrage en 1992, L’inconnu dans la maison. En 2005, dans On aura tout vu, sa biographie, une citation de son ami Audiard résume parfaitement ce qui fait tout le sel d’une œuvre singulière et marquante : « Lautner possède quelques petites qualités personnelles. Lesquelles ? Une complicité instantanée, presque magique, avec les comédiens, un amour minutieux du cadrage, une certaine passion pour la pyrotechnie, et surtout un sens prodigieux du rythme. »
Source : Telerama.fr
Lino Ventura, Georges Lautner et Mireille Darc lors du tournage de Ne nous fâchons pas. (c) Rue des archives / Agip
En apprenant la mort de Georges Lautner, hier, vendredi 22 novembre 2013, à l’âge de 87 ans, on ne peut pas s’empêcher, d’imaginer l’Au-delà en noir et blanc. Avec une table de cuisine, des verres et un bon tord-boyaux, comme dans cette scène impérissable des Tontons Flingueurs. Ils sont tous là qui l’attendent, les vieux potes disparus, les grognards mythiques du cinéma français : Lino Ventura et Bernard Blier, Francis Blanche et Robert Dalban, Paul Meurisse et son Monocle noir, trilogie d’espionnage pour rire lancée en 1961. Jean Gabin, ce fameux Pacha. et puis, surtout, Michel Audiard, le scénariste complice de tant d’irrésistibles comédies. Après Les Tontons (1963), il y aura Les Barbouzes (1964), Ne nous fâchons pas (1966), La valise (1973).
Une flopée de comédies policières anarcho-farfelues qui placent définitivement la carrière du réalisateur du côté populaire d’un cinéma français très clivé, entre films d’auteur et œuvres dites « commerciales ». Né à Nice en 1926, fils de la comédienne Renée Saint-Cyr, Georges Lautner tourne son premier film en 1958 (La Môme aux boutons). Exactement contemporain de la Nouvelle Vague, et totalement étranger à son essor. Son monde à lui est plein de gangsters goguenards, de carambouilles désinvoltes et de répliques qui tuent. La quintessence d’une certaine mentalité française, sceptique et narquois, gentiment nihiliste.
C’est le public, inconditionnel, qui lui apporte la reconnaissance que la critique lui a si longtemps refusée. Dès sa sortie, Les Tontons flingueurs deviennent culte, à jamais. On se répète « façon puzzle » les répliques et les situations. Le réalisateur n’a, paraît-il, jamais compris les raisons d’un tel engouement. Le succès, il le côtoie pourtant au gré de plus de quarante films, et notamment tout au long d’une fructueuse collaboration avec Jean-Paul Belmondo, autre héros facétieux de notre mythologie hexagonale : du Guignolo au Professionnel ou Joyeuses Pâques, le début des années 80 regorge de cascades et de pirouettes qui remplissent les salles de cinéma.
C’est avec Belmondo que Lautner tournera d’ailleurs son dernier long métrage en 1992, L’inconnu dans la maison. En 2005, dans On aura tout vu, sa biographie, une citation de son ami Audiard résume parfaitement ce qui fait tout le sel d’une œuvre singulière et marquante : « Lautner possède quelques petites qualités personnelles. Lesquelles ? Une complicité instantanée, presque magique, avec les comédiens, un amour minutieux du cadrage, une certaine passion pour la pyrotechnie, et surtout un sens prodigieux du rythme. »
Source : Telerama.fr
_________________
Paul Walker et Roger Rodas tués dans un accident
>> Passionné de sport automobile, l’acteur Paul Walker est décédé hier d’un accident de la circulation.
> L’acteur vedette des films à succès Fast and Furious était passager d’une Porsche Carrera GT conduite par Roger Rodas.
Les deux occupants de la voiture ont été tués après une sortie de route occasionnant l’incendie de la Porsche.
Roger Rodas était le partenaire de Paul Walker dans plusieurs affaires.
Il était aussi le CEO de Always Evolving et le pilote d’une Ford Mustang 302S (GTS) en Pirelli World Challenge. L’homme d’affaires roulait en compétition depuis plusieurs saisons.
Source : endurance-info.com
> L’acteur vedette des films à succès Fast and Furious était passager d’une Porsche Carrera GT conduite par Roger Rodas.
Les deux occupants de la voiture ont été tués après une sortie de route occasionnant l’incendie de la Porsche.
Roger Rodas était le partenaire de Paul Walker dans plusieurs affaires.
Il était aussi le CEO de Always Evolving et le pilote d’une Ford Mustang 302S (GTS) en Pirelli World Challenge. L’homme d’affaires roulait en compétition depuis plusieurs saisons.
Source : endurance-info.com
_________________
"Weekend of a Champion"
Le 18 Décembre, va ressortir...:
Weekend of a Champion
Un film de Frank Simon
Produit par RP Productions
Genre(s) : Documentaire - Durée : 1 h 33 min
Sortie en France : 18/12/2013
Année de production : 2013
>> En 1971, Roman Polanski, fan de sport automobile, a passé un week-end avec Jackie Stewart, champion du monde de Formule 1, lors du Grand Prix de Monaco, qu’il a remporté.
> Polanski a eu un accès privilégié à Stewart, pendant 3 jours, sur le circuit mais aussi en dehors de celui-ci. Le résultat est un moment rare dans l’intimité d’un athlète surdoué, au sommet de sa gloire.
> Quarante ans après, Polanski et Stewart se retrouvent dans un remarquable épilogue où ils parlent avec émotion et humour de ce sport qui a tant changé avec les années.
Source : unifrance.org
Weekend of a Champion
Un film de Frank Simon
Produit par RP Productions
Genre(s) : Documentaire - Durée : 1 h 33 min
Sortie en France : 18/12/2013
Année de production : 2013
>> En 1971, Roman Polanski, fan de sport automobile, a passé un week-end avec Jackie Stewart, champion du monde de Formule 1, lors du Grand Prix de Monaco, qu’il a remporté.
> Polanski a eu un accès privilégié à Stewart, pendant 3 jours, sur le circuit mais aussi en dehors de celui-ci. Le résultat est un moment rare dans l’intimité d’un athlète surdoué, au sommet de sa gloire.
> Quarante ans après, Polanski et Stewart se retrouvent dans un remarquable épilogue où ils parlent avec émotion et humour de ce sport qui a tant changé avec les années.
Source : unifrance.org
_________________
Page 9 sur 15 • 1 ... 6 ... 8, 9, 10 ... 15
Sujets similaires
» Les Courses 2010 Briefing/debriefing (s)
» Les publicités que vous aimez ....
» La télé et vous...
» Les voitures que vous n'aimez pas
» Savez-vous d'ou viennent ces photos de F1?
» Les publicités que vous aimez ....
» La télé et vous...
» Les voitures que vous n'aimez pas
» Savez-vous d'ou viennent ces photos de F1?
Page 9 sur 15
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum